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  • Articles et rapports : 12-001-X202300200010
    Description : Les méthodes de coordination d’échantillons visent à augmenter (dans une coordination positive) ou à diminuer (dans une coordination négative) la taille du chevauchement entre les échantillons. Les échantillons pris en compte peuvent être tirés à différentes périodes d’une enquête répétée ou de différentes enquêtes portant sur une population commune. La coordination négative est utilisée pour contrôler le fardeau de réponse au cours d’une période donnée, car certaines unités ne répondent pas aux questionnaires d’enquête si elles sont sélectionnées dans de nombreux échantillons. Habituellement, les méthodes de coordination d’échantillons ne tiennent pas compte des mesures du fardeau de réponse qu’une unité a déjà supporté pour répondre à des enquêtes précédentes. Nous ajoutons une telle mesure dans une nouvelle méthode en adaptant un schéma d’échantillonnage spatialement équilibré basé sur une généralisation de l’échantillonnage de Poisson, de concert avec une méthode de coordination négative. Le but est de créer un double contrôle du fardeau pour ces unités : en utilisant une mesure du fardeau pendant le processus d’échantillonnage et en utilisant une méthode de coordination négative. Nous évaluons l’approche au moyen d’une simulation de Monte Carlo et examinons son utilisation aux fins de contrôle pour la sélection de « points chauds » dans les enquêtes-entreprises à Statistique Pays-Bas.
    Date de diffusion : 2024-01-03

  • Articles et rapports : 12-001-X202300100009
    Description : Le présent article présente des méthodes d’échantillonnage adaptatif proportionnel à la taille, avec et sans remise. Des estimateurs sans biais y sont élaborés pour ces méthodes et leurs propriétés sont étudiées. Dans les deux versions, les probabilités de tirage sont adaptées pendant le processus d’échantillonnage à partir des observations déjà sélectionnées. À cette fin, dans la méthode avec remise, après chaque tirage et chaque observation de la variable d’intérêt, le vecteur de la variable auxiliaire sera mis à jour au moyen des valeurs observées de la variable d’intérêt pour que soit estimée la probabilité de sélection exacte proportionnelle à la taille. Dans la méthode sans remise, tout d’abord, à l’aide d’un échantillon initial, nous modélisons la relation entre la variable d’intérêt et la variable auxiliaire. Puis, en utilisant cette relation, nous estimons les unités de population inconnues (non observées). Enfin, à partir de ces unités de population estimées, nous sélectionnons un nouvel échantillon proportionnel à la taille sans remise. Ces méthodes peuvent améliorer considérablement l’efficacité des plans, non seulement dans le cas d’une relation linéaire positive, mais aussi dans le cas d’une relation non linéaire ou d’une relation linéaire négative entre variables. Nous étudions l’efficacité des plans au moyen de simulations et d’études de cas réels sur les plantes médicinales ainsi qu’au moyen de données sociales et économiques.
    Date de diffusion : 2023-06-30

  • Articles et rapports : 12-001-X201900300001
    Description :

    Les estimateurs de la variance par linéarisation classiques de l’estimateur par la régression généralisée sont souvent trop petits, ce qui entraîne des intervalles de confiance ne donnant pas le taux de couverture souhaité. Pour remédier à ce problème, on peut apporter des ajustements à la matrice chapeau dans l’échantillonnage à deux degrés. Nous présentons la théorie de plusieurs nouveaux estimateurs de la variance et les comparons aux estimateurs classiques dans une série de simulations. Les estimateurs proposés corrigent les biais négatifs et améliorent les taux de couverture de l’intervalle de confiance dans diverses situations correspondant à celles rencontrées en pratique.

    Date de diffusion : 2019-12-17

  • Articles et rapports : 12-001-X201900200007
    Description :

    Quand on ajuste une variable catégorique ordonnée à L > 2 niveaux à un ensemble de covariables sur données d’enquêtes à plans complexes, on suppose communément que les éléments de la population suivent un modèle simple de régression logistique cumulative (modèle de régression logistique à cotes proportionnelles). Cela signifie que la probabilité que la variable catégorique se situe à un certain niveau ou au-dessous est une fonction logistique binaire des covariables du modèle. Ajoutons, sauf pour l’ordonnée à l’origine, les valeurs des paramètres de régression logistique sont les mêmes à chaque niveau. La méthode « fondée sur le plan » classique servant à ajuster le modèle à cotes proportionnelles est fondée sur le pseudo-maximum de vraisemblance. Nous comparons les estimations calculées par cette méthode à celles d’un traitement dans un cadre basé sur un modèle robuste sensible au plan. Nous indiquons par un simple exemple numérique en quoi les estimations tirées de ces deux traitements peuvent différer. La nouvelle méthode peut facilement s’élargir pour ajuster un modèle logistique cumulatif général où l’hypothèse du parallélisme peut ne pas se vérifier. Un test de cette hypothèse peut aisément s’ensuivre.

