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De par sa nature, le crime est difficile à mesurer. Plusieurs crimes qui ne font aucune victime évidente ou immédiate ne sont pas découverts. Un grand nombre de crimes ne sont pas signalés, le plus souvent parce que les victimes croient que l'affaire n'est pas assez grave pour en informer la police.

En outre, ce n'est pas seulement l'étendue de la criminalité qui est d'intérêt; des facteurs comme la nature changeante de la criminalité et ses répercussions sur les individus, les familles et les collectivités le sont aussi. Par conséquent, il est pratiquement impossible pour une statistique quelconque ou une seule source d'information de bien couvrir tous les aspects de cette question.

Au Canada, et dans de nombreux autres pays, la nature et l'étendue de la criminalité sont suivies de près au moyen de deux sources d'information distinctes. Les données sur la criminalité obtenues dans le cadre du Programme de déclaration uniforme de la criminalité (DUC), dont la collecte a débuté en 1962, constituent la première de ces sources d'information. Les données recueillies depuis 1988 au moyen de l'Enquête sociale générale sur la victimisation représentent la seconde source. Cette enquête vise principalement à recueillir des données sur les incidents criminels dont sont victimes les Canadiens.

La première section du rapport présente une nouvelle mesure des crimes déclarés par la police, soit l'Indice de gravité de la criminalité. La deuxième section porte sur les avantages et les inconvénients des données déclarées par la police et des données sur la victimisation, et présente un survol historique des tendances de la criminalité dégagées au moyen de ces deux sources. Enfin, la troisième partie donne un aperçu des derniers changements apportés aux statistiques de la criminalité déclarées par la police, notamment à la façon de compter certaines infractions et des améliorations à la façon de présenter ces statistiques.

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