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Produit intérieur brut, revenus et dépenses, deuxième trimestre de 2022

Diffusion : 2022-08-31

Le produit intérieur brut (PIB) réel a augmenté de 0,8 % au deuxième trimestre, principalement en raison de la hausse des investissements des entreprises en stocks; des ouvrages non résidentiels, machines et matériel ainsi que des dépenses des ménages en services et en biens semi-durables. Il s'agit d'une quatrième augmentation trimestrielle consécutive du PIB réel.

La croissance enregistrée au deuxième trimestre a été atténuée par une baisse des investissements en logement et des dépenses des ménages en biens durables et par une hausse des importations, qui a été supérieure à celle des exportations. La demande intérieure finale a progressé de 0,7 %, après avoir augmenté de 0,9 % au premier trimestre.

Graphique 1  Graphique 1: Produit intérieur brut réel et demande intérieure finale
Produit intérieur brut réel et demande intérieure finale

Graphique 2  Graphique 2: Contribution à la variation en pourcentage du produit intérieur brut réel, deuxième trimestre de 2022
Contribution à la variation en pourcentage du produit intérieur brut réel, deuxième trimestre de 2022

Les investissements des entreprises en stocks stimulent la croissance

L'accumulation des stocks des entreprises — principalement à l'origine de la croissance — s'est élevée à 47,0 milliards de dollars au deuxième trimestre. L'augmentation des investissements en stocks non agricoles est surtout attribuable à une hausse des biens durables (machines et fournitures de construction) et des biens non durables (engrais) chez les grossistes-marchands et à une hausse des biens durables (machines et aéronefs) chez les fabricants. Le ratio des stocks aux ventes pour l'économie dans son ensemble a progressé, passant de 0,833 au premier trimestre à 0,847 au deuxième trimestre. Ce ratio se rapproche des niveaux enregistrés immédiatement avant le début de la pandémie de COVID-19.

L'augmentation de la production des produits agricoles au deuxième trimestre, dont le blé et le canola, s'est traduite par la hausse la plus marquée des investissements en stocks agricoles depuis 1961, soit l'année où les données trimestrielles ont été recueillies pour la première fois. La production totale de cultures agricoles devrait augmenter en 2022, les conditions météorologiques observées étant meilleures que l'année précédente.

Les dépenses des ménages en biens semi-durables et en services alimentent la croissance

Stimulées par les dépenses en vêtements et chaussures, les dépenses des ménages en biens semi-durables se sont accrues de 5,6 % au deuxième trimestre. La hausse est en grande partie attribuable à l'augmentation des voyages et au fait qu'un grand nombre de personnes sont de retour au bureau. Selon l'Enquête sur la population active, le pourcentage de travailleurs effectuant habituellement toutes leurs heures de travail à domicile a diminué au deuxième trimestre, alors que la fréquence du travail en mode hybride — ou le fait de travailler certaines heures à domicile et certaines heures à un autre endroit — s'est accrue.

La relance de l'économie a aussi stimulé les dépenses en services (+3,9 %) au deuxième trimestre, lesquelles ont progressé pour un huitième trimestre consécutif. Les principaux facteurs contribuant à la hausse ont été les voyages à l'étranger, les services de repas et de boissons non alcoolisées, le transport aérien, les services de boissons alcoolisées, les jeux de hasard et les services d'hébergement.

Les investissements en logement ont reculé de 7,8 % au deuxième trimestre, sous l'effet d'une diminution des dépenses en rénovation. La croissance des taux hypothécaires et un ralentissement du marché de la revente se sont traduits par une diminution de 24,7 % des coûts de transfert, et les baisses les plus marquées ont été observées en Ontario et en Colombie-Britannique. La croissance de la dette hypothécaire des ménages a aussi ralenti au deuxième trimestre.

