Indicateurs de l'éducation au Canada : feuillets d'information

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Niveau de scolarité et emploi : le Canada dans un contexte international
Février 2012

Les études au collège ou à l'université (qu'on appelle « études tertiaires » dans le contexte international) sont généralement perçues comme étant un investissement qui procurera des avantages à l'avenir à la fois à l'individu concerné et à la société. L'un de ces avantages est l'amélioration des chances de trouver un emploi. Au Canada et dans les autres pays membres de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), on a généralement un lien entre le niveau de scolarité d'une part et le taux d'emploi d'autre part. Au Canada en 2009, 82 % de la population adulte âgée de 25 à 64 ans ayant fait des études tertiaires avaient un emploi (graphique 1). En comparaison, ce sont 55 % des membres de ce même groupe d'âge sans diplôme du secondaire, qui avaient un emploi (graphique 3). Au Canada, le taux d'emploi de la population adulte ayant un diplôme d'études tertiaires était légèrement en dessous de la moyenne indiquée récemment pour les pays de l'OCDE dans leur ensemble (84 %) (graphique 1)1.

Le taux d'emploi de la population âgée de 25 à 64 ans fournit certaines informations sur la capacité qu'a l'économie d'exploiter ou d'utiliser les compétences que ce groupe a à offrir. Le présent feuillet d'information s'appuie sur les informations du rapport de l'OCDE cité ci-dessus pour décrire le niveau de scolarité et les taux d'emploi au Canada et dans ses provinces et territoires2. Le but est de dresser un tableau plus complet de l'emploi et du niveau de scolarité au Canada en décomposant les taux d'emploi globaux à travers le Canada de façon à examiner les taux d'emploi des individus ayant des études tertiaires par rapport aux taux d'emploi des personnes qui n'ont pas fini leurs études secondaires. Il est important de ne pas oublier que l'emploi au Canada et dans d'autres pays est influencé par divers facteurs autres que l'offre et la demande de main-d'œuvre, comme le contexte institutionnel (par exemple l'importance des syndicats), la répartition entre les divers secteurs de l'économie et les politiques gouvernementales. En outre, les taux d'emploi ne fournissent pas d'information sur les types d'emplois ou la qualité des emplois que les individus détiennent. Les données sur le Canada présentées dans ce feuillet d'information sont tirées de l'Enquête sur la population active (EPA) de Statistique Canada.

Graphique  1 Population  de 25 à 64 ans titulaire d'un diplôme collégial ou universitaire et son taux  d'emploi, Canada, provinces et territoires, et  certains pays de l'OCDE, 2009Graphique 1 Population de 25 à 64 ans titulaire d'un diplôme collégial ou universitaire et son taux d'emploi, Canada1, provinces et territoires, et certains pays de l'OCDE, 2009

Entre 1999 et 2009, la proportion d'adultes âgés de 25 à 64 ans ayant fait des études tertiaires au Canada a augmenté de 39 à 50 %. En 2009, de tous les pays membres de l'OCDE qui soumettent leurs données à l'organisme, le Canada avait la proportion la plus élevée de sa population adulte qui avait fait des études tertiaires. À titre de comparaison, en 2009 la moyenne pour l'ensemble de l'OCDE était de 30 %3.

Le taux d'emploi des Canadiens ayant fait des études tertiaires était le même en 1999 qu'en 2009 et il n'a pas varié de plus de 1 point de pourcentage sur cette période de 10 ans. Cette stabilité du taux d'emploi par rapport à l'augmentation importante du nombre d'individus ayant fait des études collégiales ou universitaires indique que le marché du travail canadien a réussi à offrir de l'emploi à un nombre croissant d'individus ayant un niveau de scolarité élevé. À titre de comparaison, depuis 2004, les taux d'emploi pour ce groupe ont été assez semblables au Canada et aux États-Unis, même si les États-Unis connaissent des baisses plus importantes depuis 2008, qui coïncident avec le début de la crise économique dans le pays.

