Bases de sondage et couverture

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  • Articles et rapports : 12-001-X199300214454
    Description :

    Dans cette étude, nous nous intéressons à des bases de sondage imparfaites desquelles on n’a retiré aucune unité de population mais dans lesquelles un nombre indéterminé d’unités peuvent avoir été ajoutées un nombre indéterminé de fois sous des identités différentes. Lorsqu’on ne pose pas l’hypothèse de l’existence d’information supplémentaire concernant des unités de la base imparfaite, il est établi qu’en ce qui a trait à l’estimation d’un ratio ou d’une moyenne de population, l’erreur quadratique moyenne des estimateurs fondés sur la base imparfaite est inférieure à celle des estimateurs fondés sur la base parfaite pour l’échantillonnage aléatoire simple, lorsque les fractions de sondage des deux bases sont les mêmes. Cependant, cette relation n’est pas toujours vraie en ce qui concerne l’estimation d’un total de population. Il peut aussi arriver que l’estimateur d’un ratio, d’une moyenne ou d’un total ait une erreur quadratique moyenne moins élevée même si la fraction de sondage est plus faible dans la base imparfaite que celle utiliser dans la base parfaite.

    Date de diffusion : 1993-12-15

  • Articles et rapports : 12-001-X199300114472
    Description :

    Aux États-Unis, l’échantillonnage des numéros de téléphone de ménages s’appuie abondamment sur les méthodes de composition (téléphonique) aléatoire à deux degrés conçues par Mitofsky et ensuite élaborées par Waksberg. Par rapport à ces dernières, les autres méthodes courantes sont lacunaires au plan de la couverture et à celui des coûts. On remédie à ces lacunes par des plans d’échantillonnage qui, à partir de l’information sur les numéros inscrits, améliorent le rapport coût-efficacité de la composition aléatoire. La base de sondage, composée des numéros de téléphone, est divisée en deux strates, dont l’une comprend les numéros publiés pour lesquels l’information existe au niveau de la banque de 100, et l’autre, les numéros pour lesquels cette information n’existe pas. L’efficacité de divers modèles d’échantillonnage joints au plan stratifié est comparée à la composition aléatoire simple (simplement aléatoire) et à la technique de Mitofsky-Waksberg. On constate des gains d’efficacité dans le cas de presque tous ces modèles. Les hypothèses simplificatrices relatives aux valeurs des paramètres de la population de chaque strate se révèlent n’avoir que peu de répercussions globales sur l’efficacité estimée.

    Date de diffusion : 1993-06-15
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Analyses (2)

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  • Articles et rapports : 12-001-X199300214454
    Description :

    Dans cette étude, nous nous intéressons à des bases de sondage imparfaites desquelles on n’a retiré aucune unité de population mais dans lesquelles un nombre indéterminé d’unités peuvent avoir été ajoutées un nombre indéterminé de fois sous des identités différentes. Lorsqu’on ne pose pas l’hypothèse de l’existence d’information supplémentaire concernant des unités de la base imparfaite, il est établi qu’en ce qui a trait à l’estimation d’un ratio ou d’une moyenne de population, l’erreur quadratique moyenne des estimateurs fondés sur la base imparfaite est inférieure à celle des estimateurs fondés sur la base parfaite pour l’échantillonnage aléatoire simple, lorsque les fractions de sondage des deux bases sont les mêmes. Cependant, cette relation n’est pas toujours vraie en ce qui concerne l’estimation d’un total de population. Il peut aussi arriver que l’estimateur d’un ratio, d’une moyenne ou d’un total ait une erreur quadratique moyenne moins élevée même si la fraction de sondage est plus faible dans la base imparfaite que celle utiliser dans la base parfaite.

    Date de diffusion : 1993-12-15

  • Articles et rapports : 12-001-X199300114472
    Description :

    Aux États-Unis, l’échantillonnage des numéros de téléphone de ménages s’appuie abondamment sur les méthodes de composition (téléphonique) aléatoire à deux degrés conçues par Mitofsky et ensuite élaborées par Waksberg. Par rapport à ces dernières, les autres méthodes courantes sont lacunaires au plan de la couverture et à celui des coûts. On remédie à ces lacunes par des plans d’échantillonnage qui, à partir de l’information sur les numéros inscrits, améliorent le rapport coût-efficacité de la composition aléatoire. La base de sondage, composée des numéros de téléphone, est divisée en deux strates, dont l’une comprend les numéros publiés pour lesquels l’information existe au niveau de la banque de 100, et l’autre, les numéros pour lesquels cette information n’existe pas. L’efficacité de divers modèles d’échantillonnage joints au plan stratifié est comparée à la composition aléatoire simple (simplement aléatoire) et à la technique de Mitofsky-Waksberg. On constate des gains d’efficacité dans le cas de presque tous ces modèles. Les hypothèses simplificatrices relatives aux valeurs des paramètres de la population de chaque strate se révèlent n’avoir que peu de répercussions globales sur l’efficacité estimée.

    Date de diffusion : 1993-06-15
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