Augmentation des investissements des entreprises en machines et matériel et en ouvrages de génie

En raison de projets comme le projet de gaz naturel liquéfié à Kitimat en Colombie-Britannique et de dépenses en immobilisations plus élevées dans le pétrole et le gaz en Alberta, les entreprises ont continué d'investir dans les ouvrages de génie au deuxième trimestre. La hausse de 3,6 % des investissements au deuxième trimestre de 2022 correspond à une septième hausse trimestrielle consécutive et fait suite à des périodes d'investissements réduits en 2019 et pendant la pandémie. En raison de la reprise de la demande en voyages, les investissements des entreprises dans les machines et le matériel ont augmenté de 4,5 % au deuxième trimestre de 2022; la hausse a été principalement attribuable aux aéronefs, camions, autobus et autres véhicules automobiles.

Étant donné l'augmentation des taux d'intérêt au deuxième trimestre, et la hausse du taux directeur de la Banque du Canada, les entreprises pourraient juger qu'il est plus coûteux de financer les projets d'immobilisations futurs. Les sociétés non financières ont enregistré trois mois consécutifs de remboursements nets des titres d'emprunt jusqu'à juin 2022, alors que les soldes de leurs prêts se sont accrus. Dans l'ensemble, les sociétés non financières ont aussi accumulé un montant considérable de numéraire et dépôts depuis 2020 qui pourrait être dirigé vers les activités futures d'investissement.

La hausse des importations est supérieure à celle des exportations

La hausse considérable des volumes d'importations (+6,9 %) enregistrée au deuxième trimestre a été principalement attribuable aux services de voyages et aux voitures automobiles et camions, et plus particulièrement aux modèles électriques et hybrides, ce qui rend compte de l'augmentation des prix de l'essence. Les produits intermédiaires en métal et les machines, matériel et pièces industriels — essentiellement des turbines et des générateurs pour un projet de parc éolien en Alberta — sont principalement à l'origine de la hausse.

Graphique 3  Graphique 3: Les principaux produits de base pour le commerce au deuxième trimestre de 2022, taux de croissance des dollars enchaînés (2012)
Les principaux produits de base pour le commerce au deuxième trimestre de 2022, taux de croissance des dollars enchaînés (2012)

Après avoir reculé de 2,3 % au premier trimestre, les volumes des exportations ont progressé de 2,6 % au deuxième trimestre. Le principal facteur expliquant la croissance est l'augmentation des exportations de produits intermédiaires en métal, laquelle est attribuable à la forte demande américaine en l'aluminium. Les exportations de services de voyages se sont accrues de 18,4 %, sous l'effet d'une hausse des voyages d'affaires et à titre personnel.

La hausse des prix fait augmenter le produit intérieur brut nominal

L'indice implicite des prix du PIB, qui rend compte du prix global des biens et des services produits au pays, a progressé de 3,3 % au deuxième trimestre, et la hausse a été principalement attribuable aux prix élevés des produits énergétiques. Il s'agit de la plus forte augmentation de l'indice observée depuis le troisième trimestre de 1974. Par conséquent, le PIB nominal s'est accru de 4,2 % pour atteindre 2,8 billions de dollars au deuxième trimestre.

Les termes de l'échange, c'est-à-dire le ratio du prix des exportations aux prix des importations, ont augmenté de 5,0 % au deuxième trimestre. L'augmentation s'explique surtout par la hausse de 8,8 % des prix à l'exportation, laquelle est principalement attribuable à une hausse marquée des prix à l'exportation du pétrole brut et du bitume brut (+24,5 %). L'amélioration des termes de l'échange a été le principal facteur à l'origine de l'augmentation de 2,4 % du revenu national brut réel.

Graphique 4  Graphique 4: Produit intérieur brut, indices des prix, certaines composantes
Produit intérieur brut, indices des prix, certaines composantes

Carte 1  Vignette de la carte 1: Rémunération des salariés, croissance d'un trimestre à l'autre, données désaisonnalisées
Rémunération des salariés, croissance d'un trimestre à l'autre, données désaisonnalisées

La rémunération des salariés a augmenté de 2,0 % au deuxième trimestre, et la croissance a été surtout attribuable au secteur des services professionnels et personnels et au secteur de l'extraction minière et de l'extraction de pétrole et de gaz. L'Ontario et l'Alberta ont contribué le plus à la croissance des salaires à l'échelle nationale, et les taux de croissance des salaires observés dans les provinces de l'Atlantique ont été presque le double du taux national. La croissance considérable enregistrée dans le secteur de l'extraction minière et de l'extraction de pétrole et de gaz a contribué à l'augmentation de 4,1 % des salaires à Terre-Neuve-et-Labrador. La hausse observée dans les services professionnels et personnels est principalement à l'origine des augmentations des salaires en Nouvelle-Écosse, au Nouveau-Brunswick et à l'Île-du-Prince-Édouard.

