Réponse et non-réponse

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  • Articles et rapports : 12-001-X200900211037
    Description :

    Les stratégies fondées sur la réponse aléatoire, qui ont été élaborées au départ à titre de méthodes statistiques destinées à réduire la non-réponse ainsi que la réponse mensongère, peuvent aussi être appliquées dans le domaine du contrôle de la divulgation statistique dans les fichiers de microdonnées à grande diffusion. Le présent article décrit une standardisation des méthodes de réponse aléatoire en vue d'estimer des proportions pour des attributs identificatoires ou sensibles. Les propriétés statistiques de l'estimateur standardisé sont établies dans le cas de l'échantillonnage probabiliste général. Afin d'analyser l'effet du choix des « paramètres de plan » implicites de la méthode sur la performance de l'estimateur, nous incluons dans l'étude des mesures de la protection de la vie privée. Nous obtenons ainsi des paramètres de plan qui optimisent la variance, sachant le niveau de protection de la vie privée. Pour cela, les variables doivent être classées dans diverses catégories de sensibilité. Un exemple fondé sur des données réelles illustre l'application de la méthode à une enquête sur la tricherie chez les étudiants.

    Date de diffusion : 2009-12-23

  • Articles et rapports : 12-001-X200900211038
    Description :

    Nous cherchons à corriger la surestimation causée par la non-réponse de lien dans l'échantillonnage indirect lorsque l'on utilise la méthode généralisée de partage des poids (MGPP). Nous avons élaboré quelques méthodes de correction pour tenir compte de la non-réponse de lien dans la MGPP applicables lorsque l'on dispose ou non de variables auxiliaires. Nous présentons une étude par simulation de certaines de ces méthodes de correction fondée sur des données d'enquête longitudinale. Les résultats des simulations révèlent que les corrections proposées de la MGPP réduisent bien le biais et la variance d'estimation. L'accroissement de la réduction du biais est significatif.

    Date de diffusion : 2009-12-23

  • Articles et rapports : 12-001-X200900211039
    Description :

    La pondération par la propension à répondre est une méthode de rajustement pour tenir compte de la non-réponse totale dans les enquêtes. Une forme de mise en oeuvre de cette méthode consiste à diviser les poids d'échantillonnage par les estimations de la probabilité que les unités échantillonnées répondent à l'enquête. Habituellement, ces estimations sont obtenues par ajustement de modèles paramétriques, tels qu'une régression logistique. Les estimateurs corrigés résultants peuvent devenir biaisés si les modèles paramétriques sont spécifiés incorrectement. Afin d'éviter les erreurs de spécification du modèle, nous considérons l'estimation non paramétrique des probabilités de réponse par la régression par polynômes locaux. Nous étudions les propriétés asymptotiques de l'estimateur résultant sous quasi randomisation. Nous évaluons en pratique le comportement de la méthode proposée de correction de la non-réponse en nous servant de données de la NHANES.

    Date de diffusion : 2009-12-23

  • Articles et rapports : 12-001-X200900211043
    Description :

    Les enquêtes-entreprises sont souvent réalisées selon un plan d'échantillonnage aléatoire simple stratifié à un degré sans remise comportant certaines strates à tirage complet. Bien que l'on recoure habituellement à l'ajustement de la pondération pour traiter la non-réponse totale, la variabilité due à la non-réponse est parfois omise en pratique quand on estime les variances. Cette situation pose surtout problème lorsqu'il existe des strates à tirage complet. Nous élaborons des estimateurs de variance qui sont convergents quand le nombre d'unités échantillonnées est grand dans chaque classe de pondération, en utilisant les méthodes du jackknife, de la linéarisation et du jackknife modifié. Nous commençons par appliquer les estimateurs ainsi obtenus à des données empiriques provenant de l'Annual Capital Expenditures Survey réalisé par le U.S. Census Bureau, puis nous examinons leur performance dans une étude en simulation.

