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Quand fiston quittera-t-il la maison? Transition du domicile parental à l’indépendance

par Pascale Beaupré, Pierre Turcotte et Anne Milan

Les enfants participent à la plupart de leurs premières activités de socialisation avec leurs parents, à la maison, où ils acquièrent les expériences et les idées qui influeront sur leur vie d'adulte1. Par conséquent, le départ du domicile parental est un moment important, à la fois pour les parents et pour les enfants. Il est possible que les parents se sentent soulagés, qu'ils éprouvent de la fierté d'avoir accompli leur rôle et qu'ils soient heureux de voir leurs enfants se diriger vers une plus grande indépendance. Pour les enfants, le premier départ est un repère symbolique de leur passage de l'enfance à la vie adulte.

On a enregistré une hausse considérable du nombre d'enfants demeurant toujours chez leurs parents bien après qu'ils aient atteint l'âge où leurs parents prévoyaient leur départ. La plus forte augmentation a été observée chez les jeunes adultes d'un peu moins ou d'un peu plus de trente ans. En effet, entre 1981 et 2001, les proportions sont passées de 12 % à 24 % pour les personnes de 25 à 29 ans et de 5 % à 11 % pour celles de 30 à 34 ans2.

La majeure partie de l'augmentation a été enregistrée au début des années 1980 et 1990, période au cours de laquelle le Canada a connu deux de ses plus graves récessions depuis les années 1930. Étant donné le contexte, il semble convenable de se demander si les jeunes adultes quittent effectivement le nid plus tard que leurs parents ne l'ont fait eux-mêmes.

Dans le présent article, on utilise des données provenant de l'Enquête sociale générale de 2001 afin d'examiner les tendances liées au départ du domicile familial. On y compare le processus de transition de cinq cohortes de naissance, en portant une attention particulière aux membres de la première vague de baby-boomers (nés entre 1947 et 1956) et la Génération X (nés entre 1967 et 1976). On examine les différences entre les tendances liées au départ du domicile parental et on identifie les principaux facteurs associés au premier départ d'une jeune adulte.

Ce qu'il faut savoir sur la présente étude
Un plus grand nombre d’enfants demeurent à la maison plus longtemps
Les cohortes de naissance sont un facteur de prédiction clé du départ hâtif
Les familles non traditionnelles et les familles nombreuses favorisent un premier départ hâtif
Le statut d’activité des parents est lié au premier départ
Le lieu de naissance de la mère et les habitudes liées à la pratique religieuse du répondant influent sur le départ précoce des jeunes
Les gens de l’Ouest sont plus susceptibles de partir tôt
Grandir dans une petite ville favorise un départ hâtif
Les hommes qui ont fait des études postsecondaires partent plus tôt
Résumé

Un plus grand nombre d'enfants demeurent à la maison plus longtemps

Selon l'ESG de 2001, 87 % seulement des membres de la Génération X avaient quitté le domicile parental au moins une fois et, tel que prévu, presque tous les membres de la première vague de baby-boomers en avaient fait autant. Bien entendu, quitter le domicile parental n'exclut pas la possibilité d'un retour, mais la transition de la première vague de baby-boomers semble relativement graduelle par rapport à celle de la Génération X. Environ 14 % des membres de la première vague de baby-boomers sont revenus à la maison après leur première tentative de départ, tandis que près du quart (22 %) des membres de la Génération X étaient des enfants boomerang.

À l'aide des estimations basées sur la méthode des tables de survie, il est possible d'examiner les variations entre les générations, pour ce qui est du moment où les enfants quittent le domicile parental pour la première fois. Par exemple, à 21 ans, 59 % des hommes cadets de la première vague de baby-boomers (nés entre 1952 et 1956) avaient quitté la maison pour la première fois, par rapport à 46 % de ceux de la Génération X (nés entre 1972 et 1976). Par contre, les membres aînés de la Génération X sont plus susceptibles d'avoir quitté la maison à 21 ans que ceux de la première vague de baby-boomers (nés entre 1947 et 1951), les probabilités étant de 53 % et de 49 % respectivement. (Un tableau des probabilités cumulatives de toutes les cohortes figure à l'annexe A.)

Les femmes avaient tendance à quitter la maison plus tôt que les hommes, principalement parce qu'elles se marient ou vivent en union libre alors qu'elles sont plus jeunes3. Dans le cadre de la présente étude, c'est précisément le cas des femmes dans les cohortes plus âgées. En effet, les deux tiers des femmes de la première vague de baby-boomers étaient susceptibles d'avoir quitté la maison pour la première fois avant leur 21 anniversaire. Les probabilités étaient de 59 % et de 55 % chez les femmes aînées et cadettes de la Génération X. (Voir l'annexe A.)

