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Catalogue en ligne Volume 2004, numéro 1 Page principale Étude de rapprochement À propos de cet article Version PDF

Le tigre par la queue? Les échanges commerciaux entre le Canada et la Corée du Sud

Sandra Bohatyretz
Division du commerce international

Sommaire
Importations canadiennes en provenance de la Corée du Sud, de 1994 à 2003
Exportations canadiennes à destination de la Corée du Sud, de 1994 à 2003
Balance commerciale
Rapprochement des statistiques sur les échanges commerciaux
Bibliographie

Sommaire

Le « tigre » asiatique est désormais un important partenaire commercial du Canada

Hyundai, KIA, GM Daewoo – inutile de rouler bien longtemps sur les autoroutes canadiennes pour prendre conscience de l'ampleur des échanges commerciaux entre le Canada et la Corée du Sud, l'un des « quatre tigres » de l'Asie de l'Est. Les véhicules à moteur et les pièces d'automobile sont les principales importations canadiennes provenant de la Corée du Sud, dont l'économie se classe maintenant au douzième rang mondial (OCDE).

Certes, le commerce entre le Canada et la Corée du Sud ne saurait se comparer aux échanges avec notre voisin immédiat, les États-Unis. Néanmoins, au cours des dix dernières années, la Corée du Sud est devenue un partenaire commercial de plus en plus important du Canada – bien que, en toute justice, il faille bien reconnaître que le Canada est loin de tenir le tigre par la queue.

De même que dans le cas de la Chine, la croissance des importations canadiennes provenant de la Corée du Sud ont connu au cours de la dernière décennie un rythme de croissance de loin supérieur à celui de nos exportations vers ce pays. Cela explique que le déficit de la balance commerciale du Canada avec la Corée du Sud ait décuplé.

La Corée du Sud s'est classée septième parmi toutes les sources d'importations canadiennes de marchandises en 2003, alors qu'elle se situait au onzième rang dix ans auparavant. Pour ce qui est des exportations canadiennes, elle a été le huitième plus important partenaire du Canada l'an dernier; en 1994, elle se classait sixième.

Après la Chine et le Japon, la Corée du Sud est notre plus important partenaire commercial parmi les pays côtiers du Pacifique. En 2003, nos échanges avec elle ont représenté 11 % de nos exportations et près de 12 % de nos importations dans cette région.

L'expansion du marché sud-coréen est de première importance pour l'économie canadienne, car elle est gage de perspectives commerciales intéressantes pour nos entreprises.

Dans le présent article, nous examinons les tendances révélées par les flux de marchandises1 entre le Canada et la Corée du Sud entre 1994 et 2003 ainsi que l'importance de ces échanges pour le Canada. Nous étudions également les écarts observés au niveau des statistiques sur le commerce grâce à l'étude de rapprochement des données statistiques sur les échanges de marchandises entre les deux pays menée en 2001 et 2002. Cette étude a mis en lumière les raisons expliquant les écarts reliés à nos statistiques sur le commerce et nous a permis de mieux comprendre les pratiques des deux pays en matière de déclaration des données.

Une impressionnante intégration à l'économie mondiale

La croissance économique de la Corée du Sud et son intégration à l'économie mondiale sont étonnantes. Ce pays vient désormais au douzième rang des pays commerçants de la planète, la valeur de ses échanges commerciaux ayant atteint 522 milliards de dollars en 2003, soit le double de celle enregistrée dix ans auparavant (KITA).

Figure 1. Les échanges internationaux de la Corée du Sud, de 1994 à 2003. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira. Figure 1. Les échanges internationaux de la Corée du Sud, de 1994 à 2003

Forte d'une population estimée à 48 millions d'habitants, la Corée du Sud est le plus grand des quatre « tigres » de l'Asie. Ce pays compte sur un bassin de consommateurs deux fois supérieur à celui de Taiwan, un peu plus de six fois supérieur à celui de Hong-Kong et douze fois supérieur à celui de Singapour.

