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• Recensement de 1996

Statistique Canada diffuse aujourd’hui les données du Recensement de 1996 sur les logements privés occupés et les coûts d’habitation ainsi que sur les caractéristiques socioéconomiques des familles. Il s’agit du dernier d’une série de 11 communiqués qui ont tracé le nouveau portrait statistique du pays.

La première section de ce communiqué renferme des renseignements ayant trait au logement au Canada. Elle fournit une analyse de la croissance des ménages privés, y compris ceux occupés par des personnes seules.

Il renferme également des données sur les personnes qui sont propriétaires ou qui louent leur logement. Cette analyse est suivie d’une évaluation des coûts d’habitation mensuels, tout particulièrement ceux entraînés par le paiement d’une hypothèque ou pour la location d’un logement.

De plus, on présente une analyse des ménages qui consacrent 30 % ou plus de leur revenu au logement et qui sont donc susceptibles d’éprouver des problèmes d’abordabilité du logement.

La deuxième section fournit des renseignements sur certaines caractéristiques des parents et des enfants. Elle propose une analyse de l’activité sur le marché du travail des parents ayant des enfants âgés de moins de 15 ans et du niveau de scolarité des femmes ayant des enfants d’âge préscolaire.

Le nombre de ménages privés au Canada a augmenté de 8,0 % de 1991 à 1996, totalisant 10 820 050 ménages. Ce taux de croissance a surpassé la hausse de 6,2 % de la population qui vivait dans les ménages privés durant la même période.

Le taux de croissance plus rapide des ménages privés par rapport à la population a poursuivi une tendance à long terme. Entre 1981 et 1986, les ménages privés avaient connu une hausse de 8,6 %, doublant ainsi le taux de croissance de 4,1 % de la population vivant dans ces ménages. Dans le même ordre d’idées, entre 1986 et 1991, les ménages privés étaient à la hausse de 11,4 %, alors que la population dans les ménages privés avait augmenté de 7,9 %.

En 1996, 28,4 millions de personnes vivaient dans des ménages privés au Canada. En plus de ces ménages, le recensement dénombrait également le nombre de personnes vivant dans des «logements collectifs», que sont les logements commerciaux et institutionnels et les habitations collectives, tels que les maisons de chambres, les hôtels, les hôpitaux, les prisons, les missions et ainsi de suite. Environ 449 000 personnes vivaient au sein de 22 615 logements collectifs en 1996.

En 1996, 256 520 personnes âgées de 65 ans et plus vivaient dans des logements collectifs institutionnels, ce qui correspond à une hausse de 3,6 % par rapport à 1991. Alors que le nombre de personnes âgées de 65 ans et plus au sein de la population augmentait de 11,3 % de 1991 à 1996, le nombre de personnes âgées vivant dans ce type de logement avait affiché une hausse représentant seulement le tiers de cette augmentation (+3,6 %).

La suite du communiqué est consacrée aux personnes et aux familles qui vivaient dans des ménages privés.

En 1996, les ménages familiaux représentaient 71 % de l’ensemble des ménages, par rapport à 24 % des ménages composés d’une personne. L’autre 5 % des ménages était composé de deux personnes ou plus ne formant pas nécessairement une famille.

Un plus grand nombre de personnes vivaient seules en 1996. De 1991 à 1996, le nombre de ménages composés d’une personne a augmenté de 15 %, totalisant ainsi 2,6 millions. La croissance du nombre de ménages d’une seule personne a poursuivi la tendance observée depuis plusieurs recensements. De 1981 à 1986, le nombre de ménages d’une seule personne a augmenté de 15 % et de 1986 à 1991, il a enregistré une hausse de 18 %. Ainsi, ce type de ménage représentait 24 % de tous les ménages en 1996, en hausse par rapport à 20 % en 1981. Cette augmentation a contribué de façon importante au taux de croissance plus rapide des ménages par rapport au taux de croissance de la population.

