Directives générales

1. Afin de respecter l'échéance prévue de publication des données, nous demandons aux répondants de faire parvenir les questionnaires remplis au Programme des tribunaux du Centre canadien de la statistique juridique d'ici le (précisez la date). Plus tard au cours de l'exercice, nous communiquerons avec chaque régime d'aide juridique afin de confirmer les résultats de l'enquête avant de les publier.

Veuillez envoyer la version imprimée du questionnaire rempli par télécopieur à :

Enquête sur l'aide juridique
Programme des tribunaux
Centre canadien de la statistique juridique
Télécopieur : (613) 951-6615

Statistique Canada tient à vous avertir que la transmission des renseignements par télécopieur ou tout autre mode électronique peut poser un risque de divulgation. Toutefois, dès la réception de votre document, Statistique Canada garantit la protection de tous les renseignements recueillis en vertu de la Loi sur la statistique.

Ou, soumettez le questionnaire rempli par le Service de transfert électronique de fichiers de Statistique Canada à http://www.statcan.gc.ca/ec-ce/eft-tef

2. L'enquête se divise en deux parties :

  • Partie 1 : Recettes, dépenses et effectif (questions 1 à 5)
  • Partie 2 : Caractéristiques des cas (questions 6 à 13)

Chacune des 13 questions est suivie :

  • d'un tableau à remplir par le répondant;
  • d'une zone où le répondant doit expliquer dans quelle mesure les données déclarées marquent un écart par rapport aux définitions de l'enquête et signaler tout changement de la prestation des services d'aide juridique qui peut avoir une incidence sur les données de cette année.

3. On demande aux répondants d'inscrire un chiffre dans toutes les cases. Si vous ne pouvez pas déclarer de chiffre dans une case particulière, veuillez entrer l'un des éléments suivants :

  • 0 – lorsque le montant est égal à zéro
  • X – lorsque le chiffre n'est pas connu
  • N – lorsque le chiffre n'est pas applicable ou n'est pas approprié

4. Tous les montants doivent être déclarés en milliers de dollars canadiens.

5. Pour tout problème concernant la façon de remplir le questionnaire, communiquez avec le Centre canadien de la statistique juridique (CCSJ) au 1-800-387-2231.

Définitions générales

Portée Les renseignements demandés se limitent à la description des services d'aide juridique assurés par les bureaux d'aide juridique (y compris les cliniques communautaires d'aide juridique) financés en totalité ou en partie par le régime d'aide juridique de la province ou du territoire.

Exercice financier Du 1er avril au 31 mars.

Affaires criminelles Désignent les infractions d'ordre criminel aux lois fédérales.

Lois provinciales/territoriales Désignent les infractions aux lois provinciales ou territoriales, ainsi que les infractions aux règlements municipaux.

Affaires relevant du droit de la famille Les affaires liées au divorce, à la séparation, aux pensions alimentaires, aux droits de garde et de visite, à la tutelle et à la protection de l'enfance, et toute autre affaire de cette nature (par ex. adoption, changement de nom, médiation, filiation).

Autres affaires civiles Toutes les affaires civiles ne relevant pas du droit de la famille.

Adultes Désignent les personnes de 18 ans ou plus.

Jeunes Les jeunes désignent les personnes de 12 ans ou plus mais de moins de 18 ans.

Définitions de l'enquête

Question 1 — Recettes :

Recettes désignent tous les montants reçus directement par le régime d'aide juridique au cours de l'exercice financier. Les fonds versés par les organismes extérieurs au régime d'aide juridique pour des projets précis ne sont pas considérés comme des recettes, mais doivent être indiqués.

Les contributions gouvernementales s'appliquent aux fonds fédéraux, provinciaux et territoriaux alloués au régime d'aide juridique par l'administration provinciale ou territoriale. Les contributions fédérales versées en vertu des ententes fédérales-provinciales ou territoriales de partage des frais pour les services d'aide juridique au criminel dans les cas des adultes, les services d'aide juridique dans le cas des jeunes délinquants ou les services d'aide juridique concernant les affaires civiles ne doivent pas être déclarées dans le cadre de l'enquête, puisque les fonds sont en général directement versés au Trésor de la province ou du territoire et non aux régimes d'aide juridique.

Les intérêts des comptes en fiducie des avocats désignent toutes les sommes reçues au chapitre des intérêts des comptes en fiducie des avocats.

Les contributions des avocats désignent les sommes reçues des avocats (p. ex. les prélèvements) autres que les intérêts des comptes en fiducie, qui doivent être déclarés séparément.

Les contributions des clients désignent tous les montants reçus des bénéficiaires de l'aide juridique. Elles comprennent les cotisations fixes des utilisateurs.

