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Tout (5) ((5 résultats))

  • Articles et rapports : 75F0002M2014003
    Description :

    Afin de donner une image holographique ou complète du faible revenu, Statistique Canada utilise trois lignes complémentaires en matière de faible revenu : les Seuils de faible revenu (SFR), les Mesures de faible revenu (MFR) et la Mesure du panier de consommation (MPC). Tandis que les deux premières ont été développées par Statistique Canada, la MPC repose sur des concepts élaborés par Emploi et Développement social Canada. Quoique différentes, ces mesures donnent en général un compte rendu homogène de la situation du faible revenu dans le temps. Il n'y a pas de mesure meilleure que les autres. Chacune possède ses avantages et aborde l'étude du faible revenu selon sa propre perspective et qui, lorsque combinée, apporte une meilleure compréhension du phénomène du faible revenu dans sa globalité. Ces mesures ne sont pas des mesures de pauvreté mais exclusivement des mesures de faible revenu.

    Date de diffusion : 2014-12-10

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 13-605-X201400514088
    Description :

    Un aperçu du cadre des statistiques de finances publiques (SFP) canadiennes et de la manière dont il est associé aux autres statistiques sur les administrations publiques comme celles du Système canadien des comptes macroéconomiques et des comptes publics, et les nouveaux produits de données des SFP offerts aux utilisateurs.

    Date de diffusion : 2014-11-07

  • Avis et consultations : 13-605-X201400414107
    Description :

    À compter de novembre 2014, Statistique Canada publiera les données sur le commerce international des biens sur la base de la balance des paiements (BDP) pour donner plus de détails sur chaque pays partenaire. Dans la publication de ces données, les exportations selon la BDP vers 27 pays et les importations selon la BDP en provenance de 27 pays, appelés les principaux partenaires commerciaux (PPC) du Canada, seront mises en lumière pour la première fois. En réponse à une demande importante d’information sur ces pays depuis quelques années, les données de la BDP sur le commerce des biens seront disponibles pour des pays comme la Chine et le Mexique, le Brésil et l’Inde, la Corée du Sud et nos plus grands partenaires commerciaux de l’Union européenne. En outre, les données de la BDP sur le commerce des biens pour ces pays seront disponibles avec les données désormais trimestrielles sur le commerce des services et les données annuelles sur les investissements directs étrangers pour un grand nombre de ces principaux partenaires commerciaux. Cela facilitera l’analyse, à l’aide de données totalement comparables, du commerce et des investissements internationaux au niveau des pays. L’objectif de cet article est de présenter ces nouvelles mesures . Cette note commencera par présenter aux utilisateurs les concepts clés de la BDP, et surtout le concept du changement de propriété. Cela servira à familiariser les analystes avec le cadre de la BDP pour l’analyse des données au niveau des pays, par contraste avec les données douanières sur le commerce. Ensuite, elle présentera une certaine analyse préliminaire pour illustrer les concepts, où l’exemple principal sera le commerce basé sur la BDP avec la Chine. Enfin, elle tracera les grandes lignes de l’expansion des données trimestrielles sur le commerce des services pour dégager de nouvelles estimations du commerce pour les PPC et discuter des travaux à venir dans les statistiques du commerce.

    Date de diffusion : 2014-11-04

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 13-605-X201400214100
    Description :

    Les données sur le commerce international canadien sont diffusées mensuellement et peuvent faire l’objet de révisions lors des diffusions suivantes lorsque de nouvelles données sont disponibles. Ces données sont diffusées approximativement 35 jours après la clôture de la période de référence et elles représentent un des indicateurs les plus actuels parmi ceux produits par Statistique Canada. Étant donné ce court délai, certaines données ne sont pas disponibles à temps; on doit alors leur substituer des valeurs estimées ou modélisées. Cela est le cas pour les importations et les exportations de pétrole brut et de gaz naturel. Plus précisément, lors de la diffusion, les données énergétiques sont fondées sur un ensemble incomplet de renseignements et font l’objet de révisions lorsque les données de Statistique Canada et de l’Office national de l’énergie (ONE) sont diffusées dans les mois qui suivent. En raison de l’importance croissante des importations et des exportations d’énergie et de l’actualité des données commerciales, les révisions aux prix et aux volumes ont une influence grandissante sur la révision mensuelle de la balance commerciale du Canada. Cette note a pour but d’expliquer le calcul des estimations lors de la diffusion initiale des données, alors que les sources de données ne sont pas encore disponibles, et la façon dont les données originales sont corrigées lors des diffusions suivantes.

