Statistique Canada
Symbole du gouvernement du Canada

Liens de la barre de menu commune

3. Rendement du système de santé

Avertissement Consulter la version la plus récente.

Information archivée dans le Web

L’information dont il est indiqué qu’elle est archivée est fournie à des fins de référence, de recherche ou de tenue de documents. Elle n’est pas assujettie aux normes Web du gouvernement du Canada et elle n’a pas été modifiée ou mise à jour depuis son archivage. Pour obtenir cette information dans un autre format, veuillez communiquer avec nous.

Acceptabilité
Accessibilité
Pertinence
Compétence
Sécurité

3.1 Acceptabilité

Satisfaction des patients (et évaluation de la qualité du service reçu)

Définition :
Personnes de 15 ans et plus ayant déclaré avoir reçu des services de soins de santé au cours des 12 derniers mois et qui se disent « très satisfaites » ou « assez satisfaites » des soins de santé reçus. Les service de santé sont répartis comme suit : soins de santé dans l’ensemble; soins hospitaliers; soins reçus d’un médecin de famille ou spécialiste; soins de santé communautaires; les lignes d’information téléphonique sur la santé ou un service d’info santé.

Source (s) :
Statistique Canada, Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes.

3.2 Accessibilité

Vaccination contre la grippe

Définition :
Personnes de 12 ans et plus qui ont déclaré quand elles avaient reçu leur dernier vaccin contre la grippe. Les données de 2009 portant sur les vaccins contre la grippe peuvent inclure les vaccins reçus à l'automne 2009 contre la grippe H1N1. En 2010, les questions ont été révisées de manière à collecter les deux types de vaccin séparément.

Source (s) :
Statistique Canada, Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes.

Mammographie

Note : cet indicateur a été modifié en juin 2009 afin d’inclure toutes les raisons pour passer une mammographie parce que le questionnaire ne permet pas d’associer une raison spécifique pour la dernière mammographie. Toutefois, la plupart des raisons fournies dans les choix de réponse sont associées au dépistage.

Définition :
Femmes de 50 à 69 ans déclarant quand elles ont passé leur dernière mammographie dans les deux dernières années pour un dépistage de routine ou pour d'autres raisons.

Le dépistage par mammographie est une stratégie importante de dépistage précoce du cancer du sein.

Source (s) :
Statistique Canada, Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes.

Test de Pap (Papanicolaou)

Définition :
Femmes de 18 à 69 ans déclarant quand elles ont eu leur dernier test de Pap.

Le test de Papanicolaou (ou test de Pap) permet de déceler les lésions prémalignes avant que le cancer du col de l'utérus ne se manifeste.

Source (s) : Statistique Canada, Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes.

Dépistage du cancer colorectal

Définition :
Population de 50 ans et plus qui ont passé un test du saignement occulte fécale (RSOS) au cours des deux dernières années ou une coloscopie ou sigmoïdoscopie au cours des 5 dernièeres années.

Le dépistage par test du saignement occulte fécale (RSOS) ou coloscopie ou sigmoïdoscopie est une stratégie importante de dépistage précoce du cancer colorectal.

Source (s) : Statistique Canada, Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes.

Médecin régulier

Definition:
Personnes de 12 ans et plus qui ont déclaré avoir un médecin régulier. En 2005 et 2003, en français, l'indicateur se limitait aux médecins de famille. À compter de 2007, il a été élargi pour devenir « médecin régulier », qui inclut les médecins de famille.

On a demandé aux personnes de 12 ans et plus d'indiquer si elles avaient un médecin de famille et, à celles qui n'en avaient pas, d'en préciser la raison. On déterminait que les répondants n'avaient pas cherché un médecin de famille si leur réponse était : « N'a pas essayé d'en avoir un » ou « Autres raisons ». Tous les autres répondants qui ont déclaré ne pas avoir de médecin de famille étaient considérés comme ayant été incapables d'en trouver un. Leur réponse pouvait être une combinaison des options suivantes : « Il n'y en a pas dans la région », « Aucun ne prend de nouveaux patients dans la région » et « En avait un qui est parti ou a pris sa retraite ».