Les recouvrements des coûts désignent les montants recouvrés à la suite d'un jugement, d'une décision ou d'un règlement.

Les autres recettes ont trait aux recettes dont il n'a pas déjà été fait état dans toute autre catégorie de recettes. La catégorie « autres recettes » peut comprendre, entre autres choses, le revenu de placements, les ventes de recherche et les intérêts gagnés en général.

Question 2 — Dépenses directes :

Les dépenses désignent les sommes brutes réelles dépensées par le régime d'aide juridique au cours de l'exercice financier. Les dépenses faites pour le compte du régime d'aide juridique par d'autres organismes ne doivent pas être comprises. Le total des dépenses représente la somme des dépenses directes d'aide juridique, les dépenses au chapitre des services administratifs centraux et les autres dépenses aux titres des programmes visées à la question 3.

Les dépenses directes au chapitre des services juridiques désignent la somme de tous les montants versés à des cabinets d'avocats de pratique privée et les coûts afférents à la prestation des services juridiques assurés par le personnel du régime d'aide juridique. Ces dépenses comprennent les sommes versées pour la prestation de conseils juridiques et services de représentation aux clients, au nombre desquels figurent des groupes cibles. Ces chiffres comprennent aussi les dépenses de tous les cabinets d'avocats et de tous les centres de consultation communautaires ayant conclu un contrat avec le régime d'aide juridique (c.-à-d., le traitement du personnel, les avantages sociaux et les frais généraux). Les dépenses au chapitre des services administratifs centraux et autres dépenses du régime d'aide juridique sont exclues.

  • Les dépenses directes au chapitre des services juridiques assurés par le personnel du régime d'aide juridique désignent les sommes dépensées pour la prestation de conseils juridiques et de services de représentation par le personnel du régime d'aide juridique à des clients, au nombre desquels figurent certains groupes cibles. Ces montants englobent les dépenses de tous les cabinets d'avocats et de tous les centres de consultation communautaires ayant conclu un contrat avec le régime d'aide juridique (c.-à-d., le traitement du personnel, les avantages sociaux et les frais généraux). Ainsi, les dépenses comprennent les traitements et les avantages sociaux du personnel spécialisé et du personnel de soutien, ainsi que les débours juridiques et les frais généraux des bureaux d'aide juridique directe. Les frais généraux associés incluent le coût des fournitures et du matériel de bureau ainsi que les dépenses au chapitre de l'entretien, des conférences, des réunions, des cotisations, des loyers, etc.. Les dépenses au chapitre des services administratifs centraux et les autres dépenses (p. ex. les dépenses en immobilisations) sont exclues.
  • Les dépenses relatives aux cabinets d'avocats de pratique privée englobent les honoraires et les débours, ainsi que certains autres frais (par exemple les frais de déplacement) assumés par les avocats de pratique privée aux fins de la prestation de services juridiques à des clients de l'aide juridique.

Question 3 — Total des dépenses :

Les dépenses directes d'aide juridique désignent la somme des montants payés à des cabinets d'avocats de pratique privée plus le coût des affaires traitées par le personnel du régime d'aide juridique visées à la question 2.

Les dépenses au chapitre des autres programmes comprennent les montants consacrés aux projets externes, aux activités de recherches juridiques, à l'information du public en matière de droit et à des contributions versées à d'autres programmes.

  • Les dépenses au chapitre des projets externes désignent les montants consacrés par le régime d'aide juridique à des projets entrepris à l'extérieur (par exemple, dans des cliniques universitaires). Il est à noter que le financement des cliniques communautaires est exclu.
  • Les dépenses au chapitre des recherches juridiques désignent les montants dépensés par le régime d'aide juridique pour effectuer des recherches ayant trait à des questions juridiques. Ces dépenses excluent les frais engagés pour le fonctionnement des bibliothèques.
  • Les dépenses effectuées au chapitre de l'information du public désignent les montants consacrés par le régime d'aide juridique aux programmes d'information en matière de droit, aux programmes de sensibilisation et à la publicité.

Les dépenses au chapitre des services administratifs centraux comprennent les sommes engagées au chapitre des fonctions de l'administration centrale et des bureaux qui n'emploient pas de personnel pour conseiller et représenter les clients.

Les autres dépenses désignent les sommes dépensées par le régime d'aide juridique au chapitre des fonctions dont il n'a pas déjà été fait état dans toute autre catégorie de dépenses (p. ex. les dépenses en immobilisations).