    Date de diffusion : 2009-12-23

  • Articles et rapports : 11-522-X200800010951
    Description :

    Les valeurs manquantes attribuables à la non-réponse constituent un type d'erreur non due à l'échantillonnage. Le rejet de cas comportant des valeurs manquantes dans des analyses statistiques peut entraîner des estimations biaisées en raison des différences entre les répondants pour lesquels des valeurs sont manquantes et les autres. De plus, lorsque des variables présentent différentes structures de valeurs manquantes parmi les cas échantillonnés et lorsque les cas comportant des valeurs manquantes sont rejetés des analyses statistiques, celles-ci peuvent produire des résultats incohérents puisqu'elles reposent sur des sous-ensembles différents de cas échantillonnés pouvant ne pas être comparables. Cependant, les analyses qui rejettent des cas avec valeurs manquantes peuvent être valides à la condition que ces valeurs soient manquantes entièrement au hasard. Or, est-ce bien le cas?

    En guise de compensation, les valeurs manquantes sont souvent imputées ou les poids de l'enquête sont ajustés à l'aide de méthodes de catégories de poids. Les analyses subséquentes peuvent être valides à condition que les valeurs soient manquantes au hasard dans chaque catégorie de données que supposent les variables indépendantes des modèles qui reposent sur des techniques d'ajustement. Or, peut-on dire que les valeurs sont manquantes au hasard?

    Comme les valeurs manquantes ne sont pas observées, les hypothèses sur les valeurs manquantes entièrement au hasard et les valeurs manquantes au hasard formulées dans les analyses ne sont pas souvent examinées. La communication décrit un modèle de sélection à partir duquel des tests d'hypothèse concernant les valeurs manquantes entièrement au hasard et les valeurs manquantes au hasard peuvent être réalisés même si les valeurs manquantes ne sont pas observées. Les données de la National Immunization Survey menée par le Department of Health and Human Services des États-Unis sont utilisées pour illustrer ces méthodes.

    Date de diffusion : 2009-12-03

  • Articles et rapports : 11-522-X200800010952
    Description :

    Dans une enquête où les résultats ont été estimés par des moyennes simples, nous comparons les incidences qu'ont sur les résultats un suivi des cas de non-réponse et une pondération fondée sur les derniers dix pour cent de répondants. Les données utilisées proviennent de l'Enquête sur les conditions de vie des immigrants en Norvège qui a été réalisée en 2006.

    Date de diffusion : 2009-12-03

  • Articles et rapports : 11-522-X200800010953
    Description :

    Alors que les spécialistes de la recherche sur les enquêtes s'efforcent de maintenir les taux de réponse à leur niveau habituellement élevé, les répondants réticents font croître les coûts de collecte des données. Cette réticence à répondre peut être liée au temps qu'il faut pour achever l'interview dans les enquêtes omnibus à grande échelle, telles que la National Survey of Recent College Graduates (NSRCG). Reconnaissant que le fardeau de réponse ou la longueur du questionnaire peut contribuer à la baisse des taux de réponse, en 2003, après plusieurs mois de collecte des données conformément au protocole de collecte standard, l'équipe de la NSRCG a offert des incitations monétaires à ses répondants environ deux mois avant la fin de la période de collecte des données. Parallèlement à l'offre d'incitation, elle a également donné aux non-répondants persistants l'occasion de répondre à un questionnaire considérablement abrégé ne comportant que quelques questions essentielles. Les répondants tardifs qui ont achevé l'interview en raison de l'incitation monétaire et du questionnaire ne contenant que les questions essentielles peuvent fournir certains éclaircissements en ce qui concerne le biais de non-réponse et la probabilité qu'ils soient demeurés des non-répondants à l'enquête si les efforts susmentionnés de conversion des refus n'avaient pas été faits.

    Dans le présent article, nous entendons par « répondants réticents » ceux qui n'ont répondu à l'enquête qu'après le déploiement d'efforts allant au-delà de ceux planifiés au départ dans le protocole standard de collecte des données. Plus précisément, les répondants réticents à la NSRCG de 2003 sont ceux qui ont répondu au questionnaire ordinaire ou abrégé après l'offre d'une incitation. Notre hypothèse était que le comportement des répondants réticents serait plus semblable à celui des non-répondants qu'à celui des répondants aux enquêtes. Le présent article décrit une étude des répondants réticents et de la mesure dans laquelle ils diffèrent des répondants ordinaires. Nous comparons différents groupes de réponse en ce qui concerne les estimations pour plusieurs variables clés de l'enquête. Cette comparaison nous permettra de mieux comprendre le biais dû à la non-réponse à la NSRCG et les caractéristiques des non-répondants proprement dits, ce qui servira de fondement à la modification du système de pondération ou aux procédures d'estimation de la NSRCG dans l'avenir.

