Inférence bayésienne prédictive sur une proportion sous un modèle double pour petits domaines avec corrélations hétérogènes
Section 3. Étude numérique et comparaisons

À la présente section, nous procédons à des études empiriques pour évaluer la performance du modèle CHE que nous comparons au modèle CHO. À la section 3.1, nous donnons un exemple et à la section 3.2, nous présentons une étude en simulation.

3.1 Un exemple

Nous utilisons des données recueillies auprès de la population d’élèves de troisième année aux États-Unis; voir Nandram (2015) pour une brève discussion de ces données. L’ensemble de données, recueilli en 1999, a trait à 2 477 élèves qui ont participé à la Third International Mathematics and Science Study (TIMSS). Foy, Rust, et Schleicher (1996) ont décrit le plan d’échantillonnage systématique avec probabilité proportionnelle à la taille (PPT) utilisé pour la collecte des données de la TIMSS, et Caslyn, Gonzales et Frase (1999) ont présenté les faits saillants de l’enquête. Les domaines sont formés en recoupant quatre régions (nord-est, sud, centre et ouest) et trois types de collectivité des États-Unis (village ou région rurale, périphérie d’une ville, et proximité du centre d’une ville). Donc, il y a douze domaines. La variable binaire est la question de savoir si la note de mathématique de l’élève est ou non inférieure à la moyenne. Les grappes sont les écoles, tandis que les unités dans les grappes sont les élèves.

Pour évaluer la qualité de l’inférence bayésienne prédictive, comme l’a suggéré un examinateur, Nandram (2015) a pris un échantillon correspondant à la moitié des données originales et l’a appelé échantillon synthétique. L’échantillon original a servi de population, et le demi-échantillon a été utilisé pour l’analyse, ce qui a fourni une méthode pour évaluer le pouvoir prédictif des modèles dans Nandram (2015). Dans le présent article, comme l’a proposé un examinateur, au lieu d’utiliser un demi-échantillon, nous nous servons de l’ensemble de données original à notre disposition; voir le tableau 3.1 pour la description de l’ensemble de données complet que nous analysons dans le présent article. Nous évaluons principalement le pouvoir prédictif du modèle CHE au moyen de l’étude en simulation.

Malheureusement, comme dans le cas de nombreuses enquêtes complexes, les analystes des données secondaires ne connaissent pas les fractions d’échantillonnage. Cependant, pour nombre de ces enquêtes, les fractions d’échantillonnage sont habituellement relativement faibles. Dans le cas des données de la TIMSS, nous supposons que l’ensemble de données est un échantillon de 5 % de la population. Par exemple, si quatre écoles sont échantillonnées pour un domaine, disons le i e MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaamyAamaaCa aaleqabaGaaeyzaaaaaaa@3601@ domaine ( i = 1, , l ) , MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaWaaeWaaeaaca WGPbGaaGypaiaaigdacaaISaGaeSOjGSKaaGilaiabloriSbGaayjk aiaawMcaaiaacYcaaaa@3C66@ le nombre total de grappes, M i , MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaamytamaaBa aaleaacaWGPbaabeaakiaacYcaaaa@36A4@ est supposé être 80. Si 17 élèves sont observés dans une école échantillonnée, disons la j e MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaamOAamaaCa aaleqabaGaaeyzaaaaaaa@3602@ école, le nombre total d’élèves, N i j ( j = 1, , m i ) , MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaamOtamaaBa aaleaacaWGPbGaamOAaaqabaGcdaqadaqaaiaadQgacaaI9aGaaGym aiaaiYcacqWIMaYscaaISaGaamyBamaaBaaaleaacaWGPbaabeaaaO GaayjkaiaawMcaaiaacYcaaaa@4032@ est supposé être 340. Pour les écoles non échantillonnées, N i j ( j = m i + 1, , M i ) MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaamOtamaaBa aaleaacaWGPbGaamOAaaqabaGcdaqadaqaaiaadQgacaaI9aGaamyB amaaBaaaleaacaWGPbaabeaakiabgUcaRiaaigdacaaISaGaeSOjGS KaaGilaiaad2eadaWgaaWcbaGaamyAaaqabaaakiaawIcacaGLPaaa aaa@425A@ est supposé être la moyenne du nombre total d’élèves dans les écoles échantillonnées pour chaque domaine. En outre, dans de nombreuses écoles, beaucoup d’élèves, voire tous, étaient soit en dessous soit au-dessus de la moyenne. Cet ensemble de données est donc très épars, ce qui rend l’estimation directe difficile.

Tableau 3.1
Nombre d’élèves américains sous la moyenne en mathématique dans les écoles par domaine
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Nombre d’élèves américains sous la moyenne en mathématique dans les écoles par domaine. Les données sont présentées selon Domaine (titres de rangée) et (s, n), m et Écoles(figurant comme en-tête de colonne).
Domaine (s, n) m Écoles
NR 40 4 9 10 11 10 Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide
74 Ceci est une cellule vide 17 16 21 20 Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide
NP 60 9 8 7 12 3 12 8 7 1 2 Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide
173 Ceci est une cellule vide 20 21 17 19 16 25 22 14 19 Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide
NC 135 11 9 20 1 22 20 11 26 10 1 12 3 Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide
222 Ceci est une cellule vide 15 23 16 25 22 25 27 19 16 22 12 Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide
SR 84 8 6 14 14 9 14 10 12 5 Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide
140 Ceci est une cellule vide 16 21 16 14 23 19 22 9 Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide
SP 164 16 14 9 12 10 18 11 3 0 13 9 13 8 11 10 19 4
298 Ceci est une cellule vide 19 14 13 18 22 18 21 16 18 15 26 9 19 22 25 23
SC 150 13 16 11 13 6 8 9 13 6 11 15 15 18 9 Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide
225 Ceci est une cellule vide 16 13 17 16 19 16 18 12 19 16 19 21 23 Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide
CR 17 2 7 10 Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide
39 Ceci est une cellule vide 16 23 Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide
CP 59 7 13 11 5 15 3 2 10 Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide
140 Ceci est une cellule vide 22 18 9 19 24 23 25 Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide
CC 145 14 21 1 12 9 12 13 16 13 7 12 7 8 4 10 Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide
259 Ceci est une cellule vide 21 26 22 13 16 18 21 18 17 18 17 19 16 17 Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide
OR 54 7 13 11 4 2 7 11 6 Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide
118 Ceci est une cellule vide 15 19 10 16 16 20 22 Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide
OP 117 13 8 11 15 9 7 10 1 15 14 9 7 6 5 Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide
224 Ceci est une cellule vide 13 13 25 16 20 12 20 18 20 17 17 17 16 Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide Ceci est une cellule vide
OC 331 31 9 17 10 12 15 15 8 22 20 7 18 7 13 15 13 8
Ceci est une cellule vide 6 8 17 13 9 6 12 7 11 4 9 8 2 3 7 Ceci est une cellule vide
515 Ceci est une cellule vide 18 22 10 14 15 15 8 23 22 7 18 10 26 29 13 17
Ceci est une cellule vide 16 14 18 15 13 23 21 26 16 11 14 14 17 15 15 Ceci est une cellule vide

Nous appliquons trois procédures d’évaluation de la qualité de l’ajustement des modèles, à savoir le critère d’information de Déviance (DIC pour Deviance information criterion), la valeur p prédictive a posteriori bayésienne (BPP pour Bayesian posterior predictive p MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0xi9s8vr0db9Ff0dbbG8Fq0Jfr=x fr=xfbpdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaamiCaiaayk W7cqGHsislaaa@3815@  value) et le logarithme de la pseudo-vraisemblance marginale (LPML pour Log pseudo marginal likelihood), qui est une mesure fondée sur la même procédure de validation croisée avec suppression d’une unité (leave-one-out). Nous pouvons évaluer l’ajustement global des modèles au moyen de ces procédures.