Les sociétés non financières tirent parti de la fermeté des prix des produits énergétiques

Les prix du pétrole quasi record ont fait croître la production des entreprises qui exercent des activités dans le pétrole et le gaz, ce qui s'est traduit par une augmentation de 9,8 % de l'excédent brut d'exploitation des sociétés non financières au deuxième trimestre. L'augmentation de la valeur des exportations de pétrole brut et bitume, qui est attribuable à la majoration des prix, a soutenu les revenus des sociétés d'énergie. Dans de nombreux cas, ces sociétés sont des compagnies à intégration verticale en mesure de tirer parti des activités en amont, des activités intermédiaires et des activités en aval (comme les hausses des marges de raffinage et des prix de l'essence). En raison de la croissance accrue des revenus, les dividendes payés par les sociétés non financières ont progressé de 9,1 % au deuxième trimestre.

Les sociétés financières connaissent un ralentissement

L'excédent d'exploitation brut des sociétés financières a reculé de 1,6 % au deuxième trimestre. La tempête qui a balayé le sud de l'Ontario et le Québec en mai se classe au sixième rang des sinistres assurés les plus coûteux au Canada. L'augmentation des réclamations découlant de cet événement météorologique, principalement attribuable à de grands vents, a atténué l'excédent d'exploitation des sociétés d'assurance de biens et de risques divers. La baisse des marchés à la fois en termes de valeurs et de volumes échangés a aussi exercé une pression sur les revenus provenant des opérations. Parallèlement, les dividendes payés par les sociétés financières ont progressé de 3,3 % au deuxième trimestre.

Le revenu des ménages augmente

Le revenu des ménages (en valeur nominale et aux taux trimestriels) a augmenté au deuxième trimestre en raison de la hausse de la rémunération des salariés (+6,6 milliards de dollars), du revenu de la propriété reçu (+3,3 milliards de dollars) et du revenu mixte net (le revenu de l'entreprise des entreprises individuelles, +2,3 milliards de dollars), lesquels comprennent les revenus d'intérêts et de dividendes. En ce qui a trait au revenu mixte net, les exploitations agricoles non constituées en société ont affiché une croissance de 30,0 %, principalement attribuable à la hausse des prix de leurs biens; il s'agit d'un deuxième trimestre consécutif de croissance plus élevée pour ces exploitations agricoles. Le revenu de la propriété des ménages a été alimenté par la hausse des revenus d'intérêt sur les dépôts. Cette hausse a été accompagnée par une forte croissance du revenu de dividendes, les sociétés financières et non financières ayant payé leurs actionnaires au deuxième trimestre.

La hausse du revenu de la propriété reçu au deuxième trimestre a été atténuée par l'augmentation de 10,0 % du revenu de la propriété payé, lequel comprend les frais d'intérêts hypothécaires (+5,7 %) et les frais d'intérêts non hypothécaires, comme l'intérêt lié au crédit à la consommation (+15,9 %). La hausse du taux directeur est passée de 0,25 % au début du premier trimestre à 1,5 % à la fin du mois de juin, et les produits à taux variable ont enregistré des hausses notables des coûts de l'intérêt connexes.

Les transferts gouvernementaux diminuent

Les transferts gouvernementaux aux ménages ont régressé de 6,6 % au deuxième trimestre, principalement en raison de la diminution des autres prestations reçues et des prestations d'assurance-emploi. Les transferts gouvernementaux ont diminué puisque les programmes de soutien liés à la COVID-19 prenaient fin, mais ils sont demeurés supérieurs aux niveaux observés au quatrième trimestre de 2019. Par contre, ils ont représenté près des deux tiers du total des transferts reçus par les ménages au deuxième trimestre de 2022, ce qui correspond aux proportions observées avant la pandémie. Les prestations d'assurance-emploi ont presque atteint les niveaux observés au premier trimestre de 2020, et le taux de chômage national a été inférieur à 5 % en juin.

