Enquête nationale auprès des apprentis : Vue d’ensemble du Canada 2015
Section 1 Introduction

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L’Enquête nationale auprès des apprentis (ENA) de 2015 examine l’expérience de la formation en apprentissage au Canada, y compris les parcours menant à l’apprentissage d’un métier et aux métiers spécialisés, ainsi que les facteurs ayant une incidence sur l’achèvement des programmes et l’obtention d’un certificat. Cette vue d’ensemble du Canada offre un premier aperçu des données générées dans le cadre de cette nouvelle enquête. La section d’introduction passe brièvement en revue la situation des métiers spécialisés et de l’apprentissage au Canada et fournit des renseignements sur l’ENA de 2015. On y présente également certains des principaux enjeux figurant dans l’enquête ainsi qu’un survol de ce qui sera abordé dans le présent rapport.

Les métiers spécialisés et l’apprentissage au Canada

Les métiers spécialisés constituent un important moteur de l’économie canadienne et ont une incidence sur pratiquement tous les aspects de la vie. Alors que les métiers peuvent évoquer un ensemble de professions plutôt restreint — par exemple les électriciens, les plombiers, les mécaniciens, les charpentiers et les soudeurs —, les possibilités d’emploi qu’offrent les métiers spécialisés sont plutôt vastes. De nombreux ouvriers de métiers travaillent dans les grands secteurs de la construction, de la fabrication et des ressources au Canada; les métiers spécialisés sont également représentés, entre autres, dans les secteurs de l’hébergement, de l’éducation, des technologies de l’information et du tourisme. On compte plus de 300 professions faisant l’objet d’un apprentissage (c.-à-d. les métiers désignés) au Canada. Selon l’Enquête nationale auprès des ménages (ENM) de 2011 de Statistique Canada, environ 12 % des Canadiens ont déclaré comme plus haut niveau de scolarité atteint un certificat ou un diplôme d’une école de métiers (Statistique Canada, 2013). En 2015, 4 millions de personnes au Canada exerçaient un métier spécialisé, ce qui représente environ 22,1 % des Canadiens sur le marché du travail (Enquête sur la population active, 2015).

La formation en apprentissage est l’un des principaux moyens par lesquels les personnes acquièrent les connaissances et les habiletés requises pour devenir des ouvriers de métiers qualifiés. La méthode dictée par l’industrie combine l’expérience en cours d’emploi et la formation technique en classe. Dans le cadre d’un apprentissage type, le temps de l’apprenti est réparti entre le lieu de travail (de 80 % à 90 %) et la salle de classe (de 10 % à 20 %). L’apprentissage relève de l’autorité provinciale et territoriale; c’est-à-dire qu’il appartient aux provinces et territoires de désigner les métiers spécialisés, de réglementer et d’administrer les programmes d’apprentissage ainsi que d’accorder la certification professionnelle aux ouvriers de métiers à titre de compagnons. L’industrie et les employeurs jouent un rôle essentiel dans la prestation et la création de formations en apprentissage par l’embauche d’apprentis et l’offre de formations et d’expériences de travail. Les collèges, les écoles techniques, les syndicats ou les formateurs privés offrent la formation technique dans le cadre de l’apprentissage. Ces cours obligatoires ont souvent lieu dans des salles de classe; cependant, les personnes offrant ces cours peuvent choisir d’autres méthodes d’enseignement, comme des cours en ligne ou une formation mixte (ou hybride) — offerte à la fois en ligne et en classe.

Une main-d’œuvre mobile, flexible et hautement qualifiée de même qu’un marché du travail sain représentent des atouts pour les pays. Au Canada, le gouvernement fédéral collabore avec les provinces et les territoires par l’entremise du Conseil canadien des directeurs de l’apprentissage (CCDA) pour soutenir le développement d’une main-d’œuvre qualifiée dans les métiers spécialisés. Le CCDA est responsable d’administrer le Programme des normes interprovinciales Sceau rougeNote 1, et sert également de tribune pour la collaboration intergouvernementale avec les industries ayant des questions communes liées à l’apprentissage. Actuellement, on compte 56 métiers désignés Sceau rouge, qui regroupent près de 4 apprentis sur 5.

Au Canada, d’importants investissements ont été faits pour l’apprentissage par le truchement du Programme Sceau rouge, et différentes formes de soutien financier pour les apprentis ont été offertes, notamment des subventions, des prêts, des crédits d’impôt et des prestations d’assurance-emploi durant la formation en classe à temps plein. Ces mesures visent à aider les apprentis dans la réalisation de leurs programmes de formation en apprentissage.