Question 4 — Effectif :

L'effectif désigne le nombre réel des employés à plein temps et à temps partiel au service du régime d'aide juridique à un moment donné : le 31 mars, dernier jour de l'exercice financier. Ces données sont ventilées selon deux catégories : soit le genre de service offert et le genre d'employé. Les employés faisant partie de l'effectif des régimes d'aide juridique sont divisés en deux catégories : les avocats et les non-avocats. Les avocats salariés désignent les avocats qui sont embauchés par le régime d'aide juridique et qui travaillent au bureau de l'aide juridique. Les salaires de ces employés sont versés par le régime d'aide juridique. Les notaires sont comptés avec les avocats salariés. Les techniciens juridiques sont comptés avec les non-avocats.

Le personnel affecté au service d'aide juridique direct désigne les personnes dont les fonctions consistent principalement à conseiller et à représenter les clients.

Les autres employés désignent les fonctions principales qui ne comprennent pas la prestation de conseils juridiques et (ou) de services de représentation directe des clients; il peut s'agir notamment d'avocats dont les principales fonctions sont de nature administrative, de stagiaires, de comptables, de bibliothécaires, d'étudiants en droit, d'employés de bureau, d'employés affectés à l'information du public et d'employés affectés aux recherches juridiques.

  • Le personnel affecté à l'information du public désigne les personnes qui, à l'intérieur d'un domaine particulier, sont chargées des programmes d'information en matière de droit, des programmes de sensibilisation et de la publicité.
  • Le personnel affecté aux recherches juridiques désigne les personnes qui, au sein d'un programme particulier, effectuent des recherches concernant des questions juridiques. Ne sont pas prises en compte, les personnes affectées aux bibliothèques des régimes d'aide juridique.

Question 5 — Avocats de pratique privée :

Le nombre d'avocats de pratique privée ayant assuré les prestations de services comprend les avocats de pratique privée, membres du Barreau, qui ont réellement fourni des services juridiques et présenté une demande d'honoraires au régime d'aide juridique au cours de l'exercice financier. Les avocats au service d'une administration publique ou membres du personnel de l'aide juridique sont exclus. Les notaires sont inclus dans le dénombrement total. Il s'agit de chiffres sans double compte.

Question 6 — Demandes :

Par demande, on entend une demande officielle présentée par écrit par une personne qui fait appel à un bureau d'aide juridique pour obtenir de l'aide. Le nombre total de demandes indique le nombre de demandes de services sommaires et de services complets plutôt que le nombre total de personnes qui demandent de l'aide. Les services sommaires comprennent la fourniture de conseils juridiques, d'information ou de tout autre type de service juridique minimal à une personne au cours d'une interview officielle. Les services complets, en revanche, s'entendent d'une aide juridique beaucoup plus étendue.

Il faut faire le compte des demandes comme suit :

  1. Il faut compter les demandes écrites touchant des services complets ou sommaires comme l'atteste la présentation d'une demande d'aide juridique. Il faut inclure les demandes écrites qui doivent faire l'objet d'une évaluation écrite de leur bien-fondé. Ainsi, dans certains secteurs de compétence, on délivre des certificats de service pour une opinion juridique sur le mérite du cas.
  2. Il faut exclure les demandes de vive voix présentées en personne à un bureau d'aide juridique ou au téléphone ou par courriel directement au personnel des services d'aide juridique.
  3. Il faut exclure les demandes de services d'avocats nommés d'office.
  4. Il faut inclure les affaires judiciaires mentionnées au moment de la prise de contact avec le bureau dans une seule demande. Si une affaire (autre qu'un appel) ayant trait à la demande initiale a lieu ultérieurement, il ne faut pas la compter comme une nouvelle demande.
  5. Il faut compter séparément les demandes relatives aux affaires criminelles et civiles.
  6. Il faut compter séparément les demandes visant les affaires criminelles dans le cas des jeunes et les affaires criminelles dans le cas des adultes.
  7. Le nombre total de demandes déclarées pour l'exercice financier englobe toutes les demandes présentées au cours de cette période, quel que soit le moment où la demande a été approuvée ou rejetée.

Question 7 — Demandes refusées :

Demandes refusées désignent toutes les demandes formelles écrites d'aide juridique qui ont été refusées. Ce total inclut les demandes pour lesquelles aucun service n'a été approuvé, ainsi que les demandes refusées pour service complet qui ont par ailleurs reçu des services sommaires. Une demande peut être rejetée, portée en appel et rejetée de nouveau. Seul le rejet initial est compté. Les raisons du rejet découlent de restrictions de la loi et de la politique et comprennent les suivantes :

