Immigrants et résidents non permanents

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  • Articles et rapports : 81-595-M2010084
    Géographie : Canada
    Description :

    L'intégration des immigrants au marché du travail canadien présente un intérêt pour les responsables des politiques gouvernementales canadiennes de même que pour les immigrants actuels et futurs. S'appuyant sur les données du Recensement de la population de 2006, ce rapport vise à faciliter la compréhension de l'intégration des immigrants formés à l'étranger au marché du travail canadien comparativement à ceux (Canadiens de naissance et autres immigrants) qui ont complété leur formation au Canada p.ex., Travaillent-ils dans une profession liée à leur domaine d'études ou dans une profession équivalente? Quels sont leurs conditions de travail et leurs gains? À ce titre, ce rapport présente un profil sociodémographique des immigrants formés à l'étranger à leur arrivée au Canada et examine leurs résultats sur le marché du travail selon la période écoulée depuis leur arrivée au pays.

    Date de diffusion : 2010-09-09

  • Articles et rapports : 11-008-X201000211166
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans cette étude, on observe le nombre croissant de résidents non permanents qui travaillent temporairement au Canada. On compare leurs caractéristiques démographiques, leur lieu de résidence, leurs professions et leurs gains à ceux des résidents permanents. Les données du recensement montrent que bien que le nombre de résidents non permanents destinés à du travail spécialisé augmente, la plupart d'entre eux se trouvent dans des professions peu spécialisées. Étant donné les professions qu'ils exercent, les résidents non permanents qui travaillent temporairement au Canada ont tendance à être moins bien payés que les personnes nées au Canada ou les immigrants établis comparables.

    Date de diffusion : 2010-06-08

  • Tableau : 89-641-X
    Description :

    Le présent rapport porte sur l'immigration de langue française à l'extérieur du Québec et son évolution récente : son effectif, sa répartition sur le territoire et ses caractéristiques démographiques et socio-économiques. Dans le présent portrait statistique, l'on fera surtout usage de la notion de première langue officielle parlée (PLOP), laquelle est maintenant beaucoup utilisée comme critère de définition linguistique dans les travaux sur les minorités de langue officielle. La population immigrée francophone à l'extérieur du Québec est constituée de deux groupes : ceux qui ont le français uniquement comme première langue officielle parlée (les immigrants de PLOP français) et ceux qui ont et le français et l'anglais (les immigrants de PLOP français-anglais).

    La population immigrée francophone vivant à l'extérieur du Québec est relativement peu importante, tant en nombre absolu que par rapport à l'ensemble des personnes de langue française ou par rapport à l'ensemble de la population immigrée. Le poids relatif des immigrants francophones au sein de l'ensemble de la population de langue française s'est toutefois accru, passant de 6,2% à 10% entre 1991 et 2006, alors que son poids au sein de l'ensemble de la population immigrée a connu une variation plus modérée, se situant tout au plus à moins de 2% en 2006.

    C'est en Ontario où se concentrent la majorité des immigrants francophones à l'extérieur du Québec, soit 70% de ceux-ci. Par ailleurs, les deux tiers des immigrants de langue française vivent dans trois agglomérations urbaines, soit Toronto, Ottawa et Vancouver. Pour l'ensemble du Canada à l'extérieur du Québec, les immigrants de PLOP français-anglais, au nombre de 76 100 au Recensement de 2006, sont légèrement plus nombreux que les immigrants de PLOP français, dont l'effectif est de 60 900. Dans certaines villes, notamment Toronto, Vancouver et Calgary, cette caractéristique est plus marquée, le nombre d'immigrants de PLOP français-anglais étant presque le double que celui des immigrants de PLOP français. Ces deux groupes de PLOP ont des caractéristiques démographiques et socioéconomiques qui sont parfois très contrastées.