Source (s) :
Statistique Canada, Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes.

Temps d’attente pour une chirurgie à la suite d’une fracture de la hanche (ICIS)

Définition :
Temps d’attente pour une chirurgie à la suite d’une fracture de la hanche (le jour même ou le lendemain). Proportion des chirurgies pratiquées le jour même ou le lendemain : proportion des patients âgés de 65 ans et plus qui ont reçu une chirurgie à la suite d’une fracture de la hanche la journée ou le lendemain de leur admission, ajustée selon le risque.

Temps d’attente pour une chirurgie à la suite d’une fracture de la hanche (le jour même, le lendemain ou le surlendemain). Proportion des chirurgies pratiquées le jour même, le lendemain ou le surlendemain : proportion des patients âgés de 65 ans et plus qui ont reçu une chirurgie à la suite d’une fracture de la hanche la journée, le lendemain ou le surlendemain de leur admission, ajustée selon le risque.

Veuillez consulter les notes techniques à l’adresse www.icis.ca/indicateurs pour obtenir de plus amples renseignements.

Le temps d’attente pour une chirurgie à la suite d’une fracture de la hanche permet d’évaluer l’accès aux soins. Bien que certains patients souffrant d’une fracture de la hanche aient besoin de traitements médicaux pour stabiliser leur état avant de subir leur chirurgie, la recherche suggère que généralement, les patients tirent meilleur parti d’une chirurgie pratiquée en temps opportun, c’est–à–dire une réduction de la morbidité, de la mortalité, de la douleur et de la durée du séjour à l’hôpital, de même qu’une meilleure réadaptation.

Les taux du Québec ne sont pas disponibles en raison des différences dans la collecte de données.

Source (s) :
Institut canadien d'information sur la santé, Base de données sur les congés des patients.

3.3 Pertinence

Césariennes (ICIS)

Définition :
Proportion de femmes accouchant par césarienne dans un hôpital de soins de courte durée.

Méthode de calcul : (Nombre de césariennes/nombre d'accouchements [naissances vivantes et mortinaissances])*100.

Accouchement :

I. CIM–9
Les codes de diagnostic 641 à 676 dont le cinquième caractère sont « 1 » ou « 2 »; 650 ou V27.

II. CIM-10-CA

Les codes de diagnostic O10 à O16, O21 à O29, O30 à O37, O40 à O46, O48, O60 à O69, O70 à O75, O85 à O89, O90 à O92, O95, O98, O99 dont le sixième caractère est « 1 » ou « 2 »; Z37.

Sont exclus les accouchements au cours desquels une intervention d'avortement a été pratiquée :

I. CCA*

Les codes de diagnostic 78.52, 86.3, 86.4, 87.0, 87.1 ou 87.2.

II. CCI*

Les codes de diagnostic 5.CA.88^^, 5.CA.89^^ ou 5.CA.93^^.

Césarienne (la césarienne est un sous-ensemble des accouchements) :

I. CCA*

Les codes de diagnostic 86.0 à 86.2, 86.8 ou 86.9.

II. CCI*

5.MD.60^^.

* Le code peut être inscrit dans n’importe quelle position. Sont exclues les interventions annulées, antécédentes, hors hôpital et abandonnées en cours d'intervention.

Source (s) :
Institut canadien d'information sur la santé, Base de données sur les congés des patients; Ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec, Fichier des hospitalisations MED-ÉCHO.

3.4 Compétence

Conditions propices aux soins ambulatoires (ICIS)

Définition :
Taux d'hospitalisation en soins de courte durée ajusté en fonction de l'âge pour des conditions où des soins ambulatoires appropriés évitent ou réduisent la nécessité d'une hospitalisation, par 100 000 personnes de moins de 75 ans.