  • Par inadmissibilité financière, on entend le refus d'accepter une demande d'aide juridique à cause de certains renseignements d'ordre financier divulgués par l'intéressé sur ses revenus, ses avoirs et ses dettes.
  • Les demandes rejetées pour des motifs liés à l'applicabilité sont refusées parce que le régime d'aide juridique n'offre pas de services pour des affaires de ce genre.
  • Des demandes peuvent être rejetées faute de mérite suffisant si la nature du cas ou le manque de sérieux de l'affaire ne justifie pas la prestation d'aide juridique.
  • Le rejet d'une demande d'aide juridique pour non-conformité/abus est fondé sur la façon dont le requérant a utilisé ou utilise actuellement le régime d'aide juridique. Il peut s'agir des motifs suivants : des services similaires ont déjà été rendus; les services demandés constituent un recours abusif à la voie judiciaire; le refus de collaborer avec l'avocat de l'aide juridique.
  • Par autres raisons, on entend toutes les raisons de refuser une demande qui ne figurent pas dans les catégories ci-dessus. Dans la mesure du possible, veuillez préciser les motifs de refus à la section Remarques.

Si une demande est rejetée pour deux raisons, la plus importante doit être considérée comme la principale raison.

Questions 8 et 9 — Demandes de services complets approuvées :

Une demande de services complets approuvée désigne une demande donnant lieu à la prestation d'une aide juridique conformément à un certificat, à une mise en rapport ou à toute autre autorisation indiquant que le requérant peut recevoir des services complets d'aide juridique.

Lorsqu'une demande de services complets est approuvée, on ne peut ultérieurement la compter comme une demande de services sommaires même si dans certains cas relativement peu de services on été assurés afin de répondre à la demande.

On compte le nombre d'unités de services fournis plutôt que le nombre de personnes assistées. Ces chiffres n'englobent ni les services sommaires ni les services d'avocats nommés d'office.

Question 10 — Demandes approuvées pour services sommaires :

Demandes approuvées pour services sommaires désignent un conseil juridique, un renseignement ou tout autre genre de service de base donné à un individu lors d'une entrevue formelle. Ce type de service peut inclure des tâches légales simples telles qu'un appel téléphonique ou la rédaction d'une lettre au nom d'un client. Des services sommaires sont assurés dans deux circonstances : une demande écrite a été présentée au bureau ou une demande verbale a été faite en personne à un bureau de l'aide juridique ou par téléphone à un professionnel affecté au service d'aide juridique direct. Seules les demandes écrites doivent être comptées.

On ne compte pas les demandes de services étendus (services complets) dont le rejet a entraîné la prestation des services sommaires. De même, on ne tient pas compte des demandes de services complets approuvées mais ayant donné lieu à la prestation de services sommaires.

Ce compte mesure le nombre d'unités de services rendus plutôt que le nombre de personnes qui ont reçu des services. Ces chiffres n'englobent ni les demandes de services complets approuvées ni les services d'avocats nommés d'office.

Question 11 — L'aide d'avocats nommés d'office :

Par services d'avocats nommés d'office, on entend les services juridiques assurés à un particulier par un avocat à un endroit autre que le bureau d'aide juridique et pour lesquels la personne aidée n'avait pas présenté une demande écrite. On compte le nombre d'unités de services fournis plutôt que le nombre des personnes assistées. Ces chiffres n'englobent ni les services sommaires ni les demandes approuvées.
Les personnes dont la cause est entendue par un tribunal itinérant reçoivent habituellement les services d'avocats nommés d'office. C'est pourquoi les causes entendues par les tribunaux itinérants sont comptées dans les services d'avocats nommés d'office plutôt que dans les demandes acceptées. Seules les affaires entendues par les tribunaux itinérants et qui sont remises à plus tard figurent dans les demandes acceptées. La prestation à un client de services d'avocats nommés d'office n'empêche pas ce client de présenter plus tard une demande de service d'aide juridique s'il le désire.

  • Les services d'avocats nommés d'office au criminel désignent les services qui sont généralement assurés devant un tribunal ou dans un lieu de détention.
  • Les services d'avocats nommés d'office au civil désignent les services relatifs à des affaires civiles qui peuvent aussi être assurés ailleurs que devant un tribunal ou un lieu de détention (par exemple : un hôpital psychiatrique ou un foyer pour personnes âgées.)

Question 12 — Causes interprovinciaux :

L'Accord interprovincial de réciprocité désigne l'accord officieux qui a été conclu entre les régimes d'aide juridique du Canada en ce qui concerne le traitement des causes des affaires civiles des non-résidents. Aux termes de cet accord, les particuliers qui désirent obtenir des services d'aide juridique doivent en faire la demande dans leur province ou territoire de résidence plutôt que dans la province ou le territoire où le recours judiciaire a lieu. Une demande approuvée est ensuite transmise au régime d'aide juridique qui assure la prestation des services d'aide juridique nécessaires.

