Enquête sur les industries de services : arts de la scène - Compagnies d'arts d'interprétation : C.v. pour revenu d'exploitation - 2016

C.v. pour revenu d'exploitation
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de C.v. pour revenu d'exploitation selon la géographie. Les données sont présentées selon Géographie (titres de rangée) calculées selon pourcentage unités de mesure (figurant comme en-tête de colonne).
Géographie C.v. pour revenu d'exploitation
pourcentage
Canada 1,16
Terre-Neuve-et-Labrador 0,73
Île-du-Prince-Édouard 0,00
Nouvelle-Écosse 0,72
Nouveau-Brunswick 4,63
Québec 2,14
Ontario 1,53
Manitoba 0,86
Saskatchewan 3,13
Alberta 3,20
Colombie-Britannique 5,26
Yukon 0,06
Territoires du Nord-Ouest 0,00
Nunavut 0,00

Location, location à bail et gestion de biens immobiliers : C.v pour revenu d'exploitation – 2016

C.v pour revenu d'exploitation - 2016
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de C.v pour revenu d'exploitation. Les données sont présentées selon géographie (titres de rangée) et pourcentage, Bailleurs d'immeubles résidentiels et de logements (sauf les ensembles de logements sociaux), Location à bail non résidentielle et Gestionnaires de biens immobiliers (figurant comme en-tête de colonne).
Géographie Bailleurs d'immeubles résidentiels et de logements (sauf les ensembles de logements sociaux) Location à bail non résidentielle Gestionnaires de biens immobiliers
pourcentage
Canada 1,69 4,48 10,51
Terre-Neuve-et-Labrador 5,50 11,98 20,58
Ile-du-Prince-Édouard 5,15 5,58 28,74
Nouvelle-Écosse 6,00 7,79 25,18
Nouveau-Brunswick 6,42 12,60 21,18
Québec 2,90 6,14 16,92
Ontario 3,69 9,25 15,70
Manitoba 5,52 43,74 10,88
Saskatchewan 7,50 8,39 9,09
Alberta 2,53 4,74 19,55
Colombie-Britannique 2,90 5,94 38,58
Yukon 1,44 19,26 19,26
Territoires du Nord-Ouest 3,87 33,56 0,00
Nunavut 1,30 1,27 0,00

Enquête sur les voyages internationaux (EVI) : C.V. - Résultats pour le T3 EVI 2017, Dépense Totales (000 000$)

C.V. - Résultats pour le T3 EVI 2017, Dépense Totales (000 000$)
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de C.V. - Résultats pour le T3 EVI 2017, Dépense Totales (000 000$). Les données sont présentées selon Géographie (titres de rangée) et Dépense canadiens totales (000 000), Dépense canadiens C.V., Dépense visiteurs totales (000 000), et Dépense visiteurs C.V. (figurant comme en-tête de colonne).
Province Dépense canadiens totales (000 000) Dépense canadiens C.V. Dépense visiteurs totales (000 000) Dépense visiteurs C.V.
$ % $ %
Terre-Neuve-et-Labrador 91 27,1 11 34,8
Île-du-Prince-Édouard 7 51,8 3 0,6
Nouvelle-Écosse 114 17,1 231 5,7
Nouveau-Brunswick 163 12,6 195 9,0
Québec 2 227 3,2 1 299 3,4
Ontario 5 131 2,5 3 337 2,2
Manitoba 390 10,6 64 16,3
Saskatchewan 81 13,1 43 40,0
Alberta 1 033 4,9 664 5,8
Colombie-Britannique 1 836 4,1 2 603 2,7
Yukon 6 52,3 46 12,3
Canada 11 081 1,4 8 494 1,4

Statistique Canada - Division des prix à la production

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Ces renseignements sont recueillis en vertu de la Loi sur la statistique, Lois révisées du Canada, 1985, chapitre S19.En vertu de cette Loi, il est obligatoire de remplir le présent questionnaire.

Introduction

Objectif de l'enquête

Les données recueillies dans le cadre de cette enquête trimestrielle serviront à produire un indice qui mesure la variation des prix moyens chargés pour des services de courtage de valeurs mobilières au Canada. Statistique Canada utilisera l'indice pour exprimer la croissance ajustée pour tenir compte de l'inflation et de la productivité réelle de ce secteur économique.

Cette enquête vise les sociétés de courtages inscrites au Canada offrant des services de courtage de plein exercice aux clients de détail.

Pour améliorer l'information que vous fournissez dans le cadre de cette enquête, Statistique Canada prévoit combiner les réponses concernant votre organisme avec les renseignements que vous avez déjà fournis à cette enquête. Votre information pourrait aussi être utilisée par Statistique Canada à d'autres fins statistiques et de recherche.

Confidentialité

La loi interdit à Statistique Canada de divulguer toute information recueillie qui pourrait dévoiler l'identité d'une personne, d'une entreprise ou d'un organisme sans leur permission ou sans en être autorisé par la Loi sur la statistique.

Statistique Canada utilisera les données de cette enquête à des fins statistiques.

Couplages d'enregistrements

Pour améliorer les données de la présente enquête et réduire au minimum le fardeau de réponse, Statistique Canada pourrait combiner les renseignements de cette enquête avec ceux provenant d'autres enquêtes ou de sources administratives.

Votre participation est importante

Votre participation est essentielle pour garantir que les renseignements recueillis au moyen de la présente enquête sont exacts et complets.

Procédure de retour…. Besoin d'aide?

Veuillez poster le questionnaire dûment rempli dans l'enveloppe ci-jointe à Statistique Canada dans les 20 jours suivants la réception. Vous pouvez aussi télécopier le tout au 1-855-314-8765 ou envoyez par courriel à escvm-dpp@statcan.gc.ca.

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Téléphonez-nous au 1-800-478-5086 ou postez le tout à :

Statistique Canada,
Division des prix à la production,
170 promenade du Tunney's Pasture,
Édifice Jean Talon, 10ième étage,
Ottawa (Ontario)
K1A 0T6.

Sécurité des renseignements transmis par télécopieur ou courriel

Statistique Canada tient à vous avertir que la transmission des renseignements par télécopieur ou courriel peut poser un risque de divulgation. Toutefois, dès la réception de votre document, Statistique Canada garantit la protection de tous les renseignements recueillis en vertu de la Loi sur la statistique.

Glossaire

Actions inscrites à une bourse canadienne
Actions inscrites à une bourse de valeurs mobilières canadienne
Compte à la transaction
Compte pour lequel le conseiller en placement facture au client une commission pour chaque opération exécutée en leur nom. Les commissions correspondent généralement à un pourcentage de la valeur nominale des opérations ou à un montant fixe.
Compte de courtage à honoraires (non discrétionnaire)
Compte comparable à un compte à la transaction, sauf que le client paie des honoraires généralement fondés sur un pourcentage de la valeur marchande des éléments d'actif détenus dans le compte ou des honoraires annuels fixes, plutôt qu'une commission pour chaque transaction. Le compte est généralement assorti d'un nombre maximal de transactions, et le conseiller en placement doit obtenir l'autorisation du client avant d'exécuter des transactions sur valeurs mobilières en son nom (non discrétionnaire).
Compte géré par un conseiller en placement (gestion discrétionnaire)
Compte comparable à un compte à honoraires, sauf que le conseiller en placement assure la gestion du portefeuille et a le pouvoir discrétionnaire de prendre des décisions de placement au nom du client, au lieu de devoir obtenir l'autorisation du client avant d'exécuter chaque transaction. Les honoraires sont généralement calculés selon un pourcentage de la valeur marchande des éléments d'actif. Les comptes intégrés et les comptes gérés par un tiers sont exclus de l'enquête.
Courtage de plein exercice de détail
Branche d'activité d'une société de courtage de valeurs mobilières en vertu de laquelle les conseillers en placement entretiennent une relation soutenue avec des investisseurs individuels (clients de détail) et collaborent avec ces clients pour déterminer et réaliser leurs objectifs de placement. Ces activités ne comprennent pas les activités de courtage à escompte ou en ligne.
Fourchettes des valeurs des comptes/comptes de ménage
Valeurs marchandes des éléments d'actif détenus dans les comptes en fonction desquels les honoraires ont été calculés, présentées selon une série de fourchettes classées en ordre ascendant.
Fourchettes des valeurs des opérations
Valeurs nominales des opérations présentées en fonction d'une série de fourchettes classées en ordre ascendant.
Modèle de tarification mixte 
Modèle de tarification selon lequel les honoraires facturés par les conseillers en placement sont calculés uniquement en fonction de la valeur marchande des éléments d'actif détenus dans le compte ou le groupe de comptes (compte de ménage), quels que soient les types d'actifs dans les comptes.
Modèle de tarification par catégorie d'éléments d'actif
Modèle de tarification selon lequel les honoraires facturés par les conseillers en placement sont calculés en fonction du type et de la valeur marchande des éléments d'actif détenus dans les comptes. L'enquête inclut seulement les modèles de tarification par action et par titre à revenu fixe.
Modèle de tarification par action
Modèle d'établissement des prix par catégorie d'éléments d'actif utilisé pour calculer les honoraires sur les comptes à honoraires (comptes de courtage à honoraires et comptes gérés par un conseiller) qui contient des actions.
Modèle de tarification par titre à revenu fixe
Modèle d'établissement des prix par catégorie d'éléments d'actif utilisé pour calculer les honoraires sur les comptes à honoraires (comptes de courtage à honoraires et comptes gérés par un conseiller) qui contient des titres à revenu fixe.
Total des commissions
Somme des commissions perçues dans le trimestre civil pour l'exécution des ordres visant des actions inscrites à une bourse canadienne au nom de clients des services de courtage de plein exercice de détail, à l'exclusion des ordres visant de « nouvelles émissions » d'actions et des transactions à escompte ou en ligne.
Total des honoraires
Somme des honoraires de conseil en placement perçus par la société durant le trimestre civil pour les comptes à honoraires, à l'exclusion des taxes et les frais administratifs.
Valeur du compte de ménage
Valeur marchande d'un groupe de comptes reliés, généralement en fonction de l'adresse des titulaires ou du fait qu'il s'agit de membres d'une même famille, qu'on appelle un « compte de ménage ». Dans un tel cas, les honoraires de conseil en placement sont calculés en fonction de la valeur marchande globale du « compte de ménage » plutôt que de la valeur marchande de chacun des comptes individuels.
Valeur nominale totale des opérations
Somme des valeurs nominales des opérations exécutées durant le trimestre civil. Les transactions exécutées doivent être regroupées, s'il y a lieu.
Valeur totale des comptes/comptes de ménage
Somme des valeurs marchandes des éléments d'actif détenus dans les comptes en fonction desquels les honoraires ont été calculés (portion facturable des éléments d'actif détenus dans les comptes).

Section A. Comptes à la transaction : Actions inscrites aux bourses canadiennes

Compte pour lequel le conseiller en placement facture au client une commission pour chaque opération exécutée en leur nom. Les commissions correspondent généralement à un pourcentage de la valeur nominale des opérations ou à un montant fixe.

Déclarez seulement les commissions relatives à des transactions d'achat ou de vente d'actions inscrites à une bourse canadienne exécutées pour les comptes de clients de services de courtage de plein exercice de détail.

Éléments à exclure :

  • « Nouvelles émissions » d'actions
  • Transactions à escompte ou en ligne

Instructions :

Pour chaque fourchette des valeurs des opérations (A), inscrivez le total des commissions (B) perçues pour le trimestre civil et la valeur nominale totale des opérations (C) correspondante, à partir de laquelle les commissions ont été calculées.

Actions inscrites aux bourses canadiennes
(en milliers de dollars canadiens)
Sommaire du tableau
Cette table ne contient aucune donnée et n'est utilisée qu'à titre d'exemple.
Fourchettes des valeurs des opérations
($ CAN)
A
Total des commissions
($ 000's)
B
Valeur nominale totale des opérations
($ 000's)
C
up to $ 9 999    
$ 10 000-$ 24 999    
$ 25 000-$ 49 999    
$ 50 000-$ 99 999    
$ 100 000-$ 149 999    
$ 150 000-$ 199 999    
$ 200 000-$ 399 999    
$ 400 000-$ 599 999    
$ 600 000-$ 799 999    
$ 800 000 +    
Total    

Notes :

  1. Lorsque plusieurs transactions sont nécessaires pour exécuter l'ordre d'un client, regroupez les transactions afin que les commissions totales facturées et les valeurs nominales totales des opérations correspondantes soient regroupées et déclarées correctement.
  2. Veuillez inclure les transactions relatives à des comptes de courtage à honoraires seulement lorsque le client a payé une commission pour des opérations au-delà du nombre d'opérations prévu.
  3. Veuillez inclure la valeur nominale totale des opérations qui ont été exécutées sans commissions.

Section B. Compte de courtage à honoraires (non discrétionnaire) : Modèle de tarification mixte

Compte comparable à un compte à la transaction, sauf que le client paie des honoraires généralement fondés sur un pourcentage de la valeur marchande des éléments d'actif détenus dans le compte ou des honoraires annuels fixes, plutôt qu'une commission pour chaque transaction. Le compte est généralement assorti d'un nombre maximal de transactions, et le conseiller en placement doit obtenir l'autorisation du client avant d'exécuter des transactions sur valeurs mobilières en son nom (non discrétionnaire).

Modèle de tarification mixte : Modèle de tarification selon lequel les honoraires facturés par les conseillers en placement sont calculés uniquement en fonction de la valeur marchande des éléments d'actif détenus dans le compte ou le groupe de comptes (compte de ménage), quels que soient les types d'actifs dans les comptes.

Exemples :

  • Les honoraires facturés correspondent à un montant fixe ou calculé selon un pourcentage annuel fondé sur la valeur marchande totale des éléments d'actif détenus dans le compte ou le groupe de comptes (compte de ménage).
  • Les honoraires facturés sont calculés selon différents taux appliqués à différentes tranches de la valeur marchande totale des éléments d'actif détenus dans le compte ou le groupe de comptes (compte de ménage); les honoraires relatifs à chaque tranche sont ensuite additionnés pour déterminer l'honoraire total.

Instructions :

Pour chaque fourchette des valeurs des comptes/comptes de ménage (A), inscrivez le total des honoraires (B) perçus pour le trimestre civil et la valeur totale des comptes/comptes de ménage (C) correspondante, à partir de laquelle les honoraires ont été calculés (portion facturable des éléments d'actif détenus dans les comptes).

Modèle de tarification mixte 
(en milliers de dollars canadiens)
Sommaire du tableau
Cette table ne contient aucune donnée et n'est utilisée qu'à titre d'exemple.
Fourchette des valeurs des comptes/comptes de ménage
($ CAN)
A
Total des honoraires
($ 000's)
B
Valeur totale des comptes/comptes de ménage
($ 000's)
C
up to $ 99 999    
$ 100 000-$ 249 999    
$&nsbp;250 000-$ 499 999    
$ 500 000-$ 999 999    
$ 1 Million-$ 1.9 Million    
$ 2 Million-$ 4.9 Million    
$ 5 Million-$ 9.9 Million    
$ 10 Million +    
Total    

Section B. Compte de courtage à honoraires (non discrétionnaire) : Modèle de tarification par catégorie d'éléments d'actif 

Compte comparable à un compte à la transaction, sauf que le client paie des honoraires généralement fondés sur un pourcentage de la valeur marchande des éléments d'actif détenus dans le compte ou des honoraires annuels fixes, plutôt qu'une commission pour chaque transaction. Le compte est généralement assorti d'un nombre maximal de transactions, et le conseiller en placement doit obtenir l'autorisation du client avant d'exécuter des transactions sur valeurs mobilières en leur nom (non discrétionnaire).

Modèle de tarification par catégorie d'éléments d'actif : Modèle de tarification selon lequel les honoraires facturés par les conseillers en placement sont calculés en fonction du type et de la valeur marchande des éléments d'actif détenus dans le compte ou le groupe de comptes (compte de ménage). L'enquête inclut seulement les données sur les modèles de tarification par action et par titre à revenu fixe.

Instructions :

Pour chaque fourchette des valeurs des comptes/comptes de ménage (A), inscrivez le total des honoraires (B) perçus pour le trimestre civil et la valeur totale des comptes/comptes de ménage (C) correspondante, à partir de laquelle les honoraires ont été calculés (portion facturable des éléments d'actif détenus dans les comptes).

Modèle de tarification par catégorie d'éléments d'actif 
(en milliers de dollars canadiens)
Sommaire du tableau
Cette table ne contient aucune donnée et n'est utilisée qu'à titre d'exemple.
Fourchette des valeurs des comptes/comptes de ménage
($ CAN)
A
Total des honoraires
($ 000's)
B
Valeur totale des comptes/comptes de ménage
($ 000's)
C
1. Action
up to $ 99 999    
$ 100 000-$ 249 999    
$ 250 000-$ 499 999    
$ 500 000-$ 999 999    
$ 1 Million-$ 1.9 Million    
$ 2 Million-$ 4.9 Million    
$ 5 Million-$ 9.9 Million    
$ 10 Million +    
Total    
2. Titre à revenue fixe
up to $ 99 999    
$ 100 000-$ 249 999    
$ 250 000-$ 499 999    
$ 500 000-$ 999 999    
$ 1 Million-$ 1.9 Million    
$ 2 Million-$ 4.9 Million    
$ 5 Million-$ 9.9 Million    
$ 10 Million +    
Total    

Section C. Compte géré par un conseiller en placement (discrétionnaire): Modèle de tarification mixte 

Compte comparable à un compte à honoraires, sauf que le conseiller en placement assure la gestion du portefeuille et a le pouvoir discrétionnaire de prendre des décisions de placement au nom du client, au lieu de devoir obtenir l'autorisation du client avant d'exécuter chaque transaction. Les honoraires sont généralement calculés selon un pourcentage de la valeur marchande des éléments d'actif. Les comptes intégrés et les comptes gérés par un tiers sont exclus de l'enquête.

Modèle de tarification mixte : Modèle de tarification selon lequel les honoraires facturés par les conseillers en placement sont calculés uniquement en fonction de la valeur marchande des éléments d'actif détenus dans le compte ou le groupe de comptes (compte de ménage), quels que soient les types d'actifs dans les comptes.

Exemples :

  • Les honoraires facturés correspondent à un montant fixe ou calculé selon un pourcentage annuel fondé sur la valeur marchande totale des éléments d'actif détenus dans le compte ou le groupe de comptes (compte de ménage).
  • Les honoraires facturés sont calculés selon différents taux appliqués à différentes tranches de la valeur marchande totale des éléments d'actif détenus dans le compte ou le groupe de comptes (compte de ménage); les honoraires relatifs à chaque tranche sont ensuite additionnés pour déterminer l'honoraire total.

Instructions :

Pour chaque fourchette des valeurs des comptes/comptes de ménage (A), inscrivez le total des honoraires (B) perçus pour le trimestre civil et la valeur totale des comptes/comptes de ménage (C) correspondante, à partir de laquelle les honoraires ont été calculés (portion facturable des éléments d'actif détenus dans les comptes).

Modèle de tarification mixte 
(en milliers de dollars canadiens)
Sommaire du tableau
Cette table ne contient aucune donnée et n'est utilisée qu'à titre d'exemple.
Fourchette des valeurs des comptes/comptes de ménage
($ CAN)
A
Total des honoraires
($ 000's)
B
Valeur totale des comptes/comptes de ménage
($ 000's)
C
$ 100 000-$ 249 999    
$ 250 000-$ 499 999    
$ 500 000-$ 999 999    
$ 1 Million-$ 1.9 Million    
$ 2 Million-$ 4.9 Million    
$ 5 Million-$ 9.9 Million    
$ 10 Million +    
Total    

Section C. Compte géré par un conseiller en placement (discrétionnaire) : Modèle de tarification par catégorie d'éléments d'actif 

Compte comparable à un compte à honoraires, sauf que le conseiller en placement assure la gestion du portefeuille et a le pouvoir discrétionnaire de prendre des décisions de placement au nom du client, au lieu de devoir obtenir l'autorisation du client avant d'exécuter chaque transaction. Les honoraires sont généralement calculés selon un pourcentage de la valeur marchande des éléments d'actif. Les comptes intégrés et les comptes gérés par un tiers sont exclus de l'enquête.

