Victimisation

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Violence non conjugale chez les Autochtones

Graphique 24 Victimisation avec violence non conjugale autodéclarée, les 10 provinces canadiennes, 2009

Description du graphique 24

Les Autochtones sont plus susceptibles que les non-Autochtones d’être victimes de violence non conjugale

En 2009, 12 % des Autochtones ont déclaré avoir été victimes d’au moins un crime violent non conjugal, soit plus du double des non-Autochtones (5 %). %). Les Autochtones ont déclaré 173 600 incidents de violence non conjugale, se traduisant par un taux de 198 incidents violents pour 1 000 Autochtones, comparativement à 94 incidents violents pour 1 000 non-Autochtones.

Parmi les incidents violents non conjugaux déclarés par les Autochtones, les voies de fait étaient les plus courantes avec 107Note E incidents pour 1 000 Autochtones. Les voies de fait étaient également l’incident violent autodéclaré le plus courant chez les victimes non autochtones (58 pour 1 000). Par contre, pour ce qui est des agressions sexuelles, l’écart entre les victimes autochtones (70Note E incidents pour 1 000) et non autochtones (23 incidents pour 1 000) était proportionnellement plus élevé.

Pour obtenir plus de renseignements, veuillez consulter la publication La victimisation avec violence chez les Autochtones dans les provinces canadiennes, 2009.

Violence conjugale chez les Autochtones

Graphique 25 Victimisation avec violence conjugale autodéclarée au cours des cinq années précédentes, les 10 provinces canadiennes, 2009

Description du graphique 25

Les Autochtones sont presque deux fois plus susceptibles que les non-Autochtones de déclarer être victimes de violence conjugale

L es Autochtones qui avaient un conjoint ou un conjoint de fait au cours des cinq années précédant la tenue de l’enquête (2009) étaient plus susceptibles que les non-Autochtones de déclarer avoir été victimes d’agressions sexuelles ou de voies de fait aux mains de leur conjoint. Les Autochtones (10 %) étaient presque deux fois plus susceptibles que les non-Autochtones (6 %) de déclarer avoir été victimes de violence conjugale au cours des cinq années précédant l’enquête.

Plus particulièrement, l es femmes autochtones étaient plus à risque que les femmes non autochtones d’être victimes de violence conjugale. Environ 15 % des femmes autochtones qui avaient un conjoint ou un conjoint de fait au cours des années ayant précédé l’enquête ont déclaré avoir subi de la violence conjugale, une proportion plus de deux fois plus élevée que celle des femmes non autochtones (6 %).

Pour obtenir plus de renseignements, veuillez consulter la publication La victimisation avec violence chez les Autochtones dans les provinces canadiennes, 2009.

Notes