La forte croissance économique relativement constante depuis 2000 et les pressions démographiques comme le vieillissement de la main-d’œuvre ont contribué à la demande accrue d’ouvriers de métiers qualifiés. Malgré les fluctuations de l’économie, les organismes de l’industrie au Canada prévoient la création de nombreux emplois dans les métiers spécialisés au cours de la prochaine décennie (BuildForce, 2016; MiHRC, 2016; Enform 2016). En 2014, on comptait plus de 450 000 apprentis inscrits au Canada (Système d’information sur les apprentis inscrits, 2014). Malgré le déclin qui a suivi la récession économique de 2008 et 2009, le nombre de nouvelles inscriptions aux programmes d’apprentissage a augmenté de près de 200 % depuis les années 1990.

La durée des programmes d’apprentissage peut être de deux ans (comme les métiers de coiffeur, d’esthéticienne et de serveur d’aliments et de boissons) à cinq ans (comme les métiers d’électricien en construction et de plombier dans certains secteurs de compétence). Le nombre réel d’années avant l’achèvement de l’apprentissage est un peu plus élevé (Desjardins et Paquin, 2010). Il est possible qu’un apprenti ne termine pas son programme d’apprentissage, ou qu’il ait besoin de plus de temps pour y parvenir, et ce, pour plusieurs raisons. Dans le cadre des enquêtes précédentes, le fait de ne pas avoir assez de travail ou de ne pas disposer d’un revenu suffisant s’est avéré être un facteur déterminant, de pair avec les difficultés liées aux employeurs (p. ex. ne pas libérer les apprentis pour qu’ils aillent suivre la formation technique) et le manque de compétences essentielles (Cadieux, 2010). Les résultats de l’ENA de 2015 ont permis d’examiner ces questions plus en profondeur, en fournissant des renseignements sur les raisons qui sous-tendent les retards dans l’achèvement et le décrochage.

Les groupes démographiques ne participent pas tous de la même façon à la formation en apprentissage. On observe une sous-représentation importante parmi certains groupes, dont les femmes et les immigrants, alors que d’autres, comme les jeunes, les Autochtones et les personnes ayant une incapacité, sont confrontés à des difficultés différentes. Par exemple, les autorités en matière d’apprentissage souhaitent attirer un plus grand nombre de jeunes à se tourner plus tôt vers la formation en apprentissage, puisque les métiers ne sont pas souvent un premier choix de carrière (Deussing, 2016). Le fait de soutenir l’accès à l’apprentissage et aux possibilités d’emploi dans les métiers s’avère essentiel pour développer et maintenir une main-d’œuvre hautement qualifiée. Les expériences des femmes, des immigrants et des Autochtones, plus particulièrement, seront étudiées de façon plus détaillée dans le présent rapport.

Ce nouveau cycle de l’ENA aidera à décrire et à mieux comprendre le parcours des apprentis et leurs expériences, y compris ce qui motive les personnes à se tourner vers les métiers spécialisés, les expériences à l’égard de la formation en apprentissage, et les résultats du marché du travail durant et après un programme d’apprentissage. Cette information permettra de veiller à ce que les systèmes d’apprentissage au Canada demeurent solides et continuent d’être un appui à l’économie canadienne en pleine évolution.

Au sujet de l’enquête

Début de l'encadré

Enquête nationale auprès des apprentis de 2015

L’Enquête nationale auprès des apprentis (ENA) de 2015 est une enquête téléphonique réalisée conjointement par Statistique Canada et Emploi et Développement social Canada (EDSC). Cette enquête vise à recueillir des renseignements sur la formation et les expériences de travail des apprentis au Canada. La population échantillonnée de l’ENA de 2015 a été sélectionnée de façon aléatoire auprès des finissants et des décrocheurs désignés ainsi qu’à partir du Système d’information sur les apprentis inscrits (SIAI), une base de données composée de personnes qui étaient inscrites comme apprentis auprès des autorités provinciales ou territoriales de l’apprentissage. Un échantillon total de 58 109 répondants a été ciblé, et la taille de l’échantillon final était de 28 469 personnes. La méthodologie utilisée dans le cadre de l’ENA de 2015 est présentée à l’annexe C.

Les répondants à l’enquête ont été sélectionnés en fonction de leur situation d’apprentissage en 2011, en 2012 ou en 2013, telle que déclarée par les autorités provinciales ou territoriales. L’ENA de 2015 comprend deux groupes d’apprentis :

  • Les finissants : individus qui étaient inscrits comme apprentis et qui ont terminé leur programme d’apprentissage entre 2011 et 2013.
  • Les décrocheurs : individus qui étaient inscrits comme apprentis et qui ont cessé leur programme d’apprentissage entre 2011 et 2013.

