Section 2 – Une vision agricole de sept recensements, Canada et provinces : années de recensement 1976 à 2006

En 1981 dans certains cas, la somme des chiffres présentés dans les tableaux sur l'utilisation de la terre peut ne pas correspondre aux totaux indiqués à cause de l'arrondissement.

En Colombie-Britannique, la « superficie totale des fermes », la « superficie louée des gouvernements », la « superficie des terres non améliorées » et de toutes les « autres terres » sont plus importantes que celles qui avaient été déclarées aux recensements précédents, parce que les données sur les terres du gouvernement exploitées par licence, permis ou bail sont de meilleure qualité.

1. En 1981, la « superficie des terres non améliorées » était sous-déclarée dans les quatre provinces de l'Ouest. Dans le cas de chacune de ces provinces et pour l'ensemble du Canada, cette sous-déclaration influait sur la « superficie totale des fermes » et les « autres terres ».
2. En 1976, les « terres en culture » comprenaient les grandes cultures, les légumes, les fruits et les produits de pépinière. Depuis 1981, la définiton de « terres en culture » comprend aussi le gazon.
3. Les données concernant les terres en jachère sont habituellement surestimées dans les régions géographiques où cette pratique n'est pas courante. Toutefois, une question sur les méthodes de désherbage des terres en jachère, ajoutée aux questionnaires depuis 1991 a réduit de façon significative le niveau de surdéclaration.
4. Depuis 1996, l'expression « pâturages cultivés ou ensemencés » a remplacé l'expression « terre améliorée pour le pâturage ou le pacage » qui était utilisée auparavant. Par conséquent, certains répondants peuvent ne pas avoir répondu de la même façon depuis 1996, ce qui influe sur la comparablilité des données avec celles des recensements antérieurs.
5. Depuis 1976, la superficie des « autres terres » est la somme des superficies déclarées pour toutes les autres catégories d'utilisation des terres que l'on retrouvait à l'occasion de chacun des sept recensements. Depuis 1996, la superficie en arbres de Noël a été ajoutée aux « autres terres ». Depuis 2006, une question distincte sur les terres boisées et les terres humides a été ajoutée et est également comprise dans les « autres terres ».
6. En 1996 et 2001, certains exploitants ont déclaré des terres non ensemencées destinées aux cultures comme étant des terres inexploitées (une des composantes des « autres terres ») puisque, au moment du Recensement de l'agriculture, ils ne savaient pas si ces terres seraient ensemencées ou non.

En 1981 dans certains cas, la somme des chiffres présentés dans les tableaux sur l'utilisation de la terre peut ne pas correspondre aux totaux indiqués à cause de l'arrondissement.

En Colombie-Britannique, la « superficie totale des fermes », la « superficie louée des gouvernements », la « superficie des terres non améliorées » et de toutes les « autres terres » sont plus importantes que celles qui avaient été déclarées aux recensements précédents, parce que les données sur les terres du gouvernement exploitées par licence, permis ou bail sont de meilleure qualité.

1. En 1981, la « superficie des terres non améliorées » était sous-déclarée dans les quatre provinces de l'Ouest. Dans le cas de chacune de ces provinces et pour l'ensemble du Canada, cette sous-déclaration influait sur la « superficie totale des fermes » et les « autres terres ».
2. En 1976, les « terres en culture » comprenaient les grandes cultures, les légumes, les fruits et les produits de pépinière. Depuis 1981, la définiton de « terres en culture » comprend aussi le gazon.
3. Les données concernant les terres en jachère sont habituellement surestimées dans les régions géographiques où cette pratique n'est pas courante. Toutefois, une question sur les méthodes de désherbage des terres en jachère, ajoutée aux questionnaires depuis 1991 a réduit de façon significative le niveau de surdéclaration.
4. Depuis 1996, l'expression « pâturages cultivés ou ensemencés » a remplacé l'expression « terre améliorée pour le pâturage ou le pacage » qui était utilisée auparavant. Par conséquent, certains répondants peuvent ne pas avoir répondu de la même façon depuis 1996, ce qui influe sur la comparablilité des données avec celles des recensements antérieurs.
5. Depuis 1976, la superficie des « autres terres » est la somme des superficies déclarées pour toutes les autres catégories d'utilisation des terres que l'on retrouvait à l'occasion de chacun des sept recensements. Depuis 1996, la superficie en arbres de Noël a été ajoutée aux « autres terres ». Depuis 2006, une question distincte sur les terres boisées et les terres humides a été ajoutée et est également comprise dans les « autres terres ».
6. En 1996 et 2001, certains exploitants ont déclaré des terres non ensemencées destinées aux cultures comme étant des terres inexploitées (une des composantes des « autres terres ») puisque, au moment du Recensement de l'agriculture, ils ne savaient pas si ces terres seraient ensemencées ou non.

