Profil de l'incapacité chez les adultes

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L'Enquête sur la participation et les limitations d'activités : Rapport analytique ›

Des incapacités associées à la douleur, à la mobilité et à l'agilité sont les plus courantes
Les femmes sont plus susceptibles que les hommes d'éprouver des limitations associées à la douleur et à la mobilité
Plus d'un million de Canadiens adultes ont une déficience auditive
Près d'un demi million de Canadiens déclarent des incapacités moins visibles
La prévalence de la plupart des types d'incapacité augmente avec l'âge
La prévalence des troubles d'apprentissage a également augmenté chez les adultes de 2001 à 2006
La plupart des adultes avec incapacité en ont plusieurs
Sévérité de l'incapacité en 2006 : légère, modérée, sévère ou très sévère
Près de 2 millions de Canadiens de 15 ans et plus ont une incapacité sévère ou très sévère
Les limitations d'activités associées à la douleur sont la forme la plus fréquente d'incapacité chez les adultes en âge de travailler
Les femmes sont plus susceptibles que les hommes de déclarer des limitations d'activités associées à la douleur et à des malaises
Les limitations d'activités associées à la douleur et aux malaises peuvent être constantes ou périodiques
Un Canadien de 65 ans et plus sur trois éprouve des limitations associées à la mobilité
Les limitations de la mobilité sont plus fréquentes chez les femmes âgées
Les troubles de mémoire sont la cause non visible de limitations la plus fréquente chez les Canadiens âgés

Des incapacités associées à la douleur, à la mobilité et à l'agilité sont les plus courantes

Les problèmes liés à la douleur, à la mobilité et à l'agilité sont ceux qui affectent le plus grand nombre d'adultes de 15 ans et plus. Près de 3 millions de Canadiens adultes (environ 11 % de l'ensemble de la population de 15 ans et plus) ont déclaré l'une de ces limitations.

Non seulement ces problèmes représentent les incapacités les plus fréquentes, mais plus d'un sont présents chez un grand nombre de Canadiens adultes. Les problèmes liés à la mobilité, tels que la difficulté à marcher, à monter un escalier ou à transporter un objet sur une courte distance, sont souvent associés à des problèmes d'agilité ou à la douleur. Environ 70 % de Canadiens qui ont déclaré l'une de ces trois incapacités manifestaient aussi les deux autres.

Tableau 9 Prévalence de l'incapacité chez les adultes de 15 ans et plus, selon le type d'incapacité, Canada, 2006. Ouvre une nouvelle fenêtre.

Tableau 9 Prévalence de l'incapacité chez les adultes de 15 ans et plus, selon le type d'incapacité, Canada, 2006

Encadré 5
Types d'incapacité chez les adultes

Les questions de l'EPLA ont permis de relever les types d'incapacité qui suivent chez les adultes (personnes de 15 ans et plus) :

Ouïe : Difficulté à entendre ce qui se dit dans une conversation avec une autre personne, dans une conversation avec au moins trois personnes ou dans une conversation téléphonique.

Vision : Difficulté à lire les caractères ordinaires d'un journal ou à voir clairement le visage d'une personne éloignée de 4 mètres (12 pieds).

Parole : Difficulté à parler et/ou à se faire comprendre.

Mobilité : Difficulté à marcher un demi-kilomètre ou à monter et à descendre un escalier d'environ 12 marches sans se reposer, à se déplacer d'une pièce à une autre, à transporter un objet de 5 kg (10 lb) sur une distance de 10 mètres (30 pieds) ou à se tenir debout pendant de longues périodes.

Agilité : Difficulté à se pencher, à s'habiller ou à se déshabiller, à se mettre au lit ou à en sortir, à se couper les ongles des orteils, à utiliser les doigts pour saisir ou manier des objets, à tendre les bras dans n'importe quelle direction (au-dessus de la tête, par exemple) ou à couper sa nourriture.

Douleur : Limitation de la quantité ou du genre d'activités possibles causée par une douleur de longue durée qui est constante ou qui revient de temps à autre (par exemple, un mal de dos récurrent).