Cette définition s'appuie sur le travail de M. Billings et de ses collègues (consultez J. Billings, L. Zeital, J. Lukomnik, T. S. Carey, A. E. Blank, L. Newman, « Impact of socio-economic status on hospital use in New York City », Health Affairs, printemps 1993, pages 162 à 173; J. Billings, G. M. Anderson, L. S. Newman, « Recent findings on preventable hospitalizations », Health Affairs, vol. 15, n° 3 (1996), pages 239 à 249).

Un des codes du diagnostic responsable de la plus grande proportion du séjour suivants :

  • Épilepsie et autre état de mal épileptique
  • Maladies pulmonaires obstructives chroniques
  • Asthme
  • Insuffisance cardiaque et oedème pulmonaire**
  • Hypertension**
  • Angine**
  • Diabète

** Exclut les cas où l’on a enregistré une intervention particulière (voir les détails à la section notes techniques www.icis.ca/indicateurs).

L'hospitalisation  pour une condition propice aux soins ambulatoires est considérée comme une mesure d’accès à des soinsde santé primaires appropriés. Bien que les admissions pour des conditions propices aux soins ambulatoires ne soient pas toutes évitables, on présume que des soins ambulatoires préalables appropriés pourraient prévenir le début de ce type de maladie ou de condition, aider à maîtriser une maladie ou une condition épisodique de soins de courte durée ou contribuer à gérer une condition ou une maladie chronique. On estime qu’un taux disproportionnellement élevé témoigne d’une difficulté d’accès aux soins primaires.

Depuis l’année de données 2006-2007, la définition de l’indicateur Conditions propices aux soins ambulatoires a été précisée. Avec ce changement le composant diabète ne comprendra que le diabète avec complications à court terme ou le diabète sans mention de complications; les composants angine, hypertension et insuffisance cardiaque excluent les cas où l’on a enregistré une intervention cardiaque. Les taux des années précédentes ont été calculés selon la nouvelle définition afin de permettre d’effectuer des comparaisons dans le temps.

Source (s) :
Institut canadien d’information sur la santé, Base de données sur les congés des patients; Ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec, Fichier des hospitalisations MED-ÉCHO.

Taux de mortalité à l'hôpital dans les 30 jours à la suite d'un infarctus aigu du myocarde (IAM) (ICIS)

Définition :
Taux de mortalité à l'hôpital (toutes causes confondues), ajusté pour le risque, dans les 30 jours suivant l'admission initiale à un hôpital de soins de courte durée avec un diagnostic d'Infarctus aigu du myocarde (IAM).

Veuillez consulter les Notes techniques à l’adresse www.icis.ca/indicateurs pour obtenir de plus amples renseignements.

Afin de permettre les comparaisons entre régions, on s’est servi d’un modèle statistique pour tenir compte des différences d’âge, de sexe et d’états comorbides. Les taux de mortalité rajustés suivant un IAM peuvent refléter, entre autres, l’efficacité initiale du traitement et la qualité des soins. Les variations interrégionales dans le taux de mortalité à l'hôpital dans les 30 jours suivant une admission peuvent être attribuables à des différences dans les normes de soins à l’échelle des provinces, des territoires et des établissements ainsi qu’à d’autres facteurs qui n’étaient pas compris dans l’ajustement.

Depuis 2004, les critères de sélection pour les taux de mortalité liée à IAM ont été révisés de manière à inclure le nombre croissant de cas d’IAM qui subissent une revascularisation dans les établissements où ils ont été admis initialement (admission initiale). Dans ces cas, il est possible que l’IAM n’a pas été inscrit comme diagnostic principal et a été exclu de l’indicateur. De plus, les critères d’exclusion ont été révisés. Les patients dont la durée du séjour est de moins de trois jours et qui sont sortis de l’hôpital vivants ne sont plus exclus. Ainsi, il faut comparer avec prudence les taux de 2004 et ceux des années antérieures.

Les taux du Québec ne sont pas disponibles en raison des différences dans la collecte de données.

Source (s) :
Institut canadien d’information sur la santé, Base de données sur les congés des patients.