Dans le modèle CHE, s i j | p i j ind Binomiale ( n i j , p i j ) , p i j ind Bêta ( μ i ( 1 ρ i ) / ρ i , ( 1 μ i ) ( 1 ρ i ) / ρ i ) . MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaWaaqGaaeaaca WGZbWaaSbaaSqaaiaadMgacaWGQbaabeaakiaaykW7aiaawIa7aiaa ykW7caWGWbWaaSbaaSqaaiaadMgacaWGQbaabeaakiaaysW7caaMc8 +aaCbiaeaarqqr1ngBPrgifHhDYfgaiuaacqWF8iIoaSqabeaacaqG PbGaaeOBaiaabsgaaaGccaaMe8UaaGPaVlaabkeacaqGPbGaaeOBai aab+gacaqGTbGaaeyAaiaabggacaqGSbGaaeyzamaabmaabaGaamOB amaaBaaaleaacaWGPbGaamOAaaqabaGccaaISaGaamiCamaaBaaale aacaWGPbGaamOAaaqabaaakiaawIcacaGLPaaacaaISaGaaGiiaiaa dchadaWgaaWcbaGaamyAaiaadQgaaeqaaOGaaGjbVlaaykW7daWfGa qaaiab=XJi6aWcbeqaaiaabMgacaqGUbGaaeizaaaakiaaysW7caaM c8UaaeOqaiaabQoacaqG0bGaaeyyamaabmaabaWaaSGbaeaacqaH8o qBdaWgaaWcbaGaamyAaaqabaGcdaqadaqaaiaaigdacqGHsislcqaH bpGCdaWgaaWcbaGaamyAaaqabaaakiaawIcacaGLPaaaaeaacqaHbp GCdaWgaaWcbaGaamyAaaqabaaaaOGaaGilamaalyaabaWaaeWaaeaa caaIXaGaeyOeI0IaeqiVd02aaSbaaSqaaiaadMgaaeqaaaGccaGLOa GaayzkaaWaaeWaaeaacaaIXaGaeyOeI0IaeqyWdi3aaSbaaSqaaiaa dMgaaeqaaaGccaGLOaGaayzkaaaabaGaeqyWdi3aaSbaaSqaaiaadM gaaeqaaaaaaOGaayjkaiaawMcaaiaac6caaaa@8F02@ Donc, en éliminant les p i j MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaamiCamaaBa aaleaacaWGPbGaamOAaaqabaaaaa@36FC@ par intégration, nous pouvons obtenir la fonction de masse de probabilité bêta-binomiale suivante,

f ( s | μ , ρ ) = i = 1 l j = 1 m i ( n i j s i j ) B ( s i j + μ i ( 1 ρ i ) / ρ i , n i j s i j + ( 1 μ i ) ( 1 ρ i ) / ρ i ) B ( μ i ( 1 ρ i ) / ρ i , ( 1 μ i ) ( 1 ρ i ) / ρ i ) . MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aaatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaamOzamaabm aabaWaaqGaaeaacaWHZbGaaGPaVdGaayjcSdGaaGPaVlaahY7acaaI SaGaaGjbVlaahg8aaiaawIcacaGLPaaacaaI9aWaaebCaeqaleaaca WGPbGaaGypaiaaigdaaeaacqWItecBa0Gaey4dIunakmaarahabeWc baGaamOAaiaai2dacaaIXaaabaGaamyBamaaBaaameaacaWGPbaabe aaa0Gaey4dIunakmaabmaabaqbaeaabeqaaaqaauaabaqaceaaaeaa caWGUbWaaSbaaSqaaiaadMgacaWGQbaabeaaaOqaaiaadohadaWgaa WcbaGaamyAaiaadQgaaeqaaaaaaaaakiaawIcacaGLPaaadaWcaaqa aiaadkeadaqadaqaamaalyaabaGaam4CamaaBaaaleaacaWGPbGaam OAaaqabaGccqGHRaWkcqaH8oqBdaWgaaWcbaGaamyAaaqabaGcdaqa daqaaiaaigdacqGHsislcqaHbpGCdaWgaaWcbaGaamyAaaqabaaaki aawIcacaGLPaaaaeaacqaHbpGCdaWgaaWcbaGaamyAaaqabaaaaOGa aGilaiaad6gadaWgaaWcbaGaamyAaiaadQgaaeqaaOGaeyOeI0Iaam 4CamaaBaaaleaacaWGPbGaamOAaaqabaGccqGHRaWkdaWcgaqaamaa bmaabaGaaGymaiabgkHiTiabeY7aTnaaBaaaleaacaWGPbaabeaaaO GaayjkaiaawMcaamaabmaabaGaaGymaiabgkHiTiabeg8aYnaaBaaa leaacaWGPbaabeaaaOGaayjkaiaawMcaaaqaaiabeg8aYnaaBaaale aacaWGPbaabeaaaaaakiaawIcacaGLPaaaaeaacaWGcbWaaeWaaeaa daWcgaqaaiabeY7aTnaaBaaaleaacaWGPbaabeaakmaabmaabaGaaG ymaiabgkHiTiabeg8aYnaaBaaaleaacaWGPbaabeaaaOGaayjkaiaa wMcaaaqaaiabeg8aYnaaBaaaleaacaWGPbaabeaaaaGccaaISaWaaS GbaeaadaqadaqaaiaaigdacqGHsislcqaH8oqBdaWgaaWcbaGaamyA aaqabaaakiaawIcacaGLPaaadaqadaqaaiaaigdacqGHsislcqaHbp GCdaWgaaWcbaGaamyAaaqabaaakiaawIcacaGLPaaaaeaacqaHbpGC daWgaaWcbaGaamyAaaqabaaaaaGccaGLOaGaayzkaaaaaiaac6caaa a@9EA0@

Il est également vrai que E ( s i j | μ i , ρ i ) = n i j μ i MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaamyramaabm aabaWaaqGaaeaacaWGZbWaaSbaaSqaaiaadMgacaWGQbaabeaakiaa ykW7aiaawIa7aiaaykW7cqaH8oqBdaWgaaWcbaGaamyAaaqabaGcca aISaGaaGjbVlabeg8aYnaaBaaaleaacaWGPbaabeaaaOGaayjkaiaa wMcaaiaai2dacaWGUbWaaSbaaSqaaiaadMgacaWGQbaabeaakiabeY 7aTnaaBaaaleaacaWGPbaabeaaaaa@4CA6@ et Var ( s i j | μ i , ρ i ) = n i j { 1 + ( n i j 1 ) ρ i } μ i ( 1 μ i ) . MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaaeOvaiaabg gacaqGYbWaaeWaaeaadaabcaqaaiaadohadaWgaaWcbaGaamyAaiaa dQgaaeqaaOGaaGPaVdGaayjcSdGaaGPaVlabeY7aTnaaBaaaleaaca WGPbaabeaakiaaiYcacaaMe8UaeqyWdi3aaSbaaSqaaiaadMgaaeqa aaGccaGLOaGaayzkaaGaaGypaiaad6gadaWgaaWcbaGaamyAaiaadQ gaaeqaaOWaaiWaaeaacaaIXaGaey4kaSYaaeWaaeaacaWGUbWaaSba aSqaaiaadMgacaWGQbaabeaakiabgkHiTiaaigdaaiaawIcacaGLPa aacqaHbpGCdaWgaaWcbaGaamyAaaqabaaakiaawUhacaGL9baacqaH 8oqBdaWgaaWcbaGaamyAaaqabaGcdaqadaqaaiaaigdacqGHsislcq aH8oqBdaWgaaWcbaGaamyAaaqabaaakiaawIcacaGLPaaacaGGUaaa aa@623E@

Soit μ i ( h ) MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaeqiVd02aa0 baaSqaaiaadMgaaeaadaqadaqaaiaadIgaaiaawIcacaGLPaaaaaaa aa@3945@ et ρ i ( h ) MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaeqyWdi3aa0 baaSqaaiaadMgaaeaadaqadaqaaiaadIgaaiaawIcacaGLPaaaaaaa aa@394F@ ( i = 1, , l , h = 1, , H ) MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaWaaeWaaeaaca WGPbGaaGypaiaaigdacaaISaGaeSOjGSKaaGilaiabloriSjaaiYca caaMe8UaamiAaiaai2dacaaIXaGaaGilaiablAciljaaiYcacaWGib aacaGLOaGaayzkaaaaaa@43C3@ les itérations provenant de l’échantillonneur de Gibbs par blocs. Soit μ ¯ i = h = 1 H μ i ( h ) / H ( i = 1, , l ) MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGafqiVd0Mbae badaWgaaWcbaGaamyAaaqabaGccaaI9aWaaabmaeaadaWcgaqaaiab eY7aTnaaDaaaleaacaWGPbaabaWaaeWaaeaacaWGObaacaGLOaGaay zkaaaaaaGcbaGaamisaaaaaSqaaiaadIgacaaI9aGaaGymaaqaaiaa dIeaa0GaeyyeIuoakiaaysW7daqadaqaaiaadMgacaaI9aGaaGymai aaiYcacqWIMaYscaaISaGaeS4eHWgacaGLOaGaayzkaaaaaa@4C78@ et ρ ¯ i = h = 1 H ρ i ( h ) / H . MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGafqyWdiNbae badaWgaaWcbaGaamyAaaqabaGccaaI9aWaaabmaeaadaWcgaqaaiab eg8aYnaaDaaaleaacaWGPbaabaWaaeWaaeaacaWGObaacaGLOaGaay zkaaaaaaGcbaGaamisaaaaaSqaaiaadIgacaaI9aGaaGymaaqaaiaa dIeaa0GaeyyeIuoakiaac6caaaa@43F9@ En posant que D ( μ ¯ , ρ ¯ ) = 2 log { p ( s | μ ¯ , ρ ¯ ) } MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaamiramaabm aabaGabCiVdyaaraGaaiilaiaaysW7ceWHbpGbaebaaiaawIcacaGL PaaacqGH9aqpcqGHsislcaaIYaGaciiBaiaac+gacaGGNbWaaiWaae aacaWGWbWaaeWaaeaadaabcaqaaiaahohacaaMc8oacaGLiWoacaaM c8UabCiVdyaaraGaaiilaiaaysW7ceWHbpGbaebaaiaawIcacaGLPa aaaiaawUhacaGL9baaaaa@502A@ et D ¯ = 2 h = 1 H log { p ( s | μ ( h ) , ρ ( h ) ) } / H , MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGabmirayaara GaaGypaiabgkHiTiaaikdadaaeWaqaaiaabYgacaqGVbGaae4zamaa lyaabaWaaiWaaeaacaWGWbWaaeWaaeaadaabcaqaaiaahohacaaMc8 oacaGLiWoacaaMc8UaaCiVdmaaCaaaleqabaWaaeWaaeaacaWGObaa caGLOaGaayzkaaaaaOGaaiilaiaaysW7caWHbpWaaWbaaSqabeaada qadaqaaiaadIgaaiaawIcacaGLPaaaaaaakiaawIcacaGLPaaaaiaa wUhacaGL9baaaeaacaWGibaaaaWcbaGaamiAaiaai2dacaaIXaaaba GaamisaaqdcqGHris5aOGaaiilaaaa@5578@ le critère d’information de déviance est donné par

