Activités sur le marché du travail pour les jeunes

Filtrer les résultats par

Aide à la recherche
Currently selected filters that can be removed

Mot(s)-clé(s)

Type

1 facets displayed. 0 facets selected.

Géographie

1 facets displayed. 0 facets selected.

Enquête ou programme statistique

1 facets displayed. 0 facets selected.

Contenu

1 facets displayed. 0 facets selected.
Aide à l'ordre
entrées

Résultats

Tout (4)

Tout (4) ((4 résultats))

  • Articles et rapports : 36-28-0001202200300003
    Description :

    Dès le début de la pandémie de COVID-19, les perspectives des jeunes sur le marché du travail ont suscité de nombreuses inquiétudes. L’article, qui vise à faire la lumière sur ce domaine en examinant les répercussions de la pandémie sur la dynamique de l’emploi et du bien-être des jeunes, décrit le projet COVID-19 youth economic activity and health monitor (YEAH) (projet de surveillance de l’activité économique et de la santé des jeunes pendant la COVID-19) de l’University College London (UCL), mené en collaboration avec Statistique Canada et d’autres instituts en Europe.

    Date de diffusion : 2022-03-23

  • Articles et rapports : 11F0019M2016377
    Description :

    Il est bien établi que les enfants d’immigrants au Canada obtiennent un plus haut niveau de scolarité que leurs pairs dont les parents sont nés au Canada, et que les deux groupes présentent des résultats similaires sur le marché du travail. Cependant, il existe une grande variabilité en fonction de l’appartenance ethnique ou du pays d’origine parmi les enfants d’immigrants. La présente étude examine la mesure dans laquelle la catégorie d’admission (c.-à-d., travailleurs qualifiés, gens d’affaires immigrants, aides familiaux résidants, membres de la catégorie du regroupement familial et réfugiés) influe elle aussi sur les résultats socioéconomiques des immigrants qui sont arrivés pendant l’enfance au Canada, avant l’âge de 18 ans.

    Date de diffusion : 2016-04-25

  • Articles et rapports : 81-595-M2010087
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent rapport traite du lien entre les cheminements scolaires et la situation sur le marché du travail des répondants aux cinq cycles de l'Enquête auprès des jeunes en transition (la cohorte B de l'EJET). Les cheminements scolaires sont répartis selon trois grands critères : 1) pas d'études postsecondaires, 2) passage direct aux études postsecondaires et 3) passage indirect aux études postsecondaires. Les données du cycle 5 de l'EJET, recueillies lorsque les jeunes étaient âgés de 26 à 28 ans, permettent de mener un examen relativement complet des résultats sur le marché du travail au moment où la hausse des taux de participation aux études postsecondaires au Canada a reporté l'entrée de nombreux jeunes adultes sur le marché du travail. Le présent rapport examine deux résultats sur le marché du travail, soit l'emploi pendant toute l'année et les gains annuels, à deux moments différents : de un à deux ans, puis de cinq à six ans après l'achèvement ou l'interruption des études à temps plein. Les résultats font ressortir l'influence positive des études universitaires sur la situation sur le marché du travail, surtout plusieurs années après la fin des études. De plus, certains résultats portent à croire que, plusieurs années après la fin des études, les diplômés universitaires qui ont reporté leur passage aux études postsecondaires sont plus susceptibles d'être occupés que leurs homologues qui ne l'ont pas fait.

    Date de diffusion : 2010-12-17

  • Articles et rapports : 11F0019M2001155
    Géographie : Canada
    Description :

    Cette étude chercher à vérifier si les tendances émergentes et celles déjà bien visibles du marché du travail des années 90 se sont inversées sous la pression de la robuste croissance économique de 1997-1999. Plus particulièrement, elle analyse la montée spectaculaire du travail indépendant, les tendances de la stabilité de l'emploi et le faible taux d'emploi des jeunes dans les années 90. La solide croissance économique de 1997-1999 ne semble pas avoir ralenti la progression du travail indépendant, ni ébranlé la stabilité de l'emploi, ni propulsé les taux d'emploi des jeunes. Pour le travail indépendant, cela amène à conclure que la progression observée dans les années 90 n'était pas d'abord et avant tout le fait d'un relâchement de la demande de main-d'oeuvre qui aurait forcé les travailleurs à créer leur propre emploi. La stabilité de l'emploi a augmenté pendant une bonne partie des années 90, sous la poussée d'un faible taux de cessation volontaire, associé à une faible embauche. Les meilleures données actuellement disponibles révèlent que les taux de cessation volontaire en particulier sont demeurés relativement bas (compte tenu du stade d'avancement du cycle économique), et que la durée de conservation des emplois est demeurée élevée. Il y a peu d'indices de détérioration de la stabilité de l'emploi chez les travailleurs rémunérés dans les années 90. Le retard qu'ont pu accuser les taux d'emploi des jeunes vient dans une large mesure de la plus grande propension des jeunes à demeurer aux études. Les étudiants ont un taux d'emploi moins élevé et, lorsque les jeunes commencent à former une plus grande proportion des travailleurs, le taux d'emploi d'ensemble pour les jeunes diminue. Cette propension des jeunes à demeurer aux études n'a pas diminué en 1997-1999, si bien que les taux d'emploi des jeunes demeurent faibles, comparativement au passé.