Les causes reçus désignent les demandes que d'autres régimes d'aide juridique provinciaux ont approuvées pour services en matière civile et vous ont transmises, et que vous avez traitées.

Les causes transmises désignent les demandes que votre régime d'aide juridique a approuvées pour services en matière civile et transmises à d'autres régimes d'aide juridique provinciaux pour qu'ils les traitent.

Question 13 — Appels :

Par appel, on entend un appel interjeté par suite d'une décision d'un tribunal de première instance ou d'un tribunal administratif; il ne s'agit pas d'un appel interjeté par suite du refus d'une demande. Chaque dossier est compté même si l'affaire en cause a été traitée par le régime d'aide juridique dans le passé.

Incidences des lois - 2015

La modification de la législation et les changements apportés en conséquence au classement des infractions créent une discontinuité dans le dossier historique de certaines infractions criminelles. Lorsqu'on établit des comparaisons dans le temps, il faut tenir compte des changements législatifs concernant les voies de fait, l'agression sexuelle, le vol, le crime d'incendie, les méfaits, la prostitution et les crimes commis par les jeunes. Certains des changements les plus importants sont les suivants :

Agression sexuelle : projet de loi C-127 (1983)

Le projet de loi C-127 a permis de remplacer les articles au Code criminel relatifs au viol et à l'attentat à la pudeur par des articles de loi définissant trois différents niveaux d'agressions sexuelles selon la gravité. Ce projet de loi a assoupli les circonstances dans lesquelles les policiers pouvaient porter des accusations.

Loi sur les jeunes contrevenants (LJC) (1984)

Avec l'entrée en vigueur de la LJC en avril 1984, l'âge minimal auquel un adolescent pouvait être accusé en vertu de la LJC était fixé à 12 ans. Cependant, l'âge maximal variait jusqu'en avril 1985, lorsque l'âge maximal a été établi à 17 ans (jusqu'au 18e anniversaire) dans l'ensemble des provinces et territoires. La définition de jeune utilisée ici fait état des personnes âgées de 12 à 17 ans inclusivement. Cette définition correspond au groupe d'âge des personnes visées par la Loi sur les jeunes contrevenants (LJC).

Infractions au Code de la route: projet de loi C-18 (1985)

En décembre 1985, le projet de loi C18 a effectué des changements majeurs à l'égard des infractions de la circulation (toute la série 700). Il prévoit des peines plus sévères dans le cas de conduite dangereuse et avec facultés affaiblies. Ce projet a également facilité l'application des lois relatives à la conduite avec facultés affaiblies en autorisant la police à prélever des échantillons d'haleine et de sang dans certains cas. Par conséquent, les données antérieures à 1985 ne sont pas comparables et ne sont pas présentées.

Limites de la valeur des biens : projet de loi C-18 (1985) et projet de loi C-42 (1995)

En 1985, le projet de loi C-18 a modifié les limites de la valeur des biens, les faisant passer de moins de 200 $ et 200 $ et plus, à moins de 1 000 $ et 1 000 $ et plus. Ces mesures législatives s'appliquent à des infractions comme le vol, la possession de biens volés, le méfait et la fraude. En février 1995, le projet de loi C-42 a de nouveau révisé les limites de la valeur des biens, ces limites passant à moins de 5 000 $ et 5 000 $ et plus.

Mesures de rechange : projet de loi C-41 (1996)

La Loi C-41 a été proclamée le 3 septembre 1996. L'un des faits saillants de cette loi consistait en l'introduction de mesures de rechange pour adultes afin d'offrir des moyens de régler les disputes et les infractions mineures à l'extérieur des procédures officielles des tribunaux.

Armes à feu : projet de loi C-68 (1997)

La Loi C-68, proclamée le 1er janvier 1997, oblige tous les propriétaires d'une arme à feu à se munir d'un permis d'arme à feu au plus tard en janvier 2001. Ce permis remplace le Certificat d'enregistrement d'arme à feu qui est en usage depuis 1977. À compter du 1er octobre 1998, toutes les armes à feu devront être enregistrées dans les cinq années de leur acquisition et faire l'objet d'un Certificat d'enregistrement. Le projet de loi C-68 prévoit aussi des peines plus sévères à l'égard des personnes qui utilisent une arme à feu pour commettre un crime.

La Loi réglementant certaines drogues et autres substances : Projet de loi C-8 (1997)

Cette nouvelle législation est entrée en vigueur le 14 mai 1997. La Loi réglementant certaines drogues et autres substances (LRDS) a annulé et remplacé la Loi sur les stupéfiants et certaines parties de la Loi sur les aliments et les drogues en 1996. Certaines infractions reliées à la possession, au trafic et à l'importation de certaines drogues contrôlées et à usage restreint sont maintenant ajoutées dans la catégorie Autres drogues. Par conséquent, on doit faire preuve de prudence lorsque l'on compare les données récentes à celles de 1997.