    Date de diffusion : 2019-06-27
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Analyses (4)

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  • Articles et rapports : 12-001-X202300200010
    Description : Les méthodes de coordination d’échantillons visent à augmenter (dans une coordination positive) ou à diminuer (dans une coordination négative) la taille du chevauchement entre les échantillons. Les échantillons pris en compte peuvent être tirés à différentes périodes d’une enquête répétée ou de différentes enquêtes portant sur une population commune. La coordination négative est utilisée pour contrôler le fardeau de réponse au cours d’une période donnée, car certaines unités ne répondent pas aux questionnaires d’enquête si elles sont sélectionnées dans de nombreux échantillons. Habituellement, les méthodes de coordination d’échantillons ne tiennent pas compte des mesures du fardeau de réponse qu’une unité a déjà supporté pour répondre à des enquêtes précédentes. Nous ajoutons une telle mesure dans une nouvelle méthode en adaptant un schéma d’échantillonnage spatialement équilibré basé sur une généralisation de l’échantillonnage de Poisson, de concert avec une méthode de coordination négative. Le but est de créer un double contrôle du fardeau pour ces unités : en utilisant une mesure du fardeau pendant le processus d’échantillonnage et en utilisant une méthode de coordination négative. Nous évaluons l’approche au moyen d’une simulation de Monte Carlo et examinons son utilisation aux fins de contrôle pour la sélection de « points chauds » dans les enquêtes-entreprises à Statistique Pays-Bas.
    Date de diffusion : 2024-01-03

  • Articles et rapports : 12-001-X202300100009
    Description : Le présent article présente des méthodes d’échantillonnage adaptatif proportionnel à la taille, avec et sans remise. Des estimateurs sans biais y sont élaborés pour ces méthodes et leurs propriétés sont étudiées. Dans les deux versions, les probabilités de tirage sont adaptées pendant le processus d’échantillonnage à partir des observations déjà sélectionnées. À cette fin, dans la méthode avec remise, après chaque tirage et chaque observation de la variable d’intérêt, le vecteur de la variable auxiliaire sera mis à jour au moyen des valeurs observées de la variable d’intérêt pour que soit estimée la probabilité de sélection exacte proportionnelle à la taille. Dans la méthode sans remise, tout d’abord, à l’aide d’un échantillon initial, nous modélisons la relation entre la variable d’intérêt et la variable auxiliaire. Puis, en utilisant cette relation, nous estimons les unités de population inconnues (non observées). Enfin, à partir de ces unités de population estimées, nous sélectionnons un nouvel échantillon proportionnel à la taille sans remise. Ces méthodes peuvent améliorer considérablement l’efficacité des plans, non seulement dans le cas d’une relation linéaire positive, mais aussi dans le cas d’une relation non linéaire ou d’une relation linéaire négative entre variables. Nous étudions l’efficacité des plans au moyen de simulations et d’études de cas réels sur les plantes médicinales ainsi qu’au moyen de données sociales et économiques.
    Date de diffusion : 2023-06-30

  • Articles et rapports : 12-001-X201900300001
    Description :

    Les estimateurs de la variance par linéarisation classiques de l’estimateur par la régression généralisée sont souvent trop petits, ce qui entraîne des intervalles de confiance ne donnant pas le taux de couverture souhaité. Pour remédier à ce problème, on peut apporter des ajustements à la matrice chapeau dans l’échantillonnage à deux degrés. Nous présentons la théorie de plusieurs nouveaux estimateurs de la variance et les comparons aux estimateurs classiques dans une série de simulations. Les estimateurs proposés corrigent les biais négatifs et améliorent les taux de couverture de l’intervalle de confiance dans diverses situations correspondant à celles rencontrées en pratique.

    Date de diffusion : 2019-12-17

  • Articles et rapports : 12-001-X201900200007
    Description :

    Quand on ajuste une variable catégorique ordonnée à L > 2 niveaux à un ensemble de covariables sur données d’enquêtes à plans complexes, on suppose communément que les éléments de la population suivent un modèle simple de régression logistique cumulative (modèle de régression logistique à cotes proportionnelles). Cela signifie que la probabilité que la variable catégorique se situe à un certain niveau ou au-dessous est une fonction logistique binaire des covariables du modèle. Ajoutons, sauf pour l’ordonnée à l’origine, les valeurs des paramètres de régression logistique sont les mêmes à chaque niveau. La méthode « fondée sur le plan » classique servant à ajuster le modèle à cotes proportionnelles est fondée sur le pseudo-maximum de vraisemblance. Nous comparons les estimations calculées par cette méthode à celles d’un traitement dans un cadre basé sur un modèle robuste sensible au plan. Nous indiquons par un simple exemple numérique en quoi les estimations tirées de ces deux traitements peuvent différer. La nouvelle méthode peut facilement s’élargir pour ajuster un modèle logistique cumulatif général où l’hypothèse du parallélisme peut ne pas se vérifier. Un test de cette hypothèse peut aisément s’ensuivre.

    Date de diffusion : 2019-06-27
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