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  • Dans l'ensemble, un plus du tiers (34 %) des résidents des territoires de 15 ans et plus ont déclaré au moins un incident de victimisation au cours des derniers 12 mois.
  • Près de la moitié (46 %) des incidents déclarés par les résidents des territoires en 2009 étaient de nature violente; les voies de fait étant le type de crime le plus courant.
  • En 2009, quelque 13 400 crimes contre les ménages ont été déclarés dans les territoires. Le vol de biens du ménage était le plus courant, représentant environ 4 incidents contre les ménages sur 10.
  • Les taux de victimisation avec violence et les taux de victimisation des ménages étaient en général semblables pour les trois territoires. Globalement, le taux de victimisation avec violence (excluant la violence conjugale) pour les territoires s'est établi à 190 incidents pour 1 000 habitants, alors que le taux de victimisation des ménages s'est établi à 379 incidents pour 1 000 ménages.
  • Plus des trois quarts (78 %) des incidents violents non conjugaux pouvaient, selon les victimes, être liés à la consommation d'alcool ou de drogues de l'auteur présumé. Parmi les victimes de violence conjugale, environ les deux tiers (65 %Note E: à utiliser avec prudence) ont indiqué que leur conjoint, actuel ou ancien, buvait lors des incidents de violence.
  • Une arme était présente dans près du quart (24 %Note E: à utiliser avec prudence) des incidents violents non conjugaux, et dans plus du tiers (36 %) des incidents violents, la victime a subi des blessures physiques.
  • La gravité de la violence conjugale a tendance à augmenter à mesure qu'augmente le nombre d'incidents. Environ les deux tiers (65 %Note E: à utiliser avec prudence) des personnes qui ont été victimes de 10 incidents ou plus au cours des cinq dernières années ont déclaré avoir connu les formes les plus graves de violence conjugale. En comparaison, c'était le cas de 28 %Note E: à utiliser avec prudence des personnes qui avaient été victimes de moins de cinq incidents.
  • En 2009, trois incidents sur dix (30 %) dans les territoires ont été signalés aux services de police, une proportion similaire à celle des provinces, où 31 % des incidents ont été signalés aux services de police. Les crimes non violents dans les territoires étaient plus susceptibles d'être signalés à la police lorsqu'il y avait un poste de police dans la collectivité.
  • Plus de 9 résidents des territoires sur 10 se sont dits satisfaits de leur sécurité personnelle, la proportion étant semblable pour les femmes (90 %) et les hommes (92 %).
  • Dans l'ensemble, la plupart des résidents des territoires avaient une opinion favorable de leur service de police local. Toutefois, les Autochtones résidant dans les territoires étaient légèrement plus susceptibles que leurs homologues non-Autochtones à se dire insatisfait du travail de la police.

Note

E à utiliser avec prudence

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