    Date de diffusion : 2009-12-03

  • Articles et rapports : 11-522-X200800010957
    Description :

    Les enquêtes menées auprès d'entreprises diffèrent des enquêtes menées auprès de la population ou des ménages à bien des égards. Deux des plus importantes différences sont : (a) les répondants aux enquêtes-entreprises ne répondent pas à des questions sur des caractéristiques les concernant (leurs expériences, leurs comportements, leurs attitudes et leurs sentiments), mais sur des caractéristiques de leur organisation (taille, revenu, politiques, stratégies, etc.) et (b) les répondants aux questions parlent au nom d'une organisation. Les enquêtes-entreprises théoriques diffèrent pour leur part des autres enquêtes-entreprises, comme celles des bureaux nationaux de la statistique, à bien des égards aussi. Le fait que les enquêtes-entreprises théoriques ne visent habituellement pas la production de statistiques descriptives mais plutôt la réalisation de tests d'hypothèses (relations entre variables) constitue la plus importante différence. Les taux de réponse aux enquêtes-entreprises théoriques sont très faibles, ce qui suppose un risque énorme de biais de non-réponse. Aucune tentative n'est habituellement faite pour évaluer l'importance du biais attribuable à la non-réponse, et les résultats publiés peuvent par conséquent ne pas refléter fidèlement les vraies relations au sein de la population, ce qui augmente par ricochet la probabilité que les résultats des tests soient incorrects.

    Les auteurs de la communication analysent la façon dont le risque de biais dû à la non-réponse est étudié dans les documents de recherche publiés dans les grandes revues de gestion. Ils montrent que ce biais n'est pas suffisamment évalué et que la correction du biais est difficile ou très coûteux dans la pratique, si tant est que des tentatives sont faites en ce sens. Trois façons de traiter ce problème sont examinées :(a) réunir des données par d'autres moyens que des questionnaires;(b) mener des enquêtes auprès de très petites populations;(c) mener des enquêtes avec de très petits échantillons.

    Les auteurs examinent les raisons pour lesquelles ces méthodes constituent des moyens appropriés de mise à l'essai d'hypothèses dans les populations. Les compromis concernant le choix d'une méthode sont aussi examinés.

    Date de diffusion : 2009-12-03

  • Articles et rapports : 11-522-X200800010960
    Description :

    La non-réponse est inévitable dans toute enquête, malgré tous les efforts mis en oeuvre pour la réduire aux différentes étapes de l'enquête. Cette non-réponse peut notamment être responsable de biais dans l'estimation. La non-réponse est par ailleurs une problématique d'autant plus importante dans une étude longitudinale que l'échantillon se réduit au fil du temps. L'Étude Longitudinale Française depuis l'Enfance (Elfe) est un projet de suivi de 20 000 enfants de la naissance à l'âge adulte dans une approche pluridisciplinaire. Cet article est basé sur les résultats des premières études pilotes menées en 2007 qui ont permis de tester la faisabilité et l'acceptation de l'étude. Les résultats de participation sont présentés (taux de réponse, facteurs liés à la non-réponse) ainsi qu'une première ébauche des méthodes de traitement de la non-réponse envisagées.

    Date de diffusion : 2009-12-03

  • Articles et rapports : 11-522-X200800010975
    Description :

    Un problème important dans le domaine de la statistique officielle est l'accès à des mesures objectives permettant de prendre des décisions fondées sur des données factuelles. Istat a mis en place un système d'information en vue d'évaluer la qualité des enquêtes. Entre autres indicateurs standard de la qualité, les taux de non-réponse sont calculés et sauvegardés systématiquement pour toutes les enquêtes. Cette riche base d'information permet d'effecteur des analyses au cours du temps et des comparaisons entre enquêtes. Le présent article porte sur l'analyse des interdépendances entre le mode de collecte des données, ainsi que d'autres caractéristiques des enquêtes et la non-réponse totale. Une attention particulière est accordée à la mesure dans laquelle la collecte de données multimode améliore les taux de réponse.