    L'immigration internationale vers le Canada s'est rapidement transformée au cours des dernières décennies. Les immigrants d'origine européenne ont eu tendance à céder leur place aux immigrants en provenance d'Asie, d'Afrique et de l'Amérique latine. À cet égard, les immigrants de PLOP français se distinguent des autres immigrants par la proportion importante qui proviennent du continent africain. Une des conséquences de cette tendance a été de modifier la composition de la population immigrée de PLOP français qui comptait en 2006 26% de Noirs, comparativement à 5% dans le cas des deux autres groupes d'immigrants.

    Date de diffusion : 2010-04-06

  • Articles et rapports : 11F0019M2010322
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent article, fondé sur l'Enquête longitudinale auprès des immigrants du Canada (ELIC), analyse l'évaluation subjective que font de leur vie au Canada les nouveaux immigrants de la cohorte de 2000-2001. Cette étude offre un complément utile à d'autres études sur la situation des immigrants, études qui se concentrent souvent sur l'emploi, le revenu ou la santé. Quatre ans après leur arrivée au pays, environ les trois quarts des répondants de l'ELIC se sont dits satisfaits ou très satisfaits de leur vie au Canada, et une proportion comparable de répondants ont indiqué que leur vie au Canada est à la hauteur de leurs attentes ou les dépasse. Près de 9 répondants sur 10 ont affirmé que, s'ils avaient à choisir de nouveau, ils prendraient encore la décision d'immigrer au Canada. Les évaluations subjectives sont associées à un large éventail de caractéristiques démographiques, sociales et économiques. Les évaluations positives de la vie au Canada sont moins fréquentes chez les répondants dans la trentaine et dans la quarantaine, les diplômés universitaires et les demandeurs principaux de la catégorie des travailleurs qualifiés qu'elles ne le sont dans d'autres groupes. Si l'évaluation de la vie au Canada est corrélée avec divers facteurs économiques comme le revenu personnel, elle l'est également avec des facteurs sociaux comme les relations avec les voisins et les perceptions en matière de discrimination.

    Date de diffusion : 2010-02-18
Données (1)

Données (1) ((1 résultat))

  • Tableau : 89-641-X
    Description :

    Le présent rapport porte sur l'immigration de langue française à l'extérieur du Québec et son évolution récente : son effectif, sa répartition sur le territoire et ses caractéristiques démographiques et socio-économiques. Dans le présent portrait statistique, l'on fera surtout usage de la notion de première langue officielle parlée (PLOP), laquelle est maintenant beaucoup utilisée comme critère de définition linguistique dans les travaux sur les minorités de langue officielle. La population immigrée francophone à l'extérieur du Québec est constituée de deux groupes : ceux qui ont le français uniquement comme première langue officielle parlée (les immigrants de PLOP français) et ceux qui ont et le français et l'anglais (les immigrants de PLOP français-anglais).

    La population immigrée francophone vivant à l'extérieur du Québec est relativement peu importante, tant en nombre absolu que par rapport à l'ensemble des personnes de langue française ou par rapport à l'ensemble de la population immigrée. Le poids relatif des immigrants francophones au sein de l'ensemble de la population de langue française s'est toutefois accru, passant de 6,2% à 10% entre 1991 et 2006, alors que son poids au sein de l'ensemble de la population immigrée a connu une variation plus modérée, se situant tout au plus à moins de 2% en 2006.

    C'est en Ontario où se concentrent la majorité des immigrants francophones à l'extérieur du Québec, soit 70% de ceux-ci. Par ailleurs, les deux tiers des immigrants de langue française vivent dans trois agglomérations urbaines, soit Toronto, Ottawa et Vancouver. Pour l'ensemble du Canada à l'extérieur du Québec, les immigrants de PLOP français-anglais, au nombre de 76 100 au Recensement de 2006, sont légèrement plus nombreux que les immigrants de PLOP français, dont l'effectif est de 60 900. Dans certaines villes, notamment Toronto, Vancouver et Calgary, cette caractéristique est plus marquée, le nombre d'immigrants de PLOP français-anglais étant presque le double que celui des immigrants de PLOP français. Ces deux groupes de PLOP ont des caractéristiques démographiques et socioéconomiques qui sont parfois très contrastées.

    L'immigration internationale vers le Canada s'est rapidement transformée au cours des dernières décennies. Les immigrants d'origine européenne ont eu tendance à céder leur place aux immigrants en provenance d'Asie, d'Afrique et de l'Amérique latine. À cet égard, les immigrants de PLOP français se distinguent des autres immigrants par la proportion importante qui proviennent du continent africain. Une des conséquences de cette tendance a été de modifier la composition de la population immigrée de PLOP français qui comptait en 2006 26% de Noirs, comparativement à 5% dans le cas des deux autres groupes d'immigrants.

    Date de diffusion : 2010-04-06
Analyses (3)

Analyses (3) ((3 résultats))

  • Articles et rapports : 81-595-M2010084
    Géographie : Canada
    Description :

    L'intégration des immigrants au marché du travail canadien présente un intérêt pour les responsables des politiques gouvernementales canadiennes de même que pour les immigrants actuels et futurs. S'appuyant sur les données du Recensement de la population de 2006, ce rapport vise à faciliter la compréhension de l'intégration des immigrants formés à l'étranger au marché du travail canadien comparativement à ceux (Canadiens de naissance et autres immigrants) qui ont complété leur formation au Canada p.ex., Travaillent-ils dans une profession liée à leur domaine d'études ou dans une profession équivalente? Quels sont leurs conditions de travail et leurs gains? À ce titre, ce rapport présente un profil sociodémographique des immigrants formés à l'étranger à leur arrivée au Canada et examine leurs résultats sur le marché du travail selon la période écoulée depuis leur arrivée au pays.

    Date de diffusion : 2010-09-09

  • Articles et rapports : 11-008-X201000211166
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans cette étude, on observe le nombre croissant de résidents non permanents qui travaillent temporairement au Canada. On compare leurs caractéristiques démographiques, leur lieu de résidence, leurs professions et leurs gains à ceux des résidents permanents. Les données du recensement montrent que bien que le nombre de résidents non permanents destinés à du travail spécialisé augmente, la plupart d'entre eux se trouvent dans des professions peu spécialisées. Étant donné les professions qu'ils exercent, les résidents non permanents qui travaillent temporairement au Canada ont tendance à être moins bien payés que les personnes nées au Canada ou les immigrants établis comparables.

    Date de diffusion : 2010-06-08

  • Articles et rapports : 11F0019M2010322
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent article, fondé sur l'Enquête longitudinale auprès des immigrants du Canada (ELIC), analyse l'évaluation subjective que font de leur vie au Canada les nouveaux immigrants de la cohorte de 2000-2001. Cette étude offre un complément utile à d'autres études sur la situation des immigrants, études qui se concentrent souvent sur l'emploi, le revenu ou la santé. Quatre ans après leur arrivée au pays, environ les trois quarts des répondants de l'ELIC se sont dits satisfaits ou très satisfaits de leur vie au Canada, et une proportion comparable de répondants ont indiqué que leur vie au Canada est à la hauteur de leurs attentes ou les dépasse. Près de 9 répondants sur 10 ont affirmé que, s'ils avaient à choisir de nouveau, ils prendraient encore la décision d'immigrer au Canada. Les évaluations subjectives sont associées à un large éventail de caractéristiques démographiques, sociales et économiques. Les évaluations positives de la vie au Canada sont moins fréquentes chez les répondants dans la trentaine et dans la quarantaine, les diplômés universitaires et les demandeurs principaux de la catégorie des travailleurs qualifiés qu'elles ne le sont dans d'autres groupes. Si l'évaluation de la vie au Canada est corrélée avec divers facteurs économiques comme le revenu personnel, elle l'est également avec des facteurs sociaux comme les relations avec les voisins et les perceptions en matière de discrimination.

    Date de diffusion : 2010-02-18
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