    Date de diffusion : 2001-04-04
Données (0)

Données (0) (0 résultat)

Aucun contenu disponible actuellement

Analyses (4)

Analyses (4) ((4 résultats))

  • Articles et rapports : 36-28-0001202200300003
    Description :

    Dès le début de la pandémie de COVID-19, les perspectives des jeunes sur le marché du travail ont suscité de nombreuses inquiétudes. L’article, qui vise à faire la lumière sur ce domaine en examinant les répercussions de la pandémie sur la dynamique de l’emploi et du bien-être des jeunes, décrit le projet COVID-19 youth economic activity and health monitor (YEAH) (projet de surveillance de l’activité économique et de la santé des jeunes pendant la COVID-19) de l’University College London (UCL), mené en collaboration avec Statistique Canada et d’autres instituts en Europe.

    Date de diffusion : 2022-03-23

  • Articles et rapports : 11F0019M2016377
    Description :

    Il est bien établi que les enfants d’immigrants au Canada obtiennent un plus haut niveau de scolarité que leurs pairs dont les parents sont nés au Canada, et que les deux groupes présentent des résultats similaires sur le marché du travail. Cependant, il existe une grande variabilité en fonction de l’appartenance ethnique ou du pays d’origine parmi les enfants d’immigrants. La présente étude examine la mesure dans laquelle la catégorie d’admission (c.-à-d., travailleurs qualifiés, gens d’affaires immigrants, aides familiaux résidants, membres de la catégorie du regroupement familial et réfugiés) influe elle aussi sur les résultats socioéconomiques des immigrants qui sont arrivés pendant l’enfance au Canada, avant l’âge de 18 ans.

    Date de diffusion : 2016-04-25

  • Articles et rapports : 81-595-M2010087
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent rapport traite du lien entre les cheminements scolaires et la situation sur le marché du travail des répondants aux cinq cycles de l'Enquête auprès des jeunes en transition (la cohorte B de l'EJET). Les cheminements scolaires sont répartis selon trois grands critères : 1) pas d'études postsecondaires, 2) passage direct aux études postsecondaires et 3) passage indirect aux études postsecondaires. Les données du cycle 5 de l'EJET, recueillies lorsque les jeunes étaient âgés de 26 à 28 ans, permettent de mener un examen relativement complet des résultats sur le marché du travail au moment où la hausse des taux de participation aux études postsecondaires au Canada a reporté l'entrée de nombreux jeunes adultes sur le marché du travail. Le présent rapport examine deux résultats sur le marché du travail, soit l'emploi pendant toute l'année et les gains annuels, à deux moments différents : de un à deux ans, puis de cinq à six ans après l'achèvement ou l'interruption des études à temps plein. Les résultats font ressortir l'influence positive des études universitaires sur la situation sur le marché du travail, surtout plusieurs années après la fin des études. De plus, certains résultats portent à croire que, plusieurs années après la fin des études, les diplômés universitaires qui ont reporté leur passage aux études postsecondaires sont plus susceptibles d'être occupés que leurs homologues qui ne l'ont pas fait.

    Date de diffusion : 2010-12-17

  • Articles et rapports : 11F0019M2001155
    Géographie : Canada
    Description :

    Cette étude chercher à vérifier si les tendances émergentes et celles déjà bien visibles du marché du travail des années 90 se sont inversées sous la pression de la robuste croissance économique de 1997-1999. Plus particulièrement, elle analyse la montée spectaculaire du travail indépendant, les tendances de la stabilité de l'emploi et le faible taux d'emploi des jeunes dans les années 90. La solide croissance économique de 1997-1999 ne semble pas avoir ralenti la progression du travail indépendant, ni ébranlé la stabilité de l'emploi, ni propulsé les taux d'emploi des jeunes. Pour le travail indépendant, cela amène à conclure que la progression observée dans les années 90 n'était pas d'abord et avant tout le fait d'un relâchement de la demande de main-d'oeuvre qui aurait forcé les travailleurs à créer leur propre emploi. La stabilité de l'emploi a augmenté pendant une bonne partie des années 90, sous la poussée d'un faible taux de cessation volontaire, associé à une faible embauche. Les meilleures données actuellement disponibles révèlent que les taux de cessation volontaire en particulier sont demeurés relativement bas (compte tenu du stade d'avancement du cycle économique), et que la durée de conservation des emplois est demeurée élevée. Il y a peu d'indices de détérioration de la stabilité de l'emploi chez les travailleurs rémunérés dans les années 90. Le retard qu'ont pu accuser les taux d'emploi des jeunes vient dans une large mesure de la plus grande propension des jeunes à demeurer aux études. Les étudiants ont un taux d'emploi moins élevé et, lorsque les jeunes commencent à former une plus grande proportion des travailleurs, le taux d'emploi d'ensemble pour les jeunes diminue. Cette propension des jeunes à demeurer aux études n'a pas diminué en 1997-1999, si bien que les taux d'emploi des jeunes demeurent faibles, comparativement au passé.

    Date de diffusion : 2001-04-04
Références (0)

Références (0) (0 résultat)

Aucun contenu disponible actuellement

Date de modification :