Bien entendu, la situation économique a changé considérablement entre la période où la première vague de baby-boomers a quitté le nid et le moment prévu pour le départ des membres de la Génération X. Les emplois syndiqués bien rémunérés étaient loin d'être aussi nombreux et les salaires réels des jeunes travailleurs avaient chuté, réduisant ainsi les incitatifs à l'indépendance et l'occasion d'en profiter. (Voir la section « La loi de la jungle : conditions changeantes du marché du travail à la suite du boom d'après-guerre ».)

Les raisons motivant le départ du domicile parental ont également changé. De nos jours, la plupart des jeunes adultes partent volontairement afin de poursuivre leurs études ou de travailler, ou simplement de vivre séparément de leurs parents. Pourtant, les études ont systématiquement montré que les enfants quittant la maison pour ces raisons sont nettement plus susceptibles de revenir chez leurs parents que ceux qui partent afin de se marier et de former leur propre ménage conjugal 4.

Les cohortes de naissance sont un facteur de prédiction clé du départ hâtif

Depuis bon nombre d'années, les chercheurs étudient le parcours menant à l'indépendance et ils ont défini un certain nombre de facteurs importants qui influent sur la transition du domicile parental à l'indépendance. Une grande variété de facteurs particuliers à la personne et sa situation familiale a certainement une incidence. À plus grande échelle, les conditions économiques générales, les occasions d'emploi, les pressions financières vécues au sein de la famille ainsi que les diversités régionales sont également liées au départ du domicile familial5.

L'âge exact auquel une jeune adulte quitte le domicile parental pour la première fois dépend de sa situation particulière. Cependant, un rapport de risque (calculé en utilisant un modèle à risques proportionnels) peut estimer la probabilité qu'une personne quitte le domicile familial une première fois à un âge moins avancé ou plus avancé que l'âge du groupe de référence, lorsqu'on tient compte de tous les autres facteurs. (Voir « Ce qu'il faut savoir sur la présente étude » afin de consulter la liste des variables considérées dans le modèle.)

Le fait de gagner sa vie est une étape importante vers l'indépendance, donc la situation de l'économie joue un rôle important quant au moment où un jeune adulte décide de quitter la maison. L'atteinte de la vie d'adulte, que le marché du travail soit favorable ou non, dépend entièrement de la génération dans laquelle on nait. Il ne faut donc pas s'étonner que les jeunes hommes de la génération X affichaient 16 % moins de chances de quitter le domicile parental plus tôt que ceux nés durant la période de la guerre ou de la dépression. Cette tendance s'observe également chez les femmes : toujours à comparer leurs consoeurs nées durant la période de la guerre ou de la dépression, les jeunes femmes de la génération X avaient 12 % moins de chances de quitter le domicile parental à un âge donné. Les membres de la cohorte plus âgée ont atteint l'âge adulte durant la période de l'âge d'or économique des années 1950 et 1960, tandis que ceux de la cohorte plus jeune ont été confrontés au marché du travail difficile des années 1990.

Graphique 1. À l'âge de 21 ans, environ la moitié des hommes de la première vague de baby-boomers et de la génération Nexus ont quitté le domicile de leurs parents pour la première fois.

Graphique 2. Plus de la moitié des femmes de la première vague de baby-boomers et de la Génération X ont quitté la maison à l'âge de 20 ans.



Les familles non traditionnelles et les familles nombreuses favorisent un premier départ hâtif

Les personnes qui ont grandi dans une famille non traditionnelle quittent généralement la maison plus tôt. Il s'agit probablement d'une façon de réagir aux relations difficiles ou aux autres problèmes familiaux6. Cela semble être particulièrement vrai pour ce qui est des femmes. Face aux jeunes femmes qui ont grandi en famille biparentale intacte, celles qui vécu une recomposition familiale avaient 57 % plus de chances de partir quand elles étaient plus jeunes (lorsqu'on tient compte de toutes les autres variables). De même, les jeunes hommes élevés dans une famille recomposée étaient davantage susceptibles de quitter la maison plus tôt (30 %), quoi que ces probabilités étaient plus faibles que pour les femmes. Bref, la présence d'un beau-parent semble amener les jeunes adultes à quitter la maison à un plus jeune âge.