La crise financière asiatique de 1997 (souvent appelée la « grippe asiatique ») a provoqué un ralentissement très marqué de l'économie sud-coréenne. Le marché boursier national a connu un fléchissement, suivi d'une chute soudaine du won par rapport au dollar américain.

Cette situation a amené le gouvernement de la Corée du Sud à contracter un emprunt d'urgence auprès du Fonds monétaire international (FMI) et à lancer différentes réformes en profondeur de tous les secteurs clés de l'économie nationale.

La reprise rapide de l'économie a été remarquable. La vigueur du marché intérieur a donné lieu à de plus en plus de possibilités pour les entreprises étrangères, et le Canada est en mesure de tirer profit de l'expansion de ce marché.

Le Canada et la Corée du Sud : des relations diplomatiques qui datent de plus de quarante ans

Cela fait plus de quarante ans que le Canada et la Corée du Sud entretiennent des relations diplomatiques officielles; de fait, ces relations ont été nouées en 1962. Les rapports entre les deux pays remontent à loin. Au cours de la dernière décennie, nos liens commerciaux ont connu une évolution perceptible.

C'est lors du sommet de 1993 de l'Organisation de coopération économique Asie-Pacifique (APEC) qu'on a jeté les bases d'un « partenariat spécial » entre les deux pays dans différents domaines – commerce, investissement et dialogue politique. Les deux pays étaient conscients des possibilités offertes par un resserrement de leurs relations et ont pris l'engagement d'appuyer dans toute la mesure du possible leurs exportations réciproques.

En avril 1994, un groupe de travail a été mis sur pied dans le cadre du partenariat spécial entre les deux pays pour accroître la coopération en matière, notamment, de commerce, d'investissement et de transferts technologiques.

Cette collaboration a donné lieu à différents changements; ainsi, la Corée du Sud a accepté de supprimer certaines exigences restrictives d'étiquetage applicables à l'eau embouteillée traitée à l'ozone ainsi que de réduire les droits de douane sur l'huile de colza canadienne (MAECI).

Le flux des échanges avec la Corée du Sud – les importations sont révélatrices

Avant la crise financière qui a secoué l'Asie en 1997, les échanges entre le Canada et la Corée du Sud étaient à peu près équilibrés entre importations et exportations. Le volume des opérations a culminé à légèrement plus de 5,9 milliards de dollars en 1995 avant de redescendre à 5,1 milliards environ en 1998.

Par contre, en 1999, l'économie sud-coréenne a repris de l'allant. Cette année-là, la croissance de son produit intérieur brut réel a atteint 10,9 %, et 9,3 % en 2000 (APEC).

Après avoir connu un recul en 2003, la Corée du Sud a rebondi avec force, et la croissance prévue du PIB réel en 2004 et en 2005 est de 6,3 et de 4,8 %, respectivement (The Economist).

Les échanges de la Corée du Sud avec le Canada sont à l'image de cette croissance. En 1999, la valeur totale de nos échanges avec ce pays a recommencé de croître, et elle dépassait les 7,6 milliards de dollars en 2000.

Toutefois, ce gain tenait pour une bonne part au volume élevé de nos importations de la Corée du Sud, en particulier des véhicules à moteur. Nos exportations vers ce pays ont subi le dur contrecoup de la crise économique qui a secoué la Corée du Sud à compter de 1997, et nous n'avons pas encore regagné le chemin perdu.

Figure 2. Les échanges commerciaux entre le Canada et la Corée du Sud, de 1994 à 2003. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira. Figure 2. Les échanges commerciaux entre le Canada et la Corée du Sud, de 1994 à 2003

Au cours des dix dernières années, la valeur des échanges bilatéraux entre le Canada et la Corée du Sud a augmenté de 49 %.