DIC = 2 D ¯ D ( μ ¯ , ρ ¯ ) . MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aaatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaaeiraiaabM eacaqGdbGaaGypaiaaikdaceWGebGbaebacqGHsislcaWGebWaaeWa aeaaceWH8oGbaebacaGGSaGabCyWdyaaraaacaGLOaGaayzkaaGaaG Olaaaa@4026@

Les modèles dont le DIC est petit sont préférés à ceux dont le DIC est grand. Cependant, puisque le critère DIC a tendance à sélectionner des modèles surajustés, Nandram (2015) a décrit les valeurs  p MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaamiCaiaayk W7aaa@367E@ prédictives bayésiennes comme auxiliaire. Pour le modèle CHE, la fonction de divergence est

T ( s ; μ , ρ ) = i = 1 l j = 1 m i { s i j E ( s i j | μ i , ρ i ) } 2 Var ( s i j | μ i , ρ i ) . MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aaatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaamivamaabm aabaGaaC4CaiaacUdacaaMe8UaaCiVdiaacYcacaaMe8UaaCyWdaGa ayjkaiaawMcaaiabg2da9maaqahabeWcbaGaamyAaiaai2dacaaIXa aabaGaeS4eHWganiabggHiLdGcdaaeWbqabSqaaiaadQgacaaI9aGa aGymaaqaaiaad2gadaWgaaadbaGaamyAaaqabaaaniabggHiLdGcda WcaaqaamaacmaabaGaam4CamaaBaaaleaacaWGPbGaamOAaaqabaGc cqGHsislcaWGfbWaaeWaaeaadaabcaqaaiaadohadaWgaaWcbaGaam yAaiaadQgaaeqaaOGaaGPaVdGaayjcSdGaaGPaVlabeY7aTnaaBaaa leaacaWGPbaabeaakiaacYcacaaMe8UaeqyWdi3aaSbaaSqaaiaadM gaaeqaaaGccaGLOaGaayzkaaaacaGL7bGaayzFaaWaaWbaaSqabeaa caaIYaaaaaGcbaGaaeOvaiaabggacaqGYbWaaeWaaeaadaabcaqaai aadohadaWgaaWcbaGaamyAaiaadQgaaeqaaOGaaGPaVdGaayjcSdGa aGPaVlabeY7aTnaaBaaaleaacaWGPbaabeaakiaacYcacaaMe8Uaeq yWdi3aaSbaaSqaaiaadMgaaeqaaaGccaGLOaGaayzkaaaaaiaac6ca aaa@7A08@

Soient s ( rep ) MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaaC4CamaaCa aaleqabaWaaeWaaeaacaqGYbGaaeyzaiaabchaaiaawIcacaGLPaaa aaaaaa@3980@ les échantillons répétés (rep) tirés de la distribution prédictive a posteriori de s . MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aaatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaaC4Caiaac6 caaaa@35AB@ Alors, le critère BPP est p { T ( s ( rep ) ; μ , ρ ) T ( s ( obs ) ; μ , ρ ) | s } , MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0xi9s8vr0db9Ff0dbbG8Fq0Jfr=x fr=xfbpdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaamiCamaacm aabaGaamivamaabmaabaGaaC4CamaaCaaaleqabaWaaeWaaeaacaqG YbGaaeyzaiaabchaaiaawIcacaGLPaaaaaGccaGG7aGaaGjbVlaahY 7acaGGSaGaaGjbVlaahg8aaiaawIcacaGLPaaacqGHLjYScaWGubWa aeWaaeaacaWHZbWaaWbaaSqabeaadaqadaqaaiaab+gacaqGIbGaae 4CaaGaayjkaiaawMcaaaaakiaacUdacaaMe8UaaCiVdiaacYcacaaM e8UaaCyWdaGaayjkaiaawMcaamaaeeaabaGaaGPaVlaahohaaiaawE a7aaGaay5Eaiaaw2haaiaacYcaaaa@5C74@ ce qui est calculé sur ses itérations correspondantes ( μ ( h ) , ρ ( h ) ) , h = 1 , , H . MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0xi9s8vr0db9Ff0dbbG8Fq0Jfr=x fr=xfbpdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaWaaeWaaeaaca WH8oWaaWbaaSqabeaadaqadaqaaiaadIgaaiaawIcacaGLPaaaaaGc caGGSaGaaGjbVlaahg8adaahaaWcbeqaamaabmaabaGaamiAaaGaay jkaiaawMcaaaaaaOGaayjkaiaawMcaaiaacYcacaaMe8UaaGPaVlaa dIgacqGH9aqpcaaIXaGaaiilaiablAciljaacYcacaWGibGaaiOlaa aa@4AD4@ Une valeur de cette probabilité proche de 0 ou de 1 indique un mauvais ajustement du modèle. En fait, les modèles dont le BPP est compris dans l’intervalle (0,05; 0,95) sont considérés comme étant raisonnables.

En plus de ces quantités, nous pouvons évaluer la qualité de l’ajustement des modèles au moyen d’une autre mesure, le LPML, qui est une statistique sommaire des valeurs de l’ordonnée prédictive conditionnelle (CPO pour Conditional predictive ordinate), et est fondée sur une validation croisée. Contrairement au critère DIC, de grandes valeurs du LPML indiquent un meilleur ajustement des modèles (par exemple, Geisser et Eddy 1979).

Dans le cas du modèle CHE, le critère CPO peut être estimé par

CPO ^ i j = [ 1 H h = 1 H 1 f ( s i j | p i j ( h ) ) ] 1 , j = 1 , , m i , i = 1 , , l , MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aaatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0xi9s8vr0db9Ff0dbbG8Fq0Jfr=x fr=xfbpdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaWaaecaaeaaca qGdbGaaeiuaiaab+eaaiaawkWaamaaBaaaleaacaWGPbGaamOAaaqa baGccqGH9aqpdaWadaqaamaalaaabaGaaGymaaqaaiaadIeaaaWaaa bCaeaadaWcaaqaaiaaigdaaeaacaWGMbWaaeWaaeaacaWGZbWaaSba aSqaaiaadMgacaWGQbaabeaakmaaeeaabaGaaGPaVlaadchadaqhaa WcbaGaamyAaiaadQgaaeaadaqadaqaaiaadIgaaiaawIcacaGLPaaa aaaakiaawEa7aaGaayjkaiaawMcaaaaaaSqaaiaadIgacqGH9aqpca aIXaaabaGaamisaaqdcqGHris5aaGccaGLBbGaayzxaaWaaWbaaSqa beaacqGHsislcaaIXaaaaOGaaGzaVlaacYcacaaMf8UaamOAaiabg2 da9iaaigdacaGGSaGaeSOjGSKaaiilaiaad2gadaWgaaWcbaGaamyA aaqabaGccaGGSaGaaGzbVlaadMgacqGH9aqpcaaIXaGaaiilaiablA ciljaacYcacqWItecBcaGGSaaaaa@6965@