En 1981 dans certains cas, la somme des chiffres présentés dans les tableaux sur l'utilisation de la terre peut ne pas correspondre aux totaux indiqués à cause de l'arrondissement.

En Colombie-Britannique, la « superficie totale des fermes », la « superficie louée des gouvernements », la « superficie des terres non améliorées » et de toutes les « autres terres » sont plus importantes que celles qui avaient été déclarées aux recensements précédents, parce que les données sur les terres du gouvernement exploitées par licence, permis ou bail sont de meilleure qualité.

1. En 1981, la « superficie des terres non améliorées » était sous-déclarée dans les quatre provinces de l'Ouest. Dans le cas de chacune de ces provinces et pour l'ensemble du Canada, cette sous-déclaration influait sur la « superficie totale des fermes » et les « autres terres ».
2. En 1976, les « terres en culture » comprenaient les grandes cultures, les légumes, les fruits et les produits de pépinière. Depuis 1981, la définiton de « terres en culture » comprend aussi le gazon.
3. Les données concernant les terres en jachère sont habituellement surestimées dans les régions géographiques où cette pratique n'est pas courante. Toutefois, une question sur les méthodes de désherbage des terres en jachère, ajoutée aux questionnaires depuis 1991 a réduit de façon significative le niveau de surdéclaration.
4. Depuis 1996, l'expression « pâturages cultivés ou ensemencés » a remplacé l'expression « terre améliorée pour le pâturage ou le pacage » qui était utilisée auparavant. Par conséquent, certains répondants peuvent ne pas avoir répondu de la même façon depuis 1996, ce qui influe sur la comparablilité des données avec celles des recensements antérieurs.
5. Depuis 1976, la superficie des « autres terres » est la somme des superficies déclarées pour toutes les autres catégories d'utilisation des terres que l'on retrouvait à l'occasion de chacun des sept recensements. Depuis 1996, la superficie en arbres de Noël a été ajoutée aux « autres terres ». Depuis 2006, une question distincte sur les terres boisées et les terres humides a été ajoutée et est également comprise dans les « autres terres ».
6. En 1996 et 2001, certains exploitants ont déclaré des terres non ensemencées destinées aux cultures comme étant des terres inexploitées (une des composantes des « autres terres ») puisque, au moment du Recensement de l'agriculture, ils ne savaient pas si ces terres seraient ensemencées ou non.

En 1981 dans certains cas, la somme des chiffres présentés dans les tableaux sur l'utilisation de la terre peut ne pas correspondre aux totaux indiqués à cause de l'arrondissement.

En Colombie-Britannique, la « superficie totale des fermes », la « superficie louée des gouvernements », la « superficie des terres non améliorées » et de toutes les « autres terres » sont plus importantes que celles qui avaient été déclarées aux recensements précédents, parce que les données sur les terres du gouvernement exploitées par licence, permis ou bail sont de meilleure qualité.

1. En 1981, la « superficie des terres non améliorées » était sous-déclarée dans les quatre provinces de l'Ouest. Dans le cas de chacune de ces provinces et pour l'ensemble du Canada, cette sous-déclaration influait sur la « superficie totale des fermes » et les « autres terres ».
2. En 1976, les « terres en culture » comprenaient les grandes cultures, les légumes, les fruits et les produits de pépinière. Depuis 1981, la définiton de « terres en culture » comprend aussi le gazon.
3. Les données concernant les terres en jachère sont habituellement surestimées dans les régions géographiques où cette pratique n'est pas courante. Toutefois, une question sur les méthodes de désherbage des terres en jachère, ajoutée aux questionnaires depuis 1991 a réduit de façon significative le niveau de surdéclaration.
4. Depuis 1996, l'expression « pâturages cultivés ou ensemencés » a remplacé l'expression « terre améliorée pour le pâturage ou le pacage » qui était utilisée auparavant. Par conséquent, certains répondants peuvent ne pas avoir répondu de la même façon depuis 1996, ce qui influe sur la comparablilité des données avec celles des recensements antérieurs.
5. Depuis 1976, la superficie des « autres terres » est la somme des superficies déclarées pour toutes les autres catégories d'utilisation des terres que l'on retrouvait à l'occasion de chacun des sept recensements. Depuis 1996, la superficie en arbres de Noël a été ajoutée aux « autres terres ». Depuis 2006, une question distincte sur les terres boisées et les terres humides a été ajoutée et est également comprise dans les « autres terres ».
6. En 1996 et 2001, certains exploitants ont déclaré des terres non ensemencées destinées aux cultures comme étant des terres inexploitées (une des composantes des « autres terres ») puisque, au moment du Recensement de l'agriculture, ils ne savaient pas si ces terres seraient ensemencées ou non.