Durant cette période, nos exportations vers la Corée du Sud ont chuté de 15 % alors même que, dans l'ensemble, nos exportations internationales croissaient de 69 %. Parallèlement, nos importations augmentaient de 65 % dans l'ensemble, et elles faisaient plus que doubler dans le cas de la Corée du Sud (104 %).

Importations canadiennes en provenance de la Corée du Sud, de 1994 à 2003

Très forte progression des importations d'automobiles en à peine dix ans

En 2003, le Canada venait au onzième rang des destinations les plus importantes pour les exportations sud-coréennes, ce qui représente un gain de deux places au cours des dix dernières années (KITA).

Cette année-là, la valeur des importations canadiennes de biens provenant de la Corée du Sud a atteint 5,1 milliards de dollars, soit un peu plus du double du chiffre enregistré en 1994. Cette hausse est attribuable pour la plus grande partie aux importations de véhicules à moteur.

Durant cette période, les importations canadiennes de véhicules à moteur et de pièces d'automobile provenant de la Corée du Sud ont quintuplé et, en 2003, elles constituaient 30 % des importations totales venant de ce pays, soit trois fois plus qu'en 1994.

En 2003 toujours, les entreprises sud-coréennes ont expédié au Canada des véhicules et des pièces d'automobile d'une valeur dépassant 1,5 milliard de dollars.

Les automobiles, les semiconducteurs, les téléviseurs, les magnétoscopes et les électroménagers ont constitué près des trois quarts des importations canadiennes provenant de la Corée l'an dernier, comparativement à 62 % environ dix ans auparavant.

Tableau 1a. Principales importations canadiennes provenant de la Corée du Sud, 1994. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira. Tableau 1a. Principales importations canadiennes provenant de la Corée du Sud, 1994
Tableau 1b. Principales importations canadiennes provenant de la Corée du Sud, 2003. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira. Tableau 1b. Principales importations canadiennes provenant de la Corée du Sud, 2003

Exportations canadiennes à destination de la Corée du Sud, de 1994 à 2003

Le Canada, un fournisseur de ressources naturelles tout trouvé

Pays aux ressources naturelles limitées, la Corée du Sud est tributaire des importations pour obtenir des produits primaires comme du pétrole brut, du charbon, du bois d'ouvre, de la pâte de bois et des produits chimiques organiques. La plus grande partie de ses importations proviennent des États-Unis.

Cependant, l'expansion du marché intérieur sud-coréen se traduira par des possibilités plus vastes pour les entreprises étrangères, et le Canada est bien placé pour alimenter ce marché en croissance.

Nos exportations vers la Corée du Sud ont chuté à la suite de la crise économique de 1997 et ne sont pas encore revenues à leur niveau antérieur.

En 1998, la valeur de nos exportations vers la Corée du Sud s'élevait à 1,8 milliard de dollars, en baisse de 19 % par rapport à quatre ans auparavant. En 2003, le chiffre enregistré a été de 1,9 milliard, ce qui est de 15 % inférieur au résultat atteint dix ans auparavant.

En 1994, le Canada se classait huitième parmi les principales sources d'importations de la Corée du Sud. Dix ans plus tard, nous avions reculé à la vingt-troisième place (KITA). La concurrence livrée par les économies de marché émergentes, en particulier la Chine, est l'un des facteurs clés expliquant ce recul du Canada sur le marché sud-coréen.

Étant donné qu'elle est à peu près démunie de matières premières mais que son économie repose sur une vaste assise industrielle, la Corée du Sud pourrait s'avérer un marché important où écouler un large éventail de produits primaires canadiens. La pâte de bois, le charbon et l'aluminium sont les trois principaux produits exportés par le Canada vers la Corée du Sud; ils ont constitué, en 2003, 44 % de l'ensemble de nos exportations vers ce pays.