En général, les jeunes adultes qui partent de la maison avant d'avoir 18 ans en raison d'une situation familiale instable peuvent avoir l'impression de ne pas pouvoir revenir à la maison s'ils ont besoin d'aide. Cette tendance fait que les jeunes qui sont exposés à un départ précoce ont un niveau de scolarité inférieur, une participation à la vie active médiocre et des difficultés connexes. Par contre, le fait de demeurer dans un milieu familial plus stable après l'âge de 25 ans peut faire en sorte que l'enfant obtienne davantage les ressources qui lui permettent de poursuivre ses études ou d'accumuler des économies et ainsi, de s'assurer un avenir prospère quand ils quitteront le nid.7

Le fait de grandir dans une famille nombreuse favorise également l'indépendance à un plus jeune âge. Les hommes qui comptent trois frères ou sours avaient 20 % plus de chances de quitter la maison comparativement à ceux du même âge qui comptent qu'un frère ou une soeur. Chez les femmes, cette même probabilité de quitter s'élevait à 13 %. Le fait d'avoir au moins quatre frères et sours à la maison augmente davantage la probabilité d'effectuer un départ hâtif.

Tableau 1 : Facteurs démographiques et socioéconomiques liés au premier départ de la maison.


Le statut d'activité des parents est lié au premier départ

Le fait que la mère soit sans emploi pendant l'adolescence semble réduire la probabilité d'un départ hâtif du domicile familial, lorsqu'on tient compte de tous les autres facteurs. Les hommes et les femmes dont la mère ne travaillait pas quand ils ou elles avaient 15 ans étaient moins susceptibles de quitter la maison tôt (12 % et 8 % respectivement), à comparer les jeunes adultes du même âge dont la mère travaillait à l'extérieur de la maison. Toutefois, le fait que le père soit sans emploi n'avait pas une incidence statistiquement significative sur le rythme de départ des jeunes hommes et des jeunes femmes.

Le lieu de naissance de la mère et les habitudes liées à la pratique religieuse du répondant influent sur le départ précoce des jeunes

Les antécédents culturels d'un jeune adulte influent sur le processus de départ de la maison. En effet, l'ethnicité et la participation religieuse jouent un rôle important en ce sens. Des chercheurs ont noté que les enfants de familles qui conservent intactes certaines coutumes et préférences d'une culture communauté tendent à quitter le domicile familial à un âge plus avancé que ceux de familles d'origine britannique8. Selon l'ESG, les hommes dont la mère est née dans un pays étranger avaient 31 % moins de chances de quitter le domicile familial à un plus jeune âge à comparer ceux dont la mère est née au Canada; du côté des femmes, elles avaient 23 % moins de chances de quitter.

L'importance que revêtent la famille et les liens de parenté pour les personnes ayant de fortes croyances religieuses a été largement documentée9, et il est possible que les répondants ayant participé souvent à des services religieux dans leur jeunesse aient intériorisé ces valeurs. Un fait est certain, comparativement aux répondants qui ont assisté à des services religieux une fois par semaine, les personnes qui n'y ont jamais assisté dans leur jeunesse étaient plus susceptibles de quitter le domicile familial à un plus jeune âge: lorsqu'on tient compte de tous les autres facteurs, les chances de quitter s'élevaient à 22 % chez les hommes et à 27 % chez les femmes.

Les gens de l'Ouest sont plus susceptibles de partir tôt

La région de résidence, particulièrement pendant l'enfance, a une incidence sur les tendances liées au départ du domicile parental. En effet, la région de résidence contribue à créer, à soutenir ou à renforcer les normes sociales. Par rapport aux adultes qui passent au moins une partie de leur enfance au Québec, les personnes qui ont grandi dans une autre province étaient plus susceptibles de quitter la maison plus tôt. Les plus fortes probabilités ont été observées dans l'Ouest : parmi les jeunes ayant grandi dans les Prairies, les chances de quitter le domicile parental étaient de 64 % chez les femmes et de 54 % chez les hommes, alors que ces dernières s'élevaient à 50 % et de 42 % respectivement chez les jeunes ayant vécu en Colombie-Britannique pendant leur adolescence. La différence n'était pas aussi marquée en Ontario ou au Canada atlantique, mais les rapports de risque étaient considérablement supérieurs à ceux enregistrés au Québec, lorsqu'on tient compte de tous les autres facteurs.

Grandir dans une petite ville favorise un départ hâtif

Les personnes élevées dans une petite ville (moins de 5 000 habitants) étaient les plus susceptibles de partir plus tôt de la maison, par rapport aux personnes qui ont grandi dans une ville comptant plus d'un million d'habitants. Les femmes, en particulier, quittent les petites villes alors qu'elles sont plus jeunes. Lorsqu'on tient compte de toutes les autres variables, elles avaient 80 % plus de chances de quitter la maison, alors que chez les hommes, ces chances de quitter étaient de 44 %. Même les personnes élevées dans une ville de taille moyenne comptant de 25 000 à 100 000 habitants étaient plus susceptibles de partir tôt.