    Date de diffusion : 2014-10-03

  • Articles et rapports : 12-001-X201300211883
    Description :

    L'histoire de l'échantillonnage, qui remonte aux écrits de A.N. Kiaer, a été marquée par d'importantes controverses. Avant tout, Kiaer lui-même a dû lutter pour convaincre ses contemporains que l'échantillonnage était, en soi, une procédure légitime. Il s'y est efforcé pendant plusieurs décennies et étaient un vieillard avant que l'échantillonnage devienne une activité honorable. A.L. Bowley a été le premier à fournir à la fois une justification théorique de l'échantillonnage (en 1906) et une démonstration pratique de sa faisabilité (dans un sondage réalisé à Reading, qui a été publié en 1912). En 1925, les membres de l'IIS réunis à Rome ont adopté une résolution témoignant de leur acceptation de l'utilisation de l'échantillonnage par randomisation ainsi que par choix raisonné. Bowley a utilisé les deux approches. Cependant, au cours des deux décennies suivantes, on a assisté à une tendance croissante à rendre la randomisation obligatoire. En 1934, Jerzy Neyman a profité de l'échec relativement récent d'un grand sondage par choix raisonné pour préconiser que les sondages subséquents fassent appel uniquement à l'échantillonnage aléatoire. Il a trouvé en M. H. Hansen, W.N. Hurwitz et W.G. Madow des disciples doués qui, ensemble, ont publié en 1953 un traité d'échantillonnage faisant autorité. Cet ouvrage est demeuré incontesté pendant près de deux décennies. Toutefois, dans les années 1970, R.M. Royall et ses coauteurs ont remis en cause le recours à l'inférence fondée sur l'échantillonnage aléatoire et recommandé d'utiliser plutôt l'échantillonnage fondé sur un modèle. Ce plaidoyer a, à son tour, déclenché la troisième controverses importante en un peu moins d'un siècle. Néanmoins, le présent auteur, comme plusieurs autres, est convaincu que l'inférence fondée sur le plan de sondage et celle fondée sur un modèle ont toutes deux un rôle utile à jouer.

    Date de diffusion : 2014-01-15
Données (0)

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Analyses (2)

Analyses (2) ((2 résultats))

  • Articles et rapports : 75F0002M2014003
    Description :

    Afin de donner une image holographique ou complète du faible revenu, Statistique Canada utilise trois lignes complémentaires en matière de faible revenu : les Seuils de faible revenu (SFR), les Mesures de faible revenu (MFR) et la Mesure du panier de consommation (MPC). Tandis que les deux premières ont été développées par Statistique Canada, la MPC repose sur des concepts élaborés par Emploi et Développement social Canada. Quoique différentes, ces mesures donnent en général un compte rendu homogène de la situation du faible revenu dans le temps. Il n'y a pas de mesure meilleure que les autres. Chacune possède ses avantages et aborde l'étude du faible revenu selon sa propre perspective et qui, lorsque combinée, apporte une meilleure compréhension du phénomène du faible revenu dans sa globalité. Ces mesures ne sont pas des mesures de pauvreté mais exclusivement des mesures de faible revenu.

    Date de diffusion : 2014-12-10

  • Articles et rapports : 12-001-X201300211883
    Description :

    L'histoire de l'échantillonnage, qui remonte aux écrits de A.N. Kiaer, a été marquée par d'importantes controverses. Avant tout, Kiaer lui-même a dû lutter pour convaincre ses contemporains que l'échantillonnage était, en soi, une procédure légitime. Il s'y est efforcé pendant plusieurs décennies et étaient un vieillard avant que l'échantillonnage devienne une activité honorable. A.L. Bowley a été le premier à fournir à la fois une justification théorique de l'échantillonnage (en 1906) et une démonstration pratique de sa faisabilité (dans un sondage réalisé à Reading, qui a été publié en 1912). En 1925, les membres de l'IIS réunis à Rome ont adopté une résolution témoignant de leur acceptation de l'utilisation de l'échantillonnage par randomisation ainsi que par choix raisonné. Bowley a utilisé les deux approches. Cependant, au cours des deux décennies suivantes, on a assisté à une tendance croissante à rendre la randomisation obligatoire. En 1934, Jerzy Neyman a profité de l'échec relativement récent d'un grand sondage par choix raisonné pour préconiser que les sondages subséquents fassent appel uniquement à l'échantillonnage aléatoire. Il a trouvé en M. H. Hansen, W.N. Hurwitz et W.G. Madow des disciples doués qui, ensemble, ont publié en 1953 un traité d'échantillonnage faisant autorité. Cet ouvrage est demeuré incontesté pendant près de deux décennies. Toutefois, dans les années 1970, R.M. Royall et ses coauteurs ont remis en cause le recours à l'inférence fondée sur l'échantillonnage aléatoire et recommandé d'utiliser plutôt l'échantillonnage fondé sur un modèle. Ce plaidoyer a, à son tour, déclenché la troisième controverses importante en un peu moins d'un siècle. Néanmoins, le présent auteur, comme plusieurs autres, est convaincu que l'inférence fondée sur le plan de sondage et celle fondée sur un modèle ont toutes deux un rôle utile à jouer.