p i j ( h ) MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaamiCamaaDa aaleaacaWGPbGaamOAaaqaamaabmaabaGaamiAaaGaayjkaiaawMca aaaaaaa@3973@ représente les échantillons tirés de p i j | s i j , μ i , ρ i MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaWaaqGaaeaaca WGWbWaaSbaaSqaaiaadMgacaWGQbaabeaakiaaykW7aiaawIa7aiaa ykW7caWGZbWaaSbaaSqaaiaadMgacaWGQbaabeaakiaaiYcacaaMe8 UaeqiVd02aaSbaaSqaaiaadMgaaeqaaOGaaGilaiaaysW7cqaHbpGC daWgaaWcbaGaamyAaaqabaaaaa@48F7@ et s i j | p i j iid Binomiale ( n i j , p i j ) . MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aaatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaWaaqGaaeaaca WGZbWaaSbaaSqaaiaadMgacaWGQbaabeaakiaaykW7aiaawIa7aiaa ykW7caWGWbWaaSbaaSqaaiaadMgacaWGQbaabeaakmaaxacabaqeeu uDJXwAKbsr4rNCHbacfaGae8hpIOdaleqabaGaaeyAaiaabMgacaqG KbaaaOGaaeOqaiaabMgacaqGUbGaae4Baiaab2gacaqGPbGaaeyyai aabYgacaqGLbWaaeWaaeaacaWGUbWaaSbaaSqaaiaadMgacaWGQbaa beaakiaaiYcacaWGWbWaaSbaaSqaaiaadMgacaWGQbaabeaaaOGaay jkaiaawMcaaiaac6caaaa@58B1@ Notons que, pour chaque ( i , j ) , MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaWaaeWaaeaaca WGPbGaaGilaiaadQgaaiaawIcacaGLPaaacaGGSaaaaa@38CA@ CPO ^ i j MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaWaaecaaeaaca qGdbGaaeiuaiaab+eaaiaawkWaamaaBaaaleaacaWGPbGaamOAaaqa baaaaa@3934@ est la moyenne harmonique des vraisemblances f ( s i j | p i j ( h ) ) , h = 1, , H . MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaamOzamaabm aabaWaaqGaaeaacaWGZbWaaSbaaSqaaiaadMgacaWGQbaabeaakiaa ykW7aiaawIa7aiaaykW7caWGWbWaa0baaSqaaiaadMgacaWGQbaaba WaaeWaaeaacaWGObaacaGLOaGaayzkaaaaaaGccaGLOaGaayzkaaGa aGilaiaaiccacaWGObGaaGypaiaaigdacaaISaGaeSOjGSKaaGilai aadIeacaGGUaaaaa@4B84@ Alors, le LPML est donné par

LPML = i = 1 l j = 1 m i log ( CPO ^ i j ) . MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aaatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaaeitaiaabc facaqGnbGaaeitaiaai2dadaaeWbqabSqaaiaadMgacaaI9aGaaGym aaqaaiabloriSbqdcqGHris5aOWaaabCaeaaciGGSbGaai4BaiaacE gadaqadaqaamaaHaaabaGaae4qaiaabcfacaqGpbaacaGLcmaadaWg aaWcbaGaamyAaiaadQgaaeqaaaGccaGLOaGaayzkaaaaleaacaWGQb GaaGypaiaaigdaaeaacaWGTbWaaSbaaWqaaiaadMgaaeqaaaqdcqGH ris5aOGaaGOlaaaa@4F0E@

Ces trois mesures d’évaluation des modèles ont des formes similaires sous le modèle CHO. Pour le modèle CHO (CHE), DIC = 774,421 (773,173), BPP = 0,349 (0,408), LPML = -352,064 (-346,171), ce qui indique que le modèle CHE donne un meilleur ajustement. À un niveau de détail plus fin, nous avons également examiné les valeurs de CPO individuelles provenant des deux modèles pour chaque école. À la figure 3.1, nous comparons les CPO pour les modèles CHE et CHO, et nous constatons qu’en général, les valeurs de CPO sont plus élevées pour le modèle CHE que pour le modèle CHO. En fait, sous le modèle CHO (CHE), nous avons constaté que le pourcentage des valeurs de CPO inférieures à 0,025 est de 3,70 % (2,96 %) et que le pourcentage des valeurs de CPO inférieures à 0,014 est de 0,74 % (0,00 %). Ces résultats ne donnent aucun indice d’un écart important par rapport aux hypothèses de modélisation; voir Ntzoufras (2009). Par conséquent, à première vue, ces mesures donnent des preuves que le modèle CHE est un peu mieux ajusté aux données de la TIMSS que le modèle CHO.

Figure 3.1

Description de la figure 3.1

Figure composée de deux graphiques en nuage de points. Le premier compare les valeurs de CPO individuelles provenant des modèles CHE et CHO pour chaque école. L’école est sur l’axe des y, allant de 0 à 150. Les CPO sont sur l’axe des x, allant de 0,00 à 0,35. La grande majorité des points se concentre entre des valeurs de CPO de 0,00 et de 0,15 pour les deux modèles.

Le deuxième graphique compare les CPO pour les modèles CHE et CHO. Les CPO pour le modèle CHE est sur l’axe des y, allant de 0,00 à 0,30. Les CPO pour le modèle CHO est sur l’axe des x, allant de 0,00 à 0,25. En général, les valeurs de CPO sont plus élevées pour le modèle CHE que pour le modèle CHO.

Considérons maintenant l’inférence au sujet de θ MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaeqiUdehaaa@35B4@ et γ . MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaeq4SdCMaai Olaaaa@3657@ Examinons d’abord θ . MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaeqiUdeNaai Olaaaa@3666@ Sous le modèle CHO, la moyenne a posteriori (MP) vaut 0,519, l’écart-type a posteriori (ETP) vaut 0,068 et l’intervalle de crédibilité à 95 % (Cre) est (0,390; 0,639). Sous le modèle CHE, MP = 0,515, ETP = 0,065 et Cre à 95 % est (0,383; 0,639). Ensuite, examinons γ . MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaeq4SdCMaai Olaaaa@3657@ Sous le modèle CHO, MP = 0,207, ETP = 0,011 et Cre à 95 % est (0,190; 0,224). Sous le modèle CHE, MP = 0,208, ETP = 0,011 et Cre à 95 % est (0,190; 0,225). Donc, il est bon de constater que les inférences au sujet de θ MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaeqiUdehaaa@35B4@ et γ MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaeq4SdCgaaa@35A5@ sont très proches pour les deux modèles concurrents (modèles CHO et CHE).

Au tableau 3.2, nous présentons l’inférence a posteriori sur les proportions dans la population finie pour les notes de mathématique par domaine. Des différences existent entre les moyennes a posteriori sous les modèles CHO et CHE. La plupart sont faibles, mais quelques-unes sont grandes. Pour les domaines NC, SR et CR, nous avons 0,560 (0,543), 0,568 (0,584) et 0,465 (0,445) sous le modèle CHO (CHE), respectivement. Les écarts-types a posteriori sont également proches, mais il existe quelques différences modérément grandes (par exemple, pour NR, nous avons 0,113 sous le modèle CHO et 0,077 sous le modèle CHE). Les intervalles de crédibilité (Cre) et de densité a posteriori la plus grande (DPPG) reflètent ces différences.

Tableau 3.2
Comparaison de l’inférence a posteriori d’après les modèles doubles avec corrélation homogène (CHO) et corrélations hétérogènes (CHE) pour les proportions de la population finie pour les élèves américains sous la moyenne en mathématique par domaine
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Comparaison de l’inférence a posteriori d’après les modèles doubles avec corrélation homogène (CHO) et corrélations hétérogènes (CHE) pour les proportions de la population finie pour les élèves américains sous la moyenne en mathématique par domaine. Les données sont présentées selon Domaine (titres de rangée) et Modèle CHO et Modèle CHE (figurant comme en-tête de colonne).
Domaine Modèle CHO Modèle CHE
MP ETP Cre à 95 % DPPG à 95 % MP ETP Cre à 95 % DPPG à 95 %
NR 0,522 0,113 (0,299; 0,735) (0,310; 0,741) 0,525 0,077 (0,363; 0,662) (0,361; 0,658)
NP 0,365 0,075 (0,227; 0,524) (0,227; 0,520) 0,359 0,072 (0,228; 0,511) (0,236; 0,516)
NC 0,560 0,070 (0,420; 0,701) (0,408; 0,680) 0,543 0,082 (0,370; 0,695) (0,396; 0,710)
SR 0,568 0,080 (0,405; 0,725) (0,424; 0,731) 0,584 0,062 (0,454; 0,699) (0,456; 0,699)
SP 0,537 0,058 (0,423; 0,648) (0,417; 0,639) 0,537 0,063 (0,409; 0,655) (0,408; 0,653)
SC 0,646 0,064 (0,552; 0,766) (0,522; 0,766) 0,654 0,059 (0,521; 0,763) (0,544; 0,774)
CR 0,465 0,137 (0,195; 0,719) (0,185; 0,709) 0,445 0,125 (0,212; 0,716) (0,199; 0,700)
CP 0,437 0,085 (0,279; 0,603) (0,276; 0,596) 0,439 0,091 (0,257; 0,620) (0,265; 0,620)
CC 0,549 0,064 (0,415; 0,671) (0,423; 0,672) 0,550 0,066 (0,414; 0,681) (0,422; 0,685)
OR 0,461 0,086 (0,297; 0,629) (0,295; 0,626) 0,460 0,085 (0,289; 0,626) (0,276; 0,611)
OP 0,516 0,066 (0,384; 0,643) (0,387; 0,644) 0,516 0,058 (0,401; 0,626) (0,409; 0,633)
OC 0,670 0,042 (0,581; 0,748) (0,586; 0,749) 0,662 0,047 (0,569; 0,748) (0,568; 0,746)

Le tableau 3.3 donne les valeurs sommaires de MP, ETP et DPPG à 95 % pour les corrélations intragrappe sous le modèle CHE. Nous voyons que les corrélations intragrappe varient d’un domaine à l’autre. L’estimation la plus élevée est 0,337 pour NC et la plus faible est 0,073 pour SR. Ces deux domaines présentent quelques grandes différences entre les moyennes a posteriori sous les modèles CHO et CHE. L’intervalle DPPG à 95 % pour la corrélation commune dans le modèle CHO, qui est (0,160; 0,260), est contenu par tous les intervalles, sauf ceux pour NR, NC, SR et OC. Donc, il est raisonnable d’étudier le modèle CHE.