Modèle de tarification par catégorie d'éléments d'actif : Modèle de tarification selon lequel les honoraires facturés par les conseillers en placement sont calculés en fonction du type et de la valeur marchande des éléments d'actif détenus dans le compte ou le groupe de comptes (compte de ménage). L'enquête inclut seulement les données sur les modèles de tarification par action et par titre à revenu fixe.

Instructions :

Pour chaque fourchette des valeurs des comptes/comptes de ménage (A), inscrivez le total des honoraires (B) perçus pour le trimestre civil et la valeur totale des comptes/comptes de ménage (C) correspondante, à partir de laquelle les honoraires ont été calculés (portion facturable des éléments d'actif détenus dans les comptes).

Modèle de tarification par catégorie d'éléments d'actif 
(en milliers de dollars canadiens)
Sommaire du tableau
Cette table ne contient aucune donnée et n'est utilisée qu'à titre d'exemple.
Fourchette des valeurs des comptes/comptes de ménage
($ CAN)
A
Total des honoraires
($ 000's)
B
Valeur totale des comptes/comptes de ménage
($ 000's)
C
1. Action
$ 100 000-$ 249 999    
$ 250 000-$ 499 999    
$ 500 000-$ 999 999    
$ 1 Million-$ 1.9 Million    
$ 2 Million-$ 4.9 Million    
$ 5 Million-$ 9.9 Million    
$ 10 Million +    
Total    
2. Titre à revenue fixe
$ 100 000-$ 249 999    
$ 250 000-$ 499 999    
$ 500 000-$ 999 999    
$ 1 Million-$ 1.9 Million    
$ 2 Million-$ 4.9 Million    
$ 5 Million-$ 9.9 Million    
$ 10 Million +    
Total    

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Temps nécessaire pour remplir le questionnaire

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Nom de la personne autorisée

Signature de la personne autorisée

Rempli le (aaaa - mm - jj)

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Le compte satellite du bois d'œuvre résineux : sources, méthodes et résultats provisoires

Sommaire

  • Le présent rapport décrit la version préliminaire du compte satellite du bois d'œuvre résineux (CSBOR) pour les années de référence 2013 à 2015. Le CSBOR présente un tableau des ressources et des emplois aux prix d'acquisition qui contient des données détaillées sur les principales industries et principaux produits du secteur forestier du Canada, ainsi que des données agrégées sur l'ensemble des industries et des produits.
  • Le CSBOR situe plusieurs industries et produits de la foresterie en fonction de leur taille et de leur importance dans l'ensemble de l'économie. Il intègre plusieurs produits de données de Statistique Canada dans le cadre macroéconomique cohérent d'un tableau des ressources et des emplois.
  • Les chiffres de 2013 sont étalonnés en fonction des données des tableaux des ressources et des emplois canadiens (TREC) publiés. Les chiffres de 2014 et de 2015 sont étalonnés en fonction des données agrégées sur le produit intérieur brut en termes de revenus et de dépenses tirées des Comptes économiques des provinces et des territoires (tableaux CANSIM 384-0037 et 384-0038).
  • Les industries figurant au tableau comprennent les industries de l'exploitation forestière aux industries du bois d'œuvre, des pâtes et papier et de la construction. Ces industries couvrent les principaux producteurs et utilisateurs de produits du secteur forestier du Canada, soit, plus précisément, les industries des secteurs et sous-secteurs 113, 115, 23, 321 et 322 du SCIAN.
  • Les produits inclus comprennent les billes de bois, le bois d'œuvre et les panneaux de bois ainsi que les produits en papier transformés du secteur secondaire, dont la production dépend ultimement des ressources primaires provenant des forêts canadiennes. Plusieurs services de base, comme les activités de récolte de bois et de construction, sont également inclus.
  • Les données du CSBOR diffèrent des statistiques principales de l'Enquête annuelle sur les industries manufacturières et de l'exploitation forestière. Les différences résident dans les concepts et la méthodologie utilisés. Le CSBOR est fondé sur les concepts, la classification et la structure du Système canadien des comptes macroéconomiques. Par conséquent, les résultats du CSBOR sont directement comparables avec les mesures macroéconomiques telles que le produit intérieur brut de l'ensemble de l'économie, la production totale, les exportations et la demande finale.
  • Le CSBOR diffère du compte satellite des ressources naturelles (CSRN) (qui comprend un élément de foresterie). Le CSBOR est fondé sur les industries (Système de classification des industries de l'Amérique du Nord [SCIAN]) alors que le CSRN est fondé sur les activités. Les deux comptes présentent des perspectives utiles sur le secteur de la foresterie.
  • La valeur ajoutée brute des industries de la foresterie a crû au cours de la période étudiée et s'est établie à environ 20 milliards de dollars par année. Cette valeur annuelle représente légèrement plus de 1 % du produit intérieur brut total du Canada. En 2015, les exportations ont totalisé plus de 30 milliards de dollars, tandis que les importations se sont chiffrées à environ 10 milliards de dollars, ce qui a donné lieu à un excédent commercial de plus de 20 milliards de dollars. Les produits de bois résineux (de tous les types) ont représenté une part beaucoup plus grande du total de la valeur ajoutée brute que les produits de bois de feuillus. Les exploitants forestiers à forfait constituent une composante extrêmement importante du secteur.

Contexte

La superficie des terres boisées du Canada le classe au troisième pays en importance à ce chapitre à l'échelle mondiale. La forêt soutient des centaines de milliers d'emplois et représente une contribution de nombreux milliards de dollars au PIB et aux exportationsNote 1. En ce sens, les forêts canadiennes constituent l'épine dorsale d'une importante part de l'activité économique du pays. L'activité du secteur forestier commence par la récolte, c.-à-d. l'extraction des matières premières des forêts, qui nécessite la participation des exploitants forestiers, des transporteurs, des experts en sylviculture et des fermes forestières. Les produits passent ensuite par des chaînes d'approvisionnement complexes regroupant les producteurs de bois d'œuvre, les fabricants de granules de bois, les fabricants de panneaux de particule et de contreplaqué et les usines de pâtes et papier. Les utilisateurs finaux dans l'ensemble du pays et de la planète tirent profit de cette industrie. Le bois d'œuvre canadien est utilisé pour la construction de nos maisons, les déchets ligneux canadiens pour chauffer nos résidences, et la pulpe de bois canadienne pour le papier et les fournitures d'emballage de tous les jours.

Les chaînes d'approvisionnement du secteur forestier canadien ont évolué de sorte à réduire au minimum les déchets rejetés lors de la récolte, en attribuant une fin précise à chaque bille. Ainsi, une « bille de sciage » diffère d'une « bille à pâte ». La sciure de bois diffère de la raboture, qui elle diffère des copeaux de bois. Dans le même ordre d'idée, la pâte fabriquée à partir de bois résineux présente des caractéristiques différentes de celle qui provient de bois de feuillus. Les billes de bois peuvent être transformées en bois d'œuvre (dont il existe différentes classes selon son utilisation prévue), en poteaux téléphoniques ou en poteaux de clôture. La sciure de bois peut être utilisée dans les chaudières pour le chauffage ou encore transformée en panneaux de particules. Les copeaux de bois sont acheminés aux usines de pâtes, tandis que la raboture peut être utilisée pour servir de litière aux animaux. Le secteur canadien a évolué de sorte que ses industries déploient tous les efforts nécessaires pour s'assurer de tirer le meilleur profit des ressources récoltées.

La gestion des forêts canadiennes relève des gouvernements provinciaux. Chaque province a une approche légèrement distincte quant à la façon de gérer ses forêts, bien que la majorité ait en place des « systèmes de tenure forestière », c.-à-d. des mécanismes d'impartition des droits d'accès à une région donnée en vue d'y récolter du bois. Les utilisateurs finaux du secteur de la fabrication dans chaque province ont aussi adopté différentes méthodes pour acquérir leur produit. Par exemple, en Nouvelle-Écosse, les terres privées jouent un rôle important dans l'approvisionnement des produitsNote 2. En Colombie-Britannique, près de 100 % des produits récoltés proviennent des terres publiques de la province. Toutefois, l'entreprise BC Timber Sales gère près de 20 % de la possibilité annuelle de coupe, ce lui permet d'accéder relativement facilement aux forêts pour des utilisations restreintes à court terme.

Le fait que l'on tire divers produits des différentes forêts du Canada, combiné à une forte réglementation de l'extraction, fait du secteur canadien un secteur très compliqué au chapitre de la production de statistiques.

Le compte satellite du bois d'œuvre résineux

Statistique Canada produit une myriade de renseignements sur le secteur forestier et ses nombreuses chaînes d'approvisionnement. Les statistiques sur l'emploi, la production, les importations, les exportations et l'investissement sont diffusées dans les nombreux produits statistiques publiés par l'organisme. Le compte satellite du bois d'œuvre résineux (CSBOR) se veut un complément à ces renseignements en les rassemblant sous un cadre de comptabilité nationale cohérent. À ce titre, le CSBOR nous permet de mieux comprendre la taille, l'importance et l'évolution du secteur et de le situer par rapport à la taille, à l'importance et à l'évolution de l'activité économique globale du pays.

Tableaux des ressources et des emplois

Le CSBOR suit la forme d'un tableau des ressources et des emplois.

« Les tableaux des ressources et des emplois [TRE] constituent un outil très efficace pour comparer et opposer des données provenant de sources diverses et pour améliorer la cohérence du système d'information économique. Ils permettent d'analyser les marchés et les branches d'activité et d'étudier la productivité à ce niveau de désagrégation [en fonction d'un cadre de mesure économique cohérent et reconnu à l'échelle internationale]Note 3. »

Les TRE présentent les ressources et les emplois de tous les produits de l'économie. Une version stylisée d'un TRE est présentée au tableau 1. La ressource utilisée pour un produit peut provenir de la production intérieure ou d'importations et est exprimée selon le prix d'acquisition (c.-à-d. le prix payé par le consommateur final du produit) après inclusion de marges pour les frais de transport et de commerce, ainsi que les taxes de vente et les tarifs douaniers.

Il existe quatre grandes catégories d'utilisations des produits. Ainsi, les produits peuvent être utilisés par les entreprises pour la production d'autres biens ou services (consommation intermédiaire); par les ménages, les administrations publiques ou les organismes sans but lucratif aux fins de consommation finale; par les entreprises ou les administrations publiques en tant que bien entrant dans la production continue (investissement ou formation de capital); ou encore exportés en réponse à la demande de non-résidents.

Tableau 1 : Tableau des ressources et des emplois stylisé
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Tableau 1 : Tableau des ressources et des emplois stylisé Ressources et Emplois (figurant comme en-tête de colonne). Ce tableau contient aucune donnée.
  Ressources Emplois
Production intérieure Importations Marges Consommation intermédiaire Consommation finale Formation de capital Exportations
Produits              

En plus de présenter un portrait complet des soldes des produits dans l'économie, les TRE intègrent trois méthodes distinctes pour calculer le produit intérieur brut (PIB) :

  1. la méthode axée sur la production, où la valeur ajoutée brute constitue l'élément d'équilibre après soustraction des intrants intermédiaires de la production;
  2. la méthode de calcul du PIB en termes de revenus, où le PIB est calculé comme la somme des divers facteurs de production, tels que les excédents d'exploitation des entreprises et la rémunération des employés;
  3. la méthode de calcul du PIB en termes de dépenses, où le PIB est mesuré au moyen de la formule macroéconomique de base, soit la suivante : PIB = dépenses de consommation finale des ménages + investissement + consommation des administrations publiques + exportations – importations.

En combinant ces trois mesures du PIB et les soldes des produits, les TRE nous permettent de comparer la part de la demande provenant de l'étranger et la part de la demande intérieure. Les TRE nous permettent aussi d'examiner la façon dont les biens sont produits. Nous pouvons ensuite coupler ces données avec les données du marché du travail afin de comprendre l'emploi et la rémunération. Nous pouvons également créer des multiplicateurs afin de comprendre les incidences des chocs sur l'économie. Bref, les TRE constituent l'outil d'analyse le plus complet lorsque l'on veut examiner les activités économiques d'un pays.

Classification des industries, des produits et de la demande finale

Le tableau 1 est composé de deux dimensions générales, soit la dimension des « produits », exprimée dans les lignes du TRE, et la dimension des « industries et emplois finaux », exprimée dans les colonnes. Les TREC de référence sont fondés sur la Classification des produits en termes de ressources et d'emplois (CPRE) pour les produits, sur la Classification des industries par entrées-sorties (CIES) pour les producteurs intérieurs et la consommation intermédiaire, et sur la Classification de la demande finale en termes de ressources et d'emplois (CDFRE) pour la ventilation de la formation de capital et la consommation finale. Chacune de ces classifications s'inscrit dans l'un des systèmes de classification normalisée internationaux ou de l'Amérique du Nord suivants :

  • CPRE : Système de classification des produits de l'Amérique du Nord (SCPAN)
  • CPRE : Système harmonisé (SH) de désignation et de codification des marchandises
  • CIES : Système de classification des industries de l'Amérique du Nord (SCIAN)
  • CDFRE :  Classification des fonctions de la consommation individuelle (COICOP) pour les dépenses de consommation finale des ménages

Le CSBOR est composé de 17 industries et de 9 catégories de demande finale, et de 57 produits (y compris des composantes à valeur ajoutée). Le tableau 2 présente la relation entre les industries du CSBOR et leurs homologues dans le TREC de référence. Le CSBOR ventile trois industries du TREC en fonction des classes du SCIAN de sorte à créer dix nouvelles industries.

Tableau 2 – Concordance entre les industries du TREC de référence et celles du compte satellite.
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Tableau 2 – Concordance entre les industries du TREC de référence et celles du compte satellite.. Les données sont présentées selon Code du TREC-CIES (titres de rangée) et Titre du TREC-CIES, Code d'industrie du CSBOR, Code du SCIAN (à 6 chiffres) et Titre de l'industrie du CSBOR(figurant comme en-tête de colonne).
Code du TREC-CIES Titre du TREC-CIES Code d'industrie du CSBOR Code du SCIAN (à 6 chiffres) Titre de l'industrie du CSBOR
BS113000 Foresterie et exploitation forestière BS113110 113110 Exploitation de terres à bois
BS113210 113210 Pépinières forestières et récolte de produits forestiers
BS113311 113311 Exploitation forestière (sauf à forfait)
BS113312 113312 Exploitation forestière à forfait
BS115300 Activités de soutien à la foresterie BS115300 115310 Activités de soutien à la foresterie
BS321100 Scieries et préservation du bois BS321111 321111 Scieries (sauf les usines de bardeaux et de bardeaux de fente)
BS321112 321112 Usines de bardeaux et de bardeaux de fente
BS321114 321114 Préservation du bois
BS321200 Fabrication de placages, de contreplaqués et de produits en bois reconstitué BS321211 321211 Usines de placages et de contreplaqués de feuillus
BS321212 321212 Usines de placages et de contreplaqués de résineux
BS32121A 321215 Fabrication de produits en bois reconstitué
BS32121A 321216 Fabrication de produits en bois reconstitué
BS32121A 321217 Fabrication de produits en bois reconstitué
BS321900 Fabrication d'autres produits en bois BS321900 Divers Fabrication d'autres produits en bois
BS322100 Usines de pâte à papier, de papier et de carton BS322100 Divers Usines de pâte à papier, de papier et de carton
BS322200 Fabrication de produits en papier transformé BS322200 Divers Fabrication de produits en papier transformé
BS23A000 Construction résidentielle BS23A000 S.O.Tableau 2 note Construction résidentielle
BS23B000 Construction de bâtiments non résidentiels BS23X000 S.O.Tableau 2 note Construction (sauf construction résidentielle)
BS23C100 Travaux de génie liés aux transports BS23X000 S.O.Tableau 2 note Construction (sauf construction résidentielle)
BS23C200 Travaux de génie liés au pétrole et au gaz naturel BS23X000 S.O.Tableau 2 note Construction (sauf construction résidentielle)
BS23C300 Travaux de génie liés à l'énergie électrique BS23X000 S.O.Tableau 2 note Construction (sauf construction résidentielle)
BS23C400 Travaux de génie liés aux communications BS23X000 S.O.Tableau 2 note Construction (sauf construction résidentielle)
BS23C500 Autres travaux de génie BS23X000 S.O.Tableau 2 note Construction (sauf construction résidentielle)
BS23D000 Construction (réparations) BS23X000 S.O.Tableau 2 note Construction (sauf construction résidentielle)
BS23E000 Autres activités liées à la construction BS23X000 S.O.Tableau 2 note Construction (sauf construction résidentielle)
Tous les autres codes d'industrie des tableaux des ressources et des emplois   OTHERIND   Toutes autres industries
Tableau 2 note †

Les industries de la construction des TREC ne sont pas directement équivalentes à celles du SCIAN. Elles sont plutôt définies selon le type de biens produits. En ce sens, les industries de la construction sont considérées comme étant « fondées sur les activités » dans les TREC.

Retour à la référence de le tableau 2 note

L'élargissement de la catégorie BS113000 du TREC-CIES permet d'analyser les activités des exploitants forestiers à forfait séparément de celles des autres exploitants forestiers. Compte tenu du système de gestion forestière en place au Canada, cette séparation des activités est pertinente sur le plan de l'analyse. Les détenteurs de tenure forestière sont autorisés à récolter un certain nombre d'arbres sur une superficie donnée pendant une période prédéterminée. Autrement dit, on leur concède des droits sur les ressources. Toutefois, bon nombre de ces entreprises embauchent des « exploitants forestiers à forfait » pour récolter et transporter les billes de bois de la forêt aux usines qui ont besoin de ces ressources (p. ex. des scieries ou des usines de pâtes). Ces exploitants à forfait ne « possèdent » donc pas les billes qu'ils récoltent. Ils tirent leurs revenus de la vente d'un « service ». En revanche, les exploitants forestiers qui ne travaillent pas à forfait sont considérés comme les « propriétaires » des billes qu'ils récoltent; ainsi, ils tirent des revenus de la vente de ces billes.

L'élargissement de la catégorie BS321100 du TREC-CIES permet d'isoler les activités des scieries sans mélanger les tendances relatives aux entrées et sorties ou aux ratios de valeur ajoutée des autres industries qui figurent dans cette catégorie du TREC. Bien que ces autres classes du SCIAN occupent une part relativement moindre du secteur dans la majorité des provinces, leurs entrées et sorties peuvent afficher suffisamment de divergences pour qu'il soit pertinent de les distinguer.

Enfin, l'élargissement de la catégorie BS321200 du TREC-CIES vise à distinguer les producteurs de panneaux de bois franc et de bois résineux des producteurs d'autres types de produits en bois reconstitué.

Le tableau 3 présente la relation entre les produits du TREC de référence qui sont désagrégés dans le compte satellite. En majeure partie, cette désagrégation vise à établir une distinction entre les variétés de bois de feuillus et de bois résineux des produits correspondants du TREC de référence, ce qui facilite l'analyse de ces deux types de produits forestiers très distincts.

