Archivé – Enquête auprès des peuples autochtones de 2012
Un bref portrait de l'éducation et de l'emploi.
Nota : L'Enquête auprès des peuples autochtones de 2012 fournit des données sur les Premières Nations vivant hors réserve, les Métis et les Inuit. Les données présentées dans cette vidéo ciblent spécifiquement les sujets de l'éducation et l'emploi chez les adultes âgés de 18 à 44 ans pour ces populations.
Numéro de catalogue : Numéro de catalogue : 11-629-x
Numéro d'exemplaire : 2015008
Date de diffusion : 25 novembre 2013
Enquête auprès des peuples autochtones de 2012 - Transcription
Éducation et emploi : Description des éléments visuels
Les nouvelles données de l'Enquête auprès des peuples autochtones de 2012 nous aident à comprendre pourquoi les Premières Nations vivant hors réserve, les Inuit et les Métis poursuivent leurs études ou abandonnent l'école, comment les études influencent leurs chances de trouver du travail et d'avoir un revenu. Aussi, quelles sont leurs aspirations scolaires pour l'avenir.
En examinant plus particulièrement les adultes de 18 à 44 ans, une nouvelle étude fondée sur cette enquête démontre que près de and just over four-in-ten Inuit huit Métis sur 10, plus de sept Premières Nations vivant hors réserve sur 10, et un peu plus de quatre Inuit sur 10 avaient un diplôme d'études secondaires ou son équivalent en 2012.
(Trois diagrammes à secteurs montrent le pourcentage de titulaires d'un diplôme d'études secondaires parmi les Métis (77 %), les Premières Nations (72 %) et les Inuit (42 %) âgés de 18 à 44 ans.)
Certaines caractéristiques communes semblaient être associées à la réussite scolaire. Par exemple, les diplômés du secondaire ont déclaré qu'ils avaient participé plus souvent à des activités en dehors des heures d'école et qu'ils lisaient des livres plus souvent que les décrocheurs.
(Une liste des indicateurs de succès est montrée : participaient à des activités parascolaires, lisaient des livres, se sentaient heureux et en sécurité à l'école, ont reçu du soutien du personnel scolaire, avaient des amis ayant une influence positive, avaient des parents ayant un diplôme d'études secondaires et avaient des parents qui étaient impliqués à l'école.)
Parmi ceux qui n'ont pas terminé leurs études secondaires, les raisons courantes du décrochage comprenaient le désir de travailler, les problèmes d'argent, les problèmes scolaires, le manque d'intérêt ainsi que la grossesse et les responsabilités de garde d'enfants.
(Un papillon adhésif est montré avec le texte suivant « Raisons du décrochage : désir de travailler, problèmes d'argent, problèmes scolaires, manque d'intérêt, grossesse et responsabilités de garde d'enfants ».)
Néanmoins, un bon nombre de ceux qui n'ont pas terminé leurs études secondaires ont quand même poursuivi leurs études au niveau postsecondaire. C'est-à-dire pour obtenir un certificat d'une école de métiers, un diplôme d'études collégiales ou un grade universitaire.
(Les proportions de ceux qui n'ont pas terminé leurs études secondaires, mais qui ont quand même poursuivi leurs études au niveau postsecondaire, sont montrées pour les Premières Nations (16 %), les Inuit (12 %) et les Métis (16%) âgés de 18 à 44 ans.)
Un niveau de scolarité supérieur se traduit souvent par une plus grande facilité à trouver un emploi et à avoir des revenus plus élevés. À l'instar de la population générale, les Premières Nations vivant hors réserve, les Inuit et les Métis qui avaient terminé leurs études secondaires étaient plus susceptibles d'avoir un emploi que ceux qui ne l'avaient pas terminé.
(Trois diagrammes à secteurs montrent les taux d'emploi parmi les titulaires d'un diplôme d'études secondaires pour les Premières Nations (72 %), les Inuit (71 %) et les Métis (80%) âgés de 18 à 44 ans.)
L'étude a également conclu que les fourchettes de revenu d'emploi étaient généralement de 10 000 $ à 20 000 $ plus élevées pour les adultes qui avaient terminé leurs études secondaires que pour les décrocheurs.
(Les fourchettes de revenu d'emploi médian pour les Premières Nations, les Inuit et les Métis âgés de 18 à 44 ans et ayant terminé leurs études secondaires et pour ceux n'ayant pas terminé leurs études secondaires sont montrées. Pour les Premières Nations, la fourchette est de 20 000 $ à 30 000 $ s'ils n'ont pas terminé leurs études secondaires et de 30 000 $ à 40 000 $ s'ils ont terminé leurs études secondaires. Pour les Inuit, la fourchette est de 10 000 $ à 20 000 $ s'ils n'ont pas terminé leurs études secondaires et de 30 000 $ à 40 000 $ s'ils ont terminé leurs études secondaires. Pour les Métis, la fourchette est de 20 000 $ à 30 000 $ s'ils n'ont pas terminé leurs études secondaires et de 30 000 $ à 40 000 $ s'ils ont terminé leurs études secondaires.
Peu importe s'ils travaillaient ou s'ils étaient en chômage, bien des adultes ont dit qu'ils projetaient de retourner à l'école. En 2012, 65 % des Premières Nations vivant hors réserve, 55 % des Inuit et 59 % des Métis de 18 à 44 ans avaient l'intention de poursuivre leurs études.
(Trois diagrammes à secteurs montrent la proportion de Premières Nations (65 %), d'Inuit (55 %) et de Métis (59 %) de 18 à 44 ans ayant l'intention de retourner aux études.)
Merci d'avoir regardé ce bref aperçu de quelques-unes des conclusions de l'Enquête auprès des peuples autochtones de 2012.
En plus des sujets de l'éducation et de l'emploi, l'enquête comporte un large éventail de données sur des sujets tels que la santé, la langue, le revenu, le logement et la mobilité pour des répondants âgés de six ans et plus.
Visitez le site Web de Statistique Canada pour lire l'étude au complet et pour en savoir plus sur l'Enquête auprès des peuples autochtones.
(L'adresse Web www.statcan.gc.ca/peuplesautochtones est montrée.)
(L'image se transforme pour afficher le mot-symbole « Canada » devant un arrière-plan noir.)
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