Produit intérieur brut en termes de revenus et de dépenses
Indicateurs clés
Région géographique choisie : Canada
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0,1 %(variation trimestrielle)
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2,8 millions d'emplois0,8 %(variation trimestrielle)
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Région géographique choisie : Canada
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Pourcentage du produit intérieur brut total attribuable aux institutions sans but lucratif - Canada
(Quatrième trimestre de 2023)8,3 % -
0,2 %(variation trimestrielle)
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6,2 %
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1,3 %(variation trimestrielle)
-
108,4 (2017 = 100)
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2 579 milliards de dollars de 20171,0 %(variation annuelle)
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2 754 milliards de dollars de 20172,5 %(variation annuelle)
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3,8 %(variation annuelle)
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5,4 %
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7,7 %(variation annuelle)
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6,84 %
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0,83 $US/$CAN
-
0,77 $US/$CAN
-
0,86 $US/$CAN
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- 1. L'effet de la capitalisation de la R D sur la croissance du PIB et de la productivité au Canada ArchivéArticles et rapports : 11-626-X2012016Géographie : CanadaDescription :
Cet article de la série Aperçus économiques traite de l'effet de la capitalisation des dépenses en recherche développement (R D) sur la croissance du produit intérieur brut (PIB )et de la productivité. La capitalisation des dépenses en R-D accroît l'ampleur des investissements et, par le fait même, le niveau de capital et de PIB mesurés. Étant donné que les dépenses en R D représentent une faible part du PIB, la capitalisation de la R D a peu d'effet sur la croissance du PIB et de la productivité du travail.
Date de diffusion : 2012-10-12 - Articles et rapports : 13-604-M2006050Description :
Les sociétés ont enregistré des profits records au cours durant presque toute la dernière décennie. De plus, leur investissement en capital fixe a été relativement léthargique au cours des dernières années. Cette situation a conduit à un remaniement appréciable de leur position de prêt net/emprunt net, les sociétés étant passées d'une position de déficit chronique à une position d'excédent soutenu. Au terme de près de 30 années de déficit, les sociétés dégagent d'importants excédents depuis 10 ans. Cela a conféré un nouveau rôle au secteur des sociétés, à savoir celui qui consiste à alimenter en capitaux les autres secteurs économiques et ce, de façon croissante.
La présente note examine ces faits nouveaux sous plusieurs angles, en se concentrant sur les sociétés non financières. Elle cerne les causes sous jacentes d'une position excédentaire croissante des sociétés et en examine les principaux effets. En bref, les sociétés non financières ont misé sur des bénéfices records, des taux d'intérêt historiquement bas et des marchés boursiers relativement vigoureux pour remanier en grande partie leur bilan. À telle enseigne que les finances des sociétés sont à leur meilleur par rapport aux 30 dernières années.
Date de diffusion : 2006-03-17
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- 1. L'effet de la capitalisation de la R D sur la croissance du PIB et de la productivité au Canada ArchivéArticles et rapports : 11-626-X2012016Géographie : CanadaDescription :
Cet article de la série Aperçus économiques traite de l'effet de la capitalisation des dépenses en recherche développement (R D) sur la croissance du produit intérieur brut (PIB )et de la productivité. La capitalisation des dépenses en R-D accroît l'ampleur des investissements et, par le fait même, le niveau de capital et de PIB mesurés. Étant donné que les dépenses en R D représentent une faible part du PIB, la capitalisation de la R D a peu d'effet sur la croissance du PIB et de la productivité du travail.
Date de diffusion : 2012-10-12 - Articles et rapports : 13-604-M2006050Description :
Les sociétés ont enregistré des profits records au cours durant presque toute la dernière décennie. De plus, leur investissement en capital fixe a été relativement léthargique au cours des dernières années. Cette situation a conduit à un remaniement appréciable de leur position de prêt net/emprunt net, les sociétés étant passées d'une position de déficit chronique à une position d'excédent soutenu. Au terme de près de 30 années de déficit, les sociétés dégagent d'importants excédents depuis 10 ans. Cela a conféré un nouveau rôle au secteur des sociétés, à savoir celui qui consiste à alimenter en capitaux les autres secteurs économiques et ce, de façon croissante.
La présente note examine ces faits nouveaux sous plusieurs angles, en se concentrant sur les sociétés non financières. Elle cerne les causes sous jacentes d'une position excédentaire croissante des sociétés et en examine les principaux effets. En bref, les sociétés non financières ont misé sur des bénéfices records, des taux d'intérêt historiquement bas et des marchés boursiers relativement vigoureux pour remanier en grande partie leur bilan. À telle enseigne que les finances des sociétés sont à leur meilleur par rapport aux 30 dernières années.
Date de diffusion : 2006-03-17
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