Tableau 3 – Concordance entre les produits du TREC de référence et ceux du compte satellite.
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Tableau 3 – Concordance entre les produits du TREC de référence et ceux du compte satellite.. Les données sont présentées selon TREC-CPRE (titres de rangée) et Description du TREC, Produit du compte satellite et Titre détaillé(figurant comme en-tête de colonne).
TREC-CPRE Description du TREC Produit du compte satellite Titre détaillé
MPG113001 Billes et billons MPG113001H1 Billes et billons de feuillus (sauf le bois de chauffage et le bois à pâte)
MPG113001S1 Billes et billons de résineux (sauf le bois de chauffage et le bois à pâte)
MPG113002 Bois à pâte MPG113002H1 Bois à pâte de feuillus
MPG113002S1 Bois à pâte de résineux
MPG113004 Poteaux, pieux et piquets, en bois brut non traités MPG113004H1 Poteaux, pieux et piquets, en bois de feuillus brut non traité
MPG113004S1 Poteaux, pieux et piquets, en bois résineux brut non traité
MPG321103 Copeaux de bois MPG321103H1 Copeaux de feuillus
MPG321103S1 Copeaux de résineux
MPG321201 Placages et contreplaqués MPG321201H1 Contreplaqués de feuillus
MPG321201H2 Placages de feuillus
MPG321201S1 Contreplaqués de résineux
MPG321201S2 Placages de résineux
MPG321908 Produits du bois, n.c.a. MPG321908H1 Couvre-planchers en bois dur
MPG321908H2 Bois de feuillus débité et dimensionné et autres menuiseries préfabriquées en bois dur
MPG321908S1 Couvre-planchers en bois tendre
MPG321908S2 Bois de résineux débité et dimensionné et autres menuiseries préfabriquées en bois tendre
MPG321908X1 Bois débité pour clôtures et lattes de bois, moulures en bois et autres produits du bois, n.c.a.
MPG321X00 Déchets et rebuts de bois et de sous-produits du bois MPG321X00H1 Sciure de feuillus
MPG321X00H2 Rabotures de feuillus
MPG321X00S1 Sciure de résineux
MPG321X00S2 Rabotures de résineux
MPG321X00X1 Déchets et rebuts de bois
MPG321X00X2 Combustible de déchets de bois
MPG322101 Pâte de bois MPG322101H1 Pâtes de feuillus au sulfate (y compris à la soude)
MPG322101S1 Pâtes de résineux au sulfate (y compris à la soude)
MPG322101X1 Autres pâte de bois
ENE32A000 Produits combustibles solides, n.c.a. ENE32A000X1 Produits combustibles à base de déchets de bois
ENE32A000X2 Autres produits combustibles solides, n.c.a.

Il existe 28 autres produits dans le CSBOR, mais ces produits correspondent aux produits du TREC de référence. Ceux-ci incluent les services des exploitants forestiers, le bois d'œuvre de feuillus et de résineux, ainsi que les produits de papier et de carton.

Les neuf catégories de demande finale sont la consommation finale des ménages (PEC00), la consommation finale des organismes sans but lucratif et des administrations publiques (CE000), la formation brute de capital fixe (GFCF0), les variations des stocks (INV00) et, sur le plan du commerce, les exportations internationales (INTEX), les réexportations internationales (INTRX), les importations internationales (INTIM), les exportations interprovinciales (IPTEX) et les importations interprovinciales (IPTIM).

Sources des données et méthodologie

Le CSBOR est fondé sur deux principaux produits de données de Statistique Canada, soit l'Enquête annuelle sur les industries manufacturières et de l'exploitation forestière (EAMEF)Note 4 et les données sur les douanes et la balance des paiements de la Division du commerce et des comptes internationaux (DCCI). Les renseignements de l'EAMEF servent de base à l'établissement des industries du CSBOR (sauf les industries de la construction), tandis que les données de la DCCI sont utilisées pour produire des estimations sur les importations et les exportations internationales.

Pour produire les estimations des industries du CSBOR, les données de l'EAMEF doivent être transformées et harmonisées aux concepts macroéconomiques. Cela donne lieu à des écarts entre les données publiées dans les statistiques principales de l'EAMEFNote 5 et celles qui sont saisies dans le compte satellite. Sur le plan conceptuel, le compte satellite couvre les activités d'exploitation, alors que plusieurs des statistiques principales de l'EAMEF incluent les revenus et dépenses autres que ceux d'exploitation. De plus, des ajustements de valeur sont apportés aux stocks dans les comptes nationaux, mais pas aux données d'enquête. Sur le plan méthodologique, certains articles sont combinés et présentés différemment. Par exemple, les variations des stocks de biens finis sont déduites des recettes des ventes dans le calcul de la production dans le compte satellite. Le montant des acquisitions de biens aux fins de revente est également déduit du montant des ventes de ces biens et désigné en tant que « marge de production » dans le TRE.

Le compte satellite intègre les données publiées de l'EAMEF et de la DCCI pour toutes les années de référence. Pour l'année de référence 2013, les données des TREC de référence ont été utilisées comme points d'ancrage pour déterminer les estimations et pour fournir les renseignements contextuels pour l'ensemble de l'économie. Pour les années de référence 2014 et 2015, les TREC de référence n'étaient pas disponibles. Des données agrégées sur le PIB provenant des comptes économiques provinciaux et territoriaux ont donc été utilisées comme points d'ancrage pour déterminer les totaux pour l'ensemble de l'économieNote 6.

Une fois que les estimations des industries sont produites et que les données de référence sur le PIB ont été rassemblées, les éléments d'information restants sur les ressources et les emplois sont ajoutés, c.-à-d. les marges de commerce et de transport et les taxes sur les produits; les importations et exportations internationales et interprovinciales; la consommation des ménages et des administrations gouvernementales et l'investissement. Pour chacun de ces éléments d'information, on utilise d'abord les données sources, qu'on associe ensuite aux produits au moyen de concordances. Par exemple, les données sur le commerce international proviennent principalement des données sur les douanes tirées du Système harmonisé (SH). Puisque le SH présente un niveau de détail encore plus précis que les produits du compte satellite, le processus consiste essentiellement à agréger les données.

Une fois que les estimations initiales ont été produites et que les données ont été harmonisées aux concepts de la comptabilité macroéconomique internationale, celles-ci sont intégrées au cadre des ressources et emplois et deux identités clés des comptes macroéconomiques sont rapprochées :

  1. Ressources = emploi, pour l'ensemble des produits
  2. Sorties = entrées pour chaque industrie

Concrètement, les données sources et les méthodes d'estimation ne produisent pas des estimations qui satisfont à ces contraintes. Celles-ci sont plutôt satisfaites au moyen d'un processus itératif que l'on appelle l'équilibrage des produitsNote 7. Dans le cadre de ce processus, les forces et faiblesses de chacune des sources de données sont évaluées et des corrections sont apportées afin de rapprocher les différentes sources d'information. Ainsi, le processus permet de relever les incohérences, de transmettre une rétroaction aux fournisseurs de données sources et de satisfaire aux contraintes. Le résultat obtenu est un ensemble de données entièrement cohérentes sur les industries et les produits recueillis.

Assurance de la qualité des données du CSBOR

La technique d'équilibrage des produits est l'une des principales pratiques et procédures d'assurance de la qualité entreprises dans le cadre de la compilation des données des TRE. Les autres pratiques et procédures incluent les suivantes :

Assurance de la cohérence des données sur les entreprises

Dans un système statistique, les grandes entreprises sont généralement divisées en secteurs d'exploitation dont les données sont recueillies à partir de différentes sources (p. ex. des enquêtes). Les données d'enquête agrégées peuvent être contre-vérifiées en les comparant aux déclarations de revenus ou aux rapports annuels d'une entreprise afin de s'assurer que les tendances et les niveaux sont cohérents et conformes aux attentes relatives aux tendances.

Confirmation de la dynamique de l'industrie

Lorsque les données financières d'une entreprise sont agrégées et converties de sorte à être harmonisées aux concepts de la comptabilité nationale, les ratios des entrées aux sorties peuvent être comparés en termes réels ou nominaux. Le résultat attendu est que ces ratios ne devraient pas afficher de variation importante au cours d'une période d'un an (certainement en termes réels) sans qu'un événement économique significatif en soit la cause (p. ex. l'entrée dans le secteur ou la sortie du secteur d'une entreprise considérablement différente, l'avènement d'un changement technologique ou encore d'importantes variations dans les prix relatifs des entrées ou des sorties).

Analyse des séries chronologiques

Puisque les TRE sont extrêmement détaillés, ils permettent la comparaison de nombreuses séries chronologiques distinctes au fil du temps. Ainsi, il est possible de répondre à des interrogations telles que les suivantes : La production totale varie-t-elle grandement d'une année à l'autre? Les fluctuations des prix sont-elles à l'origine de cette variation? Un produit entrant ou sortant donné affiche-t-il une variation au fil du temps? Le cas échéant, les processus de production des entreprises dominantes ont-ils changé? Les volumes de production affichent-ils une tendance semblable à celle des volumes des exportations? Dans tous les cas, le fait d'examiner chacun de ces éléments séparément, puis de les contre-vérifier en fonction de sources secondaires, améliore grandement le degré de confiance à l'égard des données sous-jacentes.

Comparaison avec des données externes

Toutes les vérifications ci-dessus peuvent aussi être menées sous forme de comparaisons avec des données externes. Les rapports annuels, les sites Web d'entreprises et les bulletins de nouvelles décrivent tous des événements économiques pour une année donnée et peuvent contribuer à clarifier les tendances que présentent les données sources.

Résultats

Le CSBOR fournit une myriade de renseignements à un niveau détaillé. Vous trouverez ci-dessous quelques-unes des totalisations qu'il est possible de produire à partir de ce compte. La valeur ajoutée associée aux principales industries du CSBOR (BS113, BS1153, BS321 et BS322; c.-à-d. les industries du secteur forestier, à l'exception de celles de la construction et de toutes les autres industries du CSBOR) est faible par rapport à l'ensemble de l'économie.

Tableau A1
Valeur ajoutée, principales industries du CSBOR (à l'exception des industries de la construction et de toutes les autres industries), en milliers de dollars
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Valeur ajoutée 2013, 2014 et 2015 (figurant comme en-tête de colonne).
  2013 2014 2015
Valeur ajoutée, principales industries du secteur forestier et des secteurs connexes 20 410 218 20 692 003 22 226 634
Valeur ajoutée, ensemble de l'économie 1 777 213 062 1 858 113 000 1 855 439 000
Part de la valeur ajoutée 1.1 % 1.1 % 1.2 %

Toutefois, cette totalisation peut sous-représenter l'importance de la valeur ajoutée de ces industries; en effet, lorsque l'on s'attarde à la valeur des exportations, on peut voir que le secteur représente plus de 5 % des exportations totales dans l'ensemble de l'économie.

Tableau A2
Exportations totales, principaux produits du CSBOR, en milliers de dollars
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Exportations totales 2013, 2014 et 2015 (figurant comme en-tête de colonne).
  2013 2014 2015
Exportations totales, produits de la foresterie et produits connexes 29 267 641 31 913 399 34 046 064
Exportations totales, ensemble de l'économie 543 809 590 626 019 059 626 969 754
Part des exportations 5.4 % 5.1 % 5.4 %

Encore une fois, lorsque l'on examine uniquement la part de la production totale de l'ensemble de l'économie que représentent les principales industries du secteur forestier, celle-ci est relativement petite.

Tableau A3
Production totale, principales industries du CSBOR (à l'exception des industries de la construction et de toutes les autres industries), en milliers de dollars
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Production totale 2013, 2014 et 2015 (figurant comme en-tête de colonne).
  2013 2014 2015
Production, industries du secteur forestier et industries connexes 62 725 725 66 133 142 68 747 044
Production, ensemble de l'économie 3 353 163 046 3 658 815 309 3 686 395 636
Part de la production 1.9 % 1.8 % 1.9 %

La valeur ajoutée de l'ensemble des principales industries se chiffre à près de 20 milliards de dollars et s'accroît au cours de la période examinée. Le ratio de la valeur ajoutée à la production demeure relativement stable.

Tableau A4
Ratio de la valeur ajoutée à la production, principales industries du CSBOR (à l'exception des industries de la construction et de toutes les autres industries), en milliers de dollars
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Ratio de la valeur ajoutée à la production 2013, 2014 et 2015 (figurant comme en-tête de colonne).
  2013 2014 2015
Valeur ajoutée 20 410 218 20 692 003 22 226 634
Ratio de valeur ajoutée 33 % 31 % 32 %

Le tableau suivant souligne l'importance des exploitants forestiers à forfait, leur production excédant celle des autres exploitants forestiers pour deux des trois années étudiées.

Tableau A5
Totale des sorties et les parts des sorties, industrie de l'exploitation forestière et exploitation forestière à forfait, en milliers de dollars
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Totale des sorties et les parts des sorties 2013, 2014 et 2015 (figurant comme en-tête de colonne).
  2013 2014 2015
BS113311 – Exploitation forestière (sauf à forfait) 4 408 253 4 616 673 5 045 647
BS113312 – Exploitation forestière à forfait 4 974 886 5 270 118 4 873 763
BS113311 – Exploitation forestière (sauf à forfait) 47 % 47 % 51 %
BS113312 – Exploitation forestière à forfait 53 % 53 % 49 %

Les exportations internationales se sont fortement accrues au cours de la période étudiée, la majorité des provinces ayant affiché des hausses. La répartition provinciale fait ressortir la concentration évidente des exportations dans les provinces de provenance du Québec, de l'Ontario et de la Colombie-Britannique.

Tableau A6
Exportations internationales et parts des exportations selon la province, principaux produits du CSBOR, en milliers de dollars
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Exportations internationales et parts des exportations selon la province. Les données sont présentées selon Province (titres de rangée) et 2013, 2014 et 2015 (figurant comme en-tête de colonne).
Province 2013 2014 2015 2013 2014 2015
Terre-Neuve-et-Labrador 121 700 170 121 166 735 0 % 1 % 0 %
Île-du-Prince-édouard 546 2 114 2 300 0 % 0 % 0 %
Nouvelle-écosse 562 435 607 642 639 352 2 % 2 % 2 %
Nouveau-Brunswick 1 610 322 1 660 026 1 727 752 6 % 5 % 5 %
Québec 7 891 830 8 709 671 9 291 092 27 % 27 % 27 %
Ontario 4 375 118 4 861 845 5 483 521 15 % 15 % 16 %
Manitoba 352 321 418 239 423 741 1 % 1 % 1 %
Saskatchewan 453 139 430 696 433 591 2 % 1 % 1 %
Alberta 2 552 579 2 748 593 3 124 990 9 % 9 % 9 %
Colombie-Britannique 11 346 944 12 304 174 12 752 658 39 % 39 % 37 %
Yukon 686 274 326 0 % 0 % 0 %
Territoires du Nord-Ouest 21 4 5 0 % 0 % 0 %
Nunavut 0 1 0 % 0 % 0 %
Canada 29 267 641 31 913 399 34 046 064 100 % 100 % 100 %

Le tableau qui suit met en évidence la part des exportations totales des provinces que représentent les produits du CSBOR. En Colombie-Britannique, par exemple, ces produits représentent une part très importante des exportations totales.

Tableau A7
Produits du CSBOR en tant que part des exportations internationales totales des provinces, selon la province
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Produits du CSBOR en tant que part des exportations internationales totales des provinces. Les données sont présentées selon Province (titres de rangée) et 2013, 2014 et 2015 (figurant comme en-tête de colonne).
Province 2013 2014 2015
Terre-Neuve-et-Labrador 0.9 % 1.2 % 1.6 %
Île-du-Prince-édouard 0.1 % 0.2 % 0.2 %
Nouvelle-écosse 9.0 % 8.5 % 8.7 %
Nouveau-Brunswick 10.7 % 10.8 % 10.8 %
Québec 8.9 % 8.7 % 8.6 %
Ontario 2.1 % 1.9 % 2.0 %
Manitoba 2.5 % 2.7 % 2.5 %
Saskatchewan 1.4 % 1.2 % 1.4 %
Alberta 2.3 % 2.1 % 3.0 %
Colombie-Britannique 23.7 % 23.2 % 23.1 %
Yukon 0.2 % 0.1 % 0.1 %
Territoires du Nord-Ouest 0.0 % 0.0 % 0.0 %
Nunavut 0.0 % 0.0 % 0.0 %
Canada 5.4 % 5.1 % 5.4 %

Comme on pouvait s'y attendre, les scieries dominent le groupe 3211 du SCIAN. Une fois ventilées dans le compte satellite, les autres industries du groupe représentent moins de 10 % de la valeur ajoutée du groupe.

Tableau A8
Valeur ajoutée et parts de la valeur ajoutée, en milliers de dollars
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Valeur ajoutée et parts de la valeur ajoutée 2013, 2014 et 2015 (figurant comme en-tête de colonne).
  2013 2014 2015
BS321111 – Scieries (sauf les usines de bardeaux et de bardeaux de fente) 3 626 320 3 673 835 3 806 598
BS321112 – Usines de bardeaux et de bardeaux de fente 124 330 124 473 121 795
BS321114 – Préservation du bois 218 711 191 841 229 771
BS321111 – Scieries (sauf les usines de bardeaux et de bardeaux de fente) 91 % 92 % 92 %
BS321112 – Usines de bardeaux et de bardeaux de fente 3 % 3 % 3 %
BS321114 – Préservation du bois 6 % 5 % 5 %

Le Canada est un important exportateur net de produits forestiers. Les importations du pays visent principalement des produits qui se trouvent à une étape avancée de la chaîne d'approvisionnement; par exemple, la valeur des importations de produits en papier converti (MPG322209) s'est chiffrée à 1,8 milliard de dollars en 2013 et a crû pour atteindre 2,2 milliards de dollars en 2015; celle des importations de papier (MPG322102) est passée de 1,7 milliard de dollars en 2013 à 1,9 milliard de dollars en 2015, et celle des importations de couches jetables et de produits féminins, de 0,6 milliard de dollars en 2013 à 0,8 milliard de dollars en 2015.

Tableau A9
Exportations et importations internationales des principaux produits du CSBOR, en milliers de dollars
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Exportations et importations internationales des principaux produits du CSBOR (à l'exception de toutes les autres industries) 2013, 2014 et 2015 (figurant comme en-tête de colonne).
  2013 2014 2015
Exportations internationales 29 267 641 31 913 399 34 046 064
Importations internationales 10 803 645 11 674 258 12 851 092

Conformément aux prévisions, la valeur de la production canadienne de billes de bois de résineux excède grandement celle des billes de bois de feuillus. La prédominance des produits de bois de résineux par rapport aux produits de bois de feuillus est observable pour chacun de ces produits.

Tableau A10
Production de billes, toutes les industries du CSBOR, toutes les provinces, en milliers de dollars
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Production de billes 2013, 2014 et 2015(figurant comme en-tête de colonne).
  2013 2014 2015
MPG113001H1 - Billes et billons de feuillus (sauf le bois de chauffage et le bois à pâte) 255 315 183 809 221 405
MPG113001S1 - Billes et billons de résineux (sauf le bois de chauffage et le bois à pâte) 3 295 843 3 246 018 3 277 062

Les copeaux de bois de résineux constituent une entrée extrêmement importante de l'industrie des pâtes et papier. Ceux-ci sont évalués à plus de 2 milliards de dollars et représentent plus de 20 % du total des intrants intermédiaires.

Tableau A11
Utilisation intermédiaire des copeaux de bois de résineux (MPG321103S1) dans l'industrie des pâtes et papier (BS322100), en milliers de dollars
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Utilisation intermédiaire des copeaux de bois de résineux (MPG321103S1) dans l'industrie des pâtes et papier (BS322100) 2013, 2014 et 2015 (figurant comme en-tête de colonne).
  2013 2014 2015
Valeur 2 246 509 2 636 799 2 804 241
Pourcentage des intrants intermédiaires 21 % 23 % 23 %

Dans l'ensemble, le secteur forestier occupe une part relativement petite de l'ensemble de l'activité économique nationale, mais son importance au chapitre de l'exportation est davantage importante, et cette importance varie selon les provinces. Lorsque l'on se penche tant sur la production que sur les exportations, les produits de bois de résineux sont beaucoup plus importants que les produits de bois de feuillus, bien que le pays compte des usines qui se spécialisent dans le traitement de tous les types de produits extraits des forêts canadiennes.