Plus du tiers (36 %) des personnes vivant seules étaient âgées de 65 ans et plus, soit environ la même proportion qu’en 1986 et en 1991. Parmi ces personnes, la majorité, soit environ les trois quarts, ou 708 245 personnes, étaient des femmes. De fait, parmi les 1,5 million de femmes qui vivaient seules en 1996, près de la moitié étaient âgées de 65 ans et plus.

Seulement 12 % des personnes qui vivaient seules en 1996 étaient âgées de moins de 30 ans, par rapport à 15 % cinq ans plus tôt et à 24 % en 1981. Cette baisse reflète le vieillissement des membres de la génération du baby-boom et l’augmentation de la proportion des jeunes personnes qui demeurent plus longtemps chez leurs parents.

En 1996, 6,9 millions de ménages canadiens possédaient leur maison, ce qui correspond à une augmentation de 10 % depuis 1991. Ce taux de croissance était légèrement plus rapide que l’augmentation de 8,0 % de l’ensemble des ménages privés. Un peu plus de six ménages sur dix possédaient leur maison en 1996. Le nombre de ménages-locataires se chiffrait à 3,9 millions, ce qui est 5,0 % de plus qu’en 1991.

Le taux de croissance le plus rapide au sein des ménages occupés par le propriétaire a continué d’être, et de loin, celui des condominiums. On comptait 514 720 condominiums occupés par le propriétaire en 1996, ce qui représente une augmentation de 40 % depuis 1991. Les augmentations avaient été de 57 % entre 1986 et 1991 et de 37 % entre 1981 et 1986.

Un peu plus d’un million de personnes vivant seules étaient propriétaires en 1996, ce qui représente une augmentation de 26 % depuis 1991. Cette augmentation représentait un tiers de l’ensemble de la hausse du nombre de propriétaires de maison entre 1991 et 1996. Ces personnes formaient 15 % de l’ensemble des ménages occupés par le propriétaire en 1996.

Au cours des 15 dernières années, on a observé une baisse constante du nombre de ménages dont le soutien était âgé de moins de 30 ans, passant de 1,7 million en 1981 à 1,3 million en 1996.

Les soutiens du ménage appartenant à ce groupe d’âge composaient 12 % de l’ensemble des soutiens du ménage en 1996, comparativement à 20 % en 1981.

La diminution de la proportion des ménages dont le soutien est jeune est attribuable à plusieurs facteurs. La population âgée de 15 à 29 ans a diminué à 5,8 millions en 1996, par rapport à 6,7 millions en 1981. Ces personnes représentaient 21 % de la population totale en 1996, comparativement à 28 % en 1981. De plus, le nombre de personnes appartenant à ce groupe d’âge qui demeuraient sous le toit de leurs parents est passé à 3,2 millions, ce qui correspond à 55 % du total de ce groupe d’âge, comparativement à 47 % en 1981. En dernier lieu, un moins grand nombre de personnes de ce groupe d’âge vivaient en couples et formaient leur propre famille.

D’autre part, le nombre de ménages dont le soutien était âgé de 65 ans et plus a poursuivi sa hausse, passant de 1,4 million en 1981 à 2,2 millions en 1996. Ces ménages représentaient 20 % de l’ensemble des ménages en 1996, par rapport à 17 % en 1981.

La proportion des ménages plus âgés qui possédaient leur maison a augmenté. En 1996, elle atteignait un sommet de 69 % chez le groupe d’âge des 65 ans et plus, alors que seulement 28 % de l’ensemble des ménages dont le soutien était âgé de moins de 30 ans étaient propriétaires de leur maison. En 1991, 66 % des ménages dont le soutien était âgé de plus de 65 ans possédaient leur maison, en hausse par rapport à 63 % en 1981.

En 1996, 88 % des propriétaires âgés de moins de 30 ans avaient une hypothèque sur leur maison, ce qui est légèrement supérieur à la proportion enregistrée cinq ans plus tôt.

Il n’est pas étonnant de constater que le nombre et la proportion de propriétaires sans hypothèque augmentent en fonction du groupe d’âge du soutien du ménage. Parmi les soutiens âgés de 30 à 49 ans, un quart des ménages n’avaient pas d’hypothèque en 1996. Parmi les ménages dont le soutien était âgé de 50 à 64 ans, la proportion a grimpé à 59 %.

