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Postes vacants, troisième trimestre de 2023

Diffusion : 2023-12-18

Le nombre de postes vacants diminue pour un cinquième trimestre consécutif

Le nombre de postes vacants a diminué de 69 900 (-9,0 %) pour s'établir à 706 100 au troisième trimestre, affichant une cinquième baisse trimestrielle d'affilée par rapport au niveau record atteint au deuxième trimestre de 2022 (990 900).

Parallèlement, l'emploi salarié s'est accru de 117 600 (+0,7 %) au troisième trimestre de 2023, ce qui représente la 10e hausse trimestrielle consécutive. Toutefois, l'emploi salarié a progressé à un rythme plus lent que la population âgée de 15 ans et plus (selon les données de l'Enquête sur la population active) depuis le quatrième trimestre de 2022. Au troisième trimestre de 2023, la population âgée de 15 ans et plus a augmenté de 261 100 (+0,8 %).

Le taux de croissance d'un trimestre à l'autre de la demande de main-d'œuvre totale (la somme des postes occupés et vacants) s'est établi à 0,3 % au troisième trimestre, en baisse par rapport à 1,0 % au troisième trimestre de 2022.

Le taux de postes vacants — qui correspond au nombre de postes vacants exprimé en proportion de la demande de main-d'œuvre totale — a diminué pour s'établir à 3,9 % au troisième trimestre de 2023, en baisse par rapport à 4,3 % au trimestre précédent. Il s'agit de la cinquième baisse trimestrielle d'affilée et du plus faible taux depuis le premier trimestre de 2021 (3,8 %).

Les tensions sur le marché du travail s'atténuent alors que le ratio chômeurs-postes vacants augmente

Alors que le nombre de postes vacants a diminué au troisième trimestre de 2023, le nombre de chômeurs (selon les données de l'Enquête sur la population active) a augmenté de 79 500. Par conséquent, il y avait 1,7 chômeur pour chaque poste vacant au troisième trimestre, en hausse par rapport à 1,4 au trimestre précédent et à 1,1 au troisième trimestre de 2022. Malgré ces augmentations continues, le ratio chômeurs-postes vacants au troisième trimestre de 2023 est demeuré inférieur à ceux enregistrés avant la pandémie de COVID-19, qui étaient généralement supérieurs à 2,0.

Conformément à ces constatations, principalement l'atténuation des tensions sur le marché du travail, les résultats récents de l'Enquête canadienne sur la situation des entreprises pour le quatrième trimestre de 2023 montrent que 40,3 % des entreprises s'attendent à être confrontées à au moins un obstacle lié à la main-d'œuvre au cours des trois prochains mois, en baisse par rapport à 47,7 % au troisième trimestre. Le principal obstacle attendu au quatrième trimestre était le recrutement d'employés compétents (29,4 %).

Infographie 1  Vignette de l'infographie 1: Les tensions sur le marché du travail s'atténuent à mesure que le nombre de postes vacants continue de baisser
Les tensions sur le marché du travail s'atténuent à mesure que le nombre de postes vacants continue de baisser

La croissance du salaire horaire moyen offert s'accélère au troisième trimestre, mais elle ralentit par rapport à un an plus tôt

Par rapport à un an plus tôt, le salaire horaire moyen offert a augmenté à un rythme plus rapide au troisième trimestre (+5,8 % pour atteindre 25,60 $) qu'au deuxième trimestre (+4,4 % pour atteindre 25,10 $), mais à un rythme plus lent qu'au troisième trimestre de 2022 (+7,3 % pour atteindre 24,20 $). À titre de comparaison, le salaire horaire moyen de tous les employés (selon les données de l'Enquête sur la population active) s'est accru de 5,0 % d'une année à l'autre au troisième trimestre de 2023, alors qu'il avait augmenté de 4,8 % au deuxième trimestre (les données utilisées dans cette section ne sont pas désaisonnalisées).