Apprentissage : Difficulté à apprendre en raison d'un état tel que des problèmes d'attention, l'hyperactivité ou la dyslexie, qu'il ait été ou non diagnostiqué par un enseignant, un médecin ou un autre professionnel de la santé.

Mémoire : Limitation de la quantité ou du genre d'activités possibles causée par des périodes fréquentes de confusion ou des difficultés à se souvenir de choses. Ces difficultés peuvent être associées à la maladie d'Alzheimer, à des lésions cérébrales ou à d'autres états semblables.

Déficience intellectuelle : Limitations cognitives dues à l'existence d'une déficience intellectuelle ou d'un trouble du développement, tel que le syndrome de Down, l'autisme ou des troubles mentaux causés par un manque d'oxygène à la naissance.

Psychologique : Limitation de la quantité ou du genre d'activités possibles causée par des troubles émotifs, psychologiques ou du comportement.

Autre 1 : Le type d'incapacité est « autre » si le répondant a répondu OUI aux questions générales sur les limitations d'activité, mais n'a répondu OUI à aucune des questions sur le type d'incapacité qui ont suivi.


1. En 2006, le type d'incapacité « inconnu » a été renommé « autre ».

Les femmes sont plus susceptibles que les hommes d'éprouver des limitations associées à la douleur et à la mobilité

Dans tous les groupes d'âge, les femmes sont plus susceptibles que les hommes d'avoir une incapacité associée à la douleur ou à la mobilité. Excepté dans les groupes d'âge les plus jeunes, il en est de même pour les incapacités associées à l'agilité. En 2006, chez les adultes de 15 ans et plus, les femmes ayant une incapacité associée à la mobilité, à la douleur ou à l'agilité représentaient un peu plus de 13 % de la population canadienne et les hommes, un peu plus de 9 %. Fait intéressant, non seulement les taux tendent à augmenter avec l'âge, mais l'écart entre les hommes et les femmes également. Ainsi, 38,5 % de femmes de 75 ans et plus ont déclaré que la douleur limitait leurs activités quotidiennes, alors que seulement 28,8 % des hommes de ce groupe d'âge ont fait la même déclaration.

Plus d'un million de Canadiens adultes ont une déficience auditive

Pour ce qui est des troubles sensoriels (vision, ouïe ou parole), environ 1 265 000 adultes (5,0 %) ont dit avoir une déficience auditive. Près de 815 000 (3,2 %) avaient une déficience visuelle et environ 480 000 (1,9 %) avaient une déficience de la parole. Les taux de déficience sensorielle sont les mêmes chez l'homme que chez la femme jusqu'à l'âge de 65 ans et plus. Les femmes de 65 ans et plus (10,1 %) sont plus susceptibles que leurs homologues masculins (7,8 %) d'avoir une déficience visuelle.

Graphique 12 Prévalence de l'incapacité chez les adultes de 15 ans et plus, selon le type d'incapacité et le sexe, Canada, 2006. Ouvre une nouvelle fenêtre.

Graphique 12 Prévalence de l'incapacité chez les adultes de 15 ans et plus, selon le type d'incapacité et le sexe, Canada, 2006

Près d'un demi–million de Canadiens déclarent des incapacités moins visibles

Comme il est mentionné plus haut, l'EPLA de 2006 visait aussi à distinguer des types d'incapacité moins visibles, tels que ceux associés à des problèmes psychologiques, à la mémoire, à des troubles d'apprentissage et à des déficiences intellectuelles ou des troubles du développement. Ces types d'incapacité posent des défis particuliers de collecte des données, car leur mesure est fondée sur la perception subjective du répondant. Cela étant dit, en 2006, environ un demi–million d'adultes de 15 ans et plus ont déclaré une incapacité de nature émotionnelle, psychologique ou psychiatrique (2,3 %), des troubles de mémoire ou des périodes de confusion (2,0 %) et des troubles d'apprentissage (2,5 %).