Les caractéristiques liées à la géographie influent sur le coût du domicile, les opportunités d'emploi et l'accès à l'éducation supérieure. Il est possible que les jeunes adultes habitant dans une très grande ville retardent leur départ, car les coûts liés à l'installation dans un nouveau ménage sont prohibitifs, tandis que les personnes habitant dans des régions moins urbaines peuvent avancer leur premier départ, car elles ne peuvent se prévaloir d'une formation, obtenir un emploi ou acquérir des compétences sur le marché du travail que dans une plus grande ville10.

Les hommes qui ont fait des études postsecondaires partent plus tôt

Le niveau de scolarité est également lié à un premier départ précoce. Les hommes qui ont fréquenté un établissement d'enseignement postsecondaire avaient 12 % plus de chances de quitter le domicile parental tôt comparativement aux jeunes hommes du même âge qui ne possédaient qu'un diplôme d'études secondaires. Chez les femmes, c'est le contraire, c'est-àdire que les femmes n'ayant pas un diplôme d'études secondaires avaient 12 % plus de chances de quitter le domicile parental à plus jeune âge comparativement à celles ayant obtenu leur diplôme secondaire.

La documentation indique généralement que le fait de gagner un revenu personnel soit un indicateur important d'un départ hâtif plutôt que tardif11 : les hommes ayant un emploi étaient 13 % plus susceptibles de partir de la maison à un plus jeune âge que ceux qui n'en avait pas, alors qu'il n'y avait aucune différence statistiquement significative à ce sujet entre les femmes ayant un emploi et celles n'en ayant pas.

Résumé

Le départ du domicile familial est considéré comme un événement important du passage à l'âge adulte, bien que les jeunes adultes d'aujourd'hui semblent retarder leur départ du nid parental. Le moment précis du premier départ peut être influencé par de nombreux facteurs tels que formation d'union, les possibilités d'accès à l'enseignement ou les opportunités d'emploi, ou encore les attentes face à s'établir dans un ménage indépendant.

Les données de l'ESG montrent que les personnes nées pendant la période s'étendant du début au milieu des années 1950 ont quitté la maison plus tôt que jeunes adultes des cohortes les plus récentes. En outre, les jeunes adultes sont plus susceptibles de quitter la maison plus tôt que plus tard s'ils : ont passé au moins une partie de leur enfance au sein d'une famille non traditionnelle; ont comptent plus de deux frères et sours ; n'ont pas participé à des services religieux durant leur adolescence; vivent dans une région à l'extérieur du Québec; et ont grandi dans une petite ville.

Annexe A. Probabilités cumulatives du premier départ de la maison pour les hommes et les femmes.



Notes :

  1. F. Goldscheider, « Recent changes in U.S. young adult living arrangements in comparative perspective », Journal of Family Issues, 1997, vol. 18, no 6, p. 708 à 724.

  2. Statistique Canada, recensements de la population de 1981 et 2001, tableaux non publiés. Profil des familles et des ménages canadiens : la diversification se poursuit. Numéro 96F0030XIF2001003 au catalogue. 2002.

  3. Voir, par exemple, dans données bibliographiques, L. White, « Coresidence and leaving home: Young Adults and Their Parents », Annual Review of Sociology, 1994, no 20, p. 81 à 102.

  4. Mitchell, B.A. The Boomerang Age: Transitions to Adulthood in Families; New Brunswick, N.J.; Transaction Publishers. 2006.

  5. Mitchell, 2006.

  6. W.S. Aquilino, « Family structure and home-leaving: A further specification of the relationship », Journal of Marriage and the Family, 1991, vol. 53, no 4, p. 999 à 1010; Mitchell, 2006.

  7. Mitchell, 2006.

  8. Mitchell, 2006.

  9. Clark, W, « Pratique religieuse, mariage et famille », Tendances sociales canadiennes, automne 1998, vol. 50, p. 2 à 7.

  10. M.Turcotte, « Les parents ayant des enfants adultes à la maison », Tendances sociales canadiennes, printemps 2006, vol. 80, p. 2 à 12.

  11. Mitchell, 2006.

Article complet (PDF)

Auteurs

Pascale Beaupré est analyste principale à la Division de la statistique sociale et autochtone, Statistique Canada;
Pierre Turcotte est Directeur adjoint par intérim, Direction de l’analyse stratégique, des partenariats et de la diffusion, Ressources humaines et développement social Canada; et
Anne Milan est analyste à la Division de la démographie, Statistique Canada.


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Date de modification : 2008-11-21 Avis importants