Une partie de cette hausse est attribuable à un changement dans la composition relative des postes vacants, qui sont passés de postes moins bien rémunérés à des postes mieux rémunérés. Selon une méthode qui maintient la composition des postes vacants par profession à la moyenne du troisième trimestre de 2022, le salaire horaire moyen offert a augmenté de 3,5 % d'une année à l'autre au troisième trimestre de 2023, en hausse par rapport à 3,2 % au deuxième trimestre, mais en baisse par rapport à 5,5 % au troisième trimestre de 2022.

Parmi les professions à croissance annuelle élevée du salaire horaire moyen offert au troisième trimestre de 2023 figurent les ouvriers/ouvrières agricoles (+10,5 % pour atteindre 19,00 $) et les soudeurs/soudeuses et opérateurs/opératrices de machines à souder et à braser (+8,7 % pour atteindre 28,65 $).

En revanche, les esthéticiens/esthéticiennes, électrolystes et le personnel assimilé (-7,1 % pour s'établir à 17,60 $) et les professionnels/professionnelles des services-conseils en gestion aux entreprises (-5,2 % pour s'établir à 36,55 $) ont enregistré une baisse annuelle du salaire horaire offert au troisième trimestre.

Les professions dans la vente et les services continuent de contribuer le plus à la baisse du nombre de postes vacants

Le nombre de postes vacants dans la vente et les services a diminué de 34 600 (-14,3 %) pour s'établir à 206 500 au troisième trimestre, ce qui représente la plus forte baisse trimestrielle parmi toutes les grandes catégories professionnelles pour un cinquième trimestre d'affilée. Par conséquent, la vente et les services était à l'origine de 29,2 % de tous les postes vacants au troisième trimestre, en baisse par rapport à 33,5 % au deuxième trimestre de 2022.

Les données de l'Enquête sur la population active diffusées précédemment montrent que, à l'exception des postes de gestion dans chaque grande catégorie professionnelle, l'emploi dans la vente et les services a peu varié au troisième trimestre de 2023.

Par rapport à un an plus tôt, le nombre de postes vacants a diminué de 100 000 (-32,6 %) dans la vente et les services au troisième trimestre. Il s'agit de la baisse annuelle la plus élevée dans toutes les grandes catégories professionnelles. Dans cette grande catégorie professionnelle, les plus fortes baisses annuelles du nombre de postes vacants au troisième trimestre ont été enregistrées par les serveurs/serveuses au comptoir, aides de cuisine et personnel de soutien assimilé (-26 300 pour s'établir à 47 500), ainsi que par les vendeurs/vendeuses du commerce de détail (-17 700 pour se chiffrer à 30 100). Le salaire horaire moyen offert dans ces deux professions était de 16,15 $ pour les serveurs/serveuses au comptoir, aides de cuisine et personnel de soutien assimilé, et de 16,60 $ pour les vendeurs/vendeuses du commerce de détail. Presque tous les postes vacants dans ces deux professions (97,4 % au troisième trimestre) exigent un diplôme d'études secondaires ou un niveau de scolarité inférieur (données non désaisonnalisées).

Le nombre de postes vacants recule dans la catégorie professionnelle des métiers, du transport, de la machinerie et des domaines apparentés

Le nombre de postes vacants a diminué de 9 300 (-6,5 %) pour s'établir à 134 200 dans les métiers, le transport, la machinerie et les domaines apparentés au troisième trimestre. Il s'agit d'une cinquième baisse trimestrielle consécutive depuis le niveau record (182 300) atteint au deuxième trimestre de 2022.

Par rapport à un an plus tôt, le nombre de postes vacants dans les métiers, le transport, la machinerie et les domaines apparentés a diminué de 42 700 (-24,1 %) au troisième trimestre de 2023. Les baisses les plus marquées du nombre de postes vacants dans cette grande catégorie professionnelle ont touché les aides de soutien des métiers et manœuvres en construction (-6 900; -27,4 %) et les conducteurs/conductrices de camions de transport (-6 800; -25,1 %). Ces deux professions figuraient également parmi les 10 professions ayant enregistré les plus fortes baisses annuelles du nombre de postes vacants au troisième trimestre.