La prévalence de la plupart des types d'incapacité augmente avec l'âge

Comme l'indiquent les taux globaux d'incapacité, la prévalence de la plupart des types d'incapacité augmente avec l'âge. En 2006, il en était ainsi des incapacités associées à la mobilité, l'agilité, l'ouïe, la vision et la douleur. Par exemple, alors que l'incapacité associée à la mobilité se manifeste chez moins de 2 % des Canadiens de 15 à 24 ans, elle affecte environ 44 % des personnes de 75 ans et plus (voir le graphique 13). Quoique nettement moins prononcée, la croissance de la prévalence avec l'âge s'observe aussi pour les troubles de la mémoire et de la parole. Dans les deux cas, le pourcentage de Canadiens déclarant ces limitations passe d'environ 1 % chez les adultes de 15 à 24 ans à environ 5 % chez ceux de 75 ans et plus.

Graphique 13 Prévalence de l'incapacité chez les adultes de 15 ans et plus, selon le type d'incapacité et l'âge, Canada, 2006. Ouvre une nouvelle fenêtre.

Graphique 13 Prévalence de l'incapacité chez les adultes de 15 ans et plus, selon le type d'incapacité et l'âge, Canada, 2006

Cependant, cette tendance ne se dégage pas pour tous les types d'incapacité (voir le graphique 14). Par exemple, la prévalence de l'incapacité associée à des problèmes émotionnels, psychologiques ou psychiatriques passe par un sommet à 3,3 % chez les adultes de 45 à 64 ans, puis diminue pour s'établir à 2,1 % chez ceux de 75 ans et plus. La prévalence des troubles d'apprentissage ne fluctue pas significativement avec l'âge, ni celle des déficiences intellectuelles. En fait, cette dernière diminue avec l'âge, ce qui pourrait être dû au fait que le champ d'observation de l'EPLA n'inclut pas les Canadiens vivant en établissement. Étant donné le mouvement vers la désinstitutionnalisation survenu au Canada depuis une trentaine d'années, il est possible qu'un plus grand nombre de jeunes ayant une déficience intellectuelle vivent à la maison et soient par conséquent relevés dans l'enquête.

Chart 14 Prevalence of disabilities in adults 15 years of age or older by type of disability and age, Canada, 2006. Ouvre une nouvelle fenêtre.

Graphique 14 Prévalence de l'incapacité chez les adultes de 15 ans et plus selon le type d'incapacité et l'âge, Canada, 2006

La prévalence des troubles d'apprentissage a également augmenté chez les adultes de 2001 à 2006

Le taux d'incapacité chez les adultes est passé de 14,6 % en 2001 à 16,5 % en 2006. Comme l'indique le graphique 15, les taux ont augmenté pour la majorité les types d'incapacité, sauf la déficience intellectuelle, les troubles émotifs, psychologiques ou de comportement, et les incapacités liées à la mémoire. L'accroissement a été particulièrement important pour les troubles d'apprentissage. Comme le montre le graphique 14 plus haut, les troubles d'apprentissage ou la fréquence de ceux–ci n'augmentent pas avec l'âge. Par conséquent, le vieillissement de la population n'a aucun effet sur le nombre de personnes ayant des troubles d'apprentissage, contrairement à l'incapacité associée à la mobilité, à l'agilité et à la douleur, qui devient plus fréquente chez les personnes plus âgées.

Graphique 15 Taux d'incapacité selon le type d'incapacité chez les adultes de 15 ans et plus, Canada 2001 et 2006. Ouvre une nouvelle fenêtre.

Graphique 15 Taux d'incapacité selon le type d'incapacité chez les adultes de 15 ans et plus, Canada 2001 et 2006

La plupart des adultes avec incapacité en ont plusieurs

Comme il est mentionné plus haut pour la mobilité, l'agilité et la douleur, l'incapacité est souvent multiple au Canada. Le tableau 10 donne les nombres de Canadiens adultes avec incapacité qui présentent plus d'une incapacité. En fait, 81,7 % d'adultes avec incapacité en ont plusieurs, comparativement à 18,4 % seulement qui déclarent en n'avoir qu'une seule.