En 2009 au Canada, le taux d'emploi des adultes qui n'avaient pas complété leurs études secondaires était de 55 %. Le taux d'emploi des individus ayant ce niveau de scolarité a augmenté de 54 % en 1999 à un sommet de 58 % en 2008, avant de chuter de trois points de pourcentage en 2009. Les adultes qui n'avaient pas complété leurs études secondaires ont été plus affectés par les conditions économiques difficiles en 2009 que ceux qui avaient fait des études tertiaires4. Les changements dans le taux d'emploi des individus qui n'avaient pas complété leurs études secondaires se sont produits alors la proportion des adultes qui avaient ce niveau de scolarité au Canada diminuait de 20 % à 12 %.

Les taux d'emploi au Canada pour les individus titulaires d'un diplôme d'études collégiales ou universitaires ne se situent jamais à plus de 3 points de la moyenne de l'OCDE sur la période allant de 1999 à 2009. En 2009, cependant, bon nombre de pays de l'OCDE connaissaient des taux d'emploi plus élevés pour les personnes ayant fait des études tertiaires que ceux du Canada. Parmi les 12 pays retenus à des fins de comparaison pour le présent article5, tous sauf trois (les États-Unis, le Japon et l'Italie) avaient des taux d'emploi plus élevés que le Canada. Dans ces 12 pays, la proportion d'individus ayant des diplômes d'études tertiaires était inférieure à celle du Canada (graphique 1, pourcentage de la population titulaire d'un diplôme collégial ou universitaire).

Lorsqu'on examine séparément le niveau de scolarité des individus titulaires d'un diplôme universitaire (baccalauréat, maîtrise ou doctorat), on constate que, en 2009, un quart (25 %) des personnes âgées de 25 à 64 ans au Canada avaient atteint ce niveau d'études, comparé à un peu plus d'un cinquième (21 %) en moyenne pour les pays de l'OCDE (graphique 2). Contrairement à la situation pour le niveau tertiaire dans son ensemble, plusieurs des pays comparables avaient une proportion plus élevée d'individus titulaires d'un diplôme universitaire que le Canada, comme l'Australie (27 %), le Royaume-Uni (27 %), le Danemark (27 %), les États-Unis (31 %) et la Norvège (34 %). Pour ce qui est des taux d'emploi pour ce groupe, 82 % des individus titulaires d'un diplôme universitaire avaient un emploi au Canada en 2009. Ce taux était plus élevé que le taux global d'emploi au Canada (75 %) et relativement similaire à celui des individus détenant un diplôme collégial (CITE 5B), soit 81 %6. Le taux d'emploi des individus détenant un diplôme universitaire au Canada était plus bas que la moyenne des pays de l'OCDE (85 %), alors que le Canada présentait des taux d'emploi similaires à la moyenne des pays de l'OCDE pour les individus qui détenaient un diplôme collégial. La plupart des pays comparables ayant des niveaux semblables ou supérieurs de formation universitaire avaient un taux d'emploi supérieur à celui du Canada (graphique 2). C'est dans les pays scandinaves (Danemark, Suède et Norvège) qu'on observe les taux d'emploi les plus élevés pour les personnes détenant un diplôme universitaire, puisque ce sont entre 88 et 90 % de celles-ci qui avaient un emploi. Dans ces trois pays, les taux d'emploi des diplômés universitaires étaient de 8 à 9 points de pourcentage plus élevés que le taux d'emploi global dans chacun de ces pays. Cette même différence était de 7 points de pourcentage au Canada.