En 1981 dans certains cas, la somme des chiffres présentés dans les tableaux sur l'utilisation de la terre peut ne pas correspondre aux totaux indiqués à cause de l'arrondissement.

En Colombie-Britannique, la « superficie totale des fermes », la « superficie louée des gouvernements », la « superficie des terres non améliorées » et de toutes les « autres terres » sont plus importantes que celles qui avaient été déclarées aux recensements précédents, parce que les données sur les terres du gouvernement exploitées par licence, permis ou bail sont de meilleure qualité.

1. En 1981, la « superficie des terres non améliorées » était sous-déclarée dans les quatre provinces de l'Ouest. Dans le cas de chacune de ces provinces et pour l'ensemble du Canada, cette sous-déclaration influait sur la « superficie totale des fermes » et les « autres terres ».
2. En 1976, les « terres en culture » comprenaient les grandes cultures, les légumes, les fruits et les produits de pépinière. Depuis 1981, la définiton de « terres en culture » comprend aussi le gazon.
3. Les données concernant les terres en jachère sont habituellement surestimées dans les régions géographiques où cette pratique n'est pas courante. Toutefois, une question sur les méthodes de désherbage des terres en jachère, ajoutée aux questionnaires depuis 1991 a réduit de façon significative le niveau de surdéclaration.
4. Depuis 1996, l'expression « pâturages cultivés ou ensemencés » a remplacé l'expression « terre améliorée pour le pâturage ou le pacage » qui était utilisée auparavant. Par conséquent, certains répondants peuvent ne pas avoir répondu de la même façon depuis 1996, ce qui influe sur la comparablilité des données avec celles des recensements antérieurs.
5. Depuis 1976, la superficie des « autres terres » est la somme des superficies déclarées pour toutes les autres catégories d'utilisation des terres que l'on retrouvait à l'occasion de chacun des sept recensements. Depuis 1996, la superficie en arbres de Noël a été ajoutée aux « autres terres ». Depuis 2006, une question distincte sur les terres boisées et les terres humides a été ajoutée et est également comprise dans les « autres terres ».
6. En 1996 et 2001, certains exploitants ont déclaré des terres non ensemencées destinées aux cultures comme étant des terres inexploitées (une des composantes des « autres terres ») puisque, au moment du Recensement de l'agriculture, ils ne savaient pas si ces terres seraient ensemencées ou non.

En 1981 dans certains cas, la somme des chiffres présentés dans les tableaux sur l'utilisation de la terre peut ne pas correspondre aux totaux indiqués à cause de l'arrondissement.

En Colombie-Britannique, la « superficie totale des fermes », la « superficie louée des gouvernements », la « superficie des terres non améliorées » et de toutes les « autres terres » sont plus importantes que celles qui avaient été déclarées aux recensements précédents, parce que les données sur les terres du gouvernement exploitées par licence, permis ou bail sont de meilleure qualité.