Le CSBOR présente des renseignements détaillés sur le secteur qui ne sont pas offerts dans les autres statistiques officielles. Il fournit un niveau de détail plus précis pour certaines industries et certains produits et situe le secteur dans le contexte de l'ensemble de l'activité économique. De plus, il permet une meilleure compréhension de la structure du secteur et de ses variations d'une province à l'autre. De nombreuses autres constatations et totalisations peuvent être produites à partir du CSBOR afin de présenter la complexité et l'interconnectivité du secteur forestier canadien. Nous encourageons les lecteurs à parcourir les tableaux détaillés qui accompagnent la présente publication.

Relevé trimestriel des états financiers (RTEF) : Taux de réponse pondéré selon le total d'actif - T4 2016 à T4 2017

Taux de réponse pondéré selon le total d'actif
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Taux de réponse pondéré selon le total d'actif. Les données sont présentées selon Date de diffusion (titres de rangée) et T4 de 2016 et 2017 T1, T2, T3, T4 de 2017 calculées selon pourcentage unités de mesure (figurant comme en-tête de colonne).
Date de diffusion 2016 2017
T4 T1 T2 T3 T4
pourcentage
le 22 février 2018 83,2 82,5 80,7 76,2 71,2
le 24 novembre 2017 83,2 81,3 79,2 70,0 ..
le 24 août 2017 83,2 79,3 72,2 .. ..
le 25 mai 2017 83,2 71,5 .. .. ..
le 23 février 2017 67,2 .. .. .. ..
.. indisponible pour une période de référence précise
Source : Relevé trimestriel des états financiers (2501)

Enquête sur le commerce de détail (mensuelle): C.v. pour les ventes totals selon la géographie - décembre 2017

C.v. pour les ventes totales selon la géographie
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de C.v. pour les ventes totales selon la géographie. Les données sont présentées selon géographie (titres de rangée) et mois, 201712 et % (figurant comme en-tête de colonne).
Géographie Mois
201712
%
Canada 0,49
Terre-Neuve-et-Labrador 0,98
Ile-du-Prince-Édouard 1,15
Nouvelle-Écosse 1,7
Nouveau-Brunswick 1,15
Québec 0,87
Ontario 1,08
Manitoba 1,51
Saskatchewan 1,21
Alberta 0,77
Colombie-Britannique 1,03
Yukon 0,48
Territoires du Nord-Ouest 0,53
Nunavut 0,86

Enquête mensuelle sur les services de restauration et débits de boissons: C.v. pour les ventes totales selon la géographie - décembre 2016 à décembre 2017

C.v. pour les ventes totales selon la géographie
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de C.v. pour les ventes totales selon la géographie. Les données sont présentées selon Géographie (titres de rangée) et Mois, 201612, 201701, 201702, 201703, 201704, 201705, 201706, 201707, 201708, 201709, 2017010, 2017011 et 2017012 calculées selon pourcentage unités de mesure (figurant comme en-tête de colonne).
Géographie Mois
201612 201601 201702 201703 201704 201705 201706 201707 201708 201709 201710 201711 201712
pourcentage
Canada 0,60 0,68 0,65 0,63 0,67 0,69 0,68 0,75 0,69 0,66 0,67 0,64 0,64
Terre-Neuve-et-Labrador 1,25 1,66 1,39 1,66 1,31 1,66 1,46 2,13 1,59 1,24 1,73 1,22 1,29
Ile-du-Prince-Édouard 3,53 3,73 3,89 3,58 2,88 2,56 2,69 7,93 4,65 5,41 3,37 3,96 3,51
Nouvelle-Écosse 2,86 3,09 2,93 3,18 2,45 2,70 3,17 5,30 4,72 3,35 3,09 3,46 3,49
Nouveau-Brunswick 1,25 1,99 3,83 1,51 1,20 1,00 1,61 1,99 1,08 1,63 1,21 1,34 1,98
Québec 1,33 1,54 1,36 1,09 1,40 1,54 1,49 1,90 1,78 1,71 1,69 1,60 1,50
Ontario 1,07 1,18 1,17 1,15 1,24 1,25 1,26 1,31 1,17 1,08 1,17 1,15 1,16
Manitoba 1,98 2,29 1,75 1,81 1,88 1,94 2,06 1,82 1,46 2,04 1,92 1,72 1,77
Saskatchewan 1,58 1,75 1,98 1,94 2,02 1,63 1,80 1,22 1,38 1,29 1,36 1,37 1,55
Alberta 0,96 1,25 1,14 1,16 1,15 1,16 1,03 1,13 1,22 1,33 1,22 1,12 1,09
Colombie-Britannique 1,92 2,14 1,93 2,03 1,96 2,04 1,98 2,03 2,00 1,89 1,83 1,73 1,76
Yukon 3,22 3,68 4,10 3,46 1,87 3,47 3,40 3,19 4,01 3,87 4,00 3,24 4,35
Territoires du Nord-Ouest 0,34 0,64 0,36 0,33 0,48 0,51 0,52 0,59 0,71 0,75 0,70 0,83 0,88
Nunavut 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00

Enquête sur les voyages des résidents du Canada : C.V. - Résultats pour le T3 EVRC 2017

Enquête sur les voyages des résidents du Canada: C.V. - Résultats pour le T3 EVRC 2017
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de C.V. - Résultats pour le T3 Enquête sur les voyages des résidents du Canada 2017. Les données sont présentées selon Province (titres de rangée) et C.V. Dépense totale et C.V. Personne-voyages (figurant comme en-tête de colonne).
Province C.V. Dépense totale C.V. Personne-voyages
%
Terre-Neuve et Labrador 14,7 6,5
Île-du-Prince-Édouard 13,8 9,2
Nouvelle-Écosse 8,6 5,7
Nouveau-Brunswick 9,9 6,0
Québec 5,8 4,2
Ontario 4,6 4,0
Manitoba 7,8 7,7
Saskatchewan 7,2 5,6
Alberta 7,7 5,6
Colombie-Britannique 8,6 5,4
Canada 3,3 2,1

Pour commencer

Pourquoi menons-nous cette enquête?

L'Enquête sur la gestion des fermes est menée par Statistique Canada conjointement avec Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC). L'enquête recueille des renseignements concernant les pratiques de gestion et de production des fermiers canadiens. Les données seront utilisées afin de :

  • guider la recherche et le développement de politiques
  • permettre aux fermiers d'adopter des pratiques économiques et environnementales bénéfiques.

Les renseignements que vous fournissez pourraient aussi être utilisés par Statistique Canada à d'autres fins statistiques et de recherche.

Bien qu'elle soit volontaire, votre participation est importante afin que les renseignements recueillis soient les plus exacts et les plus complets possible.

Autres renseignements importants

Autorisation de recueillir ces renseignements

Ces données sont recueillies en vertu de la Loi sur la statistique, Lois révisées du Canada (1985), chapitre S-19.

Confidentialité

La loi interdit à Statistique Canada de divulguer tout renseignement recueilli qui permettrait de dévoiler l'identité d'une personne, d'une entreprise ou d'un organisme, à moins d'avoir obtenu son consentement ou d'en être autorisé par la Loi sur la statistique. Statistique Canada utilisera les données de cette enquête uniquement à des fins statistiques.

Couplages d'enregistrements

Afin d'améliorer la qualité des données tirées de cette enquête et de réduire le fardeau de réponse, Statistique Canada pourrait combiner les renseignements recueillis avec ceux provenant d'autres enquêtes ou de sources administratives.

Ententes de partage de données

Afin de réduire le fardeau des répondants, Statistique Canada a conclu des ententes de partage de données avec des organismes statistiques provinciaux et territoriaux et d'autres organisations gouvernementales, qui ont accepté de garder les données confidentielles et de les utiliser uniquement à des fins statistiques. Statistique Canada communiquera les données de la présente enquête seulement aux organisations ayant démontré qu'elles avaient besoin de les utiliser.

L'article 11 de la Loi sur la statistique prévoit le partage de données avec des organismes statistiques provinciaux et territoriaux répondant à certaines conditions. Ces organismes doivent posséder l'autorisation légale de recueillir les mêmes données, sur une base obligatoire, et les lois en vigueur doivent contenir essentiellement les mêmes dispositions que la Loi sur la statistique en ce qui concerne la confidentialité et les sanctions imposées en cas de divulgation de renseignements confidentiels. Comme ces organismes possèdent l'autorisation légale d'obliger les entreprises à fournir les mêmes données, on ne demande pas le consentement des entreprises et celles-ci ne peuvent s'opposer au partage des données.

Pour la présente enquête, des ententes en vertu de l'article 11 ont été conclues avec les organismes statistiques provinciaux de Terre-Neuve-et-Labrador, de la Nouvelle-Écosse, du Nouveau-Brunswick, du Québec, de l'Ontario, du Manitoba, de la Saskatchewan, de l'Alberta et de la Colombie-Britannique. Les données partagées seront limitées aux renseignements relatifs aux établissements commerciaux situés dans la province en question.

Aux fins de la présente enquête, des ententes ont été conclues en vertu de l'article 12 avec le ministère de l'Agriculture, de l'Alimentation et des Affaires rurales de l'Ontario, l'Institut de la Statistiques du Québec, le ministère de l'Agriculture et des Affaires rurales de l'Alberta et Agriculture et Agroalimentaire Canada.

L'article 12 de la Loi sur la statistique prévoit le partage de données avec des organisations gouvernementales fédérales, provinciales ou territoriales. En vertu de cet article, vous pouvez refuser de partager vos données avec l'une ou l'autre de ces organisations en écrivant une lettre d'objection au statisticien en chef dans laquelle vous précisez les organisations avec lesquelles vous ne voulez pas partager vos données et en postant cette lettre à l'adresse suivante :

Statisticien en chef du Canada
Statistique Canada
À l'attention du Kevin Roberts, directeur, Division des statistiques de l'environnement, l'énergie et des transports
150, promenade Tunney's Pasture
Ottawa, Ontario
K1A 0T6

Vous pouvez aussi communiquer avec nous par courriel à statcan.environ-environ.statcan@statcan.gc.ca ou par télécopieur au (613) 951-0634.

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Définitions et explications

Un bouton d'aide est disponible pour certaines questions. Appuyez sur ce bouton pour obtenir plus de renseignements ou des précisions.

Objectif de l'enquête

L'enquête vise à recueillir des renseignements sur les pratiques de gestion dans les fermes canadiennes.

Les résultats tirés de l'enquête aideront Agriculture et Agroalimentaire Canada à mesurer l'utilisation des différentes pratiques de gestion dans l'industrie agricole et élaborer à des programmes agricoles efficaces.

Les renseignements que vous fournissez pourraient aussi être utilisés par Statistique Canada à d'autres fins statistiques et de recherche.

Inventaire des bovins laitiers

Les premières questions portent sur les boivins laitiers tenu dans cette exploitation.

Q1. Combien de bovins laitiers, parmi les types suivants, se trouvent actuellement dans cette exploitation?

Inclure :

  • tous les animaux en paturage qui se trouvent dans cette exploitation, quel que soit le propriétaire, y compris les animaux en pension, engraissés à forfait ou élevés sous contrat
  • tous les animaux en paturage gardés par cette exploitation, quel que soit le propriétaire, et qui étaient en pacage dans un pâturage communautaire, dans une coopérative de pacage ou sur une terre publique pendant une partie de l'année.

Exclure les animaux appartenant à cette exploitation, mais gardés dans une ferme, un ranch ou un parc d'engraissement exploité par quelqu'un d'autre.

S'il n'y a pas d'animaux d'un certain type, veuillez inscrire 0.

Nombre de boivins laitiers

  1. Vaches laitières
  2. Vaches taries
  3. Génisses de remplacement d'un an et plus
  4. Veaux de moins d'un an

D'autres questions porteront sur les pratiques de gestion d'un type particulier de bovin laitier.

Q2. Veuillez sélectionner le type de bovin à utiliser pour répondre aux questions suivantes.

  • Vaches laitières
  • Vaches taries
  • Génisses de remplacement d'un an et plus
  • Veaux de moins d'un an

Inventaire de bovins de boucherie

Les premières questions portent sur les bovins de boucherie tenu dans cette exploitation.

Q1. En 2017, combien de bovins de boucherie, parmi les types suivants, se trouvent actuellement dans cette exploitation?

Inclure :

  • tous les bovins qui se trouvent dans cette exploitation, quel que soit le propriétaire, y compris les animaux en pension, engraissés à forfait ou élevés sous contrat
  • tous les bovins gardés par cette exploitation, quel que soit le propriétaire, et qui étaient en pacage dans un pâturage communautaire, dans une coopérative de pacage ou sur une terre publique pendant une partie de l'année.

Exclure les animaux appartenant à cette exploitation, mais gardés dans une ferme, un ranch ou un parc d'engraissement exploité par quelqu'un d'autre.

S'il n'y a pas d'animaux d'un certain type, veuillez inscrire 0.

Nombre de bovins de boucherie

  1. Bouvillons ou génisses de finition
  2. Bouvillons ou génisses de semi-finition
  3. Vaches
  4. Génisses destinées au remplacement des vaches du troupeau
  5. Taureaux
  6. Veaux de moins d'un an

D'autres questions porteront sur les pratiques de gestion d'un type particulier de bovin de boucherie.

Q2. Veuillez sélectionner le type de bovin à utiliser pour répondre aux questions suivantes.

  • Bouvillons ou génisses de finition
  • Bouvillons ou génisses de semi-finition
  • Vaches
  • Génisses destinées au remplacement des vaches du troupeau
  • Taureaux
  • Veaux de moins d'un an

Q3. En 2017, combien de mois est-ce que ces [bovins de boucherie] principalement dans les lieux suivants?

Nombre de mois

  1. Espace extérieur confiné
    Inclure les enclos, corrals, parcs d'élevage, aires d'exercice.
    Un espace extérieur où les déplacements du bétail sont limités et où le fumier déposé par le bétail est par la suite retiré des lieux.
  2. En plein champ ou en pâturage
    Des terres cultivables ou des pâturages naturels ou cultivés servant au pacage ou à l'engraissement.
  3. Bâtiment
    Toute structure fixe avec un toit et des murs qui confinent ou protègent le bétail à un endroit.

Q4. À quel stade de reproduction se trouvent la plupart des [bovins de boucherie] actuellement sur cette exploitation?

Vaches

  • En lactation
  • Taries ou en gestation

Génisses de remplacement

  • Vides
  • En gestation

Taureaux

  • Jeunes taureaux en croissance
  • Taureaux reproducteurs adultes

Inventaire de volaille

Les premières questions portent sur la volaille tenue dans cette exploitation.

Q1. Durant un cycle de production, combien d'oiseaux, parmi les types suivants, se trouvaient dans cette exploitation et combien de bâtiments ont été utilisés pour loger chaque type d'oiseaux en 2017?

Inclure toute la volaille qui se trouvent dans cette exploitation, peu importe le propriétaire, y compris les animaux en pension, engraissés à forfait ou élevés sous contrat.

Exclure les animaux appartenant à cette exploitation, mais gardés dans une ferme, un ranch ou un parc d'engraissement exploité par quelqu'un d'autre.

S'il n'y a pas de volaille d'un certain type, veuillez inscrire 0.

Nombre d'oiseaux,Nombre de bâtiments pour abriter les oiseaux

Poules pour la production d'oeufs de consommation

  1. Poulettes de moins de 19 semaines
  2. Poules pondeuses de 19 semaines et plus

Oiseaux de chair

  1. Poulets à griller, poulets à rôtir et poulets de Cornouailles
  2. Dindons et dindes

Oiseaux reproducteurs
Inclure les poules et les poulettes.

  1. Reproducteurs de pondeuses
  2. Reproducteurs de poulets à griller, de poulets à rôtir et de poulets de Cornouailles
  3. Reproducteurs de dindons et de dindes

Autres volailles

  1. Autres volailles
    p. ex. oie, canard, coq, autruche, emeu, faisan, caille, pigeon
    Précisez les autres volailles

Inventaire des porcs

Les premières questions portent sur les porcs tenus dans cette exploitation.

Q1. Durant un cycle de production, combien de porcs, parmi les types suivants, se trouvaient dans cette exploitation en 2017?

Inclure tous les porcs dans cette exploitation, quel qu'en soit le propriétaire, y compris les animaux en pension, ou engraissés à forfait pour des tiers.

Exclure les porcs possédés par cette exploitation agricole qui sont exploité par quelque'un d'autre ou engraissés à forfait par des tiers.

S'il n'y a pas d'animaux d'un certain type, veuillez inscrire 0.

Nombre de porcs

  1. Porcelets sevrés, porcelets en pouponnière et porcs de début
    Moins de 45 lb ou 20 kg
  2. Porcs d'engraissement et porcs de finition
    45 lb ou 20 kg et plus
  3. Porcelets non sevrés
  4. Truies et cochettes pour la reproduction
  5. Verrats

D'autres questions porteront sur les pratiques de gestion d'un type particulier de porc.

Q2. Veuillez sélectionner le type de porc à utiliser pour répondre aux questions suivantes.

  • Porcelets sevrés, porcelets en pouponnière et porcs de début
  • Porcs d'engraissement et porcs de finition
  • Truies et cochettes pour la reproduction
  • Verrats

Q3. Veuillez indiquer le stade de croissance de la majorité de [porcs] actuellement dans cette exploitation agricole.

Porcelets sevrés, porcelets en pouponnière et porcs de début

  • Pouponnière du début
  • Pouponnière de fin

Porcs d'engraissement et porcs de finition

  • D'engraissement
  • De finition

Truies et cochettes

  • Cochettes vides en croissance
  • Truies en gestation
  • Cochettes pleines
  • Truies en lactation

Verrats

  • Jeunes verrats en croissance
  • Verrats reproducteurs adultes

Inventaire des animaux

Q1. Y a-t-il actuellement d'autres types de bétail ou de volaille dans cette exploitation agricole?

  • Oui
  • Non

Q2. Combien d'animaux, parmi les types suivants, se trouvent actuellement dans cette exploitation agricole?

Inclure :

  • tous les animaux qui se trouvent dans cette exploitation, quel que soit le propriétaire, y compris les animaux en pension, engraissés à forfait ou élevés sous contrat
  • tous les animaux gardés par cette exploitation, quel que soit le propriétaire, et qui étaient en pacage dans un pâturage communautaire, dans une coopérative de pacage ou sur une terre publique pendant une partie de l'année.

Exclure les animaux appartenant à cette exploitation, mais gardés dans une ferme, un ranch ou un parc d'engraissement exploité par quelqu'un d'autre.

Nombre

  1. Bovins laitiers
    Inclure tous les types et tous les âges pour la reproduction ou production laitière.
  2. Bovins de boucherie
    Inclure tous les types et tous les âges pour la reproduction ou production de viande.
  3. Porcs
    Inclure tous les types et tous les âges pour la reproduction ou production de viande.
  4. Volaille
    Inclure tous les types et tous les âges pour la reproduction, production de viande ou d'oeufs.
  5. Tous les autres animaux
    Précisez tous les autres animaux

Gestion du logement (bovins laitiers et de boucherie)

Un bâtiment est une structure munie d'un toit et de murs qui confine ou protège le bétail à un endroit.

Q1. En 2017, y avait-il plus d'un bâtiment utilisé pour loger les bovins [laitiers/de boucherie] de cette exploitation?

  • Oui
  • Non

Pour les questions suivantes, veuillez ne considérer que le bâtiment contenant le plus grand nombre de [vaches laitières/bovins de boucherie].

Q2. En 2017, combien de bovins laitiers de chacun des types suivants étaient gardées dans le bâtiment comprenant le plus grand nombre de vaches laitières?