    Date de diffusion : 2009-12-03
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  • Articles et rapports : 12-001-X200900211037
    Description :

    Les stratégies fondées sur la réponse aléatoire, qui ont été élaborées au départ à titre de méthodes statistiques destinées à réduire la non-réponse ainsi que la réponse mensongère, peuvent aussi être appliquées dans le domaine du contrôle de la divulgation statistique dans les fichiers de microdonnées à grande diffusion. Le présent article décrit une standardisation des méthodes de réponse aléatoire en vue d'estimer des proportions pour des attributs identificatoires ou sensibles. Les propriétés statistiques de l'estimateur standardisé sont établies dans le cas de l'échantillonnage probabiliste général. Afin d'analyser l'effet du choix des « paramètres de plan » implicites de la méthode sur la performance de l'estimateur, nous incluons dans l'étude des mesures de la protection de la vie privée. Nous obtenons ainsi des paramètres de plan qui optimisent la variance, sachant le niveau de protection de la vie privée. Pour cela, les variables doivent être classées dans diverses catégories de sensibilité. Un exemple fondé sur des données réelles illustre l'application de la méthode à une enquête sur la tricherie chez les étudiants.

    Date de diffusion : 2009-12-23

  • Articles et rapports : 12-001-X200900211038
    Description :

    Nous cherchons à corriger la surestimation causée par la non-réponse de lien dans l'échantillonnage indirect lorsque l'on utilise la méthode généralisée de partage des poids (MGPP). Nous avons élaboré quelques méthodes de correction pour tenir compte de la non-réponse de lien dans la MGPP applicables lorsque l'on dispose ou non de variables auxiliaires. Nous présentons une étude par simulation de certaines de ces méthodes de correction fondée sur des données d'enquête longitudinale. Les résultats des simulations révèlent que les corrections proposées de la MGPP réduisent bien le biais et la variance d'estimation. L'accroissement de la réduction du biais est significatif.

    Date de diffusion : 2009-12-23

  • Articles et rapports : 12-001-X200900211039
    Description :

    La pondération par la propension à répondre est une méthode de rajustement pour tenir compte de la non-réponse totale dans les enquêtes. Une forme de mise en oeuvre de cette méthode consiste à diviser les poids d'échantillonnage par les estimations de la probabilité que les unités échantillonnées répondent à l'enquête. Habituellement, ces estimations sont obtenues par ajustement de modèles paramétriques, tels qu'une régression logistique. Les estimateurs corrigés résultants peuvent devenir biaisés si les modèles paramétriques sont spécifiés incorrectement. Afin d'éviter les erreurs de spécification du modèle, nous considérons l'estimation non paramétrique des probabilités de réponse par la régression par polynômes locaux. Nous étudions les propriétés asymptotiques de l'estimateur résultant sous quasi randomisation. Nous évaluons en pratique le comportement de la méthode proposée de correction de la non-réponse en nous servant de données de la NHANES.

    Date de diffusion : 2009-12-23

  • Articles et rapports : 12-001-X200900211043
    Description :

    Les enquêtes-entreprises sont souvent réalisées selon un plan d'échantillonnage aléatoire simple stratifié à un degré sans remise comportant certaines strates à tirage complet. Bien que l'on recoure habituellement à l'ajustement de la pondération pour traiter la non-réponse totale, la variabilité due à la non-réponse est parfois omise en pratique quand on estime les variances. Cette situation pose surtout problème lorsqu'il existe des strates à tirage complet. Nous élaborons des estimateurs de variance qui sont convergents quand le nombre d'unités échantillonnées est grand dans chaque classe de pondération, en utilisant les méthodes du jackknife, de la linéarisation et du jackknife modifié. Nous commençons par appliquer les estimateurs ainsi obtenus à des données empiriques provenant de l'Annual Capital Expenditures Survey réalisé par le U.S. Census Bureau, puis nous examinons leur performance dans une étude en simulation.