Le nombre de postes vacants diminue dans six autres grandes catégories professionnelles au troisième trimestre

Le nombre de postes vacants dans les affaires, la finance et l'administration a diminué de 8 100 (-9,4 %) pour s'établir à 77 500 au troisième trimestre, après avoir reculé pendant trois trimestres consécutifs depuis le sommet de 105 000 postes vacants atteint aux deuxième et troisième trimestres de 2022.

Le nombre de postes vacants a aussi diminué dans cinq autres grandes catégories professionnelles au troisième trimestre de 2023, mais il a peu varié dans le secteur de la santé (89 400) et dans l'enseignement, le droit et les services sociaux, communautaires et gouvernementaux (64 800).

Le nombre de postes vacants dans le secteur de la santé diminue d'une année à l'autre pour la première fois depuis 2015

Par rapport à un an plus tôt, le nombre de postes vacants a diminué dans les 10 grandes catégories professionnelles au troisième trimestre de 2023. Proportionnellement, la fabrication et les services d'utilité publique (-46,9 % pour s'établir à 25 900) a affiché le recul le plus marqué du nombre de postes vacants, suivis des ressources naturelles, de l'agriculture et de la production connexe (-35,0 % pour s'établir à 15 600) et des sciences naturelles et appliquées et des domaines apparentés (-34,6 % pour s'établir à 44 500).

Au cours de la même période, la baisse annuelle proportionnelle la plus faible a été enregistrée dans l'enseignement, le droit et les services sociaux, communautaires et gouvernementaux (-3,9 % pour s'établir à 64 800), suivis du secteur de la santé (-6,1 % pour s'établir à 89 400), lequel a enregistré sa première baisse annuelle du nombre de postes vacants depuis le premier trimestre de 2015, le premier trimestre pour lequel des données comparables sont disponibles.

La baisse annuelle du nombre de postes vacants dans le secteur de la santé au troisième trimestre de 2023 a été principalement attribuable aux aides-infirmiers/aides-infirmières, aides-soignants/aides-soignantes et préposés/préposées aux bénéficiaires (-5 500; -21,0 %) et aux autres technologues et techniciens/techniciennes des sciences de la santé (sauf la santé dentaire) (-1 100; -29,9 %). Ces reculs ont été partiellement contrebalancés par davantage de postes vacants d'infirmiers autorisés/infirmières autorisées et d'infirmiers psychiatriques autorisés/infirmières psychiatriques autorisées (+2 700; +9,8 %), lesquels ont enregistré la plus forte hausse annuelle de postes vacants au troisième trimestre.

Graphique 1  Graphique 1: Même si elles sont généralisées, les baisses proportionnelles d'un trimestre à l'autre et d'une année à l'autre du nombre de postes vacants varient selon la grande catégorie professionnelle
Même si elles sont généralisées, les baisses proportionnelles d'un trimestre à l'autre et d'une année à l'autre du nombre de postes vacants varient selon la grande catégorie professionnelle

Les postes exigeant un diplôme d'études secondaires ou un niveau de scolarité inférieur affichent la plus forte diminution proportionnelle du nombre de postes vacants

Par rapport à un an plus tôt, le nombre de postes vacants a diminué pour tous les niveaux de scolarité recherchés par les employeurs au troisième trimestre. Proportionnellement, les postes exigeant un diplôme d'études secondaires ou un niveau de scolarité inférieur (-31,3 %; -189 400) ont affiché les plus fortes baisses annuelles du nombre de postes vacants. Le ratio chômeurs-postes vacants pour ces postes était de 1,3 au troisième trimestre, en hausse par rapport à 0,8 au même trimestre en 2022 (les données utilisées dans cette section ne sont pas désaisonnalisées).

À titre de comparaison, le nombre de postes vacants pour les postes exigeant un baccalauréat ou un grade supérieur a diminué de 15,2 % (-17 700) au cours de la même période, tandis que le ratio chômeurs-postes vacants pour ces postes s'est accru pour atteindre 3,7 au troisième trimestre de 2023, en hausse par rapport à 2,7 au cours du même trimestre en 2022.