Nombre de bovins laitiers

  1. Vaches laitières
  2. Vaches taries
  3. Génisses de remplacement d'un an et plus
  4. Veaux de moins d'un an

Q3. En 2017, lesquelles des pratiques suivantes ont été utilisées pour assurer le maintien de la qualité de l'air à l'intérieur et autour du bâtiment contenant le plus grand nombre de vaches laitières?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Ventilation forcée par des ventilateurs
    Est-ce que ce système possédait un filtre à air?
    • Oui
    • Non
  • Ventilation naturelle
    p. ex. fenêtres, rideaux, évacuations
    Ce système était-il réglé automatiquement?
    • Oui
    • Non
  • Refroidisseurs ou pulvérisateurs d'eau
  • Dépoussiéreurs électriques pour réduire la poussière
  • Échangeurs d'air
  • Brise-vent formés de grands arbres adjacents au bâtiment
  • Autre pratique
    Précisez l'autre pratique

Pour les questions suivantes, veuillez ne considérer que le bâtiment contenant le plus grand nombre de [vaches laitières/bovins de boucherie].

Q4. Lequel des types de logements suivants décrit le mieux le système utilisé dans ce bâtiment?

  • Stalles entravées
  • Stalles libres
  • Espace commun de litières accumulées
  • Autre systeme
    Précisez l'autre système

Q5. En 2017, quel type de système de traite était utilisé dans cette exploitation agricole?

  • Salle de traite
  • Système robotique
  • Autre système
    Précisez l'autre système

Les questions suivantes portent sur les pratiques reliées à l'espace de ce bâtiment où sont gardées les vaches laitières.

Q6. En 2017, quel type de matière était principalement utilisé pour la litière des [vaches laitières/bovins de boucherie] dans ce bâtiment?

  • Bran de scie, rognures, ripe, paillis d'écorces ou autre produit forestier
  • Paille ou résidus de culture
  • Fumier solide recyclé ou transformé
  • Sable, gravier ou autre produit minéral
  • Tapis ou matelas synthétique
    p. ex. caoutchouc, mousse, gel ou eau
  • Autre matériau
    Précisez l'autre matériau
  • Aucune litière utilisée

Q7. En 2017, à quelle fréquence environ la litière de l'aire de couchage était-elle renouvelée?

  • Au moins une fois par jour
  • Au moins une fois aux deux jours
  • Au moins une fois aux trois jours
  • Au moins une fois par semaine
  • Au moins une fois aux deux semaines
  • Au moins une fois par mois
  • Autre fréquence
    Précisez l'autre fréquence

Q8. Quel était le matériau de base principal sous la litière dans ce bâtiment?

  • Béton
  • Couche d'argile
  • Couche de sable ou de gravier
  • Sol naturel
    Précisez le sol naturel
  • Autre matériau
    Précisez l'autre matériau

Q9. En 2017, quel était le principal matériau utilisé pour les planchers dans les couloirs destinés au bétail et les allées de ce bâtiment?

  • Béton monolithe
  • Béton à claire-voie
  • Béton antidérapant (rainures, marques ou granulat)
  • Caoutchouc
  • Autre matériau
    Précisez l'autre matériau

Q10. En 2017, quelle était la méthode utilisée pour retirer le fumier des couloirs, des allées et des rigoles à déjections de ce bâtiment?

Exclure les parcs d'attente avant la traite.

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Tracteur ou chargeur à direction à glissement
  • Racleurs automatiques (à chaîne ou à câble)
  • Rinçage à l'eau
  • Autre méthode
    Précisez l'autre méthode

Q11. En 2017, les bovins [laitiers/de boucherie] dans ce bâtiment avaient-ils accès à un espace extérieur confiné?

Inclure les aires d'exercice, les enclos, les corrals et les parcs d'élevage.

Un espace extérieur confiné est un espace extérieur où les déplacements du bétail sont limités et où le fumier déposé est retiré des lieux.

  • Oui
  • Non

Q12. Pendant quelles saisons les bovins [laitiers/de boucherie] de ce bâtiment avait-ils accès à un espace extérieur?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Printemps
  • Été
  • Automne
  • Hiver
    OU
  • Toute l'année

Q13. En 2017, y avait-il plus d'un espace extérieur confiné utilisé pour loger les bovins [laitiers/de boucherie] dans cette exploitation?

Inclure les aires d'exercice, les enclos, les corrals et les parcs d'élevage.

Un espace extérieur confiné est un espace extérieur où les déplacements du bétail sont limités et où le fumier déposé est retiré des lieux.

  • Oui
  • Non

Les questions suivantes portent sur l'espace extérieur confiné où se trouve le plus grand nombre de bovins [laitiers/de boucherie].

Q14. Quel était le matériau de base de cet espace extérieur confiné?

  • Béton
  • Couche d'argile
  • Couche de sable ou de gravier
  • Autre type de sol
    Précisez l'autre type de sol
  • Autre matériau
    Précisez l'autre matériau

Q15. En 2017, lesquelles des activités suivantes se sont produites dans cet espace extérieur confiné?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Abreuvement
  • Exercices
  • Alimentation
  • Matière offerte pour la litière
    p. ex. bran de scie, paille
  • Observation des animaux pour détecter s'ils sont en chaleur

Q16. En 2017, quel type de matière était utilisé pour la litière?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Bran de scie, rognures, ripe, paillis d'écorces ou autre produit forestier
  • Paille ou résidus de culture
  • Fumier solide recyclé ou transformé
  • Sable, gravier ou autre produit minéral
  • Autre matériau
    Précisez autre matériau
    OU
  • Aucune litière utilisée

Q17. En 2017, à quelle fréquence environ la litière de l'aire de couchage était-elle renouvelée?

  • Au moins une fois par jour
  • Au moins une fois par semaine
  • Au moins une fois par mois
  • Moins souvent qu'une fois par mois
    Précisez la fréquence

Q18. En 2017, en moyenne, à quelle fréquence la litière souillée et le fumier ont-ils été retirés de cet espace extérieur confiné?

  • Au moins une fois par jour
  • Au moins une fois par semaine
  • Au moins une fois par mois
  • Moins souvent qu'une fois par mois
    Précisez la fréquence
  • Au moins une fois par mois
  • Au moins une fois tous les 3 mois
  • Au moins une fois tous les 6 mois
  • Moins souvent qu'une fois tous les 6 mois
    Précisez la fréquence

Q19. En 2017, lesquels des aménagements suivants faisaient partie ou étaient à proximité de cet espace extérieur confiné?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Protection contre le vent
    p. ex. coupe-vent, haies brise-vent ou structures d'abris
  • Toit
  • Dérivation des eaux de surface en amont de l'espace confiné
  • Confinement de l'eau ruisselant hors de l'espace confiné

Gestion du logement (Porcs)

Q1. En 2017, y avait-il plus d'un bâtiment utilisé pour loger les porcs de cette exploitation?

  • Oui
  • Non

Les questions suivantes portent sur le bâtiment où est gardé le plus grand nombre de [porcs].

Q2. En 2017, combien de porcs de chacun des types suivants y avait-il dans ce bâtiment pendant une journée typique de pleine production?

  1. Porcelets sevrés, porcelets en pouponnière et porcs de début
  2. Porcs d'engraissement et porcs de finition
  3. Porcelets non sevrés
  4. Truies et cochettes pour la reproduction
  5. Verrats

Q3. En 2017, quel était le nombre moyen de porcelets sevrés, de porcelets en pouponnières et de porcs de début gardés par enclos?

Nombre moyen

Q4. Quelle était la taille moyenne de l'enclos pour ces animaux?

Veuillez préciser l'unité de mesure utilisée.

Taille moyenne de l'enclos, Unité de mesure

Q5. En 2017, quel était le nombre moyen de porcs d'engraissement et de porcs de finition gardés par enclos?

Nombre moyen

Q6. Quelle était la taille moyenne de l'enclos pour ces animaux?

Veuillez préciser l'unité de mesure utilisée.

Taille moyenne de l'enclos, Unité de mesure

Q7. En 2017, quel était le nombre moyen de truies et de cochettes gardées par enclos en période de gestation?

Nombre moyen

Q8. Quelle était la taille moyenne de l'enclos pour ces animaux?

Veuillez préciser l'unité de mesure utilisée.

Taille moyenne de l'enclos, Unité de mesure

Q9. En 2017, quel était le nombre moyen de verrats gardés par enclos en dehors du service d'accouplement?

Nombre moyen

Q10. Quelle était la taille moyenne de l'enclos pour ces animaux?

Veuillez préciser l'unité de mesure utilisée.

Taille moyenne de l'enclos, Unité de mesure

Q11. En 2017, quel était le matériau utilisé pour le plancher dans ce bâtiment?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Béton
    • Solide - lisse
    • Solide - antidérapant
      p. ex. rainures, marques ou granulat
    • Planché latté
  • Caoutchouc
    • Solide
    • Planché latté
  • Autre matériau de plancher
    Précisez l'autre matériau de plancher

Q12. Quel type de configuration de lattes était le plus couramment utilisé?

  • Lattes dans tout l'enclos
  • Plancher en lattes dans une partie de l'enclos

Q13. En 2017, quel type de matière était utilisé principalement pour la litière?

  • Bran de scie, rognures, paillis d'écorces ou autre produit forestier
  • Paille ou résidus de culture
  • Tapis ou matelas synthétique
    p. ex. caoutchouc, mousse, gel ou eau
  • Autre matériau
    Précisez l'autre matériau
  • Aucune litière

Q14. En 2017, à environ quelle fréquence la litière de l'aire de couchage était-elle renouvelée?

  • Au moins une fois par jour
  • Au moins une fois par semaine
  • Au moins une fois aux deux semaines
  • Au moins une fois par mois
  • Moins souvent qu'une fois par mois
    Précisez la fréquence

Q15. En 2017, quelle méthode était utilisée pour éliminer le fumier des enclos?

  • Aucune, le fumier tombait entre les lattes du plancher
  • Raclage à la main ou pelletage
  • Racleurs automatiques
    p. ex. à chaîne ou à câble
  • Rinçage du sol à l'eau
  • Autre
    Précisez la méthode

Q16. À quelle fréquence le fumier était-il retiré des enclos?

  • Tous les jours
  • Au moins une fois par semaine
  • Au moins une fois aux deux semaines
  • Au moins une fois par mois
  • Moins souvent qu'une fois par mois
    Précisez la fréquence

Q17. Où le fumier des enclos s'est-il retrouvé?

  • Dans une canalisation ou une fosse peu profonde sous la porcherie
  • Directement dans une fosse profonde sous la porcherie
  • Directement dans une unité d'entreposage de fumier à l'extérieur de la porcherie

Q18. À quelle fréquence le fumier contenu dans la canalisation ou une fosse peu profonde sous le plancher était-il éliminé?

  • Tous les jours
  • Au moins une fois par semaine
  • Au moins une fois aux deux semaines
  • Au moins une fois par mois
  • Moins souvent qu'une fois par mois
    Précisez la fréquence

Q19. Quelle méthode était utilisée pour éliminer le fumier contenu dans la canalisation sous le plancher?

  • Racleurs de canalisations automatiques
    p. ex. à chaîne ou à câble
  • Rinçage des canalisations à l'eau
  • Orifice de vidange permettant le drainage des canalisations
  • Autre
    Précisez la méthode

Q20. Est-ce que des ventilateurs sous le plancher ou des ventilateurs de fosse ont été utilisés pour améliorer la qualité de l'air au-dessus du fumier?

  • Oui
  • Non

Q21. En 2017, lesquelles des pratiques suivantes ont été utilisées pour assurer le maintien de la qualité de l'air à l'intérieur et autour de ce bâtiment?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Ventilation forcée par des ventilateurs
    Est-ce que ce système possédait un filtre à air?
    • Oui
    • Non
  • Ventilation naturelle
    p. ex. fenêtres, rideaux, évacuations
    Ce système était-il réglé automatiquement?
    • Oui
    • Non
  • Refroidisseurs ou pulvérisateurs d'eau
  • Dépoussiéreurs électriques pour réduire la poussière
  • Échangeurs d'air
  • Brise-vent formés de grands arbres adjacents au bâtiment
  • Autre
    Précisez les pratiques

Gestion du logement (Volailles)

Q1. En 2017, quel était le pourcentage de toutes les poules pondeuses logées de chacune des manières suivantes?

  1. Batteries de cages conventionnelles
  2. Cages enrichies ou aménagées
  3. En liberté
  4. En libre parcours
  5. Toutes les autres conceptions d'habitations
    Précisez toutes les autres conceptions d'habitation

Les questions suivantes portent sur la volaille logée dans les cages.

Q2. Pour les oiseaux gardés dans des cages conventionnelles, quelle unité de mesure utiliserez-vous pour déclarer la superficie des cages?

  • Mètre carré
  • Pied carré
  • Centimètre carré
  • Pouce carré

Q3. En 2017, quelle était la superficie d'une cage conventionnelle par oiseau?

[Unité de mesure] par oiseau

Q4. En 2017, quel était le nombre moyen de volailles gardées par cage conventionnelle?

Nombre moyen de volailles

Q5. En 2017, quelle était la superficie d'une cage enrichie ou aménagée par oiseau?

[Unité de mesure] par oiseau

Q6. En 2017, quel était le nombre moyen de volailles gardées par cage enrichie ou aménagée?

Nombre moyen de volailles

Q7. En 2017, quelle était la méthode utilisée pour gérer le fumier dans le bâtiment contenant le plus grand nombre de poules pondeuses dans les cages?

  • Le fumier des cages tombait dans une fosse sous le poulailler
  • Le fumier des cages tombait sur une bande transporteuse qui acheminait le fumier aux installations d'entreposage à l'extérieur
  • Autre méthode
    Précisez l'autre méthode

Q8. En 2017, y avait-il des ventilateurs de fosse pour améliorer la qualité de l'air au-dessus du fumier?

  • Oui
  • Non

Q9. En 2017, à quelle fréquence le fumier était-il transporté par la bande transporteuse jusqu'aux installations d'entreposage?

  • Au moins une fois aux deux jours
  • Au moins deux fois par semaine
  • Au moins une fois par semaine
  • Au moins une fois aux deux semaines
  • Moins souvent qu'une fois aux deux semaines
    Précisez l'autre fréquence

Q10. En 2017, lesquelles des pratiques suivantes ont été utilisées pour assurer le maintien de la qualité de l'air à l'intérieur et autour du bâtiment contenant le plus grand nombre de poules pondeuses dans des cages?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Ventilation forcée par des ventilateurs
    Est-ce que ce système possédait un filtre à air?
    • Oui
    • Non
  • Ventilation naturelle
    p. ex. fenêtres, rideaux, évacuations
    Ce système était-il réglé automatiquement?
    • Oui
    • Non
  • Refroidisseurs ou pulvérisateurs d'eau
  • Dépoussiéreurs électriques pour réduire la poussière
  • Échangeurs d'air
  • Brise-vent formés de grands arbres adjacents au bâtiment
  • Ventilateurs de séchage pour réduire la teneur en humidité du fumier sur les bandes transporteuses ou les fosses au-dessus de la grange
  • Additifs appliqués au fumier sur les bandes transporteuses
  • p. ex. pour réduire les émissions d'ammoniac
    Précisez les additifs
  • Autre pratique
    Précisez l'autre pratique

Les questions suivantes portent sur les bâtiments où les oiseaux ne sont pas gardés dans des cages.

Q11. Quelle unité de mesure utiliserez-vous pour déclarer les superficies des bâtiments où sont gardés les oiseaux?

  • Mètres carrés
  • Pieds carrés

Les questions suivantes porteront sur le type de volaille selectionné ci-dessous.

Q12. Veuillez selectionner le type d'oiseaux de chair qui sera utilisé pour les questions suivantes.

  • Poulets à griller, poulets à rôtir et poulets de Cornouailles
  • Dindons et dindes

Q13. En 2017, quel était la superficie du bâtiment utilisé pour garder le plus grand nombre [d'oiseaux de chair]?

Exclure les enclos plus petits utilisés au début du développement des oiseaux.

Superficie en [unité de mesure]

Q14. En 2017, combien [d'oiseaux de chair] sont gardées dans ce bâtiment pendant un cycle de production typique?

Nombre de [d'oiseaux de chair]

Les questions suivantes porteront sur le type de volaille selectionné ci-dessous.

Q15. Veuillez selectionner le type d'oiseaux reproducteurs qui sera utilisé pour les questions suivantes.

  • Reproducteurs de poules pondeuses
  • Reproducteurs de poulets à griller, de poulets à rôtir et de poulets de Cornouailles
  • Reproducteurs de dindons et de dindes
  • [Autres volailles]

Q16. En 2017, quel était la superficie du bâtiment utilisé pour garder le plus grand nombre [d'oiseaux pour la reproduction]?

Exclure les enclos plus petit utilisés au début du développement de la volaille.

Superficie en [unité de mesure]

Q17. En 2017, combien [d'oiseaux pour la reproduction] sont gardées dans le bâtiment pendant un cycle de production typique?

Nombre de [d'oiseaux pour la reproduction]

Les questions suivantes porteront sur le type de volaille selectionné ci-dessous.

Q18. Veuillez selectionner le type de volaille qui sera utilisé pour les questions suivantes portant sur les bâtiments.

  • Poulets à griller, poulets à rôtir et poulets de Cornouailles
  • Dindons et dindes
  • Reproducteurs de poules pondeuses
  • Reproducteurs de poulets à griller, de poulets à rôtir et de poulets de Cornouailles
  • Reproducteurs de dindons et de dindes
  • [Autres volailles]

Les questions suivantes portent sur le bâtiment logeant le plus grand nombre [de volaille].

Q19. En 2017, quel était le matériau de plancher utilisé typiquement dans ce bâtiment?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Béton
    • Solide
    • Planché latté
  • Bois
    • Solide
    • Planché latté
  • Caoutchouc
    • Solide
    • Planché latté
  • Plastique ou syntétique
    • Solide
    • Planché latté
  • Couche d'argile
  • Autre type de sol
    Précisez l'autre type de sol
  • Autre matériau
    Précisez l'autre matériau

Q20. En 2017, quel type de matière était utilisé pour la litière?

  • Bran de scie
  • Rognures
  • Produit forestier
    Précisez le produit forestier
  • Paille
    Précisez la paille
  • Autre résidu de culture
    p. ex., chaff, screenings
  • Précisez l'autre résidu de culture
  • Autre matière
    Précisez l'autre matière
  • Aucune litière utilisée

Q21. En 2017, quel était l'épaisseur de [litière] appliqué au début du cycle de production?

  • Moins de trois pouces
  • Plus de trois, mais mois de cinq pouces
  • Cinq pouces et plus

Q22. En 2017, à quelle fréquence environ la litière de volaille était-elle complètement retirée du poulailler?

  • Après chaque cycle de production
  • Après deux cycles de production
  • Après trois cycles de production
  • Après plus de trois cycles de production

Q23. En 2017, lesquelles des pratiques suivantes étaient utilisées pour rafraîchir l'aire de couchage entre les cycles de production?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Fumier en surface mélangé avec la litière qui se trouve dessous
  • Nouvelle matière ajoutée par-dessus la litière
    Précisez la nouvelle litière
  • Autre additif
    p. ex., lime
  • Précisez l'autre additif
  • Autre pratique
    Précisez l'autre pratique
    OU
  • Aucune pratique n'a été utilisée pour rafréchir la litière

Q24. En 2017, lesquelles des pratiques suivantes ont été utilisées pour assurer le maintien de la qualité de l'air à l'intérieur et autour du bâtiment où se trouve le plus grand nombre [de volaille]?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Ventilation forcée par des ventilateurs
    Est-ce que ce système possédait un filtre à air?
    • Oui
    • Non
  • Ventilation naturelle
    p. ex. fenêtres, rideaux, évacuations
    Ce système était-il réglé automatiquement?
    • Oui
    • Non
  • Refroidisseurs ou pulvérisateurs d'eau
  • Dépoussiéreurs électriques pour réduire la poussière
  • Échangeurs d'air
  • Brise-vent formés de grands arbres adjacents au bâtiment
  • Additifs appliqués à la litière ou à l'espace aérien dans la grange pendant le cycle de production
    p. ex., pour réduire les émissions d'ammoniac
    Précisez l'additif
  • Autre pratique
    Précisez l'autre pratique
    OU
  • Aucune de ces réponses

Gestion des veaux

Les questions suivantes portent sur les vaches et leurs veaux.