    Date de diffusion : 2009-12-23

  • Articles et rapports : 11-522-X200800010951
    Description :

    Les valeurs manquantes attribuables à la non-réponse constituent un type d'erreur non due à l'échantillonnage. Le rejet de cas comportant des valeurs manquantes dans des analyses statistiques peut entraîner des estimations biaisées en raison des différences entre les répondants pour lesquels des valeurs sont manquantes et les autres. De plus, lorsque des variables présentent différentes structures de valeurs manquantes parmi les cas échantillonnés et lorsque les cas comportant des valeurs manquantes sont rejetés des analyses statistiques, celles-ci peuvent produire des résultats incohérents puisqu'elles reposent sur des sous-ensembles différents de cas échantillonnés pouvant ne pas être comparables. Cependant, les analyses qui rejettent des cas avec valeurs manquantes peuvent être valides à la condition que ces valeurs soient manquantes entièrement au hasard. Or, est-ce bien le cas?

    En guise de compensation, les valeurs manquantes sont souvent imputées ou les poids de l'enquête sont ajustés à l'aide de méthodes de catégories de poids. Les analyses subséquentes peuvent être valides à condition que les valeurs soient manquantes au hasard dans chaque catégorie de données que supposent les variables indépendantes des modèles qui reposent sur des techniques d'ajustement. Or, peut-on dire que les valeurs sont manquantes au hasard?

    Comme les valeurs manquantes ne sont pas observées, les hypothèses sur les valeurs manquantes entièrement au hasard et les valeurs manquantes au hasard formulées dans les analyses ne sont pas souvent examinées. La communication décrit un modèle de sélection à partir duquel des tests d'hypothèse concernant les valeurs manquantes entièrement au hasard et les valeurs manquantes au hasard peuvent être réalisés même si les valeurs manquantes ne sont pas observées. Les données de la National Immunization Survey menée par le Department of Health and Human Services des États-Unis sont utilisées pour illustrer ces méthodes.

    Date de diffusion : 2009-12-03

  • Articles et rapports : 11-522-X200800010952
    Description :

    Dans une enquête où les résultats ont été estimés par des moyennes simples, nous comparons les incidences qu'ont sur les résultats un suivi des cas de non-réponse et une pondération fondée sur les derniers dix pour cent de répondants. Les données utilisées proviennent de l'Enquête sur les conditions de vie des immigrants en Norvège qui a été réalisée en 2006.

    Date de diffusion : 2009-12-03

  • Articles et rapports : 11-522-X200800010953
    Description :

    Alors que les spécialistes de la recherche sur les enquêtes s'efforcent de maintenir les taux de réponse à leur niveau habituellement élevé, les répondants réticents font croître les coûts de collecte des données. Cette réticence à répondre peut être liée au temps qu'il faut pour achever l'interview dans les enquêtes omnibus à grande échelle, telles que la National Survey of Recent College Graduates (NSRCG). Reconnaissant que le fardeau de réponse ou la longueur du questionnaire peut contribuer à la baisse des taux de réponse, en 2003, après plusieurs mois de collecte des données conformément au protocole de collecte standard, l'équipe de la NSRCG a offert des incitations monétaires à ses répondants environ deux mois avant la fin de la période de collecte des données. Parallèlement à l'offre d'incitation, elle a également donné aux non-répondants persistants l'occasion de répondre à un questionnaire considérablement abrégé ne comportant que quelques questions essentielles. Les répondants tardifs qui ont achevé l'interview en raison de l'incitation monétaire et du questionnaire ne contenant que les questions essentielles peuvent fournir certains éclaircissements en ce qui concerne le biais de non-réponse et la probabilité qu'ils soient demeurés des non-répondants à l'enquête si les efforts susmentionnés de conversion des refus n'avaient pas été faits.

    Dans le présent article, nous entendons par « répondants réticents » ceux qui n'ont répondu à l'enquête qu'après le déploiement d'efforts allant au-delà de ceux planifiés au départ dans le protocole standard de collecte des données. Plus précisément, les répondants réticents à la NSRCG de 2003 sont ceux qui ont répondu au questionnaire ordinaire ou abrégé après l'offre d'une incitation. Notre hypothèse était que le comportement des répondants réticents serait plus semblable à celui des non-répondants qu'à celui des répondants aux enquêtes. Le présent article décrit une étude des répondants réticents et de la mesure dans laquelle ils diffèrent des répondants ordinaires. Nous comparons différents groupes de réponse en ce qui concerne les estimations pour plusieurs variables clés de l'enquête. Cette comparaison nous permettra de mieux comprendre le biais dû à la non-réponse à la NSRCG et les caractéristiques des non-répondants proprement dits, ce qui servira de fondement à la modification du système de pondération ou aux procédures d'estimation de la NSRCG dans l'avenir.