Tableau 3.3
Valeurs sommaires a posteriori pour les corrélations intragrappe des modèles doubles avec corrélations hétérogènes pour les élèves américains sous la moyenne en mathématique par domaine
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Valeurs sommaires a posteriori pour les corrélations intragrappe des modèles doubles avec corrélations hétérogènes pour les élèves américains sous la moyenne en mathématique par domaine. Les données sont présentées selon Domaine (titres de rangée) et MP , ETP , Cre à 95 % et DPPG à 95 % (figurant comme en-tête de colonne).
Domaine MP ETP Cre à 95 % DPPG à 95 %
NR 0,076 0,084 (0,002; 0,301) (0,001; 0,251)
NP 0,184 0,087 (0,053; 0,380) (0,042; 0,358)
NC 0,337 0,087 (0,190; 0,520) (0,184; 0,513)
SR 0,073 0,067 (0,003; 0,252) (0,001; 0,216)
SP 0,237 0,075 (0,113; 0,393) (0,110; 0,387)
SC 0,176 0,079 (0,055; 0,356) (0,048; 0,329)
CR 0,149 0,147 (0,003; 0,523) (0,001; 0,445)
CP 0,233 0,103 (0,079; 0,486) (0,050; 0,434)
CC 0,235 0,077 (0,105; 0,388) (0,099; 0,381)
OR 0,181 0,099 (0,033; 0,413) (0,021; 0,378)
OP 0,181 0,075 (0,059; 0,362) (0,048; 0,327)
OC 0,301 0,063 (0,191; 0,437) (0,188; 0,434)

À la figure 3.2, nous comparons les densités a posteriori des corrélations intragrappe pour le modèle CHE (douze corrélations) et le modèle CHO (une corrélation). Les distributions sous le modèle CHE sont plus variables, et elles se situent principalement à la gauche ou à la droite de celles sous le modèle CHO, le chevauchement étant faible pour certains domaines (par exemple, NR, NC et SR).

Figure 3.2

Description de la figure 3.2

Figure composée de douze graphiques présentant les densités a postériori des corrélations intragrappes pour les notes de mathématique, pour chacun des douze domaines (NR, NP, NC, SR, SP, SC, CR, CP, CC, OR, OP et OC) pour les modèles CHE et CHO. Pour chaque graphique, la densité se trouve sur l’axe des y, allant de 0 à 15 et les corrélations se trouvent sur l’axe des x, allant de 0,0 à 0,8. Les distributions sous le modèle CHE sont plus variables, et elles se situent principalement à la gauche ou à la droite de celles sous le modèle CHO. Les domaines NR, NC et SR montrent un faible chevauchement entre les distributions des deux modèles. Les domaines NP, SC, CR, OR, OP et OC montrent un chevauchement un peu plus grand. Finalement, les courbes des domaines SP, CP et CC se chevauchent plus, mais pas complètement.

Aux figures 3.3, 3.4 et 3.5, nous comparons les courbes des densités a posteriori des proportions de la population finie pour les notes de mathématique par domaine pour les deux modèles. Des différences appréciables s’observent entre les modèles CHO et CHE (par exemple, domaines NR, NC, SR, CR et OC).

Figure 3.3

Description de la figure 3.3

Figure composée de quatre graphiques présentant les densités a postériori des proportions dans la population finie pour les notes de mathématique pour les domaines (NR, NP, NC et SR) pour les modèles CHE et CHO. Pour chaque graphique, la densité se trouve sur l’axe des y, allant de 0 à 6 et les corrélations se trouvent sur l’axe des x, allant de 0,0 à 0,8. Des différences appréciables s’observent entre les modèles CHO et CHE pour les domaines NR, NC et SR. Les distributions sont plus proches pour le domaine NP.

Figure 3.4

Description de la figure 3.4

Figure composée de quatre graphiques présentant les densités a postériori des proportions dans la population finie pour les notes de mathématique pour les domaines (SP, SC, CR et CP) pour les modèles CHE et CHO. Pour chaque graphique, la densité se trouve sur l’axe des y, allant de 0 à 6 et les corrélations se trouvent sur l’axe des x, allant de 0,0 à 0,8. Des différences appréciables s’observent entre les modèles CHO et CHE pour le domaine CR. Les distributions sont plus proches pour les domaines SP, SC et CP.

Figure 3.5

Description de la figure 3.5

Figure composée de quatre graphiques présentant les densités a postériori des proportions dans la population finie pour les notes de mathématique pour les domaines (CC, OR, OP et OC) pour les modèles CHE et CHO. Pour chaque graphique, la densité se trouve sur l’axe des y, allant de 0 à 6 pour CC et OR et de 0 à 8 pour OP et OC et les corrélations se trouvent sur l’axe des x, allant de 0,0 à 0,8. Des différences appréciables s’observent entre les modèles CHO et CHE pour le domaine OC. Les distributions sont plus proches pour les domaines CC, OR et OP.

3.2 Étude en simulation

Une étude en simulation nous permet de poursuivre l’évaluation de la performance du modèle CHE en vue de la comparer à celle du modèle CHO. Ici, nous utilisons deux facteurs, présentant chacun trois niveaux, pour obtenir neuf points de référence.

Nous avons fixé à 100 le nombre de grappes (écoles) dans chaque domaine et à 15 le nombre d’individus (élèves) dans chaque grappe. Autrement dit, nous prenons N i j = 15 , j = 1, , M i , M i = 100, i = 1, , l MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaamOtamaaBa aaleaacaWGPbGaamOAaaqabaGccaaI9aGaaGymaiaaiwdacaaISaGa amOAaiaai2dacaaIXaGaaGilaiablAciljaaiYcacaWGnbWaaSbaaS qaaiaadMgaaeqaaOGaaGilaiaaiccacaWGnbWaaSbaaSqaaiaadMga aeqaaOGaaGypaiaaigdacaaIWaGaaGimaiaaiYcacaaIGaGaamyAai aai2dacaaIXaGaaGilaiablAciljaaiYcacqWItecBaaa@4EAB@ l = 12. MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaeS4eHWMaaG ypaiaaigdacaaIYaGaaiOlaaaa@381F@ Désignons par a MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaaCyyaaaa@34E8@ un vecteur de moyennes a posteriori et par b MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0xi9s8vr0db9Ff0dbbG8Fq0Jfr=x fr=xfbpdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaaCOyaaaa@3593@ , le vecteur des écarts-types a posteriori correspondant aux μ i MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaeqiVd02aaS baaSqaaiaadMgaaeqaaaaa@36CE@ ou aux ρ i . MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaeqyWdi3aaS baaSqaaiaadMgaaeqaaOGaaiOlaaaa@3794@ Plus précisément, pour les ρ i MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaeqyWdi3aaS baaSqaaiaadMgaaeqaaaaa@36D8@ nous utilisons a 1 MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaaCyyamaaBa aaleaacaaIXaaabeaaaaa@35CF@ et b 1 , MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaaCOyamaaBa aaleaacaaIXaaabeaakiaacYcaaaa@368A@ et pour les μ i MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaeqiVd02aaS baaSqaaiaadMgaaeqaaaaa@36CE@ nous utilisons a 2 MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaaCyyamaaBa aaleaacaaIYaaabeaaaaa@35D0@ et b 2 . MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaaCOyamaaBa aaleaacaaIYaaabeaakiaac6caaaa@368D@ Quand nous simulons les données à partir du modèle CHE, les niveaux des ρ i MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaeqyWdi3aaS baaSqaaiaadMgaaeqaaaaa@36D8@ sont ( 1 : a 1 0 , 5 b 1 ; 2 : a 1 ; 3 : a 1 + 0 , 5 b 1 ) MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaWaaeWaaeaaca aIXaGaaiOoaiaaysW7caWHHbWaaSbaaSqaaiaaigdaaeqaaOGaeyOe I0IaaGimaiaacYcacaaI1aGaaCOyamaaBaaaleaacaaIXaaabeaaki aacUdacaaMe8UaaGOmaiaacQdacaaMe8UaaCyyamaaBaaaleaacaaI XaaabeaakiaacUdacaaMe8UaaG4maiaacQdacaaMe8UaaCyyamaaBa aaleaacaaIXaaabeaakiabgUcaRiaaicdacaGGSaGaaGynaiaahkga daWgaaWcbaGaaGymaaqabaaakiaawIcacaGLPaaaaaa@529E@ et les niveaux des μ i MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaeqiVd02aaS baaSqaaiaadMgaaeqaaaaa@36CE@ sont ( 1 : a 2 0 , 5 b 2 ; 2 : a 2 ; 3 : a 2 + 0 , 5 b 2 ) . MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaWaaeWaaeaaca aIXaGaaiOoaiaaysW7caWHHbWaaSbaaSqaaiaaikdaaeqaaOGaeyOe I0IaaGimaiaacYcacaaI1aGaaCOyamaaBaaaleaacaaIYaaabeaaki aacUdacaaMe8UaaGOmaiaacQdacaaMe8UaaCyyamaaBaaaleaacaaI YaaabeaakiaacUdacaaMe8UaaG4maiaacQdacaaMe8UaaCyyamaaBa aaleaacaaIYaaabeaakiabgUcaRiaaicdacaGGSaGaaGynaiaahkga daWgaaWcbaGaaGOmaaqabaaakiaawIcacaGLPaaacaGGUaaaaa@5355@ Pour les douze domaines, a 1 MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaaCyyamaaBa aaleaacaaIXaaabeaaaaa@35CF@ prend les valeurs 0,09; 0,19; 0,32; 0,08; 0,22; 0,18; 0,15; 0,22; 0,23; 0,17; 0,18; 0,30; b 1 MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaaCOyamaaBa aaleaacaaIXaaabeaaaaa@35D0@ prend les valeurs 0,08; 0,09; 0,08; 0,06; 0,07; 0,08; 0,13; 0,09; 0,07; 0,09; 0,07; 0,06; a 2 MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaaCyyamaaBa aaleaacaaIYaaabeaaaaa@35D0@ prend les valeurs 0,53; 0,37; 0,54; 0,58; 0,54; 0,65; 0,46; 0,44; 0,55; 0,46; 0,52; 0,66; et b 2 MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaaCOyamaaBa aaleaacaaIYaaabeaaaaa@35D1@ prend les valeurs 0,08; 0,08; 0,08; 0,06; 0,06; 0,06; 0,12; 0,09; 0,07; 0,08; 0,06; 0,05.