Conduite dangereuse pour éviter la police : Projet de loi C-202 (2000)

Le projet de loi C-202 est entré en vigueur le 30 mars 2000. Cette législation modifie la section 249 du Code criminel et crée une nouvelle infraction pour conduite dangereuse d'un véhicule lorsqu'effectué avec l'intention d'éviter la police.

Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents : projet de loi C-7 (2003)

Les mesures extrajudiciaires favorisées par la Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents (LSJPA), sont entrées en vigueur en avril 2003. Ceci comprend la prise d'aucune autre mesure, les avertissements non officiels par la police, les renvois aux programmes communautaires, les mises en garde officielles par la police, les mises en garde par la Couronne, et les programmes de sanctions extrajudiciaires. Il est présumé que les mesures extrajudiciaires sont suffisantes pour tenir responsables les contrevenants non violents qui n'ont pas, par le passé, été reconnus coupables par les tribunaux.

Courses de rue : Projet de loi C-19 (2006)

La Loi C-19, proclamée le 14 décembre 2006, s'attaque au problème des courses de rue en apportant essentiellement quatre modifications au Code criminel. Il établit la définition d'une «course de rue», il crée cinq nouvelles infractions se rapportant aux courses de rue, pour trios de ces nouvelles infractions, il prévoit des peines maximales d'emprisonnement plus élevées que celles prévues actuellement pour la conduite dangereuse ou la négligence criminelle dans la conduite d'un véhicule à moteur, il introduit des ordonnances d'interdiction de conduire obligatoires, comportant une période minimale et une augmentation graduelle de la durée de l'interdiction de conduire en cas de récidive.

L'Enregistrement illégal de films: Projet de loi C-59 (2007)

La Loi C-59, proclamée le 22 juin 2007, s'attaque à l'enregistrement illégal de films dans les salles de cinéma. Pour ce faire, il crée deux infractions au Code criminel : l'enregistrement à des fins personnelles d'un film projeté dans un cinéma – punissable d'un emprisonnement maximal de deux ans; l'enregistrement à des fins commerciales d'un film projeté dans un cinéma – punissable d'un emprisonnement maximal de cinq ans.

La lutte contre les crimes violents : projet de loi C-2 (2008)

Le projet de loi C-2, qui a été sanctionné le 28 février 2008, a fait passer de 14 à 16 ans l'âge de consentement pour les infractions au Code criminel suivantes : contacts sexuels, incitation à des contacts sexuels, exploitation sexuelle, bestialité et exhibitionnisme devant un enfant de moins de 14 ans. En ce qui concerne les agressions sexuelles des niveaux 1, 2 et 3, l'âge des plaignants est passé à moins de 16 ans (auparavant 14 ans).

La conduite avec facultés affaiblies et le défaut de fournir un échantillon de sang comprennent maintenant la distinction entre l'alcool et les drogues (ou une combinaison de drogues). Le défaut ou le refus de fournir un échantillon d'haleine ou le défaut d'obtempérer ou le refus (drogues) sont maintenant passibles d'une peine maximale de 25 ans.

Les nouvelles infractions relatives aux armes à feu sont réparties entre les introductions par effraction pour voler une arme à feu et les vols qualifiés visant une arme à feu, qui sont passibles d'une peine maximale de 25 ans.

La lutte contre les crimes violents : Projet de loi C-2 (2009)

Le projet de loi C-2, qui a été sanctionné le 28 février 2008, la DUC a également créé un nouveau code pour l'exploitation sexuel d'une personne avec une incapacité. Aussi, deux nouvelles infractions relatives aux armes à feu étaient créées : le vol pour voler une arme à feu, et Introduction par effraction pour voler une arme à feu.

Loi pour modifier le Code Criminel (le crime organisé et la protection de participant du système judiciaire) Projet de loi C-14 (2009)

Le projet de loi C-14 est entré en vigueur le 2 octobre, 2009. Par conséquent, deux nouvelles infractions ont été crées : Agression avec une arme ou causant des lésions corporelles contre un policier, et violences avec voies de fait contre un policier.

En 2002, des changements législatifs ont été adoptés en vue d'inclure l'utilisation d'Internet pour commettre des infractions liées à la pornographie juvénile. Ainsi, la variation en pourcentage de cette infraction est calculée pour la période allant de 2003 à 2009.

Loi codifiant le vol d'identité : Project de loi S-4 (2010)

Le projet de loi S-4 est entré en vigueur le 8 janvier 2010. Par conséquent, deux nouvelles infractions ont été créées : Vol d'identité et Fraude d'identité.

