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« Entreprise » s’entend ici d’une « entreprise statistique », ce qui correspond au niveau d’agrégation le plus faible pour lequel existe un ensemble complet d’états financiers.
La règle de deux ans est largement adoptée dans la littérature sur la dynamique des entreprises (Dunne et coll., 1988; Haltiwanger, 2012).
Pour une comparaison détaillée des résultats produits avec la règle de deux ans et avec la règle de trois ans, veuillez vous reporter à Ciobanu et Wang (2012).
Cela signifie que le total des taux provinciaux d’entrée et de sortie sera plus élevé que les taux nationaux.
Voir Ciobanu et Wang (2012) pour plus de détails.
L’agrégation des quatre provinces de l’Atlantique en une région est motivée par la petitesse relative de la population ciblée (nombre d’entreprises et emploi) dans le cas de Terre-Neuve-et-Labrador et de l’Île-du-Prince-Édouard.
Le PIB provincial est tiré du tableau 379-0025 de CANSIM et est basé sur des dollars enchaînés de 2002. Le taux de croissance du PIB est calculé comme le taux brut de variation d’une année à l’autre. Les PIB de toutes les provinces sont normalisés à 1 pour l’année 2000.
Le taux d’entrée ou de sortie des provinces de l’Atlantique est défini comme une moyenne pondérée du taux d’entrée ou du taux de sortie des quatre provinces. Il est possible que cette moyenne pondérée du taux d’entrée ou du taux de sortie soit différente du taux d’entrée ou de sortie lorsqu’il est défini selon la région plutôt que selon la province.
Ces corrélations ne font que suggérer l’existence d’un lien étroit entre les tendances provinciales de l’entrée et de la sortie et les conditions économiques locales. Ces corrélations auraient pu se produire, soit du fait que la croissance économique positive (négative) facilite l’entrée (la sortie) et freine la sortie (l’entrée) ou du fait qu’une entrée nette positive (négative) contribue positivement (négativement) à la croissance économique.
Les poids utilisés pour calculer la contribution moyenne de l’entrée nette à la croissance de la taille des entreprises sont calculés comme la part du nombre total d’entreprises actives chaque année (moyenne de toutes les entreprises actives pour deux années consécutives) dans l’ensemble des entreprises actives sur la période allant de 2000 à 2009. Les poids utilisés pour calculer la contribution moyenne de l’entrée nette à la croissance de l’emploi total sont calculés comme la part de la variation absolue de l’emploi chaque année dans la somme des variations absolues de l’emploi pour toutes les années. Si l’on utilise ces pondérations, c’est pour minimiser l’impact d’un niveau élevé d’entrée nette une année donnée sur la moyenne.
Le changement dans l’importance des parts des industries dans le PIB nominal provincial pour 2000 et 2008 est présenté au tableau 8 dans l’annexe (section 6).
Ici, le taux d’entrée net représente simplement la différence entre les taux d’entrée et de sortie fondés sur les entreprises qui sont définis dans l’équation 2. À noter que ce taux diffère d’une autre mesure semblable à un taux d’entrée net pour le calcul de la contribution de l’entrée nette à la population d’entreprises lorsque sont aussi prises en compte les entreprises éphémères.
Les taux d’entrée nets dans les deux premiers sous-secteurs sont négatifs, s’établissant respectivement à -2,0 % et -1,2 %. Le taux d’entrée net du dernier sous-secteur est positif, s’établissant à 0,8 %.
L’Ontario avait une migration nette positive (différence entre l’établissement dans la province ou à l’extérieur de celle-ci) de 2000 à 2003, puis négative par la suite. En Saskatchewan, le solde migratoire net n’est devenu positif qu’en 2006-2007. Source : tableau 051-0012 de CANSIM.
Il se produit une contribution positive ou négative de l’entrée nette à la croissance de l’emploi dans les industries lorsque la variation de l’emploi due à l’entrée nette suit une trajectoire semblable ou opposée à celle de la variation de l’emploi total.
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