Le revenu disponible augmente, mais le taux d'épargne diminue

Le revenu disponible des ménages dans son ensemble a progressé de 3,6 milliards de dollars aux taux trimestriels (+1,0 %) au deuxième trimestre, principalement en raison de la hausse des revenus. La progression a été plus qu'annulée par l'augmentation de 15,1 milliards de dollars de la consommation des ménages (+4,3 %), et c'est la majoration des prix de la majorité des composantes de la consommation qui a été principalement à l'origine de la hausse du volume des dépenses réelles. L'épargne nette a donc reculé au deuxième trimestre, le taux d'épargne étant passé de 9,5 % au premier trimestre à 6,2 % au deuxième trimestre. Par comparaison, le taux d'épargne s'était établi à 2,7 % à la fin de 2019. Le taux d'épargne des ménages est agrégé sur l'ensemble des classes de revenu; en général, les taux d'épargne sont plus élevés dans les quintiles de revenu supérieurs.

L'épargne nette des ménages a été plus de deux fois supérieure à l'épargne enregistrée à la fin de 2019, ce qui poursuit la tendance des niveaux d'épargne élevés observée depuis le début de la pandémie. Cette tendance se poursuit malgré les pressions inflationnistes, le coût de la vie et les taux d'intérêt ayant continué de croître à la fin juin. Même si ces estimations laissent supposer que la résilience de l'épargne nette des ménages se poursuit, les pressions inflationnistes sur la consommation et les tendances de la rémunération des salariés seront vraisemblablement des facteurs déterminants clés des résultats futurs.

Les dernières grandes mesures de soutien du gouvernement fédéral prennent fin

Les programmes de soutien ciblés instaurés par le gouvernement fédéral qui étaient encore en vigueur ont pris fin au deuxième trimestre, y compris le Programme d'embauche pour la relance économique du Canada, le Programme de relance pour les entreprises les plus durement touchées, le Programme de relance pour le tourisme et l'accueil et la Prestation canadienne pour les travailleurs en cas de confinement. Le Programme de relance pour le tourisme et l'accueil et le Programme de relance pour les entreprises les plus durement touchées ont stimulé les subventions fédérales au premier trimestre, mais cette contribution a reculé considérablement au deuxième trimestre et les subventions fédérales sont demeurées bien en deçà de celles observées en 2020 et 2021.






Objectifs liés au développement durable

Le 1er janvier 2016, des pays du monde entier ont officiellement commencé à mettre en œuvre le Programme de développement durable à l'horizon 2030, le plan d'action des Nations Unies axé sur la transformation qui vise à relever des défis mondiaux urgents au cours des 15 années suivantes. Ce plan est fondé sur 17 objectifs précis liés au développement durable.

Les données sur le produit intérieur brut selon les revenus et les dépenses sont un exemple de la manière dont Statistique Canada appuie le suivi des progrès relatifs aux objectifs mondiaux liés au développement durable. Le présent communiqué contribuera à mesurer les objectifs suivants :

  Note aux lecteurs

Prise en compte des opérations du commerce électronique effectuées auprès de vendeurs non résidents

Les indicateurs qui servent à estimer les dépenses de consommation finale des ménages ont fait l'objet d'un rajustement afin de prendre en compte le commerce électronique effectué auprès de vendeurs non résidents. L'Enquête mensuelle sur le commerce de détail recueille uniquement des données sur les ventes du commerce électronique réalisées par les vendeurs résidents. Ce rajustement, qui est appliqué aux indicateurs servant au calcul de la consommation des ménages, lesquels sont tirés essentiellement de l'Enquête sur les marchandises vendues au détail, correspond à une valeur trimestrielle non désaisonnalisée. Le rajustement est apporté depuis le quatrième trimestre de 2019. Au deuxième trimestre de 2022, le rajustement appliqué aux indicateurs de la consommation des ménages correspond à 799,5 millions de dollars comparativement à 727 millions de dollars au premier trimestre de la même année. Le rajustement est calculé à partir de sources de données, comme les opérations douanières détaillées, les remises de la taxe sur les produits et services et les états financiers de certaines entreprises.