Graphique  2 Population  de 25 à 64 ans titulaire d'un diplôme universitaire et son taux d'emploi,  Canada, provinces et territoires, et  certains pays de l'OCDE, 2009Graphique 2 Population de 25 à 64 ans titulaire d'un diplôme universitaire et son taux d'emploi, Canada1, provinces et territoires, et certains pays de l'OCDE, 2009

Il y a des tendances régionales dans le niveau de scolarité et le taux d'emploi au sein du Canada. Avec 56 % de la population qui détient un diplôme d'études collégiales ou universitaires, l'Ontario est à la tête des provinces et des territoires du Canada pour ce qui est du niveau de scolarité et aussi quand on le compare aux 12 pays de l'OCDE examinés dans ce rapport (graphique 1). Le taux d'emploi pour ce groupe (81 %) est semblable à la moyenne au Canada. À titre de comparaison, c'est à Terre-Neuve-et-Labrador qu'on observe la proportion la plus faible d'individus âgés de 25 à 64 ans qui sont titulaires d'un diplôme d'études collégiales ou universitaires au Canada (37 %) — même si cette proportion reste supérieure à la moyenne des pays de l'OCDE — et le taux d'emploi le plus faible au Canada, à 77 %. Néanmoins, ce taux était nettement supérieur au taux d'emploi global dans cette province (63 %)7. Dans la plupart des autres provinces, le taux d'obtention d'un diplôme de niveau tertiaire se situe entre la moyenne de l'OCDE et celle du Canada. Le taux d'emploi des personnes ayant un diplôme d'études tertiaires est nettement supérieur à la moyenne canadienne au Manitoba (85 %), en Alberta (85 %), en Saskatchewan (86 %) et dans les territoires.

Les économies des trois provinces de l'Alberta, du Manitoba et de la Saskatchewan, ont réussi à produire des taux d'emploi élevés à la fois pour les personnes les mieux éduquées et pour les personnes les moins éduquées, dans le cas présent ceux qui détiennent un diplôme universitaire et ceux qui n'ont pas terminé leurs études secondaires. Si la proportion de personnes ayant fait des études universitaires dans la population du Manitoba, de la Saskatchewan et de l'Alberta est quelque peu inférieure à la proportion globale pour le Canada, les taux d'emploi pour ce groupe sont relativement élevés dans ces trois provinces : 86 % au Manitoba et en Alberta et 87 % en Saskatchewan (graphique 2). De même, les taux d'emploi des personnes les moins éduquées (c'est-à-dire de celles qui n'ont pas fini leurs études secondaires) sont plus élevés dans ces trois provinces que sur l'ensemble de l'OCDE (moyenne de 56 %) et sur l'ensemble du Canada (moyenne de 55 %) ; ces taux font partie des taux les plus élevés dans les pays examinés pour ce rapport (graphique 3). Au Manitoba, en Alberta et en Saskatchewan, la proportion de la population n'ayant pas fini ses études secondaires qui avait un emploi en 2009 se situait entre 63 et 67 % (graphique 3). Parmi les pays de l'OCDE examinés, ceux qui manifestent la capacité d'assurer l'emploi de fortes proportions des personnes les mieux éduquées et des personnes les moins éduquées comprennent l'Australie, la Nouvelle-Zélande et les pays scandinaves.

Ce sont les provinces de Terre-Neuve-et-Labrador et de la Colombie-Britannique qui ont les taux d'emploi les plus faibles pour les personnes ayant fait des études universitaires (et pour celles qui n'ont pas fini leurs études secondaires dans le cas de Terre-Neuve-et-Labrador), aussi bien parmi les provinces et les territoires du Canada que parmi les pays de l'OCDE à l'exception de l'Italie (graphiques 2 et 3). Alors que le taux d'emploi des diplômés universitaires était supérieur au taux d'emploi global dans ces deux provinces, l'écart était beaucoup plus important à Terre-Neuve-et-Labrador (18 points de pourcentage) qu'en Colombie-Britannique (5 points de pourcentage).