Taux de mortalité à l'hôpital dans les 30 jours à la suite d'un accident vasculaire cérébral (AVC) (ICIS)

Définition :
Taux de mortalité à l'hôpital (toutes causes confondues), ajusté pour le risque, dans les 30 jours suivant l'admission initiale à un hôpital de soins de courte durée avec un diagnostic d'accident vasculaire cérébral (AVC).

Veuillez consulter les notes techniques à l’adresse www.icis.ca/indicateurs pour obtenir de plus amples renseignements.

Afin de permettre les comparaisons entre régions, on s’est servi d’un modèle statistique pour tenir compte des différences d’âge, de sexe et d’états comorbides. Les taux ajustés de mortalité à la suite d'un AVC peuvent, par exemple, révéler l’efficacité du traitement et la qualité des soins. Les variations interrégionales dans le taux peuvent être attribuables à des différences dans les normes de soins à l’échelle des provinces, des territoires et des établissements ainsi qu’à d’autres facteurs qui n’étaient pas compris dans l’ajustement.

Depuis 2004, les critères de sélection pour les taux de mortalité liée à l’AVC ont été révisés de manière à inclure les patients qui ont été transférés en réadaptation au cours de leur admission initiale. Dans ce cas, il est possible que l’AVC n’a pas été inscrit comme diagnostic principal et a été exclu de l’indicateur. De plus, un AVC dû à l’occlusion des artères cérébrales est maintenant inclus dans l’indicateur. Ces cas étaient exclus auparavant, car il était impossible de les identifier dans le système de codification de la CIM-9. Il faut comparer avec prudence les taux de 2004 et ceux des années antérieures.

Les taux du Québec ne sont pas disponibles en raison des différences dans la collecte de données.

Source (s) :
Institut canadien d’information sur la santé, Base de données sur les congés des patients.

Taux de réadmission à la suite d'un infarctus aigu du myocarde (IAM) (ICIS)

Définition :
Taux de réadmission imprévue après un congé de l'hôpital à la suite d'un infarctus aigu du myocarde (IAM), ajusté selon le risque. Une réadmission est motivée par un diagnostic pertinent et a lieu dans les 28 jours suivant l'épisode de soins pour un IAM initial. Par épisode de soins, on entend l'ensemble adjacent d'hospitalisations et de chirurgies d'un jour.

Afin de permettre les comparaisons entre régions, on s’est servi d’un modèle statistique pour tenir compte des différences d’âge, de sexe et d’états comorbides. Le risque de réadmission à la suite d’un IAM peut être lié au type de médicament prescrit lorsque le patient a obtenu son congé, au degré d’observation par le patient du traitement à suivre après sa sortie, à la qualité des soins de suivi fournis dans la collectivité ou à la disponibilité de technologies diagnostiques ou thérapeutiques appropriées au cours de l’admission initiale. Bien que la réadmission en raison de problèmes médicaux puisse être liée à des facteurs qui ne sont pas liés directement à l’hôpital, des taux élevés de réadmission signalent aux hôpitaux la nécessité d’examiner plus attentivement leurs pratiques, y compris le risque d’un congé prématuré et les relations avec les médecins communautaires ainsi que les soins communautaires.

Depuis 2004, les critères de sélection liés aux taux de réadmission à la suite d’un IAM ont été révisés de manière à inclure le nombre croissant de cas d’IAM qui subissent une revascularisation dans les établissements où ils ont été admis initialement (admission initiale). Dans ces cas, il est possible que l’IAM n’a pas été inscrit comme diagnostic principal et a été déjà exclu de l’indicateur. De plus, les critères d’exclusion ont été révisés. Les patients dont la durée du séjour est de moins de trois jours et qui sont sortis de l’hôpital vivants ne sont plus exclus. Ainsi, il faut comparer avec prudence les taux de 2004 et ceux des années antérieures.

Veuillez consulter les Notes techniques à l’adresse www.icis.ca/indicateurs pour obtenir de plus amples renseignements.

Les taux du Québec ne sont pas disponibles en raison des différences dans la collecte des données.

