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Chef, Division de la balance des paiements (613-951-1872)
Tel est le cas en particulier pour les hypothèques et les titres dérivés du marché hypothécaire.
Il s’agissait probablement d’une indication que les activités de prêt sont relativement plus prudentes au Canada que dans d’autres pays.
Au Canada comme aux États-Unis et en Australie, les actions rendent généralement compte de 60 % à 90 % des investissements étrangers de 2001 à 2008. D’autres pays étaient moins exposés aux marchés boursiers étrangers; pour le Japon, le pourcentage est de 15 % à 25 % et, pour le Royaume-Uni, de moins de 50 %. (Source : IMF Co-ordinated Portfolio Investment Survey)
Il est aussi question dans cette étude des données trimestrielles des Comptes des flux financiers, Comptes du bilan national et Comptes nationaux des revenus et dépenses (pour le PIB).
Les inquiétudes suscitées par l’exposition au marché hypothécaire à risque aux États-Unis ont eu pour effet initial de figer le marché des titres adossés à des actifs. Une partie de ces titres était liée à des hypothèques à risque, soudainement devenues toxiques aux yeux des investisseurs. Les turbulences ont aussi affecté les marchés financiers canadiens. Après trois ans de croissance soutenue, le marché canadien du papier commercial adossé à des actifs a rétréci de presque 10 milliards de dollars au quatrième trimestre de 2007 et s’est encore contracté à chaque trimestre de 2008.
Dans cette étude, seulement les flux internationaux en ce qui concerne le Canada sont pris en compte. Il n’est donc question que des opérations des investisseurs étrangers en titres canadiens.
Le dollar canadien a pris de la valeur par rapport à la plupart des grandes devises sauf la livre britannique. Il s’est respectivement valorisé de 12,6 %, 11,7 % et 25,4 % vis-à-vis du dollar américain, de l’euro et du yen japonais, mais a gagné seulement 6,4 % sur la livre anglaise.
Des avoirs supérieurs en titres étrangers ont accru l’exposition aux variations des cours du change, comme lors de l’essor des prix des produits de base après 2003 (le dollar canadien montant plus qu’à parité avec le dollar américain) et avec le mouvement inverse au second semestre de 2008 (notre dollar descendant rapidement pour approcher des 80 cents américains).
L’indice S&P/TSX s’est replié de 23,5 % au quatrième trimestre de 2008.
L’offre de titres d’emprunt souverains visant à appuyer des mesures fiscales, non seulement au Canada mais dans le monde entier, a augmenté de façon considérable en 2009 et en 2010.