Q1. En 2017, la majorité des veaux nés sur cette exploitation étaient-ils de race pure, de races croisées ou de races mélangées?

  • De race pure
  • De races croisées
  • De races mélangées

Q2. Quelle était la race des veaux de race pure?

S'il y a plus d'une réponse, choisissez la race de la majorité des veaux.

  • Angus
  • Hereford
  • Charolais
  • Limousin
  • Simmental
  • Gelbvieh
  • Blonde d'Aquitaine
  • Maine-Anjou
  • Shorthorn
  • Autre
    Precisez l'autre race

Q3. Quelles races sont contenues dans les veaux de [races croisées/races mélangées]?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Angus
  • Hereford
  • Charolais
  • Limousin
  • Simmental
  • Gelbvieh
  • Blonde d'Aquitaine
  • Maine-Anjou
  • Shorthorn
  • Autre
    Precisez l'autre race

Q4. Veuillez indiquer l'unité de mesure qui sera utilisé pour déclarer le poids des animaux.

  • Livres (lb)
  • Kilogrammes (kg)

Q5. En 2017, quel était le poids moyen pour chacun des éléments suivants?

S'il y a plus d'une race, répondre pour la race de la majorité.

  1. Poids des veaux à la naissance
  2. Poids au sevrage
  3. Poids des vaches adultes

Q6. À quel âge les veaux sont-ils sevrés habituellement?

S'il y a plus d'une race, rèpondre pour la race de la majorité.

Âge au moment du sevrage Semaines ou mois

Q7. En 2017, quel était le taux de réussite du sevrage de cette exploitation pour

Le taux de réussite du sevrage désigne le rapport entre le nombre de veaux sevrés et le nombre de génisses ou de vaches destinées à la reproduction.

  1. les génisses ayant eu leur premier veau
  2. toutes les autres vaches

Gestion des porcelets

Q1. En 2017, quelles étaient les valeurs moyennes des éléments suivants?

  • Le nombre de porcelets nés vivants par portée
  • Le poids au sevrage, Unité de mesure
  • L'âge des porcelets au sevrage (en jours)
  • Le nombre de porcelets sevrés par portée

Unité de mesure

Q1. Quelle unité de mesure utiliserez-vous pour déclarer les superficies de terre?

  • Acres
  • Hectares

Inventaire des cultures

Q2. En 2017, combien d'[unité de mesure] des types de cultures suivantes ont été cultivées dans cette exploitation agricole?

Inclure toutes les terres utilisées par cette exploitation, c.-à-d. possédées, prises en location ou à bail, ou exploitées en métayage.

Exclure les terres données en location à d'autres ou exploitées en métayage par d'autres.

Note : Il faut compter une fois seulement les superficies de terre ayant servi à plusieurs fins.

Inscrire 0 si aucune culture n'a été cultivée en 2017.

  1. Cultures fourragères cultivées pour le foin, le sillage ou la semence
    Inclure herbe, trèfle, mélanges de luzerne, foins cultivé etc.
  2. Grandes cultures de céréales, de grains ou de grains fourragers
    Inclure les céréales, les graines oléagineuses, le maïs, les légumineuses à grains et les autres grandes cultures.
  3. Légumes, fruits, baies et noix cultivés pour la vente
    Inclure les pommes de terre et les betteraves à sucre.
  4. Toutes les autres cultures
    Précisez toutes les autres cultures

Q3. En 2017, cette exploitation agricole a-t-elle utilisé d'autres terres pour le pâturage?

Inclure les terres artificielles, terres cultivées ou naturelles, ou terre boisées utilisées pour pâturage.

  • Oui
    • Combien d'[unité de mesure]?
  • Non

Ventes des cultures

Q1. Parmi les cultures fourragères qui ont été récoltées en 2017, est-ce que certaines ont été vendues ou seront vendues à partir de cette exploitation agricole?

Inclure les graminées, le trèfle, les mélanges de luzerne et le foin cultivé normalement récoltés pour foin à ensilage ou semences.

  • Oui
    Environ quel pourcentage a été ou sera vendu?
    • Moins de 25 %
    • 25 % à moins de 50 %
    • 50 % à moins de 75 %
    • 75 % à moins de 100 %
    • 100 %
  • Non

Q2. Parmis les grandes cultures qui ont été récoltées en 2017, est-ce que certaines ont été vendues ou seront vendues à partir de cette exploitation agricole?

Inclure les céréales, les graines oléagineuses, le maïs, les légumineuses à grains et les autres grandes cultures récoltées pour le grain, la semence ou comme aliment.

  • Oui
    Environ quel pourcentage a été ou sera vendu?
    • Moins de 25 %
    • 25 % à moins de 50 %
    • 50 % à moins de 75 %
    • 75 % à moins de 100 %
    • 100 %
  • Non

Pratiques d'alimentation (Bovins laitiers et de boucherie)

Les questions suivantes portent sur les pratiques d'alimentation des [bovins laitiers/bovins de boucherie] dans cette exploitation agricole.

Q1. En 2017, est-ce que des plantes fourragères consommées par les [bovins laitiers/bovins de boucherie] ont été cultivées dans cette exploitation agricole?

Inclure le foin, l'ensilage et le fourrage vert des plantes fourragères vivaces et des grandes cultures annuelles.

Exclure la pâture, les céréales, les produits céréaliers, les suppléments protéiques.

  • Oui
    Quel pourcentage a été cultivé dans cette exploitation agricole?
    • Moins de 25 %
    • De 25 % à moins de 50 %
    • De 50 % à moins de 75 %
    • 75 % à moins de 100 %
    • 100 %
  • Non

Q2. En 2017, est-ce que des aliments à base de céréales ont été fournis aux bovins de boucherie dans cette exploitation agricole?

  • Oui
  • Non

Q3. En 2017, est-ce que l'un des aliments à base de céréales consommés par les [bovins laitiers/bovins de boucherie] a été cultivé dans cette exploitation agricole?

Inclure les céréales, les produits céréaliers et les suppléments protéiques.

Exclure la pâture et les plantes fourragères.

  • Oui
    Quel pourcentage a été cultivé dans cette exploitation agricole?
    • Moins de 25 %
    • De 25 % à moins de 50 %
    • De 50 % à moins de 75 %
    • De 75 % à moins de 100 %
    • 100 %
  • Non
    Laquelle des options suivantes décrit le mieux comment cette nourriture a été achetée ou fournie?
    • Achetée ou fournie en tant qu'ingrédients mélangés
    • Achetée ou fournie en tant qu'ingrédients séparés

Pratiques d'alimentation (Volailles)

Q1. En 2017, y a-t-il eu de la nourriture consommée par les volailles qui a été cultivée dans cette exploitation agricole?

Exclure les récoltes vendues à une fabrique d'aliments, puis achetées sous forme de ration alimentaire totale.

  • Oui
    Quel pourcentage a été cultivé dans cette exploitation agricole?
    • Moins de 25 %
    • De 25 % à moins de 50 %
    • De 50 % à moins de 75 %
    • 75 % à moins de 100 %
    • 100 %
  • Non

Q2. En 2017, lesquels de ces types de cultures produites sur cette exploitation agricole ont servi à nourrir les volailles?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Maïs ou sorgho
  • Céréales
    p. ex. orge, avoine, blé, seigle, triticale
  • Oléagineux
    p. ex. soya, canola, tournesol
  • Légumineuses
    p. ex. pois, lentilles, pois chiches
  • Autre
    Précisez les autres types de cultures

Gestion des oiseaux

Q1. En 2017, combien de rations différentes étaient habituellement utilisées au cours d'un cycle de production, du début à la fin, pour les [oiseaux de chair] dans cette exploitation agricole?

Note : Une ration différente suppose un changement dans la composition des ingrédients, et non pas un changement dans la quantité de la même ration donnée à un animal.

Nombre de rations

Q2. En 2017, quel était l'âge moyen des oiseaux au moment de la mise en marché pour les [oiseaux de chair]?

Nombre de jours

Q3. En 2017, quel était le poids moyen des oiseaux vivants au moment de la mise en marché pour les [oiseaux de chair]?

Poids, Unité de mesure
p. ex. 4.8 lb ou 2.2 kg

Q4. En 2017, quelle était la durée moyenne de non-utilisation du poulailler entre deux cycles de production pour les [oiseaux de chair]?

Nombre de jours

Q5. En 2017, veuillez indiquer si les produits suivants ont été utilisés pour maintenir ou améliorer la santé ou la productivité des [oiseaux de chair] dans cette exploitation agricole.

  1. Antibiotiques pour prévenir les éclosions d'infections
    Inclure les coccidiostats.
  2. Antibiotiques pour traiter les infections
    Inclure les coccidiostats.
  3. Vaccins administrés ou fournis sur les lieux de l'exploitation
  4. Suppléments minéraux et vitaminiques en plus du prémélange
    p. ex. électrocytes stimulant santé
  5. Probiotiques
    p. ex. lactobacillus
  6. Bentonite ou Parois Cellulaires de Levure
  7. Acidificateur dans l'eau ou dans les aliments
  8. Autres produits

Q6. Veuillez préciser les autres produits ayant été utilisés pour maintenir ou améliorer la santé ou la productivité des [oiseaux de chair].

Autres produits

Q7. En 2017, quel était la production d'oeufs par poule pondeuse pour cette exploitation agricole?

Oeufs par poule pondeuse par, Unité de mesure

Q8. En 2017, à quel âge en moyenne les poulettes étaient-elles prêtes à la production d'oeufs?

Âge, Unité de mesure

Q9. Lors de leur dernier cycle complet, pendant combien de semaines les poules pondeuses ont-elles produit des oeufs?

Nombre de semaines

Q10. En 2017, veuillez indiquer si les produits suivants ont été utilisés pour maintenir ou améliorer la santé ou la productivité des poules pondeuses dans cette exploitation agricole.

  1. Antibiotiques pour prévenir les éclosions d'infections
    Inclure les coccidiostats.
  2. Antibiotiques pour traiter les infections
    Inclure les coccidiostats.
  3. Vaccins administrés ou fournis sur les lieux de l'exploitation
  4. Suppléments minéraux et vitaminiques en plus du prémélange
    p. ex. électrocytes stimulant santé
  5. Probiotiques
    p. ex. lactobacillus
  6. Bentonite ou Parois Cellulaires de Levure
  7. Acidificateur dans l'eau ou dans les aliments
  8. Autres produits

Q11. Veuillez préciser les autres produits ayant été utilisés pour maintenir ou améliorer la santé ou la productivité des poules pondeuses.

Autres produits

Q12. En 2017, pour les [oiseaux pour la reproduction], quel pourcentage moyen des oeufs pondus ont donné des poussins ayant été vendus?

Pourcentage

Q13. En 2017, pour les [oiseaux pour la reproduction], combien de poussins l'exploitation a-t-elle produits et vendus?

Nombre de poussins

Q14. En 2017, en moyenne, à quel âge les poulettes étaient-elles prêtes à la production d'oeufs?

Âge, Unité de mesure

Q15. Lors du dernier cycle complet des [oiseaux pour la reproduction], pendant combien de semaines les poules ont-elles produit des oeufs fertilisés?

Nombre de semaines

Q16. En 2017, veuillez indiquez si les produits suivants ont été utilisés pour maintenir ou améliorer la santé ou la productivité des [oiseaux pour la reproduction] dans cette exploitation agricole.

  1. Antibiotiques pour prévenir les éclosions d'infections
    Inclure les coccidiostats.
  2. Antibiotiques pour traiter les infections
    Inclure les coccidiostats.
  3. Vaccins administrés ou fournis sur les lieux de l'exploitation
  4. Suppléments minéraux et vitaminiques en plus du prémélange
    p. ex. électrocytes stimulant santé
  5. Probiotiques
    p. ex. lactobacillus
  6. Bentonite ou Parois Cellulaires de Levure
  7. Acidificateur dans l'eau ou dans les aliments
  8. Autres produits

Q17. Veuillez préciser les autres produits ayant été utilisés pour maintenir ou améliorer la santé ou la productivité des [oiseaux pour la reproduction].

Autres produits

Pratiques d'alimentation (Porcs)

Q1. En 2017, y a-t-il eu de la nourriture consommée par les porcs qui a été cultivée dans cette exploitation agricole?

Exclure les récoltes vendues à une fabrique d'aliments, puis achetées sous forme de ration alimentaire totale.

  • Oui
    Quel pourcentage a été cultivé dans cette exploitation agricole?
    • Moins de 25 %
    • De 25 % à moins de 50 %
    • De 50 % à moins de 75 %
    • De 75 % à moins de 100 %
    • 100 %
  • Non
    Laquelle des options suivantes décrit le mieux comment cette nourriture a été achetée ou fournie?
    • Achetée ou fournie en tant que ration totale mélangés
    • Achetée ou fournie en tant qu'ingrédients séparés

Q2. En 2017, lesquels de ces types de cultures produites sur cette exploitation agricole ont servi à nourrir les porcs?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Maïs ou sorgho
  • Céréales
    p. ex. orge, avoine, blé, seigle, triticale
  • Oléagineux
    p. ex. soya, canola, tournesol
  • Légumineuses
    p. ex. pois, lentilles, pois chiches
  • Autre
    Précisez les autres types de cultures

Q3. En 2017, quel pourcentage des aliments fournis aux porcs dans cette exploitation agricole a été livré à l'aide des méthodes suivantes?

  1. Distributeur d'aliments secs
  2. Distributeurs d'aliments secs et humides
  3. Distributeurs d'aliments liquides
  4. Toutes les autres méthodes
    Précisez toutes les autres méthodes

Q4. En 2017, veuillez indiquer lesquelles des pratiques suivantes ont été utilisées pour maintenir ou améliorer l'état de santé ou la productivité des [porcs] dans cette opération agricole.

  1. Antibiotiques pour prévenir les éclosions d'infections
    Inclure coccidiostats.
  2. Antibiotiques pour traiter les infections
    Inclure coccidiostats.
  3. Acides aminés
  4. Suppléments minéraux en plus de la ration totale mélangée
    p. ex. zinc, cuivre
  5. Probiotiques ou prébiotiques
  6. Acidifiant ajouté à l'eau ou nourriture
  7. Autre pratique

Q5. Veuillez préciser l'autre pratique utilisée pour maintenir ou améliorer l'état de santé ou la productivité des [porcs].

Autre pratique

Q6. En 2017, quel était le poids vif moyen des porcelets sevrés, des porcelets en pouponnière et des porcs de début lorsqu'ils ont été déplacés dans une procherie d'engraissement ou de finition?

Poids vif moyen, Unité de mesure

Q7. En 2017, combien de rations différentes étaient utilisées au cours d'un cycle de production, du début jusqu'à la fin, pour les porcs d'engraissement et les porcs de finition dans cette exploitation agricole?

Note : Une ration différente suppose un changement dans la composition des ingrédients alimentaires, pas un changement dans la quatité de la même ration donnée à un animal.

Rations

Q8. En 2017, quel était le poids vif moyen des porcs de finition lors de leur mise en marché?

Poids vif moyen, Unité de mesure

Rations alimentaires (Bovins laitiers)

Les questions suivantes portent sur la ration actuellement donnée aux [bovins laitiers] dans cette exploitation agricole.

Q1. Quel pourcentage de la ration donnée actuellement aux [bovins laitiers] provient des sources suivantes, peu importe l'endroit où les aliments ont été cultivés?

Rapporter les pourcentages basés sur le poids réel.

Fourrage

  1. Maïs à ensilage
  2. Autre ensilage, fourrage vert ou foin
    p. ex. céréales, oléagineux et légumineuses
  3. Graminées
    p. ex. timothée, fescues, graminées de blé, graminées de seigle, herbe de verger
  4. Légumes
    p. ex. luzerne, trèfle, sainfoin, vesces
  5. Paille
  6. Toutes autres sources de fourrage
    Précisez toutes les autres sources de fourrage

Alimentation à base de grain

  1. Grains de maïs
  2. Grains céréaliers
    p. ex. orge, blé, avoine, triticale
  3. Protéines ou suppléments d'acides aminés
  4. Toutes autres sources d'alimentation à base de grain
    Précisez toutes les autres sources d'alimentation à base de grain

Q2. Quelle quantité d'aliments à base de céréales est actuellement donnée quotidiennement par [bovins laitiers]?

Quantité, Unité de mesure

Q3. En 2017, quelle était la production laitière quotidienne moyenne par vache?

Production moyenne, Unité de mesure

Q4. En 2017, veuillez indiquer lesquelles des pratiques suivantes ont été utilisées pour maintenir ou améliorer l'état de santé ou la productivité des [bovins laitiers].

  1. Tampons
    p. ex. bicarbonate de sodium, Mag-Ox
  2. Modificateurs de rumens
    p. ex. levures ou culture de levures, probiotiques ou prébiotiques
  3. Rumensin
  4. Suppléments de vitamines B
  5. Agents liants à la mycotoxine
    p. ex. bentonite, parois cellulaires de devure, produits de glucomannane, enzymes
  6. Graisses en solution stable ou protégées pour le rumen
    p. ex. graisse de palme
  7. Autres produits

Q5. Veuillez préciser les autres produits utilisés pour maintenir ou améliorer l'état de santé ou la productivité des [bovins laitiers].

Autres produits

Rations alimentaires (Bovins de boucherie)

Les questions suivantes portent sur la ration actuellement donnée aux [bovins de boucherie] dans cette exploitation agricole.

Q1. Les [bovins de boucherie] sont-ils présentement nourris de foin, d'ensilage, ou de fourrage vert?

  • Oui
  • Non

Q2. Quel pourcentage de la ration donnée actuellement aux [bovins de boucherie] provient des sources suivantes, peu importe l'endroit où les aliments ont été cultivés?

Rapporter les pourcentages basés sur le poids réel.

Fourrage

  1. Maïs à ensilage
  2. Autre ensilage, fourrage vert ou foin
    p. ex. céréales, oléagineux et légumineuses
  3. Graminées
    p. ex. timothée, fescues, graminées de blé, graminées de seigle, herbe de verger
  4. Légumes
    p. ex. luzerne, des variétés de trèfle, sainfoin, vesces
  5. Autres sources de fourrage
    Précisez les autres sources de fourrage

Alimentation à base de grain

  1. Grains de maïs
  2. Grains céréaliers
    p. ex. orge, blé, avoine, triticale
  3. Protéines ou suppléments d'acides aminés
  4. Autre source d'alimentation à base de grain
    Précisez les autres sources d'alimentation à base de grain

Q3. Quelle quantité d'aliments à base de céréales est actuellement donnée quotidiennement par [bovins de boucherie]?

Quantité, Unité de mesure

Q4. En 2017, veuillez indiquer lesquelles des pratiques suivantes ont été utilisées pour maintenir ou améliorer l'état de santé ou la productivité des [bovins de boucherie].

  1. Antibiotiques pour prévenir les éclosions d'infections
  2. Antibiotiques pour traiter les infections
  3. Ionophores
  4. Implants d'oreille
  5. Ractopamine ou zilpatérol
  6. Modificateurs du rumen
    p. ex. levure ou culture de levure, probiotiques ou prébiotiques
  7. Bentonite, Parois Cellulaires de Levure, produits contenant du glucomannane ou des enzymes
  8. Autres produits

Q5. Veuillez préciser les autres produits utilisés pour maintenir ou améliorer l'état de santé ou la productivité des [bovins de boucherie].

Autres produits

Q6. Indiquez l'unité de mesure qui sera utilisée pour déclarer le poids vif des animaux.

  • Livres (lb)
  • Kilogrammes (kg)

Q7. En 2017, quel était le poids vif moyen des bouvillons et génisses de semi-finition lorsqu'ils étaient prêts pour la finition?

  1. Génisses de semi-finition
  2. Bouvillons de semi-finition

Q8. En 2017, quel était le poids vif moyen des bouvillons et génisses de finition lorsqu'ils étaient prêts pour la mise en marché?