Table 10 Number of disabilities reported in adults 15 years of age or older with disabilities, Canada, 2006. Ouvre une nouvelle fenêtre.

Tableau 10 Nombre d'incapacités déclarées par les adultes de 15 ans et plus avec incapacité, Canada, 2006

Sévérité de l'incapacité en 2006 : légère, modérée, sévère ou très sévère

La sévérité de l'incapacité peut avoir de profonds effets sur les types de limitations éprouvées par une personne ayant une incapacité. L'EPLA de 2006 permet de répartir les 4,2 millions d'adultes avec incapacité en quatre niveaux d'incapacité, à savoir une incapacité légère, modérée, sévère ou très sévère.

Le degré de sévérité dépend de la fréquence et de l'intensité des limitations associées à l'incapacité. Donc, la sévérité d'une incapacité peut être dictée par deux facteurs, soit l'effet cumulatif d'incapacités multiples ou l'effet global d'une incapacité importante. Par exemple, une personne n'ayant aucune difficulté à marcher et à monter un escalier, mais qui est incapable de faire la queue debout pendant plus de 20 minutes aurait une incapacité légère liée à la mobilité. Une personne ne pouvant se déplacer qu'en fauteuil roulant aurait une limitation plus sévère de la mobilité et une personne alitée longtemps aurait une incapacité liée à la mobilité très sévère. Le nombre d'incapacités qu'a une personne influe aussi sur le degré global de sévérité.

L'EPLA permet de distinguer dix types d'incapacité chez les adultes et le degré de sévérité augmente avec le nombre d'incapacités affectant chaque individu. (Pour de plus amples renseignements sur l'établissement de l'échelle de sévérité, voir l'encadré intitulé Sévérité de l'incapacité).

En 2006, les incapacités légères étaient les plus fréquentes au Canada, un peu plus du tiers (35,4 %) des adultes avec incapacité ayant dit éprouver des limitations légères (voir le tableau 11). À l'autre extrémité de l'échelle de sévérité, environ une personne avec incapacité sur huit (13,5 %) éprouvait des limitations sévères. Si l'on fusionne les catégories des incapacités sévères et très sévères, le groupe représente près de 40 % des adultes avec incapacité. Les limitations légères étaient plus fréquentes chez les hommes (37,9 %) que chez les femmes (33,4 %). Inversement, les femmes étaient plus susceptibles de déclarer des limitations sévères ou très sévères (42,2 %) que les hommes (36.9%).

Près de 2 millions de Canadiens de 15 ans et plus ont une incapacité sévère ou très sévère

Comme l'illustre le tableau 12, en pourcentage de l'ensemble de la population canadienne, l'EPLA de 2006 révèle que 1.7 million, ou 6,6 % de Canadiens, de 15 ans et plus avaient une incapacité sévère ou très sévère. Une incapacité modérée a été déclarée par 4,1 % de Canadiens de 15 ans et plus (1 045 500 personnes), tandis qu'une incapacité légère a été mentionnée par 5,9 % de ce groupe d'âge (1 492 580 personnes). Les profils de sévérité de l'incapacité chez les adultes ont relativement peu changé de 2001 à 2006.

Tableau 11 Sévérité de l'incapacité chez les adultes de 15 ans et plus avec incapacité, selon le sexe, Canada, 2006. Ouvre une nouvelle fenêtre.

Tableau 11 Sévérité de l'incapacité chez les adultes de 15 ans et plus avec incapacité, selon le sexe, Canada, 2006

Tableau 12 Taux d'incapacité chez les adultes de 15 ans et plus, selon la sévérité de l'incapacité, Canada, 2001 et 2006. Ouvre une nouvelle fenêtre.