Le salaire horaire moyen offert pour les postes vacants exigeant un diplôme d'études secondaires ou un niveau de scolarité inférieur a augmenté de 5,2 % d'une année à l'autre pour s'établir à 20,40 $ au troisième trimestre de 2023. En revanche, le salaire horaire moyen offert pour les postes exigeant un baccalauréat ou un grade supérieur a peu varié, s'établissant à 39,95 $ au troisième trimestre.

Infographie 2  Vignette de l'infographie 2: Le nombre de postes vacants exigeant un diplôme d'études secondaires ou un niveau de scolarité inférieur baisse au rythme le plus rapide au troisième trimestre
Le nombre de postes vacants exigeant un diplôme d'études secondaires ou un niveau de scolarité inférieur baisse au rythme le plus rapide au troisième trimestre

Le nombre de postes vacants recule dans 26 des 69 régions économiques

Le nombre de postes vacants a diminué dans six provinces et il a peu varié dans les quatre autres au troisième trimestre. L'Ontario (-29 700 pour s'établir à 246 800) a affiché le recul le plus important d'un trimestre à l'autre, suivi du Québec (-25 400 pour s'établir à 165 400) et de la Colombie-Britannique (-9 200 pour s'établir à 114 700). Par rapport à un an plus tôt, le nombre de postes vacants a diminué dans neuf provinces et il a peu varié en Saskatchewan.

À l'échelle régionale, le nombre de postes vacants a diminué dans 26 des 69 régions économiques au troisième trimestre, et la plus forte baisse proportionnelle a été enregistrée en Mauricie, au Québec (-30,4 % pour s'établir à 3 800). Parallèlement, le sud-ouest du Manitoba (+23,7 % pour atteindre 2 400) est la seule région économique à avoir fait état de davantage de postes vacants, pendant que le nombre de postes vacants est demeuré constant dans les 42 régions économiques restantes.

Par rapport à un an plus tôt, le taux de postes vacants a diminué dans 54 régions économiques au troisième trimestre, y compris dans les deux ayant les taux les plus élevés de toutes les régions économiques au troisième trimestre de 2022 : Yukon, au Yukon (passant de 8,0 % au troisième trimestre de 2022 à 5,4 % au troisième trimestre de 2023), et Côte-nord et Nechako, en Colombie-Britannique (passant de 7,6 % à 6,4 %).

Parallèlement, le taux de postes vacants a augmenté dans quatre régions économiques, et ce sont les régions de Parklands et Nord, au Manitoba (+1,1 point de pourcentage pour atteindre 5,7 %) et de Swift Current–Moose Jaw, en Saskatchewan (+1,1 point de pourcentage pour atteindre 6,1 %) qui ont enregistré les augmentations les plus élevées. Le taux de postes vacants a peu varié dans les 11 régions économiques restantes au cours de la période.

Graphique 2  Graphique 2: Le taux de postes vacants au troisième trimestre est plus faible pour les 10 régions économiques qui affichaient les taux les plus élevés un an plus tôt
Le taux de postes vacants au troisième trimestre est plus faible pour les 10 régions économiques qui affichaient les taux les plus élevés un an plus tôt



  Note aux lecteurs

L'Enquête sur les postes vacants et les salaires (EPVS) permet d'obtenir des données exhaustives sur les postes vacants et les salaires offerts selon le secteur d'activité et la profession détaillée pour le Canada, les provinces, les territoires et les régions économiques. Les données sur les postes vacants et les salaires offerts sont diffusées trimestriellement.

Les estimations selon le secteur sont fondées sur la version 3.0 du Système de classification des industries de l'Amérique du Nord de 2017. Les estimations selon la région géographique sont fondées sur la Classification géographique type de 2016. Les estimations selon la profession correspondent à la version 1.3 de la Classification nationale des professions (CNP) de 2016. La CNP est une structure hiérarchique à quatre niveaux de catégories de professions comportant des niveaux successifs de désagrégation. La structure est la suivante : (1) 10 grandes catégories professionnelles (CNP à un chiffre); (2) 40 grands groupes (CNP à deux chiffres); (3) 140 groupes intermédiaires (CNP à trois chiffres); (4) 500 groupes de base (CNP à quatre chiffres).

