Assurance de la qualité

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  • Articles et rapports : 11-522-X201300014256
    Description :

    Dans le cadre de l’American Community Survey (ACS), on a ajouté un mode de collecte de données par Internet à l’intérieur d’un mode séquentiel en 2013. L’ACS utilise actuellement une seule application Web pour tous les répondants en ligne, peu importe s’ils répondent au moyen d’un ordinateur personnel ou d’un appareil mobile. Toutefois, au fur et à mesure de l’augmentation du nombre d’appareils mobiles sur le marché, de plus en plus de répondants utilisent des tablettes et des téléphones intelligents pour répondre à des enquêtes conçues pour des ordinateurs personnels. L’utilisation d’appareils mobiles pour répondre à ces enquêtes peut être plus difficile pour les répondants, et ces difficultés peuvent se traduire par une qualité de données réduite si les répondants deviennent frustrés ou ne peuvent surmonter ces obstacles. La présente étude se base sur plusieurs indicateurs pour comparer la qualité des données entre les ordinateurs, les tablettes et les téléphones intelligents et compare les caractéristiques démographiques des répondants qui utilisent chacun de ces appareils.

    Date de diffusion : 2014-10-31

  • Articles et rapports : 11-522-X201300014264
    Description :

    Bien que les milieux humides occupent seulement 6,4% de la superficie de notre planète, ils sont primordiaux à la survie des espèces terrestres. Ces écosystèmes requièrent une attention toute particulière au Canada puisque près de 25% de leur superficie mondiale se retrouve en sol canadien. Environnement Canada (EC) possède des méga-bases de données où sont rassemblées toutes sortes d’informations sur les milieux humides provenant de diverses sources. Avant que les informations contenues dans ces bases de données ne puissent être utilisées pour soutenir quelque initiative environnementale que ce soit, elles se devaient d’abord d’être répertoriées puis évaluées quant à leur qualité. Dans cet exposé, nous présentons un aperçu du projet pilote mené conjointement par EC et Statistique Canada afin d’évaluer la qualité des informations contenues dans ces bases de données, elles qui présentent à la fois certains des attributs propres aux données volumineuses (« Big Data »), aux données administratives et aux données d’enquête.

    Date de diffusion : 2014-10-31

  • Articles et rapports : 11-522-X201300014267
    Description :

    Comme de nombreux autres instituts nationaux de statistique, le Bureau de la statistique de la Suède a une longue tradition de qualité. Plus récemment, l’organisme a décidé de commencer à utiliser un certain nombre de cadres pour résoudre les questions de qualité organisationnelle, de qualité des processus et de qualité des produits. Il est important de prendre en compte ces trois niveaux, car nous savons que la façon dont nous faisons les choses, par exemple, lorsque nous posons des questions, a des répercussions sur la qualité des produits et que, par conséquent, la qualité des processus représente un élément important du concept de qualité. Par ailleurs, la qualité organisationnelle, c’est-à-dire la gestion systématique des aspects comme la formation du personnel et le leadership, est essentielle pour assurer la qualité des processus. Le Bureau de la statistique de la Suède utilise l’EFQM (European Foundation for Quality Management) comme cadre pour la qualité organisationnelle et ISO 20252 comme norme pour la qualité des processus pour les études de marché, les sondages d’opinion et les études sociales. En avril 2014, le Bureau de la statistique de la Suède a été le premier institut national de la statistique à être certifié selon la norme ISO 20252. Parmi les défis auxquels le Bureau de la statistique de la Suède a dû faire face en 2011 figuraient la mesure systématique et le contrôle des changements dans la qualité des produits, ainsi que la présentation claire aux intervenants. De concert avec des experts-conseils externes, Paul Biemer et Dennis Trewin, du Bureau de la statistique de la Suède, ont développé à cette fin un outil appelé ASPIRE (A System for Product Improvement, Review and Evaluation). Afin d’assurer le maintien et l’amélioration de la qualité, le Bureau de la statistique de la Suède a aussi mis sur pied une équipe chargée de l’assurance de la qualité, comprenant un gestionnaire de la qualité, des responsables de la qualité et des vérificateurs internes et externes de la qualité. Dans le présent document, j’aborderai les composantes du système de gestion de la qualité du Bureau de la statistique de la Suède, ainsi que les défis que nous avons dû relever.

    Date de diffusion : 2014-10-31

  • Articles et rapports : 11-522-X201300014284
    Description :

    La diminution des taux de réponse observée par plusieurs instituts nationaux de statistique, leur volonté de limiter le fardeau de même que l’importance des contraintes budgétaires auxquelles ils font face favorisent une utilisation accrue des données administratives pour la production de renseignements statistiques. Les sources de données administratives qu’ils sont amenés à considérer doivent être évaluées afin d’en déterminer l’adéquation à l’utilisation, et ce en tenant compte de plusieurs aspects. Une démarche d’évaluation des sources de données administratives en vue de leur utilisation comme intrant à des processus de production de renseignements statistiques a récemment été élaborée à Statistique Canada. Celle-ci comprend essentiellement deux phases. La première phase ne nécessite que l’accès aux métadonnées associées aux données administratives considérées alors que la deuxième est effectuée à partir d’une version des données permettant l’évaluation. La démarche et l’outil d’évaluation sont présentés dans cet article.