    Date de diffusion : 2014-01-15
Références (3)

Références (3) ((3 résultats))

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 13-605-X201400514088
    Description :

    Un aperçu du cadre des statistiques de finances publiques (SFP) canadiennes et de la manière dont il est associé aux autres statistiques sur les administrations publiques comme celles du Système canadien des comptes macroéconomiques et des comptes publics, et les nouveaux produits de données des SFP offerts aux utilisateurs.

    Date de diffusion : 2014-11-07

  • Avis et consultations : 13-605-X201400414107
    Description :

    À compter de novembre 2014, Statistique Canada publiera les données sur le commerce international des biens sur la base de la balance des paiements (BDP) pour donner plus de détails sur chaque pays partenaire. Dans la publication de ces données, les exportations selon la BDP vers 27 pays et les importations selon la BDP en provenance de 27 pays, appelés les principaux partenaires commerciaux (PPC) du Canada, seront mises en lumière pour la première fois. En réponse à une demande importante d’information sur ces pays depuis quelques années, les données de la BDP sur le commerce des biens seront disponibles pour des pays comme la Chine et le Mexique, le Brésil et l’Inde, la Corée du Sud et nos plus grands partenaires commerciaux de l’Union européenne. En outre, les données de la BDP sur le commerce des biens pour ces pays seront disponibles avec les données désormais trimestrielles sur le commerce des services et les données annuelles sur les investissements directs étrangers pour un grand nombre de ces principaux partenaires commerciaux. Cela facilitera l’analyse, à l’aide de données totalement comparables, du commerce et des investissements internationaux au niveau des pays. L’objectif de cet article est de présenter ces nouvelles mesures . Cette note commencera par présenter aux utilisateurs les concepts clés de la BDP, et surtout le concept du changement de propriété. Cela servira à familiariser les analystes avec le cadre de la BDP pour l’analyse des données au niveau des pays, par contraste avec les données douanières sur le commerce. Ensuite, elle présentera une certaine analyse préliminaire pour illustrer les concepts, où l’exemple principal sera le commerce basé sur la BDP avec la Chine. Enfin, elle tracera les grandes lignes de l’expansion des données trimestrielles sur le commerce des services pour dégager de nouvelles estimations du commerce pour les PPC et discuter des travaux à venir dans les statistiques du commerce.

    Date de diffusion : 2014-11-04

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 13-605-X201400214100
    Description :

    Les données sur le commerce international canadien sont diffusées mensuellement et peuvent faire l’objet de révisions lors des diffusions suivantes lorsque de nouvelles données sont disponibles. Ces données sont diffusées approximativement 35 jours après la clôture de la période de référence et elles représentent un des indicateurs les plus actuels parmi ceux produits par Statistique Canada. Étant donné ce court délai, certaines données ne sont pas disponibles à temps; on doit alors leur substituer des valeurs estimées ou modélisées. Cela est le cas pour les importations et les exportations de pétrole brut et de gaz naturel. Plus précisément, lors de la diffusion, les données énergétiques sont fondées sur un ensemble incomplet de renseignements et font l’objet de révisions lorsque les données de Statistique Canada et de l’Office national de l’énergie (ONE) sont diffusées dans les mois qui suivent. En raison de l’importance croissante des importations et des exportations d’énergie et de l’actualité des données commerciales, les révisions aux prix et aux volumes ont une influence grandissante sur la révision mensuelle de la balance commerciale du Canada. Cette note a pour but d’expliquer le calcul des estimations lors de la diffusion initiale des données, alors que les sources de données ne sont pas encore disponibles, et la façon dont les données originales sont corrigées lors des diffusions suivantes.

    Date de diffusion : 2014-10-03
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