    Date de diffusion : 2009-12-03

  • Articles et rapports : 11-522-X200800010957
    Description :

    Les enquêtes menées auprès d'entreprises diffèrent des enquêtes menées auprès de la population ou des ménages à bien des égards. Deux des plus importantes différences sont : (a) les répondants aux enquêtes-entreprises ne répondent pas à des questions sur des caractéristiques les concernant (leurs expériences, leurs comportements, leurs attitudes et leurs sentiments), mais sur des caractéristiques de leur organisation (taille, revenu, politiques, stratégies, etc.) et (b) les répondants aux questions parlent au nom d'une organisation. Les enquêtes-entreprises théoriques diffèrent pour leur part des autres enquêtes-entreprises, comme celles des bureaux nationaux de la statistique, à bien des égards aussi. Le fait que les enquêtes-entreprises théoriques ne visent habituellement pas la production de statistiques descriptives mais plutôt la réalisation de tests d'hypothèses (relations entre variables) constitue la plus importante différence. Les taux de réponse aux enquêtes-entreprises théoriques sont très faibles, ce qui suppose un risque énorme de biais de non-réponse. Aucune tentative n'est habituellement faite pour évaluer l'importance du biais attribuable à la non-réponse, et les résultats publiés peuvent par conséquent ne pas refléter fidèlement les vraies relations au sein de la population, ce qui augmente par ricochet la probabilité que les résultats des tests soient incorrects.

    Les auteurs de la communication analysent la façon dont le risque de biais dû à la non-réponse est étudié dans les documents de recherche publiés dans les grandes revues de gestion. Ils montrent que ce biais n'est pas suffisamment évalué et que la correction du biais est difficile ou très coûteux dans la pratique, si tant est que des tentatives sont faites en ce sens. Trois façons de traiter ce problème sont examinées :(a) réunir des données par d'autres moyens que des questionnaires;(b) mener des enquêtes auprès de très petites populations;(c) mener des enquêtes avec de très petits échantillons.

    Les auteurs examinent les raisons pour lesquelles ces méthodes constituent des moyens appropriés de mise à l'essai d'hypothèses dans les populations. Les compromis concernant le choix d'une méthode sont aussi examinés.

    Date de diffusion : 2009-12-03

  • Articles et rapports : 11-522-X200800010960
    Description :

    La non-réponse est inévitable dans toute enquête, malgré tous les efforts mis en oeuvre pour la réduire aux différentes étapes de l'enquête. Cette non-réponse peut notamment être responsable de biais dans l'estimation. La non-réponse est par ailleurs une problématique d'autant plus importante dans une étude longitudinale que l'échantillon se réduit au fil du temps. L'Étude Longitudinale Française depuis l'Enfance (Elfe) est un projet de suivi de 20 000 enfants de la naissance à l'âge adulte dans une approche pluridisciplinaire. Cet article est basé sur les résultats des premières études pilotes menées en 2007 qui ont permis de tester la faisabilité et l'acceptation de l'étude. Les résultats de participation sont présentés (taux de réponse, facteurs liés à la non-réponse) ainsi qu'une première ébauche des méthodes de traitement de la non-réponse envisagées.

    Date de diffusion : 2009-12-03

  • Articles et rapports : 11-522-X200800010975
    Description :

    Un problème important dans le domaine de la statistique officielle est l'accès à des mesures objectives permettant de prendre des décisions fondées sur des données factuelles. Istat a mis en place un système d'information en vue d'évaluer la qualité des enquêtes. Entre autres indicateurs standard de la qualité, les taux de non-réponse sont calculés et sauvegardés systématiquement pour toutes les enquêtes. Cette riche base d'information permet d'effecteur des analyses au cours du temps et des comparaisons entre enquêtes. Le présent article porte sur l'analyse des interdépendances entre le mode de collecte des données, ainsi que d'autres caractéristiques des enquêtes et la non-réponse totale. Une attention particulière est accordée à la mesure dans laquelle la collecte de données multimode améliore les taux de réponse.

    Date de diffusion : 2009-12-03
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