1. En 1981, la « superficie des terres non améliorées » était sous-déclarée dans les quatre provinces de l'Ouest. Dans le cas de chacune de ces provinces et pour l'ensemble du Canada, cette sous-déclaration influait sur la « superficie totale des fermes » et les « autres terres ».
2. En 1976, les « terres en culture » comprenaient les grandes cultures, les légumes, les fruits et les produits de pépinière. Depuis 1981, la définiton de « terres en culture » comprend aussi le gazon.
3. Les données concernant les terres en jachère sont habituellement surestimées dans les régions géographiques où cette pratique n'est pas courante. Toutefois, une question sur les méthodes de désherbage des terres en jachère, ajoutée aux questionnaires depuis 1991 a réduit de façon significative le niveau de surdéclaration.
4. Depuis 1996, l'expression « pâturages cultivés ou ensemencés » a remplacé l'expression « terre améliorée pour le pâturage ou le pacage » qui était utilisée auparavant. Par conséquent, certains répondants peuvent ne pas avoir répondu de la même façon depuis 1996, ce qui influe sur la comparablilité des données avec celles des recensements antérieurs.
5. Depuis 1976, la superficie des « autres terres » est la somme des superficies déclarées pour toutes les autres catégories d'utilisation des terres que l'on retrouvait à l'occasion de chacun des sept recensements. Depuis 1996, la superficie en arbres de Noël a été ajoutée aux « autres terres ». Depuis 2006, une question distincte sur les terres boisées et les terres humides a été ajoutée et est également comprise dans les « autres terres ».
6. En 1996 et 2001, certains exploitants ont déclaré des terres non ensemencées destinées aux cultures comme étant des terres inexploitées (une des composantes des « autres terres ») puisque, au moment du Recensement de l'agriculture, ils ne savaient pas si ces terres seraient ensemencées ou non.

En 1981 dans certains cas, la somme des chiffres présentés dans les tableaux sur l'utilisation de la terre peut ne pas correspondre aux totaux indiqués à cause de l'arrondissement.

En Colombie-Britannique, la « superficie totale des fermes », la « superficie louée des gouvernements », la « superficie des terres non améliorées » et de toutes les « autres terres » sont plus importantes que celles qui avaient été déclarées aux recensements précédents, parce que les données sur les terres du gouvernement exploitées par licence, permis ou bail sont de meilleure qualité.

1. En 1981, la « superficie des terres non améliorées » était sous-déclarée dans les quatre provinces de l'Ouest. Dans le cas de chacune de ces provinces et pour l'ensemble du Canada, cette sous-déclaration influait sur la « superficie totale des fermes » et les « autres terres ».
2. En 1976, les « terres en culture » comprenaient les grandes cultures, les légumes, les fruits et les produits de pépinière. Depuis 1981, la définiton de « terres en culture » comprend aussi le gazon.
3. Les données concernant les terres en jachère sont habituellement surestimées dans les régions géographiques où cette pratique n'est pas courante. Toutefois, une question sur les méthodes de désherbage des terres en jachère, ajoutée aux questionnaires depuis 1991 a réduit de façon significative le niveau de surdéclaration.
4. Depuis 1996, l'expression « pâturages cultivés ou ensemencés » a remplacé l'expression « terre améliorée pour le pâturage ou le pacage » qui était utilisée auparavant. Par conséquent, certains répondants peuvent ne pas avoir répondu de la même façon depuis 1996, ce qui influe sur la comparablilité des données avec celles des recensements antérieurs.
5. Depuis 1976, la superficie des « autres terres » est la somme des superficies déclarées pour toutes les autres catégories d'utilisation des terres que l'on retrouvait à l'occasion de chacun des sept recensements. Depuis 1996, la superficie en arbres de Noël a été ajoutée aux « autres terres ». Depuis 2006, une question distincte sur les terres boisées et les terres humides a été ajoutée et est également comprise dans les « autres terres ».
6. En 1996 et 2001, certains exploitants ont déclaré des terres non ensemencées destinées aux cultures comme étant des terres inexploitées (une des composantes des « autres terres ») puisque, au moment du Recensement de l'agriculture, ils ne savaient pas si ces terres seraient ensemencées ou non.

En 1981 dans certains cas, la somme des chiffres présentés dans les tableaux sur l'utilisation de la terre peut ne pas correspondre aux totaux indiqués à cause de l'arrondissement.

En Colombie-Britannique, la « superficie totale des fermes », la « superficie louée des gouvernements », la « superficie des terres non améliorées » et de toutes les « autres terres » sont plus importantes que celles qui avaient été déclarées aux recensements précédents, parce que les données sur les terres du gouvernement exploitées par licence, permis ou bail sont de meilleure qualité.

