2002 - Année prospère pour le marché du travail
Geoff Bowlby
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De janvier à décembre 2002, l'emploi a bondi de 560 000 (3,7 %). En fin d'année, la proportion de la population en âge de travailler et occupant un emploi a été de 62,4 %, le plus haut taux jamais enregistré.
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En 2002, le taux de chômage a chuté d'un demi point pour s'établir à 7,5 %. N'eut été d'une hausse importante du nombre de personnes ayant intégré le marché du travail, le taux aurait chuté encore davantage. En fin d'année, le taux d'activité a atteint 67,5 %, en hausse d'un point complet pour l'année, égalant le sommet atteint en janvier 1990.
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Les entreprises de la plupart des secteurs embauchaient en 2002, mais le gain le plus marqué provenait du secteur de la fabrication o— le nombre de personnes occupant un emploi a bondi de 125 000 (5,6 %).
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Les gains effectués dans le secteur de la fabrication au Canada de même que le boom des constructions résidentielles ont fait augmenter le nombre d'emplois de 211 000 (3,1 %) chez les hommes adultes. Tandis que le secteur de la fabrication est responsable d'une vaste part des 244 000 (4,2 %) nouveaux emplois chez les femmes adultes, des gains plus significatifs ont été obtenus dans le secteur de la santé et de l'assistance sociale, de même que dans celui des services d'enseignement.
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L'emploi chez les jeunes s'est accru de 104 000 (4,5 %) en 2002, en partie à cause d'une plus grande disponibilité des emplois à temps partiel. Dans l'ensemble, l'emploi à temps partiel a augmenté de 223 000 (8,1 %).
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Presque toutes les provinces ont connu des hausses de l'emploi, mais l'Ontario et le Québec se sont accaparé près des deux tiers des gains.
Auteur
Geoff Bowlby est au service de la Division de la statistique du travail. On peut le rejoindre au (613) 951-3325 ou à perspective@statcan.gc.ca.
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