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Étude : Embonpoint chez les hommes et revenu du ménage

2004

Plus leur revenu est élevé, plus les hommes canadiens sont susceptibles d'avoir de l'embonpoint. Dans une certaine mesure, la prévalence plus grande de l'embonpoint chez les hommes plus riches est liée à leur plus grande probabilité de prendre des repas non préparés à la maison.

Même si les recherches ont montré que les personnes des groupes de revenu élevé sont généralement en meilleure santé que celles des groupes de revenu plus faible, cela est moins vrai dans le cas de l'embonpoint chez les hommes.

De nouveaux résultats laissent supposer que les différences dans les habitudes alimentaires peuvent être liées à l'embonpoint chez les hommes plus riches.

Depuis le début des années 1980, l'augmentation la plus forte de la prévalence de l'obésité a été observée chez les hommes des groupes de revenu élevé. En 2004, la cote exprimant le risque d'embonpoint était environ deux fois plus élevée pour les hommes riches que pour les hommes du groupe de revenu le plus faible.

Les hommes des groupes à revenu du ménage élevé étaient significativement plus susceptibles que ceux des groupes à revenu plus faible de déclarer prendre des repas non préparés à la maison.

Les repas au restaurant attirent de plus en plus l'attention comme facteur possible de l'augmentation de la prévalence de l'obésité. Des recherches ont montré que les personnes qui mangent souvent au restaurant ont tendance à consommer davantage de calories que celles qui mangent généralement des repas préparés à la maison. La fréquence plus grande des repas pris à l'extérieur chez les hommes ayant un revenu élevé peut être liée au risque relativement élevé qu'ils fassent de l'embonpoint.

Ces tendances ne s'observent pas chez les femmes. Même si les femmes des ménages ayant un revenu élevé étaient plus susceptibles que celles des ménages ayant un revenu plus faible de prendre des repas non préparés à la maison, elles n'étaient ni plus ni moins susceptibles d'avoir de l'embonpoint.


Note aux lecteurs

Les données de cette étude concernent les répondants adultes de l'Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes de 2004.


Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 5049.

L'article intitulé «Pourquoi le gradient social de santé ne s'applique-t-il pas à l'embonpoint?», qui fait partie du numéro de la publication Rapports sur la santé, vol. 19, no 4 (82-003-XWF, gratuite), est maintenant accessible. Pour obtenir plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Julie Bernier au 613-951-4556 (julie.bernier@statcan.gc.ca), Division de l'information et de la recherche sur la santé.

Le numéro en ligne de la publication Rapports sur la santé comprend aussi l'article «La courbe concentration-couverture : un outil pour les études écologiques». Cet article présente un outil graphique qui peut être utilisé dans les études écologiques, afin de déterminer si une population d'intérêt est concentrée dans un sous-ensemble d'unités d'analyse. Pour obtenir plus de renseignements sur cet article, communiquez avec Philippe Finès au 613-951-3896 (philippe.fines@statcan.gc.ca), Division de l'information et de la recherche sur la santé.

La version complète du plus récent numéro de la publication Rapports sur la santé, vol. 19, no 4 (82-003-XWF, gratuite), est maintenant accessible à partir du module Publications de notre site Web. Une version imprimée (82-003-XPF, 24 $ / 68 $) est aussi en vente.

Pour obtenir plus de renseignements concernant la publication Rapports sur la santé, communiquez avec Christine Wright au 613-951-1765 (christine.wright@statcan.gc.ca), Division de l'information et de la recherche sur la santé.

Le Quotidien, le mercredi 17 décembre 2008. Étude : Embonpoint chez les hommes et revenu du ménage
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2004

Plus leur revenu est élevé, plus les hommes canadiens sont susceptibles d'avoir de l'embonpoint. Dans une certaine mesure, la prévalence plus grande de l'embonpoint chez les hommes plus riches est liée à leur plus grande probabilité de prendre des repas non préparés à la maison.

Même si les recherches ont montré que les personnes des groupes de revenu élevé sont généralement en meilleure santé que celles des groupes de revenu plus faible, cela est moins vrai dans le cas de l'embonpoint chez les hommes.

De nouveaux résultats laissent supposer que les différences dans les habitudes alimentaires peuvent être liées à l'embonpoint chez les hommes plus riches.

Depuis le début des années 1980, l'augmentation la plus forte de la prévalence de l'obésité a été observée chez les hommes des groupes de revenu élevé. En 2004, la cote exprimant le risque d'embonpoint était environ deux fois plus élevée pour les hommes riches que pour les hommes du groupe de revenu le plus faible.

Les hommes des groupes à revenu du ménage élevé étaient significativement plus susceptibles que ceux des groupes à revenu plus faible de déclarer prendre des repas non préparés à la maison.

Les repas au restaurant attirent de plus en plus l'attention comme facteur possible de l'augmentation de la prévalence de l'obésité. Des recherches ont montré que les personnes qui mangent souvent au restaurant ont tendance à consommer davantage de calories que celles qui mangent généralement des repas préparés à la maison. La fréquence plus grande des repas pris à l'extérieur chez les hommes ayant un revenu élevé peut être liée au risque relativement élevé qu'ils fassent de l'embonpoint.

Ces tendances ne s'observent pas chez les femmes. Même si les femmes des ménages ayant un revenu élevé étaient plus susceptibles que celles des ménages ayant un revenu plus faible de prendre des repas non préparés à la maison, elles n'étaient ni plus ni moins susceptibles d'avoir de l'embonpoint.


Note aux lecteurs

Les données de cette étude concernent les répondants adultes de l'Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes de 2004.


Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 5049.

L'article intitulé «Pourquoi le gradient social de santé ne s'applique-t-il pas à l'embonpoint?», qui fait partie du numéro de la publication Rapports sur la santé, vol. 19, no 4 (82-003-XWF, gratuite), est maintenant accessible. Pour obtenir plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Julie Bernier au 613-951-4556 (julie.bernier@statcan.gc.ca), Division de l'information et de la recherche sur la santé.

Le numéro en ligne de la publication Rapports sur la santé comprend aussi l'article «La courbe concentration-couverture : un outil pour les études écologiques». Cet article présente un outil graphique qui peut être utilisé dans les études écologiques, afin de déterminer si une population d'intérêt est concentrée dans un sous-ensemble d'unités d'analyse. Pour obtenir plus de renseignements sur cet article, communiquez avec Philippe Finès au 613-951-3896 (philippe.fines@statcan.gc.ca), Division de l'information et de la recherche sur la santé.

La version complète du plus récent numéro de la publication Rapports sur la santé, vol. 19, no 4 (82-003-XWF, gratuite), est maintenant accessible à partir du module Publications de notre site Web. Une version imprimée (82-003-XPF, 24 $ / 68 $) est aussi en vente.

Pour obtenir plus de renseignements concernant la publication Rapports sur la santé, communiquez avec Christine Wright au 613-951-1765 (christine.wright@statcan.gc.ca), Division de l'information et de la recherche sur la santé.