Les marchandises exportées par le Canada en Corée du Sud sont demeurées à peu près les mêmes au cours de la dernière décennie, exception faite des céréales. En 1994, celles-ci représentaient le cinquième environ de nos exportations vers ce pays. Dix ans plus tard, cette proportion n'était que de 2 % à peine. La concurrence croissante de la part de l'Australie, de la Chine et de l'Ukraine a conduit à cet affaissement de notre part des importations céréalières par la Corée du Sud.

Tableau 2a. Principales importations canadiennes Principales exportations canadiennes à destination de la Corée du Sud Corée du Sud, 1994. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira. Tableau 2a. Principales exportations canadiennes à destination de la Corée du Sud, 1994
Tableau 2b. Principales exportations canadiennes à destination de la Corée du Sud Corée du Sud, 2003. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira. Tableau 2b. Principales exportations canadiennes à destination de la Corée du Sud, 2003

Balance commerciale

La balance commerciale a été déficitaire lors de huit des dix dernières années

La forte hausse des importations canadiennes provenant de la Corée du Sud et le recul de nos exportations ont eu pour conséquence que la balance commerciale du Canada avec ce pays a été déficitaire lors de huit des dix dernières années.

Figure 3. Balance commerciale du Canada avec la Corée du Sud, de 1994 à 2003. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira. Figure 3. Balance commerciale du Canada avec la Corée du Sud, de 1994 à 2003

En 1996 et en 1997, la balance commerciale du Canada avec la Corée du Sud a été légèrement excédentaire. Les choses ont toutefois changé avec la reprise de l'économie sud-coréenne, au lendemain de la crise financière asiatique. Le déficit commercial a ainsi doublé, étant passé de 1,5 milliard environ en 1998 à 3,2 milliards en 2003.

En proportion de la valeur totale des échanges de marchandises avec la Corée du Sud (importations et exportations), notre déficit commercial est passé de 6 % en 1994 à 46 % en 2003.

Cela demeure toutefois sans commune mesure avec notre déficit commercial avec la Chine, qui, de 1,2 milliard de dollars en 1995, a bondi à près de 13,8 milliards en 2003.

Rapprochement des statistiques sur les échanges commerciaux

Compréhension des différences conceptuelles

Pour se faire une idée plus juste de nos échanges commerciaux avec la Corée du Sud, il faut comprendre les différences conceptuelles touchant la comptabilisation des échanges dans chaque pays ainsi que les erreurs pouvant s'être glissées dans les données publiées.

Les statistiques recueillies par les pays à propos des échanges commerciaux sont souvent différentes de celles publiées par leurs partenaires commerciaux. Par exemple, en théorie, les exportations canadiennes déclarées à destination de la Corée du Sud devraient correspondre aux importations sud-coréennes déclarées en provenance du Canada, et vice versa; or, tel n'est pas le cas.

Ainsi, en 2001, les importations canadiennes déclarées ont été de 1,5 milliard supérieures aux exportations sud-coréennes déclarées. L'année suivante, l'écart était de 1,2 milliard. De même, en 2001, les importations déclarées par la Corée du Sud ont excédé de 835 millions les exportations déclarées par le Canada. En 2002, l'écart atteignait 900 millions.

Tableau 3a. Comparaison des exportations sud-coréennes et des importations canadiennes, 2001 et 2002. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira. Tableau 3a. Comparaison des exportations sud-coréennes et des importations canadiennes, 2001 et 2002
Tableau 3b. Comparaison des exportations canadiennes et des importations sud-coréennes, 2001 et 2002. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira. Tableau 3b. Comparaison des exportations canadiennes et des importations sud-coréennes, 2001 et 2002

Le Canada et la Corée du Sud établissent tous deux leurs statistiques à partir des données administratives fournies par leurs services douaniers respectifs. Les bureaux de douane accordent généralement plus d'attention aux biens qui entrent au pays qu'à ceux qui sont expédiés à l'étranger, étant donné les exigences d'évaluation tarifaire et d'application des accords commerciaux. En conséquence, les données sur les importations sont habituellement plus fiables que celles sur les exportations.