Traite de personnes âgées de moins de dix-huit ans : Projet de loi C-268 (2010)

Le projet de loi C-268 est entré en vigueur le 29 juin 2010. Par conséquent, une nouvelle section du Code Criminel était créée; Section 279.011(1), qui serait codifiée au code du DUC existant de Traite des personnes.

Loi pour modifier le Code Criminel (attentat suicide à la bombe) : Projet de loi S-215 (2010)

Le projet de loi S-215 est entré en vigueur le 15 décembre 2010. Cette édiction modifie le Code Criminel pour clarifier que l'attentat suicide à la bombe est inclus dans la définition « d'activité terroriste ». Par conséquent, ils devraient être inclus dans ces infractions DUC : Participation à une activité d'un groupe terroriste, Facilitation d'une activité terroriste, et Se livrer ou charger une personne de se livrer à une activité terroriste.

Vol d'automobile et trafic de biens criminellement obtenus : Projet de loi S-9 (2011)

Le projet de loi S-9 est entré en vigueur le 29 avril 2011. Par conséquent, un nouveau code d'infraction pour le Vol de véhicule à moteur a été créé. Ceci a remplacé les infractions DUC de Vol d'un véhicule à moteur de plus de 5000 $ et Vol d'un véhicule à moteur de 5000 $ et moins.

Possession de biens volés est maintenant divisée en deux catégories; Possession de biens volés de plus de 5000 $ et Possession de biens volés de 5000 $ et moins.

Trois nouveaux codes d'infractions DUC étaient créés : Modification/destruction/enlèvement du numéro d'identification du véhicule (NIV), Trafic de biens volés de plus de 5000 $, et Trafic de biens volés de 5000 $ et moins.

Modification de la Loi réglementant certaines drogues et autres substances (LRDS) : Projet de loi C-475 (2011)

Le projet de loi C-475 est entré en vigueur le 26 juin 2011. Par conséquent, une nouvelle section de Code Criminel était créée; Section 7.1(1). Cette section serait codifiée à la nouvelle infraction DUC de Précurseur/équipement (méthamphétamine, ecstasy).

Loi sur la sécurité des rues et des communautés : Projet de loi C-10 (2012)

Le projet de loi C-10 est entré en vigueur le 9 août 2012. Par conséquent, deux nouvelles sections de Code Criminel étaient créées; Section 172.2(1) et Section 171.1(1). Section 1712.2(1) sera mise en correspondance avec le code d'infraction DUC existant de Leurre d'un enfant au moyen d'un ordinateur. Section 171.1(1) sera codifiée à la nouvelle infraction DUC de Rendre disponible du matériel sexuellement explicite à une enfant.

Loi sur la lutte contre le terrorisme: Projet de loi S-7 (2013)

Le Projet de loi S-7 est entré en vigueur le 15 juillet 2013. Le texte modifie le Code criminel afin d'ériger en infraction le fait de quitter ou de tenter de quitter le Canada pour commettre certaines infractions de terrorisme. Il apporte aussi des changements en lien avec l'infraction d'héberger une personne qui s'est livrée à une activité terroriste. Par suite de ces modifications, sept nouveaux codes d'infraction du DUC ont été créés au milieu de 2013.

Méfaits à l'égard des monuments commémoratifs de guerre : Projet de loi C-217 (2014)

En vertu des articles 430(4.11a)), 430(4.11b)) et 430(4.2) du Code criminel, le Projet de loi C-217 a créé de nouvelles infractions criminelles de méfait à l'égard des monuments commémoratifs de guerre (2177) et de méfait à l'égard d'un bien culturel (2175). Ce projet de loi est en vigueur depuis le 19 juin 2014.

Recrutement - organisation criminelle : Projet de loi C-394 (2014)

Ce projet de loi, en vigueur depuis le 19 juin 2014, criminalise le recrutement de membres par une organisation criminelle en vertu de l'article 467.111 du Code criminel. Les affaires comportant cette infraction se verront attribuer le code d'infraction 3843.

