4 Conclusion

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Les pomiculteurs canadiens doivent contrer la menace que font peser les insectes, les maladies et les mauvaises herbes sur leurs cultures. Pour combattre cette menace, les producteurs emploient une approche intégrée pour lutter contre les ennemis des cultures, ayant notamment recours aux pesticides et aux meilleures pratiques de lutte antiparasitaire, ce qui leur permet d'obtenir les récoltes de qualité que souhaitent acheter les consommateurs. Les pommes étant une culture vivace, les mêmes pommiers donnant des fruits pendant de nombreuses années, les producteurs doivent décider des espèces d'arbres à planter en tenant compte pour ce faire de l'impact à long terme de cette sélection tant sur la production que sur la commercialisation du fruit.

Au Canada, les pesticides sont réglementés par la Loi sur les produits antiparasitaires et font l'objet d'évaluations pour en déterminer la sécurité pour l'environnement et la santé humaine. Les pesticides utilisés au Canada sont jugés sécuritaires s'ils sont utilisés conformément au mode d'emploi apparaissant sur l'étiquette.

Les données de la présente enquête montrent que les pomiculteurs ont recours à des pratiques de lutte antiparasitaire intégrée (LAI) pour mieux lutter contre les insectes, les maladies et les mauvaises herbes. La LAI consiste à utiliser un arsenal d'outils permettant, en conjugaison, de combattre les ennemis des cultures. Ces outils comprennent non seulement les pesticides, mais également une panoplie de pratiques culturales et d'outils non chimiques pouvant aider à lutter contre les maladies.