Nous tirons aussi un échantillon aléatoire simple de cinq grappes parmi les 100 grappes de la population, ainsi qu’un échantillon aléatoire simple de dix individus dans chaque grappe échantillonnée (c’est-à-dire m i = 5 MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaamyBamaaBa aaleaacaWGPbaabeaakiaai2dacaaI1aaaaa@379A@ et n i j = 10 ) . MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaamOBamaaBa aaleaacaWGPbGaamOAaaqabaGccaaI9aGaaGymaiaaicdacaGGPaGa aiOlaaaa@3A9F@ Ces nombres sont nettement plus faibles que ceux pour les données utilisées à la section 3.1, ce qui rend l’inférence un peu plus difficile (Nandram 2015). Notons que l’ensemble de données contient environ 7 % de grappes échantillonnées où tous les élèves étaient soit en dessous ou au-dessus de la moyenne. Nous nommons cette quantité le pourcentage de données éparses. La configuration de la présente étude en simulation donne lieu à des données encore plus éparses. Pour neuf points de référence, tous les pourcentages moyens de données éparses sont supérieurs à 7 % et la plupart sont de l’ordre de 10 %. La figure 3.6 montre les histogrammes des pourcentages de données éparses pour chaque point de référence.

Figure 3.6

Description de la figure 3.6

Figure composée de neuf graphiques présentant les histogrammes des pourcentages de données éparses quand les données sont tirées du modèle CHE, par point de référence [ ( i,j ): i,j=1,2,3 ] MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqr=fFD0xd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0dXdbba9Ff0dfrpm0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaWaamWaaeaada qadaqaaiaadMgacaGGSaGaamOAaaGaayjkaiaawMcaaiaabccacaGG 6aGaaeiiaiaadMgacaGGSaGaamOAaiabg2da9iaaigdacaGGSaGaaG OmaiaacYcacaaIZaaacaGLBbGaayzxaaaaaa@432A@ où le premier facteur correspond à ρ MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqr=fFD0xd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0dXdbba9Ff0dfrpm0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaeqyWdihaaa@35B7@ et le second, à μ. MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqr=fFD0xd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0dXdbba9Ff0dfrpm0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaeqiVd0Maai Olaaaa@365F@ Pour chaque graphique, la fréquence se trouve sur l’axe des y, allant de 0 à 200 et le pourcentage de données éparses se trouve sur l’axe des x, allant de 0,00 à 0,30 quand μ=3 MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqr=fFD0xd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0dXdbba9Ff0dfrpm0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaeqiVd0Maey ypa0JaaG4maaaa@3770@ et de 0,00 à 0,20 sinon. Pour les trois graphiques où μ=1, MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqr=fFD0xd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0dXdbba9Ff0dfrpm0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaeqiVd0Maey ypa0JaaGymaiaacYcaaaa@381E@ le pourcentage de données éparses culmine à environ 10 %, avec une plus grande fréquence sous qu’au-dessus de 10 %. Pour les trois graphiques où μ=2, MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqr=fFD0xd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0dXdbba9Ff0dfrpm0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaeqiVd0Maey ypa0JaaGOmaiaacYcaaaa@381F@ le pourcentage de données éparses culmine à environ 10 %, avec une plus grande fréquence au-dessus que sous 10 %. Pour les trois graphiques où μ=3, MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqr=fFD0xd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0dXdbba9Ff0dfrpm0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaeqiVd0Maey ypa0JaaG4maiaacYcaaaa@3820@ le pourcentage de données éparses culmine à environ 10 %, avec une fréquence très faible pour les pourcentages plus petits que 10 %.

Nous étudions deux scénarios. Dans le premier, nous générons des données à partir du modèle CHE et ajustons les deux modèles, et dans le second, nous générons des données à partir du modèle CHO et ajustons les deux modèles. Dans le cas des données simulées à partir du modèle CHE, nous avons neuf points de référence [ ( 1,1 ) , ( 1,2 ) , ( 1,3 ) , , ( 3,1 ) , ( 3,2 ) , ( 3,3 ) ] , MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaaG4waiaaiI cacaaIXaGaaGilaiaaigdacaaIPaGaaGilaiaaiIcacaaIXaGaaGil aiaaikdacaaIPaGaaGilaiaaiIcacaaIXaGaaGilaiaaiodacaaIPa GaaGilaiablAciljaaiYcacaaIOaGaaG4maiaaiYcacaaIXaGaaGyk aiaaiYcacaaIOaGaaG4maiaaiYcacaaIYaGaaGykaiaaiYcacaaIOa GaaG4maiaaiYcacaaIZaGaaGykaiaai2facaGGSaaaaa@5152@ et le premier facteur correspond à ρ i . MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaeqyWdi3aaS baaSqaaiaadMgaaeqaaOGaaiOlaaaa@3794@ Quand nous simulons les données à partir du modèle CHO, nous avons trois points de référence ( 1 : a 2 0,5 b 2 ; 2 : a 2 ; 3 : a 2 + 0,5 b 2 ) MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0xi9s8vr0db9Ff0dbbG8Fq0Jfr=x fr=xfbpdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaWaaeWaaeaaca aIXaGaaiOoaiaaysW7caWHHbWaaSbaaSqaaiaaikdaaeqaaOGaeyOe I0IaaGimaiaacYcacaaI1aGaaCOyamaaBaaaleaacaaIYaaabeaaki aacUdacaaMe8UaaGOmaiaacQdacaaMe8UaaCyyamaaBaaaleaacaaI YaaabeaakiaacUdacaaMe8UaaG4maiaacQdacaaMe8UaaCyyamaaBa aaleaacaaIYaaabeaakiabgUcaRiaaicdacaGGSaGaaGynaiaahkga daWgaaWcbaGaaGOmaaqabaaakiaawIcacaGLPaaaaaa@534D@ pour les trois niveaux pour les μ i ; MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaeqiVd02aaS baaSqaaiaadMgaaeqaaOGaai4oaaaa@3797@ la valeur de ρ MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaeqyWdihaaa@35BE@ est maintenue fixe à sa moyenne a posteriori.