Loi sur la protection des collectivités et des personnes victimes d'exploitation : Projet de loi C-36 (2014)

Le projet de loi C-36 est entré en vigueur en décembre 2014. La nouvelle loi cible « l'exploitation inhérente à la prostitution et les risques de violence auxquels s'exposent les personnes qui se livrent à cette pratique » (préambule du chapitre 25 du Code criminel). Les nouvelles infractions considérées comme une « marchandisation des activités sexuelles » dans la catégorie des « infractions contre la personne » englobent l'achat de services sexuels et la communication à cette fin, l'obtention d'un avantage matériel provenant de l'achat de services sexuels, le proxénétisme et la publicité de services sexuels moyennant rétribution. En outre, un certain nombre d'autres infractions liées à la prostitution sont encore considérées comme des infractions sans violence et sont incluses dans les « autres infractions au Code criminel ». Ces infractions comprennent la communication dans le but de rendre des services sexuels moyennant rétribution et l'interférence à la circulation dans le but d'offrir, de rendre ou d'obtenir des services sexuels moyennant rétribution. Parallèlement, la DUC a été modifié pour classer les codes d'infraction « Père, mère ou tuteur qui sert d'entremetteur » et « Maître de maison qui permet des actes sexuels interdits » dans la catégorie des « infractions contre la personne ». Les infractions suivantes ont expiré officiellement le 5 décembre 2014 : maison de débauche, vivre des produits de la prostitution d'une personne de moins de 18 ans, proxénétisme, obtenir des services ou communiquer avec une personne de moins de 18 ans à des fins de prostitution, et autres infractions reliées à la prostitution. Les services de police peuvent utiliser ces codes, car leurs systèmes de gestion des documents ont été mis à jour de manière à les permettre. Il faut donc interpréter ces données avec prudence.

En vigueur depuis décembre 2014, le projet de loi C-36 a modifié la définition du terme « maison de débauche » dans le Code criminel pour ne plus faire mention de la prostitution. Par suite de cette modification, on a abandonné l'infraction liée à la définition précédente de « maison de débauche » de la DUC et introduit une infraction correspondant à la nouvelle définition. Les services de police peuvent tenir compte de cette modification, car leurs systèmes de gestion des documents ont été mis à jour en conséquence. Il faut donc interpréter ces données avec prudence.

Loi sur la protection des Canadiens contre la cybercriminalité : Projet de loi C-13 (2015)

Le 9 mars 2015, le projet de loi C-13, Loi sur la protection des Canadiens contre la cybercriminalité, est entré en vigueur. En vertu de cette loi, une nouvelle infraction est prévue dans le Code criminel, soit la distribution non consensuelle d'images intimes. Elle précise également que les infractions relatives aux communications harcelantes ou indécentes prévues dans le Code criminel peuvent être commises par tout moyen de communication. Les services de police peuvent tenir compte de ces modifications, car leurs systèmes de gestion des dossiers ont été mis à jour en conséquence.

Loi visant à combattre la contrebande de tabac : Projet de loi C-10 (2015)

Le 10 avril 2015, le projet de loi C-10, Loi visant à combattre la contrebande de tabac, est entré en vigueur. En vertu de cette loi, une nouvelle infraction est prévue dans le Code criminel, soit la contrebande de tabac, que l'on classe parmi les « infractions contre l'application de la loi et l'administration de la justice ». Avant avril 2015, cette infraction était comptabilisée aux termes de la Loi sur l'accise. Il faut donc faire preuve de prudence au moment de la comparaison de ces deux infractions pour les années antérieures.

Loi sur le renforcement des peines pour les prédateurs d'enfants : Projet de loi C-26 (2015)

Entré en vigueur le 17 juillet 2015, le projet de loi C-26 prévoit une augmentation des peines maximales pour certaines infractions sexuelles commises contre des enfants, y compris la violation d'une ordonnance d'interdiction ou d'une ordonnance de probation se rapportant à une infraction sexuelle visant un enfant. Dans la DUC, l'infraction la plus grave est en partie déterminée par la peine maximale. Par conséquent, la modification d'une peine maximale peut avoir un effet sur l'infraction la plus grave dans une affaire déclarée par la police. Les services de police peuvent tenir compte de ces modifications, car leurs systèmes de gestion des dossiers ont été mis à jour en conséquence.

Projet de loi C-51 – Loi antiterroriste, (2015)

Le Projet de loi C-51 est entré en vigueur le 18 juillet 2015. Le texte modifie le Code criminel et par suite de cette modification, un nouveau code d'infraction a été ajouté à l'enquête pour l'infraction « Préconiser ou fomenter la perpétration d'infractions de terrorisme ».

Comparaison des données du Programme DUC avec celles des tribunaux et des services correctionnels

Il est difficile de comparer les données déclarées par les services de police avec celles qui proviennent d'autres secteurs du système de justice pénale (tribunaux et services correctionnels). Aucune unité de dénombrement (c'est-à-dire les affaires, les infractions, les accusations, les causes ou les personnes) n'est définie de la même façon dans les principales composantes du système judiciaire. Comme on l'a noté, les accusations effectivement portées peuvent être différentes de l'infraction la plus grave en fonction de laquelle les affaires sont déclarