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  • Articles et rapports : 12-001-X202200100005
    Description :

    Les études méthodologiques des effets des intervieweurs humains sur la qualité des données d’enquête ont longtemps été limitées par une hypothèse critique selon laquelle les intervieweurs d’une enquête donnée sont attribués à des sous-ensembles aléatoires de l’échantillon global plus important (également connu sous le nom d’attribution imbriquée). En l’absence de ce type de conception d’étude, les estimations des effets de l’intervieweur sur les mesures d’intérêt de l’enquête, plutôt que les effets de recrutement ou de mesure spécifiquement introduits par les intervieweurs, peuvent refléter des différences entre les intervieweurs dans les caractéristiques des membres de l’échantillon qui leur sont assignés. Les tentatives précédentes d’approximation de l’attribution imbriquée se sont généralement appuyées sur des modèles de régression pour conditionner les facteurs qui pourraient être liés à l’attribution des intervieweurs. Nous proposons une nouvelle approche pour surmonter ce manque d’attribution imbriquée lors de l’estimation des effets de l’intervieweur. Cette approche, que nous appelons la « méthode d’ancrage », tire avantage des corrélations entre les variables observées qui sont peu susceptibles d’être influencées par les intervieweurs (« ancres ») et les variables qui peuvent être sujettes aux effets de l’intervieweur, et ce, afin d’éliminer les composantes des corrélations induites par l’intervieweur que l’absence d’attribution imbriquée peut engendrer. Nous tenons compte à la fois des approches fréquentistes et bayésiennes, ces dernières pouvant utiliser des renseignements sur les variances de l’effet de l’intervieweur dans les précédents ensembles de données d’une étude, s’ils sont disponibles. Nous évaluons cette nouvelle méthodologie de manière empirique à l’aide d’une étude par simulation, puis nous illustrons son application au moyen de données d’enquête réelles provenant du Behavioral Risk Factor Surveillance System (BRFSS), où les identifiants des intervieweurs sont fournis dans les fichiers de données à grande diffusion. Bien que la méthode que nous proposons partage certaines des limites de l’approche traditionnelle, à savoir le besoin de variables associées au résultat d’intérêt qui sont également exemptes d’erreur de mesure, elle permet d’éviter le besoin d’inférence conditionnelle et présente donc de meilleures qualités inférentielles lorsque l’accent est mis sur les estimations marginales. Elle montre également des signes de réduction supplémentaire de la surestimation des effets plus importants de l’intervieweur par rapport à l’approche traditionnelle.

    Date de diffusion : 2022-06-21
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  • Articles et rapports : 12-001-X202200100005
    Description :

    Les études méthodologiques des effets des intervieweurs humains sur la qualité des données d’enquête ont longtemps été limitées par une hypothèse critique selon laquelle les intervieweurs d’une enquête donnée sont attribués à des sous-ensembles aléatoires de l’échantillon global plus important (également connu sous le nom d’attribution imbriquée). En l’absence de ce type de conception d’étude, les estimations des effets de l’intervieweur sur les mesures d’intérêt de l’enquête, plutôt que les effets de recrutement ou de mesure spécifiquement introduits par les intervieweurs, peuvent refléter des différences entre les intervieweurs dans les caractéristiques des membres de l’échantillon qui leur sont assignés. Les tentatives précédentes d’approximation de l’attribution imbriquée se sont généralement appuyées sur des modèles de régression pour conditionner les facteurs qui pourraient être liés à l’attribution des intervieweurs. Nous proposons une nouvelle approche pour surmonter ce manque d’attribution imbriquée lors de l’estimation des effets de l’intervieweur. Cette approche, que nous appelons la « méthode d’ancrage », tire avantage des corrélations entre les variables observées qui sont peu susceptibles d’être influencées par les intervieweurs (« ancres ») et les variables qui peuvent être sujettes aux effets de l’intervieweur, et ce, afin d’éliminer les composantes des corrélations induites par l’intervieweur que l’absence d’attribution imbriquée peut engendrer. Nous tenons compte à la fois des approches fréquentistes et bayésiennes, ces dernières pouvant utiliser des renseignements sur les variances de l’effet de l’intervieweur dans les précédents ensembles de données d’une étude, s’ils sont disponibles. Nous évaluons cette nouvelle méthodologie de manière empirique à l’aide d’une étude par simulation, puis nous illustrons son application au moyen de données d’enquête réelles provenant du Behavioral Risk Factor Surveillance System (BRFSS), où les identifiants des intervieweurs sont fournis dans les fichiers de données à grande diffusion. Bien que la méthode que nous proposons partage certaines des limites de l’approche traditionnelle, à savoir le besoin de variables associées au résultat d’intérêt qui sont également exemptes d’erreur de mesure, elle permet d’éviter le besoin d’inférence conditionnelle et présente donc de meilleures qualités inférentielles lorsque l’accent est mis sur les estimations marginales. Elle montre également des signes de réduction supplémentaire de la surestimation des effets plus importants de l’intervieweur par rapport à l’approche traditionnelle.

    Date de diffusion : 2022-06-21
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