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  • Selon les résultats de l'Enquête sociale générale de 2009, la grande majorité (93 %) des Canadiens de 15 ans et plus vivant dans les provinces canadiennes étaient satisfaits de leur sécurité personnelle relativement au crime. Cette proportion est similaire à celle observée en 2004 (94 %), lors du cycle précédent de l'enquête.
  • Les sentiments autodéclarés de satisfaction en matière de sécurité étaient plus forts dans l'Est du pays que dans l'Ouest. Les résidents de l'Île-du-Prince-Édouard comptaient parmi les personnes les plus satisfaites de leur sécurité personnelle relativement au crime (97 %), et ceux de la Colombie-Britannique, parmi les personnes ayant déclaré les plus bas niveaux de satisfaction (89 %).
  • Même s'ils affichaient des taux de victimisation plus élevés, les jeunes Canadiens étaient plus satisfaits de leur sécurité personnelle par rapport au crime que les Canadiens plus âgés. En 2009, 94 % des Canadiens de 15 à 24 ans se sont dits très satisfaits ou plutôt satisfaits, comparativement à 90 % des Canadiens de 65 ans ou plus.
  • La plupart des Canadiens se sentent en sécurité dans leur quartier la nuit. Plus de 8 Canadiens sur 10 ont dit se sentir pas du tout inquiets lorsqu'ils étaient seuls chez eux le soir (83 %), et 90 % ont dit éprouver un sentiment de sécurité lorsqu'ils marchaient seuls dans leur quartier la nuit tombée. Dans l'ensemble, les hommes étaient toujours plus susceptibles que les femmes de déclarer des niveaux de satisfaction plus élevés à l'égard de leur sécurité.
  • Un peu moins de 4 Canadiens sur 10 (39 %) avaient employé une mesure de prévention du crime au cours des 12 mois ayant précédé l'enquête. Le recours à des mesures de prévention était plus fréquent chez les personnes qui avaient déjà été victimes d'un crime (57 %) que chez celles qui ne l'avaient pas été (32 %).
  • Près des deux tiers (62 %) des Canadiens jugeaient que la criminalité dans leur quartier était demeurée la même qu'il y a cinq ans, alors que le quart (26 %) des répondants pensaient qu'elle avait augmenté. Moins de 1 Canadien sur 10 (6 %) estimait que la criminalité avait diminué.
  • Environ le quart (24 %) des Canadiens estimaient que des problèmes d'ordre social comme le vandalisme, l'enivrement dans les endroits publics, la prostitution ou la consommation de drogue constituaient un très gros problème ou un assez gros problème dans leur quartier. Les résidents de Winnipeg, de Vancouver et de Montréal comptaient parmi les Canadiens les plus susceptibles de dire qu'une telle situation posait problème dans leur quartier.
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