Près de neuf ménages sur dix (88 %) dont le soutien était âgé de 65 ans et plus n’avaient pas d’hypothèque en 1996, ce qui représente environ la même proportion qu’en 1991.

En 1996, le ménage-locataire moyen consacrait une part légèrement plus élevée de son revenu au logement qu’il ne le faisait en 1991, alors que la moyenne pour les propriétaires est demeurée la même.

La proportion du revenu qu’un ménage consacre à l’habitation dépend de facteurs tels le niveau de revenu, le lieu de résidence, le type et la taille du logement ainsi que du fait que le logement soit loué, possédé avec hypothèque ou possédé sans hypothèque.

En moyenne, les locataires déboursaient 595 $ en coûts d’habitation en 1996, ce qui équivaut à une baisse de 2,5 % depuis 1991, après l’ajustement pour l’inflation. Toutefois, entre 1991 et 1995, le revenu moyen des ménages pour les locataires a diminué de 12,4 %, pour se situer à 30 635 $. Encore une fois, ces changements relatifs en matière de revenu des ménages et de coûts d’habitation ont eu pour conséquence qu’un plus grand nombre de locataires ont alloué une plus forte proportion de leur revenu à l’habitation. La proportion est passée de 21 % en 1991 à 23 % en 1996.

Les propriétaires déboursaient en moyenne 754 $ par mois en coûts d’habitation, ce qui correspond à une baisse de 1 % par rapport à 1991, après l’ajustement pour tenir compte des prix des produits et services en fonction de l’indice des prix à la consommation. Toutefois, cette diminution s’est produite parallèlement à une baisse de 5 % du revenu moyen des ménages, qui est passé à 59 285 $ au cours de la même période de cinq ans, après l’ajustement pour tenir compte de l’inflation. En conséquence, cette proportion moyenne du revenu consacré au logement est demeurée la même (15 %) en 1991 et en 1996.

Une hypothèque détermine fortement les coûts mensuels moyens d’habitation des propriétaires. Les ménages sans hypothèque déboursaient en moyenne 330 $ par mois en 1996, comparativement à 1 128 $ en moyenne chez les ménages ayant une hypothèque.

Les propriétaires âgés de 30 à 49 ans attribuaient en moyenne 1 151 $ par mois aux coûts d’habitation en 1996, ce qui constitue le montant le plus élevé parmi tous les groupes d’âge. Cela représente une diminution de 5,2 % depuis 1991, parallèlement à une baisse de 4,6 % du revenu moyen de ces ménages, qui est passé à 65 880 $.

L’attribution de 30 % ou plus du revenu d’un ménage aux coûts d’habitation est fréquemment utilisée comme seuil pour évaluer l’abordabilité du logement. Bien que les ménages allouant 30 % ou plus de leur revenu au logement n’aient pas nécessairement de problèmes d’abordabilité du logement, le seuil de 30 % représente une base de référence très utile pour évaluer les tendances en matière d’abordabilité du logement.

En 1996, près de 2,8 millions de ménages, soit 26 % de tous les ménages, consacraient 30 % ou plus de leur revenu à l’habitation, comparativement à 23 % en 1991. Les personnes qui louaient leur logement formaient la majorité (60 %) de ces ménages, alors que 33 % étaient des ménages possédant une maison avec hypothèque, et le reste, soit 7 % des ménages, possédaient une maison sans hypothèque.

En 1996, les coûts moyens mensuels d’habitation des ménages ayant des problèmes potentiels d’abordabilité du logement étaient de 1 331 $ pour les propriétaires avec hypothèque, de 402 $ pour les propriétaires sans hypothèque et de 634 $ pour les locataires.