Révision des données du premier trimestre de 2022 

Dans le cadre de cette diffusion, les données du premier trimestre de 2022 ont été mises à jour en raison de l'intégration des données sources à jour et de la désaisonnalisation.

Pour obtenir plus de renseignements sur le cycle de révisions du produit intérieur brut (PIB), veuillez consulter la page Cycle de révision du PIB.

Mesures de soutien prises par les gouvernements

Pour atténuer les répercussions économiques de la pandémie de COVID-19, les gouvernements ont mis en œuvre des programmes pour appuyer les ménages et les entreprises, dont la Subvention salariale d'urgence du Canada, la Subvention d'urgence du Canada pour le loyer et la Prestation canadienne de la relance économique. Pour obtenir une explication détaillée de la façon dont ces mesures de soutien ont été traitées dans la compilation des estimations, veuillez consulter les rapports «  Saisie des mesures liées à la COVID-19 dans les comptes nationaux » et « Saisie de nouvelles mesures liées à la COVID-19 dans les comptes nationaux ».

Les renseignements mis à jour jusqu'au deuxième trimestre de 2022 de certaines des mesures les plus importantes du gouvernement fédéral seront publiés le 12 septembre en même temps que la publication des comptes du bilan national et des flux financiers. Les données publiées précédemment figurent à la page Dépenses du gouvernement fédéral pour les mesures liées à la COVID-19.

Général

Les variations en pourcentage des statistiques relatives aux dépenses (comme les dépenses des ménages, l'investissement et les exportations) sont calculées à partir de mesures en volume qui sont corrigées en fonction des variations de prix. Les variations en pourcentage des statistiques relatives aux revenus (comme la rémunération des salariés et l'excédent d'exploitation) sont calculées à partir de valeurs nominales, c'est-à-dire qu'elles ne sont pas corrigées en fonction des variations de prix. À moins d'indication contraire, les taux de croissance représentent la variation en pourcentage dans la série d'un trimestre à l'autre, par exemple du premier trimestre au deuxième trimestre de 2022.

Pour obtenir des renseignements sur la désaisonnalisation, veuillez consulter la page Données désaisonnalisées — Foire aux questions.

Tableaux de données en temps réel

Les tableaux de données en temps réel 36-10-0430-01 et 36-10-0431-01 seront mis à jour le 6 septembre.

Prochaine diffusion

Les données sur le PIB selon les revenus et dépenses du troisième trimestre seront diffusées le 29 novembre.

Produits

Le produit de visualisation « Produit intérieur brut selon les revenus et les dépenses : outil interactif », qui fait partie de la série Statistique Canada – Produits de visualisation des données (Numéro au catalogue71-607-X), est maintenant accessible.

Le document « Saisie de nouvelles mesures liées à la COVID-19 dans les comptes nationaux », qui fait partie de la collection Les nouveautés en matière de comptes économiques canadiens (Numéro au catalogue13-605-X), est accessible.

Le portail Statistiques des comptes économiques, accessible sous l'onglet Sujets du site Web de Statistique Canada, offre un portrait à jour des économies nationale et provinciales et de leur structure.

Le Guide de l'utilisateur : Système canadien des comptes macroéconomiques (Numéro au catalogue13-606-G) est accessible.

Le Guide méthodologique : Système canadien des comptes macroéconomiques (Numéro au catalogue13-607-X) est accessible.

Coordonnées des personnes-ressources

Pour obtenir plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec nous au 514-283-8300 ou composez sans frais le 1-800-263-1136 (infostats@statcan.gc.ca), ou communiquez avec les Relations avec les médias (statcan.mediahotline-ligneinfomedias.statcan@statcan.gc.ca).

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