Dans le premier scénario, à chaque point de référence, nous simulons des données binaires à partir du modèle CHE,

p i j | μ i , ρ i ind Bêta [ μ i 1 ρ i ρ i , ( 1 μ i ) 1 ρ i ρ i ] , y i j k | p i j ind Bernoulli ( p i j ) , k = 1, , N i j . MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aaatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaqbaeaabiGaaa qaamaaeiaabaGaamiCamaaBaaaleaacaWGPbGaamOAaaqabaGccaaM c8oacaGLiWoacaaMc8UaeqiVd02aaSbaaSqaaiaadMgaaeqaaOGaaG ilaiabeg8aYnaaBaaaleaacaWGPbaabeaaaOqaamaaxacabaqeeuuD JXwAKbsr4rNCHbacfaGae8hpIOdaleqabaGaaeyAaiaab6gacaqGKb aaaOGaaGjbVlaaykW7caqGcbGaaeO6aiaabshacaqGHbWaamWaaeaa cqaH8oqBdaWgaaWcbaGaamyAaaqabaGcdaWcaaqaaiaaigdacqGHsi slcqaHbpGCdaWgaaWcbaGaamyAaaqabaaakeaacqaHbpGCdaWgaaWc baGaamyAaaqabaaaaOGaaGilamaabmaabaGaaGymaiabgkHiTiabeY 7aTnaaBaaaleaacaWGPbaabeaaaOGaayjkaiaawMcaamaalaaabaGa aGymaiabgkHiTiabeg8aYnaaBaaaleaacaWGPbaabeaaaOqaaiabeg 8aYnaaBaaaleaacaWGPbaabeaaaaaakiaawUfacaGLDbaacaaISaaa baWaaqGaaeaacaWG5bWaaSbaaSqaaiaadMgacaWGQbGaam4Aaaqaba GccaaMc8oacaGLiWoacaaMc8UaamiCamaaBaaaleaacaWGPbGaamOA aaqabaaakeaadaWfGaqaaiab=XJi6aWcbeqaaiaabMgacaqGUbGaae izaaaakiaaysW7caaMc8UaaeOqaiaabwgacaqGYbGaaeOBaiaab+ga caqG1bGaaeiBaiaabYgacaqGPbWaaeWaaeaacaWGWbWaaSbaaSqaai aadMgacaWGQbaabeaaaOGaayjkaiaawMcaaiaaiYcacaaMf8Uaam4A aiaai2dacaaIXaGaaGilaiablAciljaaiYcacaWGobWaaSbaaSqaai aadMgacaWGQbaabeaakiaai6caaaaaaa@9827@

Donc, nous avons les vraies valeurs de P i = j = 1 M i k = 1 N i j y i j k / j = 1 M i N i j MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaamiuamaaBa aaleaacaWGPbaabeaakiaai2dadaaeWaqabSqaaiaadQgacaaI9aGa aGymaaqaaiaad2eadaWgaaqaaiaadMgaaeqaaaqdcqGHris5aOWaaa bmaeaadaWcgaqaaiaadMhadaWgaaWcbaGaamyAaiaadQgacaWGRbaa beaaaOqaamaaqadabaGaamOtamaaBaaaleaacaWGPbGaamOAaaqaba aabaGaamOAaiaai2dacaaIXaaabaGaamytamaaBaaameaacaWGPbaa beaaa0GaeyyeIuoaaaaaleaacaWGRbGaaGypaiaaigdaaeaacaWGob WaaSbaaWqaaiaadMgacaWGQbaabeaaa0GaeyyeIuoaaaa@51B6@ pour i = 1, , l . MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaamyAaiaai2 dacaaIXaGaaGilaiablAciljaaiYcacqWItecBcaGGUaaaaa@3ADF@ Nous tirons 1 000 échantillons à chacun des neuf points de référence. Pour chaque échantillon, nous exécutons l’échantillonneur de Gibbs « à grille » par blocs de la même façon que pour les données.

Comme Nandram (2015), nous calculons BA i h = | MP i h P i h | ,  BAR i h = BA i h / P i h MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaaeOqaiaabg eadaWgaaWcbaGaamyAaiaadIgaaeqaaOGaaGypamaaemaabaGaaGPa Vlaab2eacaqGqbWaaSbaaSqaaiaadMgacaWGObaabeaakiabgkHiTi aadcfadaWgaaWcbaGaamyAaiaadIgaaeqaaOGaaGPaVdGaay5bSlaa wIa7aiaaiYcacaqGGaGaaeOqaiaabgeacaqGsbWaaSbaaSqaaiaadM gacaWGObaabeaakiaai2dadaWcgaqaaiaabkeacaqGbbWaaSbaaSqa aiaadMgacaWGObaabeaaaOqaaiaadcfadaWgaaWcbaGaamyAaiaadI gaaeqaaaaaaaa@5339@ et REQMP i h = ETP i h 2 + BA i h 2 MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaaeOuaiaabw eacaqGrbGaaeytaiaabcfadaWgaaWcbaGaamyAaiaadIgaaeqaaOGa aGypamaakaaabaGaaeyraiaabsfacaqGqbWaa0baaSqaaiaadMgaca WGObaabaGaaGOmaaaakiabgUcaRiaabkeacaqGbbWaa0baaSqaaiaa dMgacaWGObaabaGaaGOmaaaaaeqaaaaa@4569@ pour étudier les propriétés fréquentistes de notre procédure ( i = 1, , l , h = 1, , 1 000 ) . MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaWaaeWaaeaaca WGPbGaaGypaiaaigdacaaISaGaeSOjGSKaaGilaiabloriSjaaiYca caWGObGaaGypaiaaigdacaaISaGaeSOjGSKaaGilaiaabgdacaaMe8 UaaeimaiaabcdacaqGWaaacaGLOaGaayzkaaGaaiOlaaaa@4675@ Nous obtenons aussi les intervalles de crédibilité et DPPG à 95 % pour chacune des 1 000 exécutions de la simulation, et nous étudions la largeur W i h MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaam4vamaaBa aaleaacaWGPbGaamiAaaqabaaaaa@36E1@ et l’incidence de crédibilité I i h . MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaamysamaaBa aaleaacaWGPbGaamiAaaqabaGccaGGUaaaaa@378F@ Si l’intervalle de crédibilité (ou DPPG) à 95 % de la h e MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaamiAamaaCa aaleqabaGaaeyzaaaaaaa@3600@ exécution contient la valeur réelle P i , MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaamiuamaaBa aaleaacaWGPbaabeaakiaacYcaaaa@36A7@ I i h MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaamysamaaBa aaleaacaWGPbGaamiAaaqabaaaaa@36D3@ est égale à un, sinon elle est nulle. Donc, le contenu probabiliste estimé de l’intervalle de crédibilité à 95 % pour le i e MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aaatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaamyAamaaCa aaleqabaGaaeyzaaaaaaa@3600@ domaine est C i = h = 1 1 000 I i h / 1 000 . MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aqatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaam4qamaaBa aaleaacaWGPbaabeaakiaai2dadaaeWaqaamaalyaabaGaamysamaa BaaaleaacaWGPbGaamiAaaqabaaakeaacaqGXaGaaGjbVlaabcdaca qGWaGaaeimaaaaaSqaaiaadIgacaaI9aGaaGymaaqaaiaabgdacaaM e8UaaeimaiaabcdacaqGWaaaniabggHiLdGccaGGUaaaaa@4787@

Le tableau 3.4 donne la comparaison des modèles CHO et CHE. Les couvertures sont clairement plus élevées sous le modèle CHE que sous le modèle CHO. Notons que les couvertures des intervalles DPPG pour le modèle CHE sont nettement plus proches de la valeur nominale de 95 % et sont conservatrices. Cependant, les intervalles de crédibilité et DPPG à 95 % sont plus larges que sous le modèle CHO. Ces effets deviennent beaucoup plus importants à mesure que ρ MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aaatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaaCyWdaaa@354A@ augmente. Les mesures BA, BAR et REQMP sont toutes plus petites sous le modèle CHE que sous le modèle CHO. Donc, en s’appuyant sur ces mesures, la préférence est donnée au modèle CHE plutôt qu’au modèle CHO.