Les problèmes d’abordabilité du logement affectaient davantage les locataires que les propriétaires. En 1996, 1,7 million de locataires, ou 43 % de tous les locataires, allouaient 30 % ou plus du revenu du ménage au logement. À titre de comparaison, on comptait 1,3 million de locataires, soit 35 % du total, cinq ans plus tôt. Cette augmentation au sein des locataires constituait les deux tiers de la croissance du nombre total de ménages (600 000 entre 1991 et 1996) qui consacraient 30 % ou plus de leur revenu au logement.

En 1996, 1,1 million de propriétaires, soit 17 % de tous les propriétaires, attribuaient 30 % ou plus du revenu de leur ménage au logement. Cela représentait une hausse par rapport à 930 650 en 1991, ce qui équivalait à 15 % de tous les propriétaires.

Les propriétaires âgés de 30 à 49 ans qui avaient une hypothèque étaient plus susceptibles d’allouer 30 % ou plus du revenu de leur ménage au logement. En 1996, ils déboursaient en moyenne 1 372 $ en coûts d’habitation, ce qui représente une baisse de 14,3 % par rapport à 1991. Entre 1990 et 1995, le revenu moyen de ces ménages a diminué de près de 16 %, ce qui a eu pour effet qu’ils devaient consacrer, en moyenne, une proportion beaucoup plus grande de leur revenu aux coûts du logement.

Certains types de ménages étaient plus susceptibles d’attribuer 30 % ou plus de leur revenu au logement. En chiffres absolus, les ménages les plus nombreux étaient ceux composés d’une personne seule, ceux formés d’un couple avec enfants ainsi que d’une famille monoparentale.

En 1996, 42 % des ménages d’une seule personne, soit environ 1,1 million de ménages, allouaient 30 % ou plus de leur revenu à l’habitation, ce qui correspond à une hausse par rapport à 37 % en 1991. Les trois quarts de ces ménages étaient des locataires en 1996, soit la même proportion qu’en 1991.

Environ 18 % de tous les ménages familiaux formés d’un couple avec enfants à la maison attribuaient 30 % ou plus de leur revenu au logement en 1996. La majorité de ces 663 445 ménages étaient propriétaires de leur logement, la plupart avec hypothèque, et le soutien du ménage avait entre 30 et 49 ans. Le Recensement de 1991 avait permis d’observer un modèle semblable.

En 1996, environ 44 % de tous les ménages composés d’une famille monoparentale, soit 472 495 ménages, présentaient des problèmes potentiels d’abordabilité du logement, comparativement à 39 %, ou 348 105 ménages, cinq ans plus tôt. Environ 72 % de ces ménages étaient locataires en 1996 et la grande majorité des soutiens de ménage avaient entre 30 et 49 ans.

Environ le tiers des ménages canadiens vivant dans les trois plus grandes régions métropolitaines de recensement consacraient 30 % ou plus de leur revenu au logement en 1996.

À Vancouver, 33 % des 684 690 ménages attribuaient 30 % ou plus de leur revenu au logement en 1996. Juste derrière se trouvaient Toronto et Montréal, à 32 %. À Ottawa-Hull, la quatrième région métropolitaine de recensement en importance, la proportion était de 26 %.

De 1991 à 1996, le nombre de ménages ayant des problèmes potentiels d’abordabilité a augmenté de 37 % à Vancouver, comparativement à une hausse de 32 % à Toronto et à Ottawa-Hull, et de 25 % à Montréal.

Les locataires étaient plus susceptibles d’allouer 30 % ou plus de leur revenu au logement dans les quatre régions métropolitaines de recensement. C’était le cas de près de la moitié des locataires (47 %) à Vancouver en 1996, de 44 % de ceux vivant à Montréal et à Toronto et de 42 % de ceux vivant à Ottawa-Hull.

À Toronto, les coûts moyens d’habitation en 1996 pour les ménages consacrant 30 % ou plus de leur revenu au logement étaient de 1 085 $, en baisse de 21 % par rapport à 1991, après l’ajustement pour tenir compte de l’inflation. Toutefois, le revenu moyen réel a diminué encore davantage au sein de ces ménages (-23,1 %).