    Date de diffusion : 2014-10-31

  • Articles et rapports : 11-522-X201300014288
    Description :

    Les enquêtes probabilistes, c’est-à-dire celles réalisées à partir d’échantillons sélectionnés selon un mécanisme aléatoire connu, sont considérées par plusieurs comme étant la norme par excellence comparativement aux enquêtes réalisées à partir d’échantillons non probabilistes. La théorie de l’échantillonnage probabiliste a vu le jour au début des années 1930 et sert encore aujourd’hui à prouver le bien-fondé d’estimer les valeurs d’une quelconque population à partir des données de ces enquêtes. Les études sur les échantillons non probabilistes, quant à elles, ont retenu davantage l’attention ces dernières années, mais elles ne sont pas nouvelles. Vantées comme étant moins coûteuses, plus rapides (voire meilleures) que les études avec plan probabiliste, ces enquêtes s’appuient, pour recruter les participants, sur diverses méthodes « de terrain » (p. ex., enquête en ligne à participation volontaire). Mais, quel type d’enquêtes est le meilleur? Le présent article est le premier d’une série portant sur la recherche d’un cadre de la qualité permettant de mesurer toutes les enquêtes, probabilistes ou non, en les plaçant davantage sur un pied d’égalité. D’abord, nous donnons un aperçu de quelques cadres utilisés à l’heure actuelle, en notant que le terme « meilleur » se rapporte presque toujours à la notion « d’adaptation de l’enquête à son but poursuivi » (fit for purpose). Ensuite, nous nous concentrons sur la question de la validité, surtout la validité externe, lorsque des estimations pour la population sont souhaitées. Nous passons en revue les techniques d’estimation appliquées jusqu’à présent aux enquêtes non probabilistes, ainsi que quelques études comparant ces estimations à celles obtenues avec un échantillon probabiliste. Enfin, nous décrivons les prochaines étapes de recherche et concluons par quelques remarques.

    Date de diffusion : 2014-10-31
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  • Articles et rapports : 11-522-X201300014256
    Description :

    Dans le cadre de l’American Community Survey (ACS), on a ajouté un mode de collecte de données par Internet à l’intérieur d’un mode séquentiel en 2013. L’ACS utilise actuellement une seule application Web pour tous les répondants en ligne, peu importe s’ils répondent au moyen d’un ordinateur personnel ou d’un appareil mobile. Toutefois, au fur et à mesure de l’augmentation du nombre d’appareils mobiles sur le marché, de plus en plus de répondants utilisent des tablettes et des téléphones intelligents pour répondre à des enquêtes conçues pour des ordinateurs personnels. L’utilisation d’appareils mobiles pour répondre à ces enquêtes peut être plus difficile pour les répondants, et ces difficultés peuvent se traduire par une qualité de données réduite si les répondants deviennent frustrés ou ne peuvent surmonter ces obstacles. La présente étude se base sur plusieurs indicateurs pour comparer la qualité des données entre les ordinateurs, les tablettes et les téléphones intelligents et compare les caractéristiques démographiques des répondants qui utilisent chacun de ces appareils.

    Date de diffusion : 2014-10-31

  • Articles et rapports : 11-522-X201300014264
    Description :

    Bien que les milieux humides occupent seulement 6,4% de la superficie de notre planète, ils sont primordiaux à la survie des espèces terrestres. Ces écosystèmes requièrent une attention toute particulière au Canada puisque près de 25% de leur superficie mondiale se retrouve en sol canadien. Environnement Canada (EC) possède des méga-bases de données où sont rassemblées toutes sortes d’informations sur les milieux humides provenant de diverses sources. Avant que les informations contenues dans ces bases de données ne puissent être utilisées pour soutenir quelque initiative environnementale que ce soit, elles se devaient d’abord d’être répertoriées puis évaluées quant à leur qualité. Dans cet exposé, nous présentons un aperçu du projet pilote mené conjointement par EC et Statistique Canada afin d’évaluer la qualité des informations contenues dans ces bases de données, elles qui présentent à la fois certains des attributs propres aux données volumineuses (« Big Data »), aux données administratives et aux données d’enquête.