Fin de l'encadré

Il existe plusieurs façons d’acquérir les connaissances et les habiletés requises pour exercer un métier spécialisé. L’apprentissage est la principale méthode; il s’agit également d’un système souple offrant de nombreux points d’entrée et parcours possibles vers la réussite. Bien que certaines personnes suivent un cheminement plutôt direct, comme l’obtention d’un grade ou d’un diplôme d’études postsecondaires, d’autres peuvent exercer un métier durant plusieurs années avant de s’inscrire comme apprentis, ou opter pour d’autres parcours possibles. Les différents modules du questionnaire de l’ENA de 2015 ont été conçus pour faciliter la collecte d’information sur ces différents parcours.

On observe un fort intérêt à l’égard de l’information sur le marché du travail (IMT) en lien avec les métiers, et le gouvernement du Canada a appuyé quatre enquêtes auprès des apprentis depuis 1990. L’ENA précédente, réalisée en 2007, faisait clairement suite aux enquêtes précédentes; elle traitait des facteurs ayant une incidence sur l’achèvement de la formation d’apprenti et l’obtention d’un certificat, y compris les raisons pour lesquelles certains apprentis mettent plus de temps que d’autres à terminer leur programme. L’ENA de 2007 a permis d’examiner les finissants et les décrocheurs en 2002, en 2003 et en 2004, parallèlement à un troisième groupe, soit les persévérants à long terme (les personnes qui avaient consacré à leur programme une fois et demie plus de temps que prévu ou même plus). Ce groupe a été exclu du cycle de 2015.

À l’exception du contenu portant sur les persévérants à long terme, la majeure partie du questionnaire de l’ENA de 2007 a été jugée pertinente et a été réutilisée pour l’enquête de 2015. Cependant, une composante a été ajoutée au questionnaire de 2015 permettant d’examiner les activités d’apprentissage des répondants du moment où ils avaient terminé ou cessé leur programme d’apprentissage (entre 2011 et 2013) jusqu’au moment de l’enquête (en 2015). De nouveaux modules ont également été ajoutés afin d’obtenir des renseignements sur les soutiens financiers offerts aux apprentis. Les questions de base stratégiques de l’ENA de 2015 étaient semblables à celles utilisées lors du cycle de l’enquête de 2007, l’accent demeurant sur la compréhension des facteurs qui font en sorte que les apprentis terminent leur programme ou mettent fin à celui-ci. Les objectifs spécifiques consistaient à mieux comprendre :

Le questionnaire était principalement constitué d’un contenu de base et d’une série de questions propres au statut de finissant (p. ex. le processus de certification) et à celui de décrocheur (p. ex. les raisons du décrochage). Les questions portaient notamment sur :

L’annexe C présente d’autres renseignements sur la méthodologie de l’enquête, y compris la population cible, la base de sondage, le plan d’échantillonnage, l’exactitude des données ainsi que les taux de réponse.

L’ENA de 2015 est la principale source d’information exhaustive portant sur l’expérience de l’apprentissage au Canada. Elle fournira au gouvernement du Canada, au Conseil canadien des directeurs de l’apprentissage (CCDA), aux autorités provinciales et territoriales de l’apprentissage et aux autres intervenants des renseignements à jour, qui leur permettront d’évaluer et d’adapter leurs activités en vue de favoriser l’atteinte de résultats d’apprentissage positifs. Le fait d’avoir de récents résultats de recherches nationales sur l’apprentissage contribuera à soutenir le Programme des normes interprovinciales du Sceau rouge et la poursuite des travaux avec les provinces et les territoires pour renforcer les systèmes d’apprentissage. Les résultats de l’enquête pourront aussi être utiles pour les personnes qui envisagent un programme d’apprentissage comme choix de carrière. Toutefois, en raison des différences méthodologiques entre les enquêtes, les populations de l’ENA de 2007 et de l’ENA de 2015 ne peuvent être comparées directement. Cependant, à l’aide de mises en garde et d’avertissements appropriés, les résultats de 2015 peuvent être utilisés de pair avec l’ENA de 2007 pour décrire et assurer le suivi des facteurs qui ont une incidence sur l’apprentissage et pour définir des sujets de recherche pour l’avenir.

Début de l'encadré

Note aux lecteurs : comparaison de l’ENA de 2007 et de l’ENA de 2015

Il convient de noter que d’importants changements ont été apportés à la méthodologie de l’’Enquête nationale auprès des apprentis (ENA) de 2015, par rapport au cycle précédent de l’ENA de 2007. Ces modifications ont été faites pour assurer une meilleure qualité des données de l’ENA de 2015. Les différences entre les deux cycles sont suffisamment importantes pour rendre difficiles les comparaisons directes entre les deux enquêtes.

L’une des principales différences entre l’ENA de 2007 et l’ENA de 2015 est la population cible. Dans le cadre de l’ENA de 2015, la population d’intérêt comprend les apprentis qui ont cessé ou complété un programme d’apprentissage entre 2011 et 2013 (c.-à-d. les décrocheurs et les finissants de 2011, 2012 ou 2013). En 2007, la population de l’ENA était également composée de décrocheurs et de finissants (de 2002, 2003 ou 2004), mais s’ajoutaient également les persévérants à long terme, lesquels ont été exclus de l’ENA de 2015. Par conséquent, en raison de l’exclusion des persévérants à long terme dans l’ENA de 2015, les populations de 2007 et de 2015 ne peuvent pas être comparées.