1. En 1981, la « superficie des terres non améliorées » était sous-déclarée dans les quatre provinces de l'Ouest. Dans le cas de chacune de ces provinces et pour l'ensemble du Canada, cette sous-déclaration influait sur la « superficie totale des fermes » et les « autres terres ».
2. En 1976, les « terres en culture » comprenaient les grandes cultures, les légumes, les fruits et les produits de pépinière. Depuis 1981, la définiton de « terres en culture » comprend aussi le gazon.
3. Les données concernant les terres en jachère sont habituellement surestimées dans les régions géographiques où cette pratique n'est pas courante. Toutefois, une question sur les méthodes de désherbage des terres en jachère, ajoutée aux questionnaires depuis 1991 a réduit de façon significative le niveau de surdéclaration.
4. Depuis 1996, l'expression « pâturages cultivés ou ensemencés » a remplacé l'expression « terre améliorée pour le pâturage ou le pacage » qui était utilisée auparavant. Par conséquent, certains répondants peuvent ne pas avoir répondu de la même façon depuis 1996, ce qui influe sur la comparablilité des données avec celles des recensements antérieurs.
5. Depuis 1976, la superficie des « autres terres » est la somme des superficies déclarées pour toutes les autres catégories d'utilisation des terres que l'on retrouvait à l'occasion de chacun des sept recensements. Depuis 1996, la superficie en arbres de Noël a été ajoutée aux « autres terres ». Depuis 2006, une question distincte sur les terres boisées et les terres humides a été ajoutée et est également comprise dans les « autres terres ».
6. En 1996 et 2001, certains exploitants ont déclaré des terres non ensemencées destinées aux cultures comme étant des terres inexploitées (une des composantes des « autres terres ») puisque, au moment du Recensement de l'agriculture, ils ne savaient pas si ces terres seraient ensemencées ou non.

En 1981 dans certains cas, la somme des chiffres présentés dans les tableaux sur l'utilisation de la terre peut ne pas correspondre aux totaux indiqués à cause de l'arrondissement.

En Colombie-Britannique, la « superficie totale des fermes », la « superficie louée des gouvernements », la « superficie des terres non améliorées » et de toutes les « autres terres » sont plus importantes que celles qui avaient été déclarées aux recensements précédents, parce que les données sur les terres du gouvernement exploitées par licence, permis ou bail sont de meilleure qualité.

1. En 1981, la « superficie des terres non améliorées » était sous-déclarée dans les quatre provinces de l'Ouest. Dans le cas de chacune de ces provinces et pour l'ensemble du Canada, cette sous-déclaration influait sur la « superficie totale des fermes » et les « autres terres ».
2. En 1976, les « terres en culture » comprenaient les grandes cultures, les légumes, les fruits et les produits de pépinière. Depuis 1981, la définiton de « terres en culture » comprend aussi le gazon.
3. Les données concernant les terres en jachère sont habituellement surestimées dans les régions géographiques où cette pratique n'est pas courante. Toutefois, une question sur les méthodes de désherbage des terres en jachère, ajoutée aux questionnaires depuis 1991 a réduit de façon significative le niveau de surdéclaration.
4. Depuis 1996, l'expression « pâturages cultivés ou ensemencés » a remplacé l'expression « terre améliorée pour le pâturage ou le pacage » qui était utilisée auparavant. Par conséquent, certains répondants peuvent ne pas avoir répondu de la même façon depuis 1996, ce qui influe sur la comparablilité des données avec celles des recensements antérieurs.
5. Depuis 1976, la superficie des « autres terres » est la somme des superficies déclarées pour toutes les autres catégories d'utilisation des terres que l'on retrouvait à l'occasion de chacun des sept recensements. Depuis 1996, la superficie en arbres de Noël a été ajoutée aux « autres terres ». Depuis 2006, une question distincte sur les terres boisées et les terres humides a été ajoutée et est également comprise dans les « autres terres ».
6. En 1996 et 2001, certains exploitants ont déclaré des terres non ensemencées destinées aux cultures comme étant des terres inexploitées (une des composantes des « autres terres ») puisque, au moment du Recensement de l'agriculture, ils ne savaient pas si ces terres seraient ensemencées ou non.

En 1981 dans certains cas, la somme des chiffres présentés dans les tableaux sur l'utilisation de la terre peut ne pas correspondre aux totaux indiqués à cause de l'arrondissement.

En Colombie-Britannique, la « superficie totale des fermes », la « superficie louée des gouvernements », la « superficie des terres non améliorées » et de toutes les « autres terres » sont plus importantes que celles qui avaient été déclarées aux recensements précédents, parce que les données sur les terres du gouvernement exploitées par licence, permis ou bail sont de meilleure qualité.

