Minorités visibles

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Tout (4)

Tout (4) ((4 résultats))

  • Articles et rapports : 11-008-X20030026623
    Géographie : Canada
    Description :

    Le Canada est devenu un pays de plus en plus multiethnique et multiculturel. Au cours des 100 dernières années, l'immigration a contribué à l'économie canadienne, et chaque nouvelle vague d'immigrants a ajouté à la diversité ethnique et culturelle déjà présente au pays. Au moment du recensement de la population de 2001, les immigrants représentaient la plus forte proportion de la population depuis 70 ans, et l'immigration a été à l'origine de plus des deux tiers de la croissance démographique enregistrée cette année-là. Dans le cadre de cet article, on étudie la diversification des immigrants et des groupes de minorités visibles au cours des dernières décennies au Canada.

    Date de diffusion : 2003-09-09

  • Articles et rapports : 11F0019M2003206
    Géographie : Région métropolitaine de recensement
    Description :

    Depuis les années 1960, la nature sociale du paysage urbain de Toronto s'est modifiée de façon irréversible en raison de l'arrivée de nouvelles vagues d'immigrants venus d'Afrique, d'Asie, des Caraïbes, ainsi que d'Amérique centrale et d'Amérique du Sud, remplaçant ainsi les flux traditionnels d'immigrants européens de race blanche. Ce produit permet d'analyser les modèles très différents d'établissement des trois minorités raciales les plus importantes de Toronto, soit les Noirs, les Chinois et les Asiatiques du Sud.

    Contrairement aux études antérieures fondées sur des données au niveau agrégé et sur des corrélations « écologiques », on évalue la capacité de la théorie conventionnelle de l'assimilation spatiale expliquant ces différences, à partir de modèles d'« établissement réussi » estimés à l'aide des microdonnées du recensement de 1996 au Canada. Les conclusions montrent que les modèles d'établissement des Asiatiques du Sud et, de façon plus marquante, ceux des Noirs, correspondent assez bien aux attentes du modèle conventionnel de l'assimilation spatiale. L'établissement initial se fait dans des enclaves immigrantes défavorisées, d'où les immigrants de longue date ayant réussi partent afin d'acheter des maisons dans des quartiers plus aisés. Même si les « quartiers noirs » de Toronto sont, en définitive, plus pauvres que les autres quartiers de minorités, la plupart des Noirs n'y vivent pas. Par comparaison, les immigrants chinois sont rapidement prêts à acheter des maisons dans des collectivités ethniques un peu plus aisées et durables. Dans ce produit, on montre également que les Chinois n'innovent pas en la matière, mais plutôt qu'ils reproduisent, dans une large mesure, les modèles d'établissement des Européens du Sud, particulièrement les Italiens, et ce, pour les mêmes raisons (à savoir, les avantages relatifs sur le marché du logement et les faibles niveaux d'assimilation linguistique).

    Date de diffusion : 2003-07-30

  • Articles et rapports : 11F0019M2003204
    Géographie : Canada, Région métropolitaine de recensement
    Description :

    À l'aide des données des recensements de 1981, 1986, 1991 et 1996, cette étude permet d'examiner le rapport entre le fait de vivre dans une enclave de minorité visible et les résultats sur le marché du travail des immigrants dans les trois plus grandes villes au Canada. Les résultats montrent que le nombre de ces enclaves, définies comme des secteurs de recensement dont la population comprend au moins 30 % de membres d'une même minorité visible (soit des Chinois, des habitants de l'Asie du Sud ou des Noirs), est passé de 6 en 1981 à 142 en 1996, cette augmentation se produisant surtout à Toronto et à Vancouver. L'association entre l'exposition à des voisins membres du même groupe et l'emploi est parfois négative, mais généralement non significative. L'association entre l'exposition à des voisins membres du même groupe et l'emploi dans une profession cloisonnée est positive, mais souvent peu significative. Le rapport entre l'exposition et les gains provenant d'un emploi est très faible. Toutefois, on constate certaines différences importantes entre les groupes. L'association entre l'exposition à des voisins membres du même groupe et les résultats sur le marché du travail est de façon générale très faible chez les immigrants chinois, mais souvent négative et forte chez les immigrants noirs.

    Date de diffusion : 2003-07-09

  • Articles et rapports : 11F0019M2003196
    Géographie : Canada
    Description :

    À partir des données de l'Enquête sur les capacités de lecture et d'écriture utilisées quotidiennement (ECLÉUQ) de Statistique Canada, nous avons étudié les différences de revenus entre les minorités et les Blancs et l'importance des capacités cognitives dans les modèles de revenus observés. Certains groupes de minorités ont des capacités de lecture et de calcul considérablement inférieures (d'après les tests) à celles des Blancs et d'autres groupes de minorités ayant mieux réussi sur le plan économique. Par ailleurs, chez certains groupes d'hommes, ces différences expliquent en grande partie les modèles de revenus observés. Les écarts salariaux entre les groupes ethniques et les Blancs sont, toutefois, beaucoup moins importants chez les femmes; et les variables des capacités de lecture et de calcul n'expliquent pas vraiment ces écarts. Il est question, dans ce document, des diverses incidences sur les politiques générales.

