Tableau 3.32
Couverture terrestre et utilisation des terres, région métropolitaine de recensement (RMR) et région métropolitaine de recensement-écosystème (RMR-E) de Kingston, 1971, 1991, 2001 et 2011 Tableau 3.32
Couverture terrestre et utilisation des terres, région métropolitaine de recensement (RMR) et région métropolitaine de recensement-écosystème (RMR-E) de Kingston, 1971, 1991, 2001 et 2011

Les limites des régions métropolitaines de recensement de 2011 ont été utilisées pour toutes les années. La superficie totale exclut les plans d’eau.

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Les RMR-écosystème (RMR-E) combinent tout polygone des pédo-paysages du Canada (PPC) contenu dans les limites d’une RMR ou qui a un point d’intersection avec celles-ci, ainsi que les polygones des PPC qui se trouvent entièrement dans les limites de cette RMR-E nouvellement formée. Comprend toutes les surfaces terrestres et les plans d’eau.

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La zone bâtie de 1971 est fondée sur l’Inventaire des terres du Canada : utilisation des sols (ITC : US), code B – urbain, zones construites. Les données du Programme de surveillance de l’utilisation des terres au Canada (PSUTC) excluent les RMR de Moncton, Trois-Rivières, Sherbrooke, Peterborough, Kingston, Barrie, Brantford, Kelowna et Abbotsford–Mission. Par conséquent, il se peut que la zone bâtie de 1971 soit sous-estimée pour ces RMR. Les zones bâties fondées sur l’ITC : US qui n’étaient pas bâties d’après l’ensemble de données Utilisation des terres en 1990 d’AAC ont été retirées des données sur les zones bâties de 1971 et reclassées selon leur couverture en 1990. Pour améliorer la comparabilité avec les autres années, on a recensé les routes situées dans la zone bâtie principale et on les a supprimées pour produire la zone habitée de 1971. L’ensemble de données de 1971 ne comprenait pas de routes situées à l’extérieur de la zone bâtie principale. On a modélisé les routes en appliquant à la zone habitée de 1971 le ratio des routes à la zone habitée de 1990.

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Les terres arables sont composées des terres en culture, des pâturages cultivés ou ensemencés et des terres en jachère, selon les données interpolées du Recensement de l’agriculture.

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Les terres naturelles et semi-naturelles constituent la superficie résiduelle après le retranchement des zones bâties et des terres arables de la superficie totale. Puisqu’il s’agit du calcul d’un résiduel, la catégorie pourrait également comprendre des habitations et autres bâtiments, en particulier ceux situés sur de grands lots et dans les régions rurales, car ils peuvent ne pas être saisis par imagerie satellitaire comme des zones bâties, notamment en raison de la résolution des données et du couvert arborescent.

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Les estimations de la zone bâtie pour 1991, 2001 et 2011 sont fondées sur l'Utilisation des terres en 1990, 2000 et 2010, codes 21 (lieux habités – zones bâties et urbaines) et 25 (routes – primaires, secondaires et tertiaires).

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Pour 2011, les forêts et les plans d’eau sont ventilés séparément en fonction des données de l’Inventaire des cultures d’AAC, 2011 et de CanVec+, respectivement. Les autres terres naturelles et semi-naturelles forment une catégorie résiduelle qu’on calcule en soustrayant toutes les autres catégories de la superficie totale. L'évolution au fil du temps pour ces catégories requière davantage de validation avant publication.

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