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Montréal en contexte

La série analytique « Tendances et conditions dans les régions métropolitaines de recensement » démontre, par l'entremise des données du recensement, que les 27 régions métropolitaines de recensement (RMR) diffèrent fortement les unes des autres en regard de nombreux indicateurs (Heisz, 2005). Montréal, deuxième plus grande RMR au pays, se distingue par ses caractéristiques économiques et sociales. Les stratégies et les politiques qui touchent les villes doivent tenir compte de cette diversité.

En 2001, la RMR de Montréal était la deuxième RMR en importance au pays; elle comptait 3 426 350 habitants. La population de la RMR de Montréal avait augmenté de 3 % depuis 1996 (99 903 habitants), une progression qui est similaire à la variation moyenne (4 %) des 26 autres RMR pendant la même période. En 2001, environ 47 % de la population québécoise vivait dans la RMR de Montréal. Cette RMR s'étend sur une superficie de 4 047 km2

L'île de Montréal, qui est le territoire étudié, se situe à l'intérieur de la RMR correspondante et s'étend sur environ 500 km2. Son périmètre de 231,9 kilomètres circonscrit 521 quartiers ou SR (voir la définition dans l'encadré les secteurs de recensement et quartiers naturels). En 2001, la population résidentielle du territoire étudié s'élevait à 1 812 723 personnes. Ce territoire est entièrement desservi par le Service de police de Montréal, qui comptait en 2001, 4 082 policiers répartis dans 49 postes de quartiers.

À Montréal, l'utilisation du sol se répartit en gros de la façon suivante : 31 % en aires publiques (comprend les rues, voies ferrées, zones portuaires, aéroport, stationnements); 19 % en autres aires publiques (parcs, terrains de golf, zones vacantes, etc.); 17 % en logements unifamiliaux; 12 % en logements multifamiliaux et autres types de bâtiments résidentiels; 10 % en bâtiments industriels; 6 % en bâtiments institutionnels; et 5 % en bâtiments commerciaux.

Depuis le début des années 1990, la RMR de Montréal déclare des taux de criminalité agrégés qui affichent une tendance générale à la baisse, une diminution de 18 % entre 1991 et 2004. La figure 1 présente les taux de criminalité de Montréal et de l'ensemble du Canada de 1991 à 2004. Les taux de la RMR se situent légèrement sous la moyenne canadienne, à l'exception de 2004, où la RMR se classait légèrement au-dessus, avec 8 173 infractions au Code criminel pour 100 000 habitants, excluant les délits de la route. Au cours la période, la RMR de Toronto a enregistré des taux moins élevés et la RMR de Vancouver a enregistré des taux nettement supérieurs à ceux de la RMR de Montréal.

Figure 1. Taux de criminalité dans les principales régions métropolitaines de recensement, Canada, 1991 à 2004. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira.

Figure 1. Taux de criminalité dans les principales régions métropolitaines de recensement, Canada, 1991 à 2004

Lors de l'ESG de 2004, les résidents de la RMR de Montréal ont déclaré des taux de victimisation parmi les plus faibles dans l'ensemble des RMR (Gannon et Mihorean, 2005), soit 64 incidents de violence pour 1 000 habitants de 15 ans et plus, 175 incidents de victimisation des ménages pour 1 000 ménages et 72 vols de biens personnels pour 1 000 habitants de 15 ans et plus. Les habitants des villes de Toronto (107, 222 et 107) et Vancouver (107, 462 et 136) ont déclaré des taux nettement supérieurs dans tous les types de victimisation.

Les catégories d'infractions considérées dans cette étude sont les crimes avec violence, les crimes contre les biens, les infractions relatives aux drogues, la prostitution, les infractions liées aux armes offensives et les infractions liées aux jeux et paris. En 2001, le Service de police de Montréal a enregistré près de 136 000 de ces infractions. Il s'agissait dans la vaste majorité des cas de crimes contre les biens (78 %), suivis des crimes avec violence (19 %) et des autres infractions (3 %), incluant la prostitution, les infractions relatives aux drogues, les infractions liées aux armes offensives et les infractions liées aux jeux et paris. Cette distribution est semblable à celle observée à l'échelon national (79 %, 17 % et 4 %). Les services de police de Toronto et Vancouver brossent une image légèrement différente; une proportion plus élevée d'infractions de violence (72 %, 24 %, 4 %) est présentée par le Service de police de Toronto, alors que le service de police de Vancouver présente une proportion moindre de ces infractions de violence (84 %, 11 % et 5 %).


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Date de modification : 2006-06-08 Avis importants
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