    Date de diffusion : 2014-10-31

  • Articles et rapports : 11-522-X201300014267
    Description :

    Comme de nombreux autres instituts nationaux de statistique, le Bureau de la statistique de la Suède a une longue tradition de qualité. Plus récemment, l’organisme a décidé de commencer à utiliser un certain nombre de cadres pour résoudre les questions de qualité organisationnelle, de qualité des processus et de qualité des produits. Il est important de prendre en compte ces trois niveaux, car nous savons que la façon dont nous faisons les choses, par exemple, lorsque nous posons des questions, a des répercussions sur la qualité des produits et que, par conséquent, la qualité des processus représente un élément important du concept de qualité. Par ailleurs, la qualité organisationnelle, c’est-à-dire la gestion systématique des aspects comme la formation du personnel et le leadership, est essentielle pour assurer la qualité des processus. Le Bureau de la statistique de la Suède utilise l’EFQM (European Foundation for Quality Management) comme cadre pour la qualité organisationnelle et ISO 20252 comme norme pour la qualité des processus pour les études de marché, les sondages d’opinion et les études sociales. En avril 2014, le Bureau de la statistique de la Suède a été le premier institut national de la statistique à être certifié selon la norme ISO 20252. Parmi les défis auxquels le Bureau de la statistique de la Suède a dû faire face en 2011 figuraient la mesure systématique et le contrôle des changements dans la qualité des produits, ainsi que la présentation claire aux intervenants. De concert avec des experts-conseils externes, Paul Biemer et Dennis Trewin, du Bureau de la statistique de la Suède, ont développé à cette fin un outil appelé ASPIRE (A System for Product Improvement, Review and Evaluation). Afin d’assurer le maintien et l’amélioration de la qualité, le Bureau de la statistique de la Suède a aussi mis sur pied une équipe chargée de l’assurance de la qualité, comprenant un gestionnaire de la qualité, des responsables de la qualité et des vérificateurs internes et externes de la qualité. Dans le présent document, j’aborderai les composantes du système de gestion de la qualité du Bureau de la statistique de la Suède, ainsi que les défis que nous avons dû relever.

    Date de diffusion : 2014-10-31

  • Articles et rapports : 11-522-X201300014284
    Description :

    La diminution des taux de réponse observée par plusieurs instituts nationaux de statistique, leur volonté de limiter le fardeau de même que l’importance des contraintes budgétaires auxquelles ils font face favorisent une utilisation accrue des données administratives pour la production de renseignements statistiques. Les sources de données administratives qu’ils sont amenés à considérer doivent être évaluées afin d’en déterminer l’adéquation à l’utilisation, et ce en tenant compte de plusieurs aspects. Une démarche d’évaluation des sources de données administratives en vue de leur utilisation comme intrant à des processus de production de renseignements statistiques a récemment été élaborée à Statistique Canada. Celle-ci comprend essentiellement deux phases. La première phase ne nécessite que l’accès aux métadonnées associées aux données administratives considérées alors que la deuxième est effectuée à partir d’une version des données permettant l’évaluation. La démarche et l’outil d’évaluation sont présentés dans cet article.

    Date de diffusion : 2014-10-31

  • Articles et rapports : 11-522-X201300014288
    Description :

    Les enquêtes probabilistes, c’est-à-dire celles réalisées à partir d’échantillons sélectionnés selon un mécanisme aléatoire connu, sont considérées par plusieurs comme étant la norme par excellence comparativement aux enquêtes réalisées à partir d’échantillons non probabilistes. La théorie de l’échantillonnage probabiliste a vu le jour au début des années 1930 et sert encore aujourd’hui à prouver le bien-fondé d’estimer les valeurs d’une quelconque population à partir des données de ces enquêtes. Les études sur les échantillons non probabilistes, quant à elles, ont retenu davantage l’attention ces dernières années, mais elles ne sont pas nouvelles. Vantées comme étant moins coûteuses, plus rapides (voire meilleures) que les études avec plan probabiliste, ces enquêtes s’appuient, pour recruter les participants, sur diverses méthodes « de terrain » (p. ex., enquête en ligne à participation volontaire). Mais, quel type d’enquêtes est le meilleur? Le présent article est le premier d’une série portant sur la recherche d’un cadre de la qualité permettant de mesurer toutes les enquêtes, probabilistes ou non, en les plaçant davantage sur un pied d’égalité. D’abord, nous donnons un aperçu de quelques cadres utilisés à l’heure actuelle, en notant que le terme « meilleur » se rapporte presque toujours à la notion « d’adaptation de l’enquête à son but poursuivi » (fit for purpose). Ensuite, nous nous concentrons sur la question de la validité, surtout la validité externe, lorsque des estimations pour la population sont souhaitées. Nous passons en revue les techniques d’estimation appliquées jusqu’à présent aux enquêtes non probabilistes, ainsi que quelques études comparant ces estimations à celles obtenues avec un échantillon probabiliste. Enfin, nous décrivons les prochaines étapes de recherche et concluons par quelques remarques.

    Date de diffusion : 2014-10-31
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