Graphique  3 Population de 25 à 64 ans sans diplôme d'études  secondaires et son taux d'emploi, Canada, provinces et territoires, et certains pays de  l'OCDE, 2009Graphique 3 Population de 25 à 64 ans sans diplôme d'études secondaires et son taux d'emploi, Canada1, provinces et territoires, et certains pays de l'OCDE, 2009

Sans en faire le point central de ce feuillet d'information, il convient également de noter que la plus grande faiblesse du taux d'emploi moyen au Canada en 2009 pour les personnes ayant fait des études tertiaires par rapport à la moyenne de l'OCDE est principalement liée à la tendance en matière d'emploi chez les hommes (à 85 %, soit près de 4 points en deçà de la moyenne de l'OCDE)8. Le taux d'emploi des femmes ayant fait des études tertiaires au Canada (79 %) se situait dans la moyenne pour l'OCDE. Une tendance semblable était également observée chez ceux qui n'avaient pas complété leurs études secondaires. Le taux d'emploi des hommes qui détenaient ce niveau de scolarité au Canada était de 63 % en 2009, en comparaison à 67 % pour leurs homologues des pays de l'OCDE, alors que ces taux étaient similaires pour les femmes qui n'avaient pas complété leurs études secondaires (45 % au Canada et 46 % en moyenne dans les pays de l'OCDE). Dans les pays inclus dans ce rapport, les taux d'emploi des hommes étaient plus élevés que ceux des femmes, autant chez les plus scolarisés que les moins scolarisés.

Conclusion

Entre 1999 et 2009, le marché du travail au Canada est parvenu à employer un nombre croissant d'individus ayant fait des études d'un niveau élevé. En 2009, 82 % des Canadiens ayant un diplôme d'études collégiales ou universitaires avaient un emploi, comparé à 55 % pour les personnes n'ayant pas obtenu de diplôme d'études secondaires. Cependant, les comparaisons avec d'autres pays montrent que la plupart des principaux pays de l'OCDE comparables inclus dans le présent feuillet d'information ont sensiblement de meilleurs résultats que le Canada pour ce qui est du taux d'emploi des personnes ayant fait des études tertiaires, en particulier pour les personnes ayant un diplôme d'études universitaires. Ce fait mérite qu'on pousse plus loin l'analyse, afin de mettre en évidence les facteurs qui sont en corrélation avec l'utilisation moindre qui est faite dans l'économie au Canada des compétences des personnes éduquées. L'analyse des provinces et des territoires montre que cette situation n'est pas uniforme sur l'ensemble du pays, puisque les économies des provinces des Prairies (le Manitoba, la Saskatchewan et l'Alberta) semblent avoir d'aussi bons résultats que plusieurs pays de l'OCDE pour ce qui est de garantir un emploi aux personnes ayant un niveau d'études élevé et, dans leur cas, cela ne se fait pas au détriment des personnes moins éduquées, qui auraient par contrecoup moins de possibilités d'emploi. En réalité, c'est exactement le contraire.

À propos des données

Le présent feuillet d'information s'appuie sur des données concernant le Canada tirées de l'Enquête sur la population active produite par Statistique Canada, dans l'optique de leur inclusion dans le rapport de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) intitulé Regards sur l'éducation 2011 – Les indicateurs de l'OCDE et dans le rapport produit en parallèle par Statistique Canada et le Conseil des ministres de l'Éducation (Canada) (CMEC), intitulé Indicateurs de l'éducation au Canada : une perspective internationale. Le rapport Indicateurs de l'éducation au Canada : une perspective internationale est destiné à faciliter la comparaison entre les systèmes éducatifs des provinces et des territoires du Canada et ceux des pays faisant partie de OCDE.

Le niveau de scolarité indique le niveau d'études le plus élevé terminé avec succès par la personne, selon les catégories de la Classification internationale type de l'éducation (CITE). Vous trouverez de brèves descriptions des catégories de la CITE dans la section « Les catégories de la CITE et leur description » du rapport Indicateurs de l'éducation au Canada : une perspective internationale 2011.

Le taux d'emploi représente le pourcentage de personnes ayant un emploi dans la population âgée de 25 à 64 ans. Pour calculer le taux d'emploi d'un groupe ayant un niveau de scolarité particulier, on divise le nombre de personnes ayant un emploi par le nombre total de personnes dans la population âgée de 25 à 64 ans ayant atteint le niveau d'études concerné et on multiplie ensuite ce quotient par 100.