Source (s) :
Institut canadien d’information sur la santé, Base de données sur les congés des patients, Système national d'information sur les soins ambulatoires; Alberta Health and Wellness, Alberta Ambulatory Care Database.

Taux de réadmission pour cause d'asthme (ICIS)

Définition :
Taux ajusté selon les risques d’une réadmission non prévue après un congé de l’hôpital à la suite d’une crise d’asthme. Un cas est considéré comme une réadmission si celle-ci est motivée par un diagnostic pertinent et qu’elle a lieu dans les 28 jours après l’épisode indice des soins pour l’asthme. Par épisode de soins, on entend l’ensemble des hospitalisations et des visites successives en chirurgie d’un jour.

Afin de permettre les comparaisons entre régions, on s’est servi d’un modèle statistique pour tenir compte des différences d’âge, de sexe et d’états comorbides. Bien que la réadmission à cause d’un état pathologique puisse dépendre de facteurs sur lesquels l’hôpital n’exerce aucun contrôle direct, un taux élevé de réadmission signale aux hôpitaux concernés qu’ils doivent examiner de plus près leurs pratiques, y compris le risque de renvoyer trop tôt les patients chez eux et leurs liens avec les médecins communautaires et le système de soins communautaires. On doit interpréter ces taux avec prudence, en raison des différences possibles dans les façons de coder les conditions de comorbidité entre les provinces et les territoires.

Veuillez consulter les Notes techniques à l’adresse www.icis.ca/indicateurs pour obtenir de plus amples renseignements.

Les taux du Québec et du Manitoba ne sont pas disponibles en raison des différences dans la collecte des données.

Source (s) :
Institut canadien d’information sur la santé, Base de données sur les congés des patients, Système national d'information sur les soins ambulatoires; Alberta Health and Wellness, Alberta Ambulatory Care Database.

Taux de réadmission à la suite d'une hystérectomie (ICIS)

Définition :
Taux ajusté selon les risques d’une réadmission non prévue après un congé de l’hôpital à la suite d’une hystérectomie. Un cas est considéré comme une réadmission si celle-ci est motivée par un diagnostic pertinent et a lieu dans les 7 ou 28 jours suivant l’épisode indice des soins pour une hystérectomie. Par épisode de soins, on entend l’ensemble des hospitalisations et des visites successives en chirurgie d’un jour.

Afin de permettre les comparaisons entre régions, on s’est servi d’un modèle statistique pour tenir compte des différences d’âge, de sexe et d’états comorbides. Bien que la réadmission à cause d’une intervention chirurgicale puisse dépendre de facteurs sur lesquels l’hôpital n’exerce aucun contrôle direct, un taux élevé de réadmission signale aux hôpitaux concernés qu’ils doivent examiner de plus près leurs pratiques, y compris le risque de renvoyer trop tôt les patients chez eux et leurs liens avec les médecins communautaires et le système de soins communautaires. On doit interpréter ces taux avec prudence, en raison des différences possibles dans les façons de coder les conditions de comorbidité entre les provinces et les territoires.

Veuillez consulter les Notes techniques www.icis.ca/indicateurs pour obtenir de plus amples renseignements.

Les taux du Québec ne sont pas disponibles en raison des différences dans la collecte de données.

Source (s) :
Institut canadien d’information sur la santé, Base de données sur les congés des patients, Système national d'information sur les soins ambulatoires; Alberta Health and Wellness, Alberta Ambulatory Care Database.

Taux de réadmission à la suite d'une prostatectomie (ICIS)

Définition :
Taux ajusté selon les risques d’une réadmission non prévue après un congé de l’hôpital à la suite d’une prostatectomie. Un cas est considéré comme une réadmission si celle-ci est motivée par un diagnostic pertinent et qu’elle a lieu dans les 28 jours après l’épisode indice des soins pour une prostatectomie. Par épisode de soins, on entend l’ensemble des hospitalisations et des visites successives en chirurgie d’un jour.