En raison de la pandémie de COVID-19, la collecte des données de l'EPVS a été suspendue pour les deuxième et troisième trimestres de 2020.

En janvier 2020, un nouveau questionnaire électronique a été mis en place. Les modifications mineures apportées au contenu sont documentées dans le plus récent Guide de l'Enquête sur les postes vacants et les salaires (Numéro au catalogue75-514-G).

Depuis la période de référence d'octobre 2020, des estimations mensuelles provisoires de l'EPVS sont diffusées chaque mois en même temps que la diffusion des données de l'Enquête sur l'emploi, la rémunération et les heures travaillées. Ces estimations fournissent des renseignements sur le nombre et le taux de postes vacants selon la province et selon le secteur d'activité.

La population cible de l'enquête comprend tous les emplacements commerciaux au Canada, à l'exclusion de ceux dont l'activité principale relève des secteurs des organismes religieux et des ménages privés. Les administrations publiques fédérale, provinciales et territoriales, ainsi que les organismes publics internationaux et autres organismes publics extraterritoriaux sont également exclus de l'enquête.

À moins d'indication contraire, les estimations du présent communiqué sont désaisonnalisées, ce qui facilite la comparaison, car les effets des variations saisonnières sont supprimés. Pour obtenir plus de renseignements sur la désaisonnalisation, veuillez consulter le document : Données désaisonnalisées – Foire aux questions.

Des données trimestrielles désaisonnalisées sur les postes vacants sont accessibles en ligne (tableaux 14-10-0398-01, 14-10-0399-01 et 14-10-0400-01). Les analyses des niveaux et des taux de postes vacants par secteur (20 grands groupes de secteurs industriels), par CNP à un chiffre (10 grandes catégories professionnelles), par province et par région économique sont fondées sur des données désaisonnalisées. Néanmoins, les analyses des niveaux et des taux de postes vacants selon le sous-secteur, le CNP à deux chiffres, le CNP à trois chiffres et le CNP à quatre chiffres sont fondées sur des données non désaisonnalisées.

La présente analyse porte sur les différences entre les estimations qui sont statistiquement significatives à un niveau de confiance de 68 %.

Prochaine diffusion

Les données du quatrième trimestre de 2023 sur les postes vacants de l'EPVS seront diffusées le 19 mars 2024. À ce moment-là, les données trimestrielles récentes et historiques de l'EPVS seront également remplacées par des estimations révisées. Toutes les séries de données, ajustées ou non pour les variations saisonnières, à partir du premier trimestre de 2015, seront révisées pour utiliser les normes les plus récentes, à savoir la version 1.0 du Système de classification des industries de l'Amérique du Nord 2022; la Classification géographique type 2021; et la version 1.0 de la Classification nationale des professions (CNP) 2021. Ces changements permettront d'harmoniser les données de l'EPVS aux normes les plus récentes et amélioreront la cohérence avec d'autres données du marché du travail.

Produits

Il est possible d'obtenir en ligne de plus amples renseignements sur les concepts et l'utilisation des données de l'Enquête sur les postes vacants et les salaires dans le Guide de l'Enquête sur les postes vacants et les salaires (Numéro au catalogue75-514-G).

Il est également possible de consulter le produit intitulé « Indicateurs du marché du travail, selon la province, le territoire et la région économique, données non désaisonnalisées » (Numéro au catalogue71-607-X). Cette application Web dynamique donne accès aux indicateurs du marché du travail de Statistique Canada pour le Canada, selon la province, le territoire et la région économique, et elle permet aux utilisateurs d'obtenir un aperçu des indicateurs clés du marché du travail, de consulter le classement géographique pour chaque indicateur en utilisant une carte et un tableau interactifs ainsi que d'insérer facilement les données dans d'autres programmes.

Coordonnées des personnes-ressources

Pour obtenir plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec nous au 514-283-8300 ou composez sans frais le 1-800-263-1136 (infostats@statcan.gc.ca), ou communiquez avec les Relations avec les médias (statcan.mediahotline-ligneinfomedias.statcan@statcan.gc.ca).

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