Construction non résidentielle
Indicateurs clés
Région géographique choisie : Canada
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19,3 milliards de dollars-1,1 %(variation mensuelle)
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11,8 milliards de dollars9,3 %(variation mensuelle)
Plus d'indicateurs clés de «construction non résidentielle»
Région géographique choisie : Canada
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231 234,6 millions de dollars3,6 %(variation annuelle)
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122 651,1 millions de dollars6,3 %(variation annuelle)
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353 885,7 millions de dollars4,5 %(variation annuelle)
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0,9 %(variation trimestrielle)
-
Indice des prix de la construction de bâtiments non résidentiels - Canada
(Quatrième trimestre de 2023)0,7 %(variation trimestrielle) -
2 579 milliards de dollars de 20171,0 %(variation annuelle)
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2 754 milliards de dollars de 20172,5 %(variation annuelle)
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14,4 milliards de dollars0,9 %(variation trimestrielle)
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- Articles et rapports : 11F0027M2008050Géographie : CanadaDescription :
La présente étude a pour but de déterminer si le taux des obligations d'État à long terme peut ou non être raisonnablement employé comme taux de rendement du capital public dans le calcul du produit intérieur brut du secteur public. Elle indique que le taux de rendement du capital public est souvent plus faible que celui publié et qu'il concorde approximativement avec celui du capital privé. Étant donné qu'il existe une gamme d'estimations plausibles, nous concluons que le taux des obligations d'État à long terme pourrait être utilisé comme estimation prudente du taux de rendement de l'infrastructure publique.
Des études antérieures ont révélé que les estimations fondées sur la fonction de production ont tendance à donner des taux de rendement incroyablement élevés, tandis que celles fondées sur la fonction de coût semblent fournir des résultats plus raisonnables. Nous montrons dans le présent document que la croissance du capital public et celle de la productivité totale des facteurs (PTF) évoluent de la même façon et soutenons que les estimations de l'effet du capital public fondées sur la fonction de production surestiment par conséquent cet effet, parce qu'elles englobent une partie de ce qui est inclus dans les estimations de la PTF. Nous montrons aussi que la similarité entre la croissance du capital public et celle de la PTF donne lieu à un grand intervalle de confiance autour des estimations de l'élasticité du capital public produites d'après le cadre de la fonction de production. Par la suite nous calculons un intervalle de confiance d'après la fonction de production d'abord estimée en tenant compte de la croissance de la PTF, puis en n'en tenant pas compte. Ensuite, nous utilisons une fonction de coût pour obtenir des estimations plus précises de la réduction des coûts marginaux attribuable au capital public. Fait important, l'estimation calculée d'après la fonction de coût se situe dans la partie inférieure de l'intervalle de confiance établi d'après la fonction de production. Nous montrons alors que le taux de rendement associé aux estimations chevauchantes couvre un intervalle qui s'étend du taux moyen des obligations d'État à long terme au taux de rendement du capital privé.
Date de diffusion : 2008-04-15
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Analyses (1)
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- Articles et rapports : 11F0027M2008050Géographie : CanadaDescription :
La présente étude a pour but de déterminer si le taux des obligations d'État à long terme peut ou non être raisonnablement employé comme taux de rendement du capital public dans le calcul du produit intérieur brut du secteur public. Elle indique que le taux de rendement du capital public est souvent plus faible que celui publié et qu'il concorde approximativement avec celui du capital privé. Étant donné qu'il existe une gamme d'estimations plausibles, nous concluons que le taux des obligations d'État à long terme pourrait être utilisé comme estimation prudente du taux de rendement de l'infrastructure publique.
Des études antérieures ont révélé que les estimations fondées sur la fonction de production ont tendance à donner des taux de rendement incroyablement élevés, tandis que celles fondées sur la fonction de coût semblent fournir des résultats plus raisonnables. Nous montrons dans le présent document que la croissance du capital public et celle de la productivité totale des facteurs (PTF) évoluent de la même façon et soutenons que les estimations de l'effet du capital public fondées sur la fonction de production surestiment par conséquent cet effet, parce qu'elles englobent une partie de ce qui est inclus dans les estimations de la PTF. Nous montrons aussi que la similarité entre la croissance du capital public et celle de la PTF donne lieu à un grand intervalle de confiance autour des estimations de l'élasticité du capital public produites d'après le cadre de la fonction de production. Par la suite nous calculons un intervalle de confiance d'après la fonction de production d'abord estimée en tenant compte de la croissance de la PTF, puis en n'en tenant pas compte. Ensuite, nous utilisons une fonction de coût pour obtenir des estimations plus précises de la réduction des coûts marginaux attribuable au capital public. Fait important, l'estimation calculée d'après la fonction de coût se situe dans la partie inférieure de l'intervalle de confiance établi d'après la fonction de production. Nous montrons alors que le taux de rendement associé aux estimations chevauchantes couvre un intervalle qui s'étend du taux moyen des obligations d'État à long terme au taux de rendement du capital privé.
Date de diffusion : 2008-04-15
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