  1. Génisses de finition
  2. Bouvillons de finition

Rations alimentaires (Porcs)

Veuillez répondre aux questions suivantes en tenant compte de la principale ration alimentaire qui est actuellement servie aux [porcs] dans cette exploitation agricole.

Q1. Quel pourcentage de la ration donnée actuellement aux [porcs] se compose des aliments suivants?

  1. Maïs ou sorgho
  2. Céréales
    p. ex. orge, blé, avoine, triticale
  3. Oléagineux
    p. ex. soya, canola, tournesol
  4. Légumineuses
    p. ex. pois, lentilles, pois chiches
  5. Protéines animales
    p. ex. lactosérum, poudre de lait écrémé
  6. Toutes les autres sources
    Précisez toutes les autres sources

Gestion du pâturage (Bovins laitiers)

Inclure toutes les terres utilisées par cette exploitation agricole, c.-a-d. possédées, prises en location ou à bail, ou exploitées en métayage.

Exclure les terres données en location à d'autres ou exploitées en métayage par d'autres.

Q1. Entre avril et octobre 2017, est-ce que des bovins laitiers ont brouté dans cette exploitation agricole?

  • Oui
  • Non

Q2. Quelle a été la superficie totale du pâturage brouté par les bovins laitiers au cours de cette période?

Superficie du pâturage brouté en [unité de mesure]

Q3. Quel était le type de bovins laitiers qui broutaient dans cette exploitation agricole au cours de cette période?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Vaches laitières
  • Vaches taries
  • Génisses de replacement d'un an et plus
  • Veaux de moins d'un an

Q4. Entre avril et octobre 2017, pendant combien de semaines les pratiques de gestion des pâturages suivantes ont-elles été utilisées pour [les vaches laitières/ les génisses de remplacement]?

Si non applicable, veuillez inscrire 0.

Vaches en lactation

  1. Dans un pâturage pour brouter avec supplémentation
    p. ex. foin, grain
  2. Dans un pâturage pour brouter sans supplémentation

Génisses de remplacement

  1. Dans un pâturage pour brouter avec supplémentation
    p. ex. foin, grain
  2. Dans un pâturage pour brouter sans supplémentation

Gestion de l'alimentation hivernale

Inclure toutes les terres utilisées par cette exploitation agricole, c.-à-d. possédées, louées ou exploitées en métayage.

Exclure les terres louées ou exploitées en métayage par d'autres.

Q1. Depuis novembre 2017, des bovins de boucherie ont-ils brouté ou été nourris en plein champ ou en pâturage dans cette exploitation agricole?

  • Oui
  • Non

Q2. Depuis novembre 2017, quels types de bovins de boucherie de cette exploitation agricole ont brouté ou été nourris en plein champ ou en pâturage le plus souvent?

  • Bouvillons ou génisses de finition
  • Bouvillons ou génisses de semi-finition
  • Vaches avec ou sans leurs veaux
  • Génisses destinées au remplacement des vaches du troupeau

Q3. Depuis novembre 2017, pendant combien de semaines les pratiques de gestion suivantes ont-elles été utilisées pour les [bovins de boucherie]?

  1. En plein champ ou en pâturage pour brouter sans nourriture supplémentaire apportée sur place
  2. En plein champ ou en pâturage pour brouter avec de la nourriture supplémentaire apportée sur place
  3. En plein champ ou en pâturage dépendant principalement de la nourriture apportée sur place

Q4. Parmi les types de végétation suivants, lesquels étaient broutés par les [bovins de boucherie] durant cette période?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Résidus de cultures annuelles récoltées ou repousses après la récolte
    Inclure le chaume, la paille, les balles, les cultures spontanées et les mauvaises herbes.
  • Cultures mises en andains
    p. ex. pâturage d'andains
  • Maïs sur pied
  • Autre végétation sur pied en dormance
    p. ex. fourrages de réserve, culture couvre-sol
  • Autre type de végétation
    Précisez l'autre type de végétation

Q5. Depuis novembre 2017, quel type de nourriture était donné aux [bovins de boucherie] en plein champ ou en pâturage?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Bottes de foin ou de paille entières
    p. ex. pâturage de bottes
  • Bottes de foin ou de paille non roulées
  • Foin, paille ou ensilage transformé mis en andains ou en tas
  • Foin, paille ou ensilage transformé mis dans une auge
  • Grain ou autre supplément
    Précisez le grain ou l'autre supplément

Q6. Lequel des énoncés suivants correspond le mieux à l'endroit où était placée la nourriture durant l'hiver?

  • La nourriture était donnée au même endroit durant toute la période d'alimentation hivernale
  • La nourriture était donnée plusieurs fois au même endroit, puis déplacée à un autre endroit
  • La nourriture n'était donnée qu'une seule fois à un endroit, puis toujours à un nouvel endroit les fois suivantes
  • Autre endroit
    Précisez l'autre endroit

Q7. D'une année à l'autre, est-ce que la nourriture est placée aux mêmes endroits pour l'alimentation hivernale?

  • Oui
    ​À quelle fréquence la nourriture est-elle placée au même endroit?
    • Tous les ans
    • Une fois tous les deux ans
    • Une fois tous les trois à cinq ans
    • Moins d'une fois tous les cinq ans
  • Non

Q8. Parmi les méthodes suivantes, lesquelles ont été utilisées pour fournir un abri pour l'hiver aux bovins de boucherie dans le champ ou pâturage?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Bocages naturels ou zones boisées dans le champ
  • Brise-vent cultivés dans le champ
  • Abris ou coupe-vent fixes construits dans le champ
  • Coupe-vent ou abris portatifs déplacés à différents endroits dans le champ
  • Les bovins s'abritent à la ferme
    p. ex. brise-vent de bâtiments, coupe-vent fixe, étable
  • Autre méthode
    Précisez l'autre méthode

Gestion du pâturage (Bovins de boucherie)

Inclure toutes les terres utilisées par cette exploitation agricole, c.-a-d. possédées, prises en location ou à bail, ou exploitées en métayage.

Exclure les terres louées ou exploitées en métayage par d'autres.

Q1. En 2017, parmi les pratiques suivantes, lesquelles ont été utilisées dans le pâturage pour assurer un taux de charge optimal du pâturage ou une répartition optimale du bétail?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Clôtures électriques mobiles
  • Positionnement stratégique du sel, des minéraux et des sources d'eau
  • Ombrage ou abris
  • Déplacement du bétail dans d'autres zones au sein d'un même grand enclos
  • Autre pratique
    Précisez l'autre pratique
    OU
  • Aucune pratique utilisée

Q2. En 2017, parmis les pratiques suivantes, lesquelles ont été utilisées dans les pâturages?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Irrigation
  • Application d'engrais
  • Application de fumier
  • Arbres retirés, mauvaises herbes ou brousaille contrôlées
  • Terres utilisées pour le foin ou l'ensilage
  • Réensemencé pour l'utilisation des pâturages
  • Briser les pâturages pour les convertir en production agricole
  • Autre pratique
    Précisez l'autre pratique
    OU
  • Aucune pratique utilisée

Q3. Entre avril et octobre 2017, lequel des types suivants de bovins de boucherie de cette exploitation agricole a brouté le plus souvent?

  • Bouvillons ou génisses de finition
  • Bouvillons ou génisses de semi-finition
  • Vaches avec ou sans leurs veaux
  • Génisses destinées au remplacement des vaches du troupeau

Q4. Entre avril et octobre 2017, pendant combien de semaines les pratiques de gestion des pâturages suivantes ont-elles été utilisées pour les [bovins de boucherie]?

  1. Dans un pâturage pour brouter avec supplémentation
    p. ex. foin, grain
  2. Dans un pâturage pour brouter sans supplémentation

Les questions suivantes portent sur un enclos spécifique; une zone fermée de pâturage, qui a servi principalement de pâturage aux [bovins de boucherie] entre avril et octobre 2017.

Q5. Quelle était la superficie totale de cet enclos?

[unité de mesure]

Q6. Entre avril et octobre 2017, quel était en moyenne le nombre de [bovins de boucherie] dans cet enclos quand il a été utilisé pour le pâturage?

Exclure les veaux des paires vache-veau.

Nombre moyen d'animaux

Q7. Pendant combien de temps en moyenne les [bovins de boucherie] brouté le pâturage de cet enclos avant qu'on ne les déplace dans un autre [enclos, ou qu'on leur donne accès à une zone non broutée dans cet enclos à l'aide de clôtures électriques mobiles]?

  • Moins de trois jours
  • De trois jours à moins d'une semaine
  • D'une semaine à moins de deux semaines
  • De deux semaines à moins d'un mois
  • D'un mois à moins de deux mois
  • Deux mois ou plus
  • Le bétail est gardé dans le même enclos et a accès au pâturage entier pendant toute la saison de pâturage

Q8. Entre avril et octobre 2017, combien de fois cet enclos était-il utilisé pour le pâturage?

Note : Pour qu'on les considère comme des périodes de pâturage distinctes, il doit s'être écoulé entre elles un laps de temps pendant lequel le pâturage de l'enclos n'est pas brouté.

  • Une fois
  • Deux fois
  • Trois fois
  • Quatre fois
  • Plus de cinq fois

Q9. Quelle est l'espèce la plus courante dans cet enclos?

  • Herbes indigènes en grande partie
  • Graminées cultivées en grande partie
  • Mélange de graminées cultivées et de légumineuses
  • Céréales ou cultures couvre-sol
    p. ex. orge, avoine, seigle
  • Autre composition
    Précisez l'autre composition

Q10. Cet enclos contient-il un des éléments suivants?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Arbres ou arbustes
  • Terres humides
  • Mauvaises herbes comestibles
  • Mauvaises herbes immangeables

Accès du bétail aux eaux de surface

Les questions suivantes portent sur tous les pâturages de cette exploitation agricole.

Q1. En 2017, y avait-il des pâturages ou des enclos situés à proximité des eaux de surface?

  • Oui
  • Non

Q2. En 2017, quel type d'accès le bétail a-t-il eu à l'eau de surface dans ces zones?

  • Accès illimité
  • Accès limité
  • Aucun accès

Q3. En 2017, parmi les pratiques suivantes, lesquelles ont été utilisées pour restreindre l'accès aux eaux de surface?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Clôtures le long des berges
  • Abreuvoir à distance ou hors site acheminant l'eau par rigole
  • Rampes d'accès direct pour l'abreuvement du bétail
  • Passages de cours d'eau
  • Pâturage limité ou contrôlé près de l'eau de surface
  • Sites d'alimentation ou de literie situés à l'écart des eaux de surface
  • Autre
    Précisez les autres pratiques

Gestion du fumier

Q1. En 2017, du fumier a-t-il été entreposé dans cette exploitation agricole?

Inclure le fumier empilé ou entreposé dans une fosse, un réservoir, un bassin ou une autre structure.

Exclure le fumier laissé dans les étables, les enclos, les corrals ou les aires de couchage.

  • Oui
  • Non

Q2. En 2017, la plus grande partie de ce fumier a-t-il été entreposé sous forme de

  • fumier liquide
    Inclure semi-solide.
  • fumier solide
  • quantités égales de fumier liquide et solide

Q3. En 2017, est-ce que le fumier produit par les [volailles/animaux] a été enlevé de cette exploitation agricole?

Inclure le fumier vendu ou distribué à une autre opération.

Exclure le fumier épandu sur les terres ou déplacé ailleurs dans cette exploitation agricole.

  • Oui
    Quel pourcentage de ce fumier a été enlevé?
    • Moins de 25 %
    • De 25 % à moins de 50 %
    • De 50 % à moins de 75 %
    • 75 % à moins de 100 %
    • 100 %
  • Non

Entreposage et traitement du fumier liquide

Q1. En 2017, y avait-il plus d'une installation d'entreposage de fumier liquide dans cette exploitation agricole?

Considérer les structures de cellules multiples où une cellule se déverse dans une autre cellule comme une structure.

  • Oui
  • Non

Les prochaines questions portent sur la structure qui contenait la plus grande quantité de fumier liquide sur l'exploitation agricole en 2017.

Q2. En 2017, laquelle des descriptions suivantes correspond le mieux à la structure qui contenait la plus grande quantité de fumier liquide dans cette exploitation agricole?

  • Lagune, fosse ou réservoir à cellules multiples sous terre, où le trop-plein est déversé d'une cellule à une autre
    Quel est le nombre de cellules composant cette installation?
  • Lagune ou fosse en terre
  • Autre réservoir ou fosse sous terre (à l'extérieur du bâtiment)
  • Réservoir hors terre (à l'extérieur du bâtiment)
  • Réservoir ou fosse partiellement hors terre (à l'extérieur du bâtiment)
  • Fosse ou réservoir sous les lattes ou le plancher du bâtiment
  • Autre structure
    Précisez l'autre structure

Q3. En 2017, approximativement quel pourcentage de la quantité totale de fumier liquide entreposé dans cette exploitation a été entreposé dans cette structure d'entreposage?

(Inclure ce qui est entreposé dans toutes les cellules.)

  • Moins de 50%
  • 50% à 75%
  • 76% à 95%
  • Plus de 95%

Q4. Combien de mois de production de fumier peuvent être entreposés dans cette installation?

(Inclure ce qui est entreposé dans toutes les cellules.)

  • Moins de trois mois
  • De trois mois à moins de cinq mois
  • De cinq mois à un an
  • Plus d'un an

Q5. Quelle est la capacité totale de cette installation d'entreposage?

(Inclure ce qui est entreposé dans toutes les cellules.)

Capacité totale, Unité de mesure

Q6. Quelle est la profondeur (au point le plus profond) de cette installation d'entreposage?

(Si les cellules ont des profondeurs différentes, fournissez la valeur moyenne.)

Profondeur, Unité de mesure

Q7. Comment voulez-vous déclarer la mesure de surface de cette installation d'entreposage?

(Fournir la mesure de surface d'une cellule. Si les cellules ont des tailles différentes, fournissez la valeur moyenne.)

  • Superficie
    Superficie de la structure
    Superficie, Unité de mesure
  • Diamètre (structure ronde)
    Diamètre de la structure
    Longeur du diamètre, Unité de mesure
  • Longueur X largeur (structure carrée ou rectangulaire)
    Longueur X largeur de la structure d'entreposage
    Longeur, Largeur, Unité de mesure

Q8. En 2017, de quel matériau de couverture cette installation d'entreposage était-elle recouverte?

Une couverture est habituellement une bâche ou un autre type de matériau qui repose sur la surface du fumier entreposé.

Exclure la croûte qui se forme naturellement.

  • Aucune couverture
  • Béton
  • Structure avec toit
  • Paille
  • Couverture flottante en contact avec la surface du fumier
    p. ex. membrane géotextile, bâche
  • Autre matériau de couverture
    Précisez l'autre matériau de couverture

Q9. En 2017, parmi les pratiques suivantes, lesquelles ont été utilisées pour la gestion ou le traitement de tout le fumier liquide entreposé dans cette exploitation agricole?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Brassage avant l'épandage sur les terres
  • Aération pour accroître la quantité d'oxygène et faciliter la décomposition
  • Séparation mécanique des matières solides grossières
    Exclure la séparation natuelle attribuable aux lagunes à cellules multiples.
  • Ajout d'additifs pour prévenir le dépôt des matières solides, réduire les odeurs, modifier la composition, etc.
  • Biodigesteur anaérobique ou captage du méthane à partir d'un bassin scellé
  • Autre pratique
    Précisez l'autre pratique
    OU
  • Aucune pratique utilisée

Entreposage et traitement du fumier solide

Q1. En 2017, lesquelles des méthodes suivantes ont été utilisées pour entreposer le fumier solide dans cette exploitation agricole?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Amas à l'entrepôt
  • Amas au champ
  • Fosses en dessous des granges
  • Autre
    Précisez l'autre méthode

Q2. En 2017, lesquelles des méthodes suivantes ont été utilisées pour entreposer la plupart du fumier solide dans cette exploitation agricole?

  • Amas à l'entrepôt
  • Amas au champ
  • Fosses en dessous des granges
  • [Autre]

Q3. En 2017, est-ce que l'une des [types d'entreposages] avait

Une couverture est habituellement une bâche ou un autre type de matériau qui repose sur la surface du fumier entreposé.

  1. un socle de béton ou un socle imperméable
  2. un système de rétention des écoulements
  3. un toit
  4. une couverture

Q4. En 2017, lesquelles des pratiques suivantes ont été utilisées pour la gestion ou traitment quelques soit le fumier solide entreposé dans cette exploitation agricole?

Sélectionnez tout ce qui s'applique

  • Retournage ou mélange occasionnel pour favoriser la décomposition partielle
  • Compostage actif
    c.-à-d. retournage des tas ou des andains, avec température, humidité et rapport carbone-azote convenables
  • Mélange avec des additifs pour modifier l'odeur, le pH, la teneur en éléments nutritifs, etc.
  • Digestion dans un système anaérobique
  • Autre
    Précisez l'autre pratique
    OU
  • Aucune pratique utilisée

Q5. En moyenne, quelle est la durée d'entreposage du fumier solide avant l'épandage sur les terres?

  • Moins de six mois
  • De six mois à moins d'un an
  • De un an à deux ans
  • Plus de deux ans

Épandage de fumier sur les terres

Q1. Entre octobre 2016 et septembre 2017, est-ce que du fumier a été épandu sur les terres cultivables?

  • Oui
  • Non

Q2. Quel type de fumier a été épandu sur ces terres cultivables?

  • Surtout du fumier liquide
  • Surtout du fumier solide
  • Quantités égales de fumier liquide et solide

Q3. Entre octobre 2016 et septembre 2017, est-ce que du [fumier liquide/fumier solide] a été épandu sur les terres utilisées pour les cultures fourragères?

p. ex. graminées, luzerne, trèfle

  • Oui
    Quelle superficie en [unité de mesure] a reçu du [fumier liquide/fumier solide]?
    Superficie
  • Non

Q4. Entre octobre 2016 et septembre 2017, est-ce que du [fumier liquide/fumier solide] a été épandu sur les terres utilisées pour la production de grandes cultures?

  • Oui
    Quelle superficie en [unité de mesure] a reçu du [fumier liquide/fumier solide]?
    Superficie
  • Non

Épandage du fumier liquide sur les terres (Grandes cultures)

Q1. À quelle fréquence la teneur en éléments nutritifs du fumier liquide est-elle analysée?

  • Tous les ans
  • Tous les deux à trois ans
  • Tous les quatre à cinq ans
  • Tous les six ans ou plus
  • Aucune analyse du fumier liquide

Q2. Entre octobre 2016 et septembre 2017, quelle grande culture a reçu du fumier liquide sur la plus grande superficie de terres?

  1. Orge
  2. Sarrasin
  3. Alpiste des Canaries
  4. Canola (graines de colza)
  5. Pois chiches
    Inclure haricots garbanzo.
  6. Maïs-grain
  7. Maïs à ensilage
  8. Pois secs de grandes cultures
    Exclure pois verts frais.
  9. Haricots rond blancs secs (Navy et Pea beans)
  10. Lin
  11. Lentilles
  12. Graines de moutarde
  13. Avoine
  14. Seigle d'automne (ensemencé à la fin de l'été ou à l'automne 2017)
  15. Seigle de printemps
  16. Soya
  17. Tournesol (variétés standards et naines)
  18. Triticale
  19. Blé de printemps
  20. Blé dur
  21. Blé d'hiver (ensemencé à la fin d'été ou à l'automne 2017)
  22. Autres haricots secs
    p.ex. haricots pinto, haricots rouges, haricots canneberges, haricots de lima, great northern
  23. [Autre grande culture]

Q3. En 2017, quels étaient les types les plus courants de grandes cultures produites sur les terres qui ont reçu du fumier liquide entre octobre 2016 et septembre 2017?

Sélectionnez jusqu'a trois cultures.