À Montréal, les coûts moyens d’habitation pour ces ménages étaient de 728 $ par mois en 1996, ce qui représente une baisse de 16 % depuis 1991. Parallèlement, leur revenu moyen réel a diminué de 18 %.

Quant à Ottawa-Hull, les coûts moyens d’habitation pour ces ménages ont diminué de 12 % entre 1991 et 1996, pour se chiffrer à 881 $, alors que le revenu moyen des ménages a baissé de 15 %.

Finalement, à Vancouver, les coûts moyens d’habitation pour les ménages qui ont consacré 30 % ou plus de leur revenu au logement ont augmenté de 4,2 %, pour atteindre 1 070 $, pendant que le revenu moyen réel des ménages diminuait de 3 %.

Cette section examine les changements observés au niveau des caractéristiques socioéconomiques des familles au cours des dernières années. Elle fournit des renseignements sur l’activité sur le marché du travail des parents ayant des enfants de moins de 15 ans et sur les niveaux de scolarité des femmes ayant des enfants d’âge préscolaire.

Au cours des 15 dernières années, on a observé une augmentation importante de la proportion d’enfants âgés de moins 15 ans dont les deux parents travaillent. Par ailleurs, on n’a enregistré à peu près aucun changement en ce qui a trait à la proportion d’enfants vivant dans des familles monoparentales dirigées par un femme dont la mère avait un emploi.

En 1996, on comptait 4,8 millions d’enfants âgés de moins de 15 ans vivant dans une famille biparentale. Les deux parents travaillaient dans le cas d’environ 60 % de ces enfants, une hausse par rapport à 43 % en 1981 et à 58 % en 1991.

Les mères seules étaient moins susceptibles de travailler que les femmes vivant dans des familles biparentales. En 1996, 826 000 enfants âgés de moins de 15 ans vivaient avec une mère seule. La mère travaillait dans le cas d’environ la moitié de ces enfants, tout comme en 1981. Par contre, la mère travaillait dans le cas de près des deux tiers des enfants vivant dans des familles biparentales.

Le recensement a démontré des tendances chez les enfants d’âge préscolaire de moins de six ans qui sont similaires à celles observées au sein de tous les enfants âgés de moins de 15 ans.

La proportion des enfants d’âge préscolaire dont les deux parents travaillaient a également augmenté au cours des 15 dernières années. En 1996, les deux parents travaillaient dans le cas de 56 % des enfants d’âge préscolaire, comparativement à 38 % en 1981 et à 52 % en 1991.

Les deux parents travaillaient dans le cas de 57 % des enfants d’âge préscolaire vivant dans des familles composées d’un couple marié, par rapport à 46 % des enfants d’âge préscolaire vivant dans des familles formées d’un couple en union libre. On peut expliquer en partie cette situation par le fait que les femmes mariées ayant des enfants d’âge préscolaire avaient un niveau de scolarité plus élevé que leurs homologues qui vivaient dans des familles composées d’un couple en union libre.

En 1996, 56 % des femmes mariées ayant des enfants d’âge préscolaire avaient obtenu un certificat ou un grade d’études postsecondaires, comparativement à 40 % des femmes vivant en union libre. On pouvait constater cette différence au sein de tous les groupes d’âge.

La proportion des enfants d’âge préscolaire vivant dans des familles monoparentales dirigées par une femme dont la mère travaillait a diminué légèrement au cours des 15 dernières années. En 1996, la mère seule travaillait dans le cas de 38 % de ces enfants, comparativement à 41 % en 1981.

Le recensement a également démontré que, en général, les mères seules ayant des enfants de moins de six ans qui avaient déjà été mariées étaient plus susceptibles de travailler que les mères seules qui n’avaient jamais été mariées. Les données permettent également de constater que seulement 35 % des mères seules avaient obtenu un certificat ou un grade d’études postsecondaires, comparativement à environ 53 % des mères dans les familles biparentales.

Pour obtenir plus de renseignements au sujet de ce communiqué, veuillez communiquer avec les Relations avec les médias au (613) 951-4636.

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