1. En 1981, la « superficie des terres non améliorées » était sous-déclarée dans les quatre provinces de l'Ouest. Dans le cas de chacune de ces provinces et pour l'ensemble du Canada, cette sous-déclaration influait sur la « superficie totale des fermes » et les « autres terres ».
2. En 1976, les « terres en culture » comprenaient les grandes cultures, les légumes, les fruits et les produits de pépinière. Depuis 1981, la définiton de « terres en culture » comprend aussi le gazon.
3. Les données concernant les terres en jachère sont habituellement surestimées dans les régions géographiques où cette pratique n'est pas courante. Toutefois, une question sur les méthodes de désherbage des terres en jachère, ajoutée aux questionnaires depuis 1991 a réduit de façon significative le niveau de surdéclaration.
4. Depuis 1996, l'expression « pâturages cultivés ou ensemencés » a remplacé l'expression « terre améliorée pour le pâturage ou le pacage » qui était utilisée auparavant. Par conséquent, certains répondants peuvent ne pas avoir répondu de la même façon depuis 1996, ce qui influe sur la comparablilité des données avec celles des recensements antérieurs.
5. Depuis 1976, la superficie des « autres terres » est la somme des superficies déclarées pour toutes les autres catégories d'utilisation des terres que l'on retrouvait à l'occasion de chacun des sept recensements. Depuis 1996, la superficie en arbres de Noël a été ajoutée aux « autres terres ». Depuis 2006, une question distincte sur les terres boisées et les terres humides a été ajoutée et est également comprise dans les « autres terres ».
6. En 1996 et 2001, certains exploitants ont déclaré des terres non ensemencées destinées aux cultures comme étant des terres inexploitées (une des composantes des « autres terres ») puisque, au moment du Recensement de l'agriculture, ils ne savaient pas si ces terres seraient ensemencées ou non.

En 1981 dans certains cas, la somme des chiffres présentés dans les tableaux sur l'utilisation de la terre peut ne pas correspondre aux totaux indiqués à cause de l'arrondissement.

En Colombie-Britannique, la « superficie totale des fermes », la « superficie louée des gouvernements », la « superficie des terres non améliorées » et de toutes les « autres terres » sont plus importantes que celles qui avaient été déclarées aux recensements précédents, parce que les données sur les terres du gouvernement exploitées par licence, permis ou bail sont de meilleure qualité.

1. En 1981, la « superficie des terres non améliorées » était sous-déclarée dans les quatre provinces de l'Ouest. Dans le cas de chacune de ces provinces et pour l'ensemble du Canada, cette sous-déclaration influait sur la « superficie totale des fermes » et les « autres terres ».
2. En 1976, les « terres en culture » comprenaient les grandes cultures, les légumes, les fruits et les produits de pépinière. Depuis 1981, la définiton de « terres en culture » comprend aussi le gazon.
3. Les données concernant les terres en jachère sont habituellement surestimées dans les régions géographiques où cette pratique n'est pas courante. Toutefois, une question sur les méthodes de désherbage des terres en jachère, ajoutée aux questionnaires depuis 1991 a réduit de façon significative le niveau de surdéclaration.
4. Depuis 1996, l'expression « pâturages cultivés ou ensemencés » a remplacé l'expression « terre améliorée pour le pâturage ou le pacage » qui était utilisée auparavant. Par conséquent, certains répondants peuvent ne pas avoir répondu de la même façon depuis 1996, ce qui influe sur la comparablilité des données avec celles des recensements antérieurs.
5. Depuis 1976, la superficie des « autres terres » est la somme des superficies déclarées pour toutes les autres catégories d'utilisation des terres que l'on retrouvait à l'occasion de chacun des sept recensements. Depuis 1996, la superficie en arbres de Noël a été ajoutée aux « autres terres ». Depuis 2006, une question distincte sur les terres boisées et les terres humides a été ajoutée et est également comprise dans les « autres terres ».
6. En 1996 et 2001, certains exploitants ont déclaré des terres non ensemencées destinées aux cultures comme étant des terres inexploitées (une des composantes des « autres terres ») puisque, au moment du Recensement de l'agriculture, ils ne savaient pas si ces terres seraient ensemencées ou non.