Afin de permettre les comparaisons entre régions, on s’est servi d’un modèle statistique pour tenir compte des différences d’âge, de sexe et d’états comorbides. Bien que la réadmission à cause d’une intervention chirurgicale puisse dépendre de facteurs sur lesquels l’hôpital n’exerce aucun contrôle direct, un taux élevé de réadmission signale aux hôpitaux concernés qu’ils doivent examiner de plus près leurs pratiques, y compris le risque de renvoyer trop tôt les patients chez eux et leurs liens avec les médecins communautaires et le système de soins communautaires. On doit interpréter ces taux avec prudence, en raison des différences possibles dans les façons de coder les conditions de comorbidité entre les provinces et les territoires.

Veuillez consulter les Notes techniques www.icis.ca/indicateurs pour obtenir de plus amples renseignements.

Les taux du Québec ne sont pas disponibles en raison des différences dans la collecte de données.

Source (s) :
Institut canadien d’information sur la santé, Base de données sur les congés des patients, Système national d'information sur les soins ambulatoires; Alberta Health and Wellness, Alberta Ambulatory Care Database.

3.5 Sécurité

Taux d’événements de fracture de la hanche menant à une hospitalisation (ICIS)

Définition :
Taux normalisé selon l’âge de nouveaux événements de fracture de la hanche avec admission dans un hôpital de soins de courte durée pour 100 000 personnes de 65 ans et plus. Un nouvel événement s’entend d’une première hospitalisation pour une fracture de la hanche ou d’une hospitalisation survenue plus de 28 jours après l’admission pour l’événement précédent au cours de la période de référence. Une personne peut avoir plus d’un événement de fracture de la hanche pendant la période de référence.

CIM-10-CA

S72.0, S72.1, S72.2

CIM-9/CIM-9-CM

820.0-820.3, 820.8, 820.9

Les fractures de la hanche constituent un problème de santé important pour les personnes âgées et pour le système de santé. Non seulement elles constituent une cause d’invalidité et de mortalité, mais elles peuvent avoir une incidence importante sur l’autonomie et la qualité de vie. Il est important de mesurer la prévalence des fractures de la hanche dans la population afin de pouvoir planifier et évaluer les stratégies de prévention, répartir les ressources en santé et estimer les coûts.

Source (s) :
Institut canadien d'information sur la santé, Base de données sur les congés des patients.

Fractures de la hanche à l'hôpital (ICIS)

Définition :
Le taux ajusté selon les risques de fractures de la hanche à l'hôpital chez les patients de 65 ans et plus hospitalisés en soins de courte durée, par 1 000 sorties.

Cet indicateur, proposé par la Agency for Healthcare Research and Quality et basé sur le Programme de dépistage et complications, représente une complication évitable potentiellement attribuée à un séjour dans un établissement de soins de courte durée. Plusieurs facteurs peuvent être responsables de la variation dans les taux, incluant les opérations dans les hôpitaux, la sécurité de l’environnement et la disponibilité de soins infirmiers. Des taux élevés peuvent être indicateurs d’une mauvaise qualité des soins dispensés au patient pendant son hospitalisation.

Depuis 2005, les taux de fracture de la hanche à l’hôpital sont soumis par la province ou territoire où l’hospitalisation a lieu plutôt que par la province ou territoire de résidence du patient. Grâce à ce changement,  l’indicateur reflète mieux le concept de la sécurité du patient dans les hôpitaux. De plus, le modèle d’ajustement selon les risques a été modifié afin de correspondre à l’effet des facteurs d’ajustement. Ces changements peuvent avoir une incidence sur la comparabilité des taux avec ceux qui figurent dans les rapports précédents sur les indicateurs de santé. 

Veuillez consulter les Notes techniques à l’adresse www.icis.ca/indicateurs pour obtenir de plus amples renseignements.

Les taux du Québec ne sont pas disponibles en raison des différences dans la collecte de données.

Source (s) :
Institut canadien d'information sur la santé, Base de données sur les congés des patients.