Tableau 12 Taux d'incapacité chez les adultes de 15 ans et plus, selon la sévérité de l'incapacité, Canada, 2001 et 2006

Les limitations d'activités associées à la douleur sont la forme la plus fréquente d'incapacité chez les adultes en âge de travailler

Chez les personnes avec incapacité en âge de travailler, la douleur et les malaises, qui touchent trois de ces personnes sur quatre (74,4 %), sont la limitation d'activités la plus fréquente. Si l'on considère l'ensemble des Canadiens en âge de travailler, cela signifie que 8,6 %, ou 1,8 million de personnes, ont une incapacité associée à la douleur et aux malaises.

Les femmes sont plus susceptibles que les hommes de déclarer des limitations d'activités associées à la douleur et à des malaises

Les limitations d'activités associées à la douleur et aux malaises sont nettement plus fréquentes chez les femmes en âge de travailler que chez leurs homologues masculins. Selon l'EPLA de 2006, 79,0 % des femmes avec incapacité en âge de travailler ont déclaré des limitations associées à la douleur comparativement à 69,3 % des hommes. Si l'on examine la population canadienne dans son ensemble, 9,5 % de femmes en âge de travailler déclarent des limitations d'activités associées à la douleur comparativement à 7,6 % d'hommes.

Les limitations d'activités associées à la douleur et aux malaises peuvent être constantes ou périodiques

La douleur et les malaises peuvent être un élément constant ou périodique de la vie de nombreuses personnes; par conséquent, l'EPLA portait non seulement sur la douleur constante, mais aussi sur la douleur périodique, comme les migraines ou les maux de dos. Globalement, 72,1 % de personnes en âge de travailler présentant des limitations associées à la douleur éprouvaient de la douleur en permanence, tandis que les 27,9 % restants subissaient des crises de douleur récurrentes ou périodiques.

Un Canadien de 65 ans et plus sur trois éprouve des limitations associées à la mobilité

Le profil des personnes avec incapacité évolue avec l'âge. Les types d'incapacité fréquents chez les jeunes sont remplacés par d'autres et l'incapacité devient plus sévère. Cela n'est pas étonnant, car les personnes âgées sont de plus en plus limitées dans leurs activités quotidiennes à mesure que leur santé décline. Chez les personnes de 65 ans et plus avec incapacité, trois sur quatre (76,4 %) ont déclaré une limitation associée à la mobilité, cette dernière remplaçant la douleur en tant que cause la plus fréquente de limitation. Pour l'ensemble de la population canadienne, plus de 1,3 million de personnes, soit 33,1 % de Canadiens de 65 ans et plus ont déclaré une limitation associée à la mobilité (voir le tableau 13).

Tableau 13 Prévalence de l'incapacité associée à la mobilité chez les adultes de 65 ans et plus, selon le groupe d'âge et le sexe, Canada, 2006. Ouvre une nouvelle fenêtre.

Tableau 13 Prévalence de l'incapacité associée à la mobilité chez les adultes de 65 ans et plus, selon le groupe d'âge et le sexe, Canada, 2006

Les limitations de la mobilité sont plus fréquentes chez les femmes âgées

Les femmes de 65 ans et plus sont proportionnellement plus nombreuses à déclarer des limitations de la mobilité que leurs homologues masculins, comme en témoigne le fait que, pour l'ensemble du Canada, 37,2 % de femmes de 65 ans et plus font part de ce genre de limitations comparativement à 28,1 % d'hommes.

Les troubles de mémoire sont la cause non visible de limitations la plus fréquente chez les Canadiens âgés

Les limitations d'activités associées à des troubles de mémoire sont le type de limitations non visibles le plus fréquemment déclaré par les personnes de 65 ans et plus, se manifestant chez 10 % des personnes de ce groupe d'âge avec incapacité. Dans l'ensemble, 4,3 % de Canadiens âgés éprouvent des limitations d'activités associées à des troubles de mémoire. En outre, la fréquence de la déclaration de limitations liées à la mémoire augmente régulièrement avec l'âge jusqu'au groupe des 85 ans et plus.


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