Pour mieux comprendre les flux réels de marchandises entre les deux économies, une étude de rapprochement portant sur le commerce de marchandises entre le Canada et la Corée du Sud a été effectuée.

L'étude a permis de dégager les principales différentes touchant les données statistiques sur le commerce et de calculer des chiffres estimatifs correspondant davantage aux échanges réels entre les deux pays. On a ainsi constaté que les causes les plus importantes des écarts que présentent les données sur les échanges commerciaux entre le Canada et la Corée du Sud étaient le commerce indirect et le sous-dénombrement des exportations.

L'étude de rapprochement a montré que le déficit du commerce de marchandises du Canada était en fait inférieur dans une proportion d'un peu plus de 30 % aux chiffres publiés pour 2001 et 2002. Le déficit des échanges avec la Corée du Sud après rapprochement a été de 1,8 milliard de dollars en 2001 et de 2 milliards en 2002.

Par contre, l'excédent commercial de la Corée du Sud en ce qui touche ses échanges avec le Canada a été pour sa part supérieur aux chiffres publiés. Il atteignait près de 2 milliards de dollars tant en 2001 qu'en 2002.

Tableau 4a. Balance commerciale du Canada : résultats publiés et résultats après rapprochement, 2001 et 2002. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira. Tableau 4a. Balance commerciale du Canada : résultats publiés et résultats après rapprochement, 2001 et 2002
Tableau 4b. Balance commerciale de la Corée du Sud : résultats publiés et résultats après rapprochement, 2001 et 2002. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira. Tableau 4b. Balance commerciale de la Corée du Sud : résultats publiés et résultats après rapprochement, 2001 et 2002

Les résultats de l'étude de rapprochement confirment que le principal facteur expliquant les écarts entre les données publiées par le Canada et celles publiées par la Corée du Sud est le fait que les exportations sont souvent sous-évaluées, et ce, pour les deux directions des flux. La non-production des déclarations d'exportation requises et les erreurs d'affectation en raison des différences de déclaration du commerce indirect ont également eu des répercussions sur la balance commerciale du Canada au regard de la Corée du Sud.

Le déficit essuyé par le Canada au chapitre de ses échanges de marchandises était moins élevé lorsqu'il était établi avec les données obtenues à la suite du rapprochement qu'avec les données publiées. Cela vaut aussi pour les statistiques de la Corée du Sud.

Étant donné l'utilité de l'étude de rapprochement en vue de déterminer toutes ces différences, le Canada et la Corée du Sud ont convenu de poursuivre les discussions et, éventuellement, de procéder à des travaux de rapprochement complémentaires.


1. Le commerce de marchandises englobe le commerce de biens et exclut le commerce de services. Dans le présent article, nous utilisons les données statistiques sur le commerce de marchandises établies par les services douaniers, plus précisément l'Agence des services frontaliers du Canada, la Customs and Border Protection des États-Unis et les services douaniers sud-coréens. Retournez au texte


Bibliographie

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www.apec.org/apec/member_economies/economy_reports
(accédé le 23 juillet 2004).

Ministère des Affaires étrangères et du Commerce international (MAECI). p.d. Négociations et accords commerciaux. 'Ouverture sure le monde: Priorités du Canada en matière d'accès aux marchés internationaux 2003' – La Corée du Sud.
www.dfait-maeci.gc.ca/tna-nac/2003/6-fr.asp (accédé le 16 avril 2004).

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Korea Customs Service: www.customs.go.kr

Korea International Trade Association (KITA). p.d. Trade by Country. www.stat.kita.net/statistics (accédé le 16 avril 2004).

Korea National Statistical Office (KNSO): www.korea.net

Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). p.d. Portail des Statistiques. 'Principaux indicateurs économiques de l'OCDE'. www.oecd.org (accédé le 15 juin 2004).


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Date de modification : 2005-05-16 Avis importants