  1. Orge
  2. Sarrasin
  3. Alpiste des Canaries
  4. Canola (graines de colza)
  5. Pois chiches
    Inclure haricots garbanzo.
  6. Maïs-grain
  7. Maïs à ensilage
  8. Pois secs de grandes cultures
    Exclure pois verts frais.
  9. Haricots rond blancs secs (Navy et Pea beans)
  10. Lin
  11. Lentilles
  12. Graines de moutarde
  13. Avoine
  14. Seigle d'automne (ensemencé à la fin de l'été ou à l'automne 2017)
  15. Seigle de printemps
  16. Soya
  17. Tournesol (variétés standards et naines)
  18. Triticale
  19. Blé de printemps
  20. Blé dur
  21. Blé d'hiver (ensemencé à la fin d'été ou à l'automne 2017)
  22. Autres haricots secs
    p. ex. haricots pinto, haricots rouges, haricots canneberges, haricots de lima, great northern
  23. Autre grande culture
    p. ex. ginseng, graines de carvi, chanvre, tobac, épeautre, coriandre et autres épices
    Précisez l'autre grande culture

Q4. En ce qui concerne tout le fumier liquide épandu sur les grandes cultures entre octobre 2016 et septembre 2017, quel pourcentage de ce fumier a été épandu pendant les périodes suivantes?

  1. Octobre à décembre 2016
  2. Janvier à mars 2017
  3. Avril à juin 2017
  4. Juillet à septembre 2017

Q5. Au cours des cinq dernières années, quelle était la fréquence approximative de l'épandage de fumier liquide sur les terres utilisées pour la production des grandes cultures?

Si la fréquence variait pour différents champs ou types de cultures, sélectionnez tout ce qui s'applique.

  1. Au moins une fois par année
  2. Tous les deux ans
  3. Tous les trois ans
  4. Moins d'une fois tous les trois ans
  5. Certaines cultures n'ont jamais reçu de fumier liquide

Q6. Lesquelles des méthodes suivantes ont été utilisées pour épandre du fumier liquide sur les terres utilisées pour la production des grandes cultures?

Déclarez les pratiques les plus courantes pour toutes les terres cultivées où le fumier liquide a été appliqué.

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  1. Injection directe dans le sol
  2. Bandes étroites à la surface du sol, sous le feuillage
    p. ex. tuyaux traînants, épandeur avec pendillards, épandage en bandes latérales
  3. Épandage général sur la surface sans incorporation dans le sol
  4. Épandage général sur la surface et incorporation dans le sol
    En général, quand ce fumier liquide a-t-il été incorporé dans le sol?
    • Dans les quatre heures suivant l'épandage
    • Le jour de l'épandage, mais plus de quatre heures après l'épandage
    • Un à deux jours après l'épandage
    • Trois à cinq jours après l'épandage
    • Plus de cinq jours après l'épandage

Épandage du fumier liquide sur les terres (Cultures fourragères)

Q1. À quelle fréquence la teneur en éléments nutritifs du fumier liquide est-elle analysée?

  • Tous les ans
  • Tous les deux à trois ans
  • Tous les quatre à cinq ans
  • Tous les six ans ou plus
  • Aucune analyse du fumier liquide

Q2. Entre octobre 2016 et septembre 2017, quelle superficie de terre où les cultures fourragères ont été cultivées ou ensemencées a reçu du fumier liquide?

  • [Unité de mesure]

Q3. En ce qui concerne tout le fumier liquide épandu sur les terres fourragères entre octobre 2016 et septembre 2017, quel pourcentage de ce fumier a été épandu pendant les périodes suivantes?

  1. Octobre à décembre 2016
  2. Janvier à mars 2017
  3. Avril à juin 2017
  4. Juillet à septembre 2017

Q4. Au cours des cinq dernières années, quelle était la fréquence approximative d'épandage de fumier liquide sur les terres utilisées pour la production des cultures fourragères?

Si la fréquence variait pour différents champs ou types de cultures, sélectionnez tout ce qui s'applique.

  1. Au moins une fois par année
  2. Tous les deux ans
  3. Tous les trois ans
  4. Moins d'une fois tous les trois ans
  5. Certaines terres fourragères n'ont jamais reçu de fumier liquide

Q5. Entre octobre 2016 et septembre 2017, lequel des éléments suivants a reçu plus de fumier liquide?

  • Cultures fourragères établies
  • Terres avant l'ensemencement d'une nouvelle plantation de cultures fourragères

Q6. Lesquelles des méthodes suivantes ont été utilisées pour épandre du fumier liquide sur les terres [où sont cultivées des fourragères établis/avant l'ensemencement d'une nouvelle plantation de cultures fourragères]?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  1. Injection directe dans le sol
  2. Bandes étroites à la surface du sol, sous le feuillage
    p. ex. tuyaux traînants, épandeur avec pendillards, épandage en bandes latérales
  3. Épandage général sur la surface sans incorporation dans le sol
  4. Épandage général sur la surface et incorporation dans le sol
    En général, quand ce fumier liquide a-t-il été incorporé dans le sol?
    • Dans les quatre heures suivant l'épandage
    • Le jour de l'épandage, mais plus de quatre heures après l'épandage
    • Un à deux jours après l'épandage
    • Trois à cinq jours après l'épandage
    • Plus de cinq jours après l'épandage

Épandage du fumier solide sur les terres (Grandes cultures)

Q1. À quelle fréquence la teneur en éléments nutritifs du fumier solide est-elle analysée?

  • Tous les ans
  • Tous les deux à trois ans
  • Tous les quatre à cinq ans
  • Tous les six ans ou plus
  • Aucune analyse du fumier solide

Q2. En 2017, quels étaient les types les plus courants de grandes cultures cultivés sur les terres qui ont reçu du fumier solide entre octobre 2016 et septembre 2017?

  1. Orge
  2. Sarrasin
  3. Alpiste des Canaries
  4. Canola (graines de colza)
  5. Pois chiches
    Inclure haricots garbanzo.
  6. Maïs-grain
  7. Maïs à ensilage
  8. Pois secs de grandes cultures
    Exclure pois verts frais.
  9. Haricots rond blancs secs (Navy et Pea beans)
  10. Lin
  11. Lentilles
  12. Graines de moutarde
  13. Avoine
  14. Seigle d'automne (ensemencé à la fin de l'été ou à l'automne 2017)
  15. Seigle de printemps
  16. Soya
  17. Tournesol (variétés standards et naines)
  18. Triticale
  19. Blé de printemps
  20. Blé dur
  21. Blé d'hiver (ensemencé à la fin d'été ou à l'automne 2017)
  22. Autres haricots secs
    p. ex. haricots pinto, haricots rouges, haricots canneberges, haricots de lima, great northern
  23. Autre grande culture
    p. ex. ginseng, graines de carvi, chanvre, tobac, épeautre, coriandre et autres épices
    Précisez l'autre grande culture

Q3. En ce qui concerne tout le fumier solide épandu sur les grandes cultures entre octobre 2016 et septembre 2017, quel pourcentage de ce fumier a été épandu pendant les périodes suivantes?

  1. Octobre à décembre 2016
  2. Janvier à mars 2017
  3. Avril à juin 2017
  4. Juillet à septembre 2017

Q4. Lesquelles des méthodes suivantes ont été utilisées pour épandre du fumier solide sur les terres utilisées pour la production des grandes cultures?

Sélectionnez tout ce qui s'applique

  1. Épandage général sur la surface sans incorporation dans le sol
  2. Épandage général sur la surface et incorporation dans le sol
    En général, quand ce fumier solide a-t-il été incorporé dans le sol?
    • Dans les quatre heures suivant l'épandage
    • Le jour de l'épandage, mais plus de quatre heures après l'épandage
    • Un à deux jours après l'épandage
    • Trois à cinq jours après l'épandage
    • Plus de cinq jours après l'épandage

Q5. Au cours des cinq dernières années, quelle était la fréquence approximative d'épandage de fumier solide sur les terres utilisées pour la production des grandes cultures?

Si la fréquence variait pour différents champs ou types de cultures, sélectionnez tout ce qui s'applique.

  1. Au moins une fois par année
  2. Tous les deux ans
  3. Tous les trois ans
  4. Moins d'une fois tous les trois ans
  5. Certaines cultures n'ont jamais reçu de fumier solide

Épandage du fumier solide sur les terres (Cultures fourragères)

Q1. À quelle fréquence la teneur en éléments nutritifs du fumier solide est-elle analysée?

  • Tous les ans
  • Tous les deux à trois ans
  • Tous les quatre à cinq ans
  • Tous les six ans ou plus
  • Aucune analyse du fumier solide

Q2. Entre octobre 2016 et septembre 2017, quelle superficie de terre où les cultures fourragères ont été cultivées ou ensemencées a reçu du fumier solide?

  • [Unité de mesure]

Q3. En ce qui concerne tout le fumier solide épandu sur les terres fourragères entre octobre 2016 et septembre 2017, quel pourcentage de ce fumier a été épandu pendant les périodes suivantes?

  1. Octobre à décembre 2016
  2. Janvier à mars 2017
  3. Avril à juin 2017
  4. Juillet à septembre 2017

Q4. Au cours des cinq dernières années, quelle était la fréquence approximative d'épandage de fumier solide sur les terres utilisées pour la production des cultures fourragères?

Si la fréquence variait pour différents champs ou types de cultures, sélectionnez tout ce qui s'applique.

  1. Au moins une fois par année
  2. Tous les deux ans
  3. Tous les trois ans
  4. Moins d'une fois tous les trois ans
  5. Certaines terres fourragères ne reçoivent jamais de fumier solide

Q5. Entre octobre 2016 et septembre 2017, est-ce que du fumier solide a été épandu sur les terres avant l'ensemencement de cultures fourragères?

  • Oui
  • Non

Q6. En général, quand ce fumier solide a-t-il été incorporé dans le sol?

  • Dans les quatre heures suivant l'épandage
  • Le jour de l'épandage, mais plus de quatre heures après l'épandage
  • Un à deux jours après l'épandage
  • Trois à cinq jours après l'épandage
  • Plus de cinq jours après l'épandage

Style de gestion et innovation

Q1. Au cours des cinq dernières années, de 2013 à 2017, parmi les méthodes suivantes, y en a-t-il qui ont été utilisées pour la gestion des besoins en personnel?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Adoption d'une technologie améliorée qui a réduit les besoins en main-d'oeuvre
  • Le personnel actuel a fait des heures supplémentaires
  • Programme des travailleurs étrangers temporaires
  • Programmes de formation et d'accréditation de la main-d'oeuvre
  • Restructuration de l'entreprise agricole afin de réduire ou d'éliminer certains types de fonctions de la ferme
    p. ex. acheter plus d'aliments pour animaux au lieu d'en produire
  • Autre
    Précisez l'autre méthode
    OU
  • Ne s'applique pas

Q2. En 2017, pour la production [du bétail/de culture], des exploitants à forfait ont-ils été engagés pour effectuer des travaux agricoles dans cette exploitation agricole?

  • Oui
  • Non

Q3. En 2017, lesquelles des tâches suivantes ont été exécutées par un exploitant à forfait?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Enlèvement du fumier du corral ou de l'étable
  • Épandage du fumier ou transport hors de l'exploitation
  • Épandage d'engrais
  • Ensemencement des cultures ou du fourrage
  • Pulvérisation des cultures
  • Récolte des cultures ou du fourrage
  • Transport des cultures ou du fourrage
  • Pâturage ou engraissement à forfait d'animaux dans une autre exploitation
  • Transformation de la nourriture cultivée sur cette exploitation pour les [volailles/animaux] de cette exploitation
  • Élimination des carcasses
  • Capture et déplacement de la volaille (vers une autre exploitation ou vers une autre grange)
  • Application de la litière
  • Désinfection ou lavage de la grange ou des enclos
  • Engraissement à forfait des [volailles/animaux] dans une autre exploitation
  • Travail du sol
  • Ensemencement ou plantation
  • Épandage de fumier ou compost
  • Épandage de pesticides
  • Autre
    Veuillez précisez les autres tâches

Q4. En 2017, lesquelles des technologies informatiques suivantes ont été utilisées afin de rehausser ou d'améliorer la production [du bétail/de culture] de cette exploitation agricole?

Sélectionnez tout ce qui s'applique.

  • Consignation des données sur la production [et la santé des animaux]
  • Autres collectes de données
    p. ex. vidéo de surveillance [de la volaille/du bétail], collecte de données sur le terrain à l'aide d'appareils SPG (GPS) ou de drones, qualité de l'air de la grange, comsomation d'eau et d'alimentation
    Précisez les autres collectes de données
  • Contrôle des équipements agricoles
    p. ex. [robotique, opérations sur le terrain controlées par SPM (GPS), ventilation et éclairage de la grange, livraison de nourriture]
    Précisez les équipements agricoles
  • Consignation des données de production des [grandes cultures/cultures fourragères/ cultures de légumes, de fruits, de baies ou de noix]
  • Utilisation de logiciels spécialisés pour améliorer l'analyse des données et le traitement de l'information
    Précisez les logiciels spécialisés
  • Autres fonctions afin de rehausser la production [du bétail/de culture]
    Précisez les autres fonctions
    OU
  • Aucune technologie informatique utilisée

Les questions suivantes concernent l'innovation sur cette exploitation agricole.

L'innovation est l'adoption de produits, de pratiques opérationnelles ou de processus nouveaux ou considérablement améliorés dans cette exploitation. Les innovations doivent être nouvelles pour cette exploitation, mais il n'est pas nécessaire qu'elles soient nouvelles dans l'industrie.

Q5. Au cours des trois dernières années, de 2015 à 2017, cette exploitation a-t-elle produit des produits de culture nouveaux ou considérablement améliorés?

p. ex. nouveaux cultivars, variétés de cultures, hybrides, caractéristiques de produit améliorées

  • Oui
  • Non

Q6. S'agissait-il d'un produit de [grandes cultures/cultures fourragères/ cultures de légumes, de fruits, de baies ou de noix]?

  • Oui
  • Non

Q7. Décrivez brièvement le plus important produit de [grandes cultures/cultures fourragères/ cultures de légumes, de fruits, de baies ou de noix] nouveau ou considérablement amélioré qui a été produit au cours des trois dernières années.

Produit

Q8. Au cours des trois dernières années, de 2015 à 2017, cette exploitation a-t-elle produit des produits de bétail ou de volaille nouveaux ou considérablement améliorés?

p. ex. race ou type de bétail élevé, caractéristique qualitative ou catégorie de qualité améliorée, caractéristiques de produit améliorées

  • Oui
  • Non

Q9. S'agissait-il d'un produit [de la volaille/du bétail]?

  • Oui
  • Non

Q10. Décrivez brièvement le plus important produit [de la volaille/du bétail] nouveau ou considérablement amélioré qui a été produit au cours des trois dernières années.

Description du produit

Q11. Au cours des trois dernières années, de 2015 à 2017, cette exploitation a-t-elle mis en oeuvre des pratiques de production nouvelles ou considérablement améliorées?

Inclure :

  • la gestion de l'alimentation, l'hébergement des animaux, l'entreposage et le traitement du fumier, la manipulation du bétail, le pâturage, la biosécurité, les autres pratiques touchant la santé et la productivité des animaux
  • l'ensemencement ou la plantation, les rotations, l'épandage d'engrais ou de fumier, la lutte antiparasitaire, l'irrigation, la récolte, l'entreposage des cultures, l'utilisation de la technologie SPG (GPS), les autres pratiques d'amélioration de la productivité des sols, des terres ou des récoltes
  • la gestion de l'eau, l'agriculture biologique, la production d'aliments halal et les autres pratiques de production.
  • Oui
  • Non

Q12. Cette pratique de production était-elle liée à la production [du bétail/de culture]?

  • Oui
  • Non

Q13. Décrivez brièvement la plus importante pratique de production [du bétail/de culture] nouvelle ou considérablement améliorée qui a été mise en oeuvre au cours des trois dernières années.

Description du produit

Q14. Au cours des trois dernières années, de 2015 à 2017, cette exploitation a-t-elle mis en oeuvre des pratiques de commercialisation nouvelles ou considérablement améliorées?

p. ex. types de contrats, contrats à terme standardisés ou contrats d'option, la commercialisation directe

  • Oui
  • Non

Q15. Au cours des trois dernières années, de 2015 à 2017, cette exploitation a-t-elle mis en oeuvre des pratiques nouvelles ou considérablement améliorées de gestion d'entreprise?

p. ex. les méthodes pour répondre aux besoins en main-d'oeuvre, la propriété d'entreprise ou les partenariats, l'acquisition d'intrants, les nouvelles activités de traitement, les processus financiers

  • Oui
  • Non

Q16. Décrivez brièvement la plus importante pratique nouvelle ou considérablement améliorée de gestion d'entreprise qui a été mise en oeuvre au cours des trois dernières années.

Description de la pratique

Q17. Au cours des trois dernières années, de 2015 à 2017, quelle a été l'importance des activités suivantes dans la décision d'essayer quelque chose de nouveau dans cette exploitation?

  1. Obtenir des conseils et des renseignements fondés sur l'expérience de collègues agriculteurs
  2. Visiter des fermes de démonstration et participer à des journées champêtres pour observer l'innovation mise en place
  3. Participer à des ateliers, des séminaires, des réunions et des congrès
  4. Obtenir des renseignements de la part de compagnies d'intrants
    p. ex. marchands de semences ou d'aliments pour les animaux
  5. Chercher à obtenir des renseignements auprès de consultants indépendants
  6. Chercher à obtenir des renseignements auprès de spécialistes régionaux ou d'agents de vulgarisation
  7. Lire des renseignements techniques et financiers détaillés
  8. Se servir de ses propres expériences
  9. Faire partie d'une association de producteurs

Q18. Au cours des trois dernières années, de 2015 à 2017, quelle a été l'importance des facteurs suivants dans la décision d'essayer quelque chose de nouveau dans cette exploitation?

  1. Réduction du coût ou augmentation de la production
  2. Augmentation de la valeur du produit
    p. ex. qualité supérieure, attributs ou produits nouveaux
  3. Avantages environnementaux
  4. Avantages reliés à la conciliation travail-famille
  5. Niveau de risque financier de l'innovation comparativement à la pratique actuelle
  6. Accès aux ressources financières pour mettre en place l'innovation
    p. ex. prêts, capital de risque ou autre financement
  7. Disponibilité des renseignements pour évaluer la valeur de l'innovation pour votre exploitation
  8. Temps disponible
  9. Expertise technique pour mettre en place l'innovation
  10. Besoins en main-d'oeuvre
  11. Sécurité des travailleurs

Q19. Pour ce qui est de la mise en place ou de l'adoption de produits, de pratiques ou de processus nouveaux ou considérablement améliorés, est-ce que cette exploitation tend à

  • être parmi les premières à essayer quelque chose de nouveau
  • attendre qu'au moins quelques autres exploitations l'ait essayé en premier
  • attendre que le produit, pratique ou le processus ait fait l'objet de nombreux essais
  • être parmi les dernières à essayer quelque chose de nouveau

Q20. Au cours des trois dernières années, de 2015 à 2017, est-ce que des processus de production, des pratiques de gestion d'entreprise ou des produits nouveaux ou considérablement améliorés liés à la production [du bétail/de culture] ont été envisagés, sans toutefois être mis en place?

  • Oui
  • Non

Q21. Décrivez brièvement le plus important processus de production, la pratique de gestion d'entreprise ou le produit nouveau ou considérablement amélioré qui a été envisagé, sans toutefois être mis en place.

Description

Plan agroenvironnemental officiel

Q1. Cette exploitation agricole a-t-elle un plan agroenvironnemental officiel?

  • Oui, un plan est établi
  • Oui, un plan en cours d'élaboration ou de révision
  • Non

Q2. Quand ce plan agroenvironnemental a-t-il été élaboré ou mis à jour?

  • Il y a moins de deux ans
  • Il y a de deux à moins de cinq ans
  • Il y a de cinq à moins de 10 ans
  • Il y a plus de 10 ans