    Date de diffusion : 2003-01-24
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Analyses (4)

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  • Articles et rapports : 11-008-X20030026623
    Géographie : Canada
    Description :

    Le Canada est devenu un pays de plus en plus multiethnique et multiculturel. Au cours des 100 dernières années, l'immigration a contribué à l'économie canadienne, et chaque nouvelle vague d'immigrants a ajouté à la diversité ethnique et culturelle déjà présente au pays. Au moment du recensement de la population de 2001, les immigrants représentaient la plus forte proportion de la population depuis 70 ans, et l'immigration a été à l'origine de plus des deux tiers de la croissance démographique enregistrée cette année-là. Dans le cadre de cet article, on étudie la diversification des immigrants et des groupes de minorités visibles au cours des dernières décennies au Canada.

    Date de diffusion : 2003-09-09

  • Articles et rapports : 11F0019M2003206
    Géographie : Région métropolitaine de recensement
    Description :

    Depuis les années 1960, la nature sociale du paysage urbain de Toronto s'est modifiée de façon irréversible en raison de l'arrivée de nouvelles vagues d'immigrants venus d'Afrique, d'Asie, des Caraïbes, ainsi que d'Amérique centrale et d'Amérique du Sud, remplaçant ainsi les flux traditionnels d'immigrants européens de race blanche. Ce produit permet d'analyser les modèles très différents d'établissement des trois minorités raciales les plus importantes de Toronto, soit les Noirs, les Chinois et les Asiatiques du Sud.

    Contrairement aux études antérieures fondées sur des données au niveau agrégé et sur des corrélations « écologiques », on évalue la capacité de la théorie conventionnelle de l'assimilation spatiale expliquant ces différences, à partir de modèles d'« établissement réussi » estimés à l'aide des microdonnées du recensement de 1996 au Canada. Les conclusions montrent que les modèles d'établissement des Asiatiques du Sud et, de façon plus marquante, ceux des Noirs, correspondent assez bien aux attentes du modèle conventionnel de l'assimilation spatiale. L'établissement initial se fait dans des enclaves immigrantes défavorisées, d'où les immigrants de longue date ayant réussi partent afin d'acheter des maisons dans des quartiers plus aisés. Même si les « quartiers noirs » de Toronto sont, en définitive, plus pauvres que les autres quartiers de minorités, la plupart des Noirs n'y vivent pas. Par comparaison, les immigrants chinois sont rapidement prêts à acheter des maisons dans des collectivités ethniques un peu plus aisées et durables. Dans ce produit, on montre également que les Chinois n'innovent pas en la matière, mais plutôt qu'ils reproduisent, dans une large mesure, les modèles d'établissement des Européens du Sud, particulièrement les Italiens, et ce, pour les mêmes raisons (à savoir, les avantages relatifs sur le marché du logement et les faibles niveaux d'assimilation linguistique).

    Date de diffusion : 2003-07-30

  • Articles et rapports : 11F0019M2003204
    Géographie : Canada, Région métropolitaine de recensement
    Description :

    À l'aide des données des recensements de 1981, 1986, 1991 et 1996, cette étude permet d'examiner le rapport entre le fait de vivre dans une enclave de minorité visible et les résultats sur le marché du travail des immigrants dans les trois plus grandes villes au Canada. Les résultats montrent que le nombre de ces enclaves, définies comme des secteurs de recensement dont la population comprend au moins 30 % de membres d'une même minorité visible (soit des Chinois, des habitants de l'Asie du Sud ou des Noirs), est passé de 6 en 1981 à 142 en 1996, cette augmentation se produisant surtout à Toronto et à Vancouver. L'association entre l'exposition à des voisins membres du même groupe et l'emploi est parfois négative, mais généralement non significative. L'association entre l'exposition à des voisins membres du même groupe et l'emploi dans une profession cloisonnée est positive, mais souvent peu significative. Le rapport entre l'exposition et les gains provenant d'un emploi est très faible. Toutefois, on constate certaines différences importantes entre les groupes. L'association entre l'exposition à des voisins membres du même groupe et les résultats sur le marché du travail est de façon générale très faible chez les immigrants chinois, mais souvent négative et forte chez les immigrants noirs.

    Date de diffusion : 2003-07-09

  • Articles et rapports : 11F0019M2003196
    Géographie : Canada
    Description :

    À partir des données de l'Enquête sur les capacités de lecture et d'écriture utilisées quotidiennement (ECLÉUQ) de Statistique Canada, nous avons étudié les différences de revenus entre les minorités et les Blancs et l'importance des capacités cognitives dans les modèles de revenus observés. Certains groupes de minorités ont des capacités de lecture et de calcul considérablement inférieures (d'après les tests) à celles des Blancs et d'autres groupes de minorités ayant mieux réussi sur le plan économique. Par ailleurs, chez certains groupes d'hommes, ces différences expliquent en grande partie les modèles de revenus observés. Les écarts salariaux entre les groupes ethniques et les Blancs sont, toutefois, beaucoup moins importants chez les femmes; et les variables des capacités de lecture et de calcul n'expliquent pas vraiment ces écarts. Il est question, dans ce document, des diverses incidences sur les politiques générales.

    Date de diffusion : 2003-01-24
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