L’autre différence importante entre les deux enquêtes concerne le déroulement de l’interview. Dans le cadre de l’ENA de 2007, le déroulement reposait sur le statut d’apprenti au moment de l’enquête, soit en 2007; ce statut pourrait être bien différent de celui des participants au moment où ils ont été choisis au départ (en 2002, en 2003 ou en 2004). Lors de l’ENA de 2015, le déroulement de l’interview était fondé sur le statut d’apprenti en 2011, en 2012 ou en 2013, c’est-à-dire en fonction du statut des participants au moment où ils ont été sélectionnés. Comme les deux enquêtes comportent des questions qui s’adressent seulement à certains groupes d’apprentis, cette différence a une incidence sur les questions qui ont été posées de même que sur le choix des personnes à qui on les a posées. Par exemple, on a demandé aux décrocheurs quelles étaient les raisons pour lesquelles ils avaient cessé le programme.

Dans le cadre de l’ENA de 2007, les apprentis qui ont été sélectionnés en tant que décrocheurs de 2002 à 2004, mais qui avaient depuis réintégré le programme d’apprentissage (à un moment donné entre 2002 et 2007) en vue de le terminer, étaient considérés comme des finissants. Par conséquent, on a interrogé ces répondants (dans le questionnaire de l’ENA de 2007) concernant leurs expériences comme finissants, même s’ils avaient initialement été sélectionnés comme étant des décrocheurs. Dans l’ENA de 2015, pour le même scénario (c.-à-d. les apprentis qui ont été sélectionnés comme étant des décrocheurs en 2012 et qui avaient réintégré le programme et terminé celui-ci avant 2015), ces apprentis ont été considérés comme étant des décrocheurs; par conséquent, on les a donc interrogés (dans le questionnaire de l’ENA de 2015) au sujet de leurs expériences en tant que décrocheurs (en 2012). Dans l’ENA de 2015, les activités depuis l’achèvement ou l’abandon en 2011, en 2012 ou en 2013 sont également abordées dans le questionnaire, par exemple, les apprentis qui ont réintégré le programme d’apprentissage et qui se sont inscrits de nouveau (pour un même métier ou un autre) et qui ont finalement complété le programme, cessé, ou continué le programme qu’ils avaient commencé. Il est donc possible de connaître le nombre total d’apprentis qui ont complété un programme. Toutefois, il convient de souligner que le statut d’un  apprenti dans l’ENA de 2015 est basé sur son statut en 2011, 2012 ou 2013 (finissant ou décrocheur). Par conséquent, l’enchaînement des questions de 2015, ainsi que l’analyse subséquente (c.-à-d. le rapport national de 2015) se rapportent également à ce même statut.

En raison de ces différences dans la composition de l’échantillon et de l’enchaînement des questions, les comparaisons directes entre les deux populations (2007 et 2015) ne sont pas recommandées et ne doivent pas être présentées sans être accompagnées de notes pertinentes sur les mises en garde et les ajustements aux échantillons d’analyse.

Fin de l'encadré

Aperçu du rapport

Ce rapport présente un profil d’apprentis et d’examens approfondis de leurs expériences à titre de participants aux programmes d’apprentissage. Les principaux objectifs de l’ENA de 2015 se divisent en deux volets : comprendre les raisons et les parcours qui mènent à l’apprentissage et définir les facteurs qui ont une incidence sur le choix de compléter le programme ou de cesser ce dernier.

Le contenu de ce rapport est organisé par thème; une description de l’échantillon et des principales différences entre les finissants et les décrocheursNote 2 est d’abord fournie, suivie d’un examen détaillé des motifs et des parcours menant aux métiers et à l’apprentissage. Les sections centrales portent sur les expériences vécues dans les programmes d’apprentissages, y compris la formation technique requise et la formation en cours d’emploi; les difficultés et les défis rencontrés; la connaissance des formes de soutien financier et le recours à celles-ci et le processus de certification, y compris les normes interprovinciales du Sceau rouge. Viennent ensuite les sections traitant des résultats sur le marché du travail et de la satisfaction au travail. Les principaux secteurs d’intérêt stratégique, y compris la mobilité interprovinciale, les attitudes à l’égard des métiers spécialisés, et les expériences de groupes démographiques particuliers, sont traités séparément. Le cas échéant, d’autres analyses sont menées relativement au statut d’apprenti (les finissants par rapport aux décrocheurs) ainsi qu’aux caractéristiques démographiques (p. ex. les expériences vécues par les femmes).

Notes

 
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