Comme l'indique le rapport de l'OCDE de 2011, on calcule la moyenne pour l'OCDE en faisant la moyenne non pondérée des valeurs des données pour tous les pays de l'OCDE pour lesquelles ces données sont disponibles ou peuvent faire l'objet d'une estimation. On ne tient pas compte de la taille du système éducatif de chaque pays en valeur absolue.

Abréviations utilisées dans ce feuillet d'information

Abréviations utilisées dans ce feuillet d'information
Canada Pays de l'OCDE choisis
Terre-Neuve-et-Labrador T.-N.-L. France FRA
Île-du-Prince-Édouard Î.-P.-É. Allemagne DEU
Nouvelle-Écosse N.-É. Italie ITA
Nouveau-Brunswick N.-B. Japon JPN
Québec Qc Royaume-Uni UKM
Ontario Ont. États-Unis USA
Manitoba Man. Australie AUS
Saskatchewan Sask. Danemark DNK
Alberta Alb. Finlande FIN
Colombie-Britannique C.-B. Nouvelle-Zélande NZL
Yukon Yn Norvège NOR
Territoires du Nord-Ouest T.N.-O. Suède SWE
Nunavut Nt  

Notes

  1. Voir également l'indicateur A7 dans Regards sur l'éducation 2011 – Les indicateurs de l'OCDE(abrégé RSE 2011 dans le présent feuillet).
  2. Les références aux données sur le niveau de scolarité dans les pays de l'OCDE sont tirées du tableau A1.3a dans RSE 2011. Les données sur les taux d'emploi dans les pays de l'OCDE sont tirées des tableaux A7.1b et A7.3a (disponibles en ligne seulement).
  3. Lorsqu'on fait des comparaisons entre pays sur les niveaux de scolarité, en se fondant sur la Classification internationale type de l'éducation (CITE), les études tertiaires comprennent trois catégories de formation postsecondaire au Canada : (1) les certificats ou diplômes non universitaires obtenus en collège communautaire, en cégep ou en école de sciences infirmières et les certificats universitaires de niveau inférieur au baccalauréat; (2) les baccalauréats, les maîtrises et les autres diplômes ou certificats universitaires au-delà du baccalauréat (mais sans aller jusqu'au doctorat); et (3) les doctorats et les programmes d'études postdoctorales. On rencontre certaines limites au Canada quand on utilise les données de l'Enquête sur la population active (EPA) pour examiner et classer les niveaux de scolarité selon le système de classification de la CITE. Les données fournies par l'EPA pour la population canadienne ayant obtenu des diplômes d'études collégiales de niveau tertiaire feront l'objet d'une certaine surestimation dans les comparaisons entre pays, parce que cette catégorie inclut, par exemple, certains diplômés de CEGEP ou des finissants de programmes de transfert entre collège et université qui, selon les normes de classification internationales, devraient se retrouver dans la catégorie des études postsecondaires non tertiaires.
  4. Voir également Statistique Canada et le Conseil des Ministres de l'Éducation, Canada (CMEC), Indicateurs de l'éducation au Canada : une perspective internationale, 2011, Indicateur A5
  5. Les 12 pays présentés dans ce feuillet d'information ont été choisis parce qu'on a estimé qu'ils étaient comparables au Canada sur le plan social et économique et présentaient donc un intérêt tout particulier pour la comparaison.
  6. Statistique Canada et Conseil des Ministres de l'Éducation, Canada (CMEC), Indicateurs de l'éducation au Canada : une perspective internationale 2011, Tableau A.5.1.
  7. Statistique Canada et Conseil des Ministres de l'Éducation, Canada (CMEC), Indicateurs de l'éducation au Canada : une perspective internationale 2011, Tableau A.5.1.
  8. Les données sur les taux d'emploi selon le sexe dans les pays de l'OCDE sont tirées des tableaux A7.3b et A7.3c (disponibles en ligne seulement) dans RSE 2011.
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