Tableau 3.4
Simulation sous le modèle CHE : Comparaison des modèles CHE et CHO en utilisant la couverture moyenne et la largeur des intervalles de crédibilité à 95 % et le biais absolu, le biais absolu relatif et la racine carrée de l’erreur quadratique moyenne a posteriori pour les proportions de la population finie par point de référence
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Simulation sous le modèle CHE : Comparaison des modèles CHE et CHO en utilisant la couverture moyenne et la largeur des intervalles de crédibilité à 95 % et le biais absolu. Les données sont présentées selon Point de référence (titres de rangée) et Modèle , C-Cre , L-Cre , C-DPPG , L-DPPG, BA , BAR et REQMP (figurant comme en-tête de colonne).
Point de référence Modèle C-Cre L-Cre C-DPPG L-DPPG BA BAR REQMP
(1,1) CHE 0,989 0,620 0,961 0,603 0,112 0,227 0,206
CHO 0,930 0,555 0,893 0,541 0,130 0,266 0,207
(1,2) CHE 0,984 0,622 0,960 0,603 0,112 0,227 0,206
CHO 0,926 0,558 0,889 0,545 0,132 0,249 0,209
(1,3) CHE 0,980 0,623 0,955 0,608 0,120 0,211 0,210
CHO 0,923 0,558 0,892 0,546 0,134 0,236 0,212
(2,1) CHE 0,982 0,621 0,953 0,603 0,119 0,242 0,212
CHO 0,922 0,564 0,879 0,549 0,137 0,281 0,215
(2,2) CHE 0,980 0,625 0,952 0,609 0,122 0,228 0,214
CHO 0,918 0,566 0,879 0,552 0,139 0,264 0,217
(2,3) CHE 0,981 0,628 0,956 0,611 0,121 0,211 0,214
CHO 0,930 0,570 0,895 0,556 0,135 0,239 0,214
(3,1) CHE 0,982 0,627 0,949 0,608 0,121 0,245 0,215
CHO 0,934 0,583 0,892 0,566 0,136 0,278 0,218
(3,2) CHE 0,980 0,628 0,947 0,610 0,123 0,242 0,217
CHO 0,928 0,583 0,885 0,566 0,138 0,274 0,220
(3,3) CHE 0,976 0,632 0,951 0,614 0,124 0,218 0,218
CHO 0,928 0,581 0,889 0,565 0,139 0,246 0,220

Dans le tableau 3.5, nous comparons les données sommaires pour les critères DIC, BPP et LPML. Toutes les valeurs de DIC sous le modèle CHE sont plus faibles que les valeurs correspondantes sous le modèle CHO, et toutes les valeurs de LPML sous le modèle CHE sont plus grandes que celles sous le modèle CHO. Sous le modèle CHO, toutes les valeurs de BPP varient dans l’intervalle (0,06; 0,09), mais sous le modèle CHE, elles varient dans l’intervalle (0,2; 0,4). De nouveau, ces mesures montrent que le modèle CHE donne de meilleurs résultats que le modèle CHO.

De façon similaire, pour le deuxième scénario, nous générons des données binaires à partir de

p i j | μ i , ρ ind Bêta [ μ i 1 ρ ρ , ( 1 μ i ) 1 ρ ρ ] , y i j k | p i j ind Bernoulli ( p i j ) , k = 1, , N i j . MathType@MTEF@5@5@+= feaagKart1ev2aaatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr 4rNCHbGeaGqiFu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFgFv0dd9Wqpe0dd9 qqaqFeFr0xbbG8FaYPYRWFb9fi0lXxbvc9Ff0dfrpe0dXdHqps0=vr 0=vr0=fdbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaqbaeaabiGaaa qaamaaeiaabaGaamiCamaaBaaaleaacaWGPbGaamOAaaqabaGccaaM c8oacaGLiWoacaaMc8UaeqiVd02aaSbaaSqaaiaadMgaaeqaaOGaaG ilaiaaysW7cqaHbpGCaeaadaWfGaqaaebbfv3ySLgzGueE0jxyaGqb aiab=XJi6aWcbeqaaiaabMgacaqGUbGaaeizaaaakiaaysW7caaMc8 UaaeOqaiaabQoacaqG0bGaaeyyamaadmaabaGaeqiVd02aaSbaaSqa aiaadMgaaeqaaOWaaSaaaeaacaaIXaGaeyOeI0IaeqyWdihabaGaeq yWdihaaiaaiYcadaqadaqaaiaaigdacqGHsislcqaH8oqBdaWgaaWc baGaamyAaaqabaaakiaawIcacaGLPaaadaWcaaqaaiaaigdacqGHsi slcqaHbpGCaeaacqaHbpGCaaaacaGLBbGaayzxaaGaaGilaaqaamaa eiaabaGaamyEamaaBaaaleaacaWGPbGaamOAaiaadUgaaeqaaOGaaG PaVdGaayjcSdGaaGPaVlaadchadaWgaaWcbaGaamyAaiaadQgaaeqa aaGcbaWaaCbiaeaacqWF8iIoaSqabeaacaqGPbGaaeOBaiaabsgaaa GccaaMe8UaaGPaVlaabkeacaqGLbGaaeOCaiaab6gacaqGVbGaaeyD aiaabYgacaqGSbGaaeyAamaabmaabaGaamiCamaaBaaaleaacaWGPb GaamOAaaqabaaakiaawIcacaGLPaaacaaISaGaaGzbVlaadUgacaaI 9aGaaGymaiaaiYcacqWIMaYscaaISaGaamOtamaaBaaaleaacaWGPb GaamOAaaqabaGccaaIUaaaaaaa@9400@

Dans le tableau 3.6, nous comparons les modèles CHO et CHE. Ici, les critères BA, BAR et REQMP ne sont que légèrement plus faibles sous le modèle CHO. Les couvertures des intervalles de crédibilité et DPPG sous le modèle CHE s’approchent davantage de la valeur nominale de 95 %, tandis que celles sous le modèle CHO sont plus petites. Le tableau 3.7 donne les données sommaires pour les critères DIC, BPP et LPML. Toutes les valeurs de DIC sous le modèle CHE sont plus petites que sous le modèle CHO, tandis que les valeurs de BPP et de LPML sont similaires pour les deux modèles, celles obtenues sous le modèle CHO étant légèrement meilleures.

Tableau 3.5
Simulation sous le modèle CHE : Comparaison des modèles CHE et CHO en utilisant le critère d’information de déviance (DIC), la valeur p prédictive bayésienne (BPP) et le logarithme de la pseudo-vraisemblance marginale (LPML) par point de référence
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Simulation sous le modèle CHE : Comparaison des modèles CHE et CHO en utilisant le critère d’information de déviance (DIC). Les données sont présentées selon Point de référence (titres de rangée) et Modèle CHO et Modèle CHE (figurant comme en-tête de colonne).
Point de référence Modèle CHO Modèle CHE
DIC BPP LPML DIC BPP LPML
(1,1) 419,275 0,090 -285,452 402,044 0,429 -267,990
(1,2) 418,351 0,091 -286,250 400,647 0,439 -266,377
(1,3) 416,784 0,088 -286,290 400,414 0,446 -267,203
(2,1) 436,980 0,067 -307,028 416,264 0,300 -292,756
(2,2) 437,306 0,062 -308,816 414,955 0,318 -292,404
(2,3) 430,531 0,080 -302,258 410,436 0,351 -285,206
(3,1) 441,204 0,090 -316,126 424,010 0,227 -308,825
(3,2) 442,165 0,083 -318,223 424,363 0,235 -309,815
(3,3) 438,305 0,071 -315,159 418,827 0,260 -306,619
Tableau 3.6
Simulation sous le modèle CHO : Comparaison des modèles CHE et CHO en utilisant la couverture moyenne et la largeur des intervalles de crédibilité à 95 % et le biais absolu, le biais absolu relatif et la racine carrée de l’erreur quadratique moyenne a posteriori pour les proportions de la population finie par point de référence
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Simulation sous le modèle CHO : Comparaison des modèles CHE et CHO en utilisant la couverture moyenne et la largeur des intervalles de crédibilité à 95 % et le biais absolu. Les données sont présentées selon Point de référence (titres de rangée) et Modèle , C-Cre , L-Cre , C-DPPG , L-DPPG, BA , BAR et REQMP (figurant comme en-tête de colonne).
Point de référence Modèle C-Cre L-Cre C-DPPG L-DPPG BA BAR REQMP
1 CHE 0,985 0,627 0,969 0,608 0,117 0,242 0,212
CHO 0,944 0,575 0,919 0,559 0,107 0,240 0,210
2 CHE 0,988 0,634 0,952 0,616 0,122 0,234 0,216
CHO 0,938 0,585 0,917 0,568 0,115 0,214 0,211
3 CHE 0,977 0,628 0,940 0,611 0,126 0,222 0,218
CHO 0,933 0,572 0,908 0,556 0,113 0,202 0,208
Tableau 3.7
Simulation sous le modèle CHO : Comparaison des modèles CHE et CHO en utilisant le critère d’information de déviance (DIC), la valeur p prédictive bayésienne (BPP) et le logarithme de la pseudo-vraisemblance marginale (LPML) par point de référence
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Simulation sous le modèle CHO : Comparaison des modèles CHE et CHO en utilisant le critère d’information de déviance (DIC). Les données sont présentées selon Point de référence (titres de rangée) et Modèle CHO et Modèle CHE (figurant comme en-tête de colonne).
Point de référence Modèle CHO Modèle CHE
DIC BPP LPML DIC BPP LPML
1 428,647 0,308 -300,526 416,626 0,302 -303,001
2 430,113 0,371 -295,191 417,557 0,317 -296,531
3 429,598 0,379 -295,613 414,877 0,335 -297,250

Donc, quand les données sont effectivement issues du modèle CHE, nous constatons certaines différences importantes entre les deux modèles, la préférence étant donnée au modèle CHE. Par contre, quand les données proviennent du modèle CHO, les différences constatées entre les deux modèles sont mineures. Bien entendu, le modèle CHE (corrélations inégales) contient plus de paramètres que le modèle CHO (une corrélation).


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