Niveau de scolarité et qualifications
Indicateurs clés
Région géographique choisie : Canada
-
Pourcentage d’adultes âgés de 25 à 64 ans ayant un titre scolaire d'un collège ou d'une université - Canada
(Recensement de la population de 2021)57,5 % -
Pourcentage d’adultes âgés de 25 à 64 ans ayant un baccalauréat ou grade supérieur - Canada
(Recensement de la population de 2021)32,9 %
Plus d'indicateurs clés de «niveau de scolarité et qualifications»
Région géographique choisie : Canada
-
Variation en points de pourcentage chez les adultes âgés de 25 à 64 ans ayant un baccalauréat ou grade supérieur - Canada
(2016 à 2021)4,3(variation d'une période à l'autre) -
Taux de surqualification des immigrants âgés de 25 à 64 ans ayant un baccalauréat ou grade supérieur obtenu à l’étranger - Canada
(Recensement de la population de 2021)25,8 % -
Pourcentage des adultes âgés de 25 à 64 ans qui détiennent un certificat ou un diplôme d’apprenti ou d’une école de métiers - Canada
(Recensement de la population de 2016)10,8 % -
Pourcentage des adultes âgés de 25 à 64 ans qui détiennent un diplôme collégial - Canada
(Recensement de la population de 2016)22,4 % -
Pourcentage des adultes âgés de 25 à 64 ans qui détiennent un baccalauréat ou un grade supérieur - Canada
(Recensement de la population de 2016)28,5 % -
Pourcentage des hommes âgés de 25 à 34 ans qui détiennent un certificat d’apprenti - Canada
(Recensement de la population de 2016)7,8 % -
Pourcentage des femmes âgées de 25 à 34 ans qui détiennent un baccalauréat ou un grade supérieur - Canada
(Recensement de la population de 2016)40,7 %
Filtrer les résultats par
Aide à la rechercheMot(s)-clé(s)
Enquête ou programme statistique
- Enquête sociale générale - Les études, le travail et la retraite (1)
- Enquête sociale générale - L'emploi du temps (1)
- Enquête sociale générale - Victimisation (1)
- Enquête sociale générale - L'accès et l'utilisation des technologies de l'information et des communications (1)
- Enquête sociale générale - Identité sociale (1)
Résultats
Tout (3)
Tout (3) ((3 résultats))
- Articles et rapports : 81-595-M2011094Géographie : CanadaDescription :
Contrairement aux vagues d'immigrants arrivés dans les années 1950 et 1960, ceux qui sont arrivés au Canada depuis les années 1970 possèdent des niveaux de scolarité relativement élevés, ce qui grossit énormément le bassin de diplômés de niveau postsecondaire au Canada. Dès leur arrivée toutefois, de nombreux immigrants ont du mal à trouver un travail lié à leur domaine d'études ainsi qu'à obtenir un emploi relativement bien rémunéré.
À l'aide des données du Recensement de la population de 2006, le rapport dresse le profil des travailleurs rémunérés formés à l'étranger et portent sur les différents facteurs déterminants et les caractéristiques plus étroitement liés à une intégration plus facile au marché du travail canadien. Dans quelle mesure ces personnes sont-elles susceptibles de travailler dans une profession liée à leur domaine d'études ou dans une profession équivalente? Quelles sont leurs chances de toucher un revenu d'emploi égal ou supérieur au revenu médian associé à la profession correspondant le mieux à leur domaine d'études?
Différents éléments sont pris en considération dans l'examen de leur situation sur le marché du travail, dont le temps écoulé depuis l'arrivée au pays, la région d'études et le type de titres de compétences ainsi que diverses caractéristiques sociodémographiques comme le sexe, le groupe d'âge, l'état matrimonial, la présence d'enfants, la province, le territoire et le lieu de résidence, les compétences linguistiques et l'appartenance à une minorité visible. Les résultats obtenus par les immigrants formés à l'étranger et travaillant contre rémunération sont comparés à ceux de leurs homologues titulaires d'un diplôme d'études postsecondaires obtenu au Canada et à ceux des Canadiens de naissance travaillant contre rémunération et ayant poursuivi des études postsecondaires.
Date de diffusion : 2011-09-29 - Articles et rapports : 11-008-X201100211536Géographie : CanadaDescription :
Les jeunes adultes dont un ou les deux parents ont complété des études universitaires sont beaucoup plus susceptibles d'en compléter eux-mêmes que ceux qui proviennent de familles dont les parents ont un niveau de scolarité moindre. Dans cet article, on vérifie si on assiste à une progression de la mobilité intergénérationnelle du point de vue de la scolarisation universitaire. Spécifiquement, on se demande si les personnes qui proviennent de familles dont les parents n'ont pas complété d'études universitaires sont plus susceptibles d'en avoir complété elles-mêmes que ce n'était le cas il y a près de 25 ans et si l'écart qui les sépare des personnes dont les parents ont complété des études universitaires a diminué au fil du temps.
Date de diffusion : 2011-08-24 - Articles et rapports : 11F0019M2011332Géographie : CanadaDescription :
Le présent document passe en revue les recherches récentes sur les déterminants du niveau de scolarité atteint par les enfants d'immigrants nés au Canada et aux États-Unis, appelés également la deuxième génération. Il porte plus particulièrement sur l'écart sur le plan du niveau de scolarité entre la deuxième génération et la troisième génération ainsi que les générations subséquentes (les enfants de parents nés au pays), ainsi que sur la transmission du niveau de scolarité entre les immigrants et leurs enfants.
En moyenne, les niveaux de scolarité des enfants d'immigrants sont sensiblement supérieurs à ceux de leurs homologues au Canada dont les parents sont nés au Canada. Aux États-Unis, les niveaux de scolarité de ces deux groupes sont à peu près les mêmes. Dans l'un et l'autre pays, conditionnellement au niveau de scolarité des parents et au lieu de résidence, les enfants d'immigrants atteignent des niveaux d'études plus élevés que la troisième génération et les générations subséquentes. Le niveau d'études des parents et le lieu de résidence sont des déterminants importants de l'écart numérique positif entre les niveaux de scolarité des enfants d'immigrants et ceux des enfants de parents nés au Canada ou aux États-Unis. Toutefois, même après la prise en compte de ces variables ainsi que d'autres variables démographiques, une bonne partie de l'écart positif entre la deuxième génération et la troisième génération ainsi que les générations subséquentes persiste au Canada.
Au Canada, le niveau d'études des parents est un déterminant moins important du niveau de scolarité dans le cas des enfants de familles immigrantes que dans le cas de ceux dont les parents sont nés au Canada. Les parents immigrants moins scolarisés sont plus susceptibles de voir leurs enfants atteindre des niveaux de scolarité plus élevés que ne le sont leurs homologues nés au Canada.
Les résultats varient considérablement selon les groupes ethniques ou de régions d'origine dans l'un et l'autre pays. Aux États-Unis, les membres de deuxième génération de certains groupes ethniques ou de régions d'origine, comme ceux d'origine mexicaine ou portoricaine et ceux d'autres origines centraméricaines ou sud-américaines, ont des niveaux de scolarité relativement faibles (données non corrigées et absence de variables de contrôle). Toutefois, conditionnellement aux caractéristiques liées aux antécédents, ces groupes de deuxième génération atteignent des niveaux plus élevés que leurs homologues de troisième génération et des générations subséquentes. Au Canada, en revanche, les enfants des groupes d'immigrants plus nombreux et dont l'importance numérique augmente (Chinois, Asiatiques du Sud, Africains, etc.) enregistrent des niveaux de scolarité supérieurs à ceux des membres de troisième génération et des générations subséquentes. Ce résultat est lié en partie aux niveaux élevés d'études des parents et de « capital ethnique » au niveau du groupe chez ces groupes d'immigrants.
Date de diffusion : 2011-02-15
Données (0)
Données (0) (0 résultat)
Aucun contenu disponible actuellement
Analyses (3)
Analyses (3) ((3 résultats))
- Articles et rapports : 81-595-M2011094Géographie : CanadaDescription :
Contrairement aux vagues d'immigrants arrivés dans les années 1950 et 1960, ceux qui sont arrivés au Canada depuis les années 1970 possèdent des niveaux de scolarité relativement élevés, ce qui grossit énormément le bassin de diplômés de niveau postsecondaire au Canada. Dès leur arrivée toutefois, de nombreux immigrants ont du mal à trouver un travail lié à leur domaine d'études ainsi qu'à obtenir un emploi relativement bien rémunéré.
À l'aide des données du Recensement de la population de 2006, le rapport dresse le profil des travailleurs rémunérés formés à l'étranger et portent sur les différents facteurs déterminants et les caractéristiques plus étroitement liés à une intégration plus facile au marché du travail canadien. Dans quelle mesure ces personnes sont-elles susceptibles de travailler dans une profession liée à leur domaine d'études ou dans une profession équivalente? Quelles sont leurs chances de toucher un revenu d'emploi égal ou supérieur au revenu médian associé à la profession correspondant le mieux à leur domaine d'études?
Différents éléments sont pris en considération dans l'examen de leur situation sur le marché du travail, dont le temps écoulé depuis l'arrivée au pays, la région d'études et le type de titres de compétences ainsi que diverses caractéristiques sociodémographiques comme le sexe, le groupe d'âge, l'état matrimonial, la présence d'enfants, la province, le territoire et le lieu de résidence, les compétences linguistiques et l'appartenance à une minorité visible. Les résultats obtenus par les immigrants formés à l'étranger et travaillant contre rémunération sont comparés à ceux de leurs homologues titulaires d'un diplôme d'études postsecondaires obtenu au Canada et à ceux des Canadiens de naissance travaillant contre rémunération et ayant poursuivi des études postsecondaires.
Date de diffusion : 2011-09-29 - Articles et rapports : 11-008-X201100211536Géographie : CanadaDescription :
Les jeunes adultes dont un ou les deux parents ont complété des études universitaires sont beaucoup plus susceptibles d'en compléter eux-mêmes que ceux qui proviennent de familles dont les parents ont un niveau de scolarité moindre. Dans cet article, on vérifie si on assiste à une progression de la mobilité intergénérationnelle du point de vue de la scolarisation universitaire. Spécifiquement, on se demande si les personnes qui proviennent de familles dont les parents n'ont pas complété d'études universitaires sont plus susceptibles d'en avoir complété elles-mêmes que ce n'était le cas il y a près de 25 ans et si l'écart qui les sépare des personnes dont les parents ont complété des études universitaires a diminué au fil du temps.
Date de diffusion : 2011-08-24 - Articles et rapports : 11F0019M2011332Géographie : CanadaDescription :
Le présent document passe en revue les recherches récentes sur les déterminants du niveau de scolarité atteint par les enfants d'immigrants nés au Canada et aux États-Unis, appelés également la deuxième génération. Il porte plus particulièrement sur l'écart sur le plan du niveau de scolarité entre la deuxième génération et la troisième génération ainsi que les générations subséquentes (les enfants de parents nés au pays), ainsi que sur la transmission du niveau de scolarité entre les immigrants et leurs enfants.
En moyenne, les niveaux de scolarité des enfants d'immigrants sont sensiblement supérieurs à ceux de leurs homologues au Canada dont les parents sont nés au Canada. Aux États-Unis, les niveaux de scolarité de ces deux groupes sont à peu près les mêmes. Dans l'un et l'autre pays, conditionnellement au niveau de scolarité des parents et au lieu de résidence, les enfants d'immigrants atteignent des niveaux d'études plus élevés que la troisième génération et les générations subséquentes. Le niveau d'études des parents et le lieu de résidence sont des déterminants importants de l'écart numérique positif entre les niveaux de scolarité des enfants d'immigrants et ceux des enfants de parents nés au Canada ou aux États-Unis. Toutefois, même après la prise en compte de ces variables ainsi que d'autres variables démographiques, une bonne partie de l'écart positif entre la deuxième génération et la troisième génération ainsi que les générations subséquentes persiste au Canada.
Au Canada, le niveau d'études des parents est un déterminant moins important du niveau de scolarité dans le cas des enfants de familles immigrantes que dans le cas de ceux dont les parents sont nés au Canada. Les parents immigrants moins scolarisés sont plus susceptibles de voir leurs enfants atteindre des niveaux de scolarité plus élevés que ne le sont leurs homologues nés au Canada.
Les résultats varient considérablement selon les groupes ethniques ou de régions d'origine dans l'un et l'autre pays. Aux États-Unis, les membres de deuxième génération de certains groupes ethniques ou de régions d'origine, comme ceux d'origine mexicaine ou portoricaine et ceux d'autres origines centraméricaines ou sud-américaines, ont des niveaux de scolarité relativement faibles (données non corrigées et absence de variables de contrôle). Toutefois, conditionnellement aux caractéristiques liées aux antécédents, ces groupes de deuxième génération atteignent des niveaux plus élevés que leurs homologues de troisième génération et des générations subséquentes. Au Canada, en revanche, les enfants des groupes d'immigrants plus nombreux et dont l'importance numérique augmente (Chinois, Asiatiques du Sud, Africains, etc.) enregistrent des niveaux de scolarité supérieurs à ceux des membres de troisième génération et des générations subséquentes. Ce résultat est lié en partie aux niveaux élevés d'études des parents et de « capital ethnique » au niveau du groupe chez ces groupes d'immigrants.
Date de diffusion : 2011-02-15
Références (0)
Références (0) (0 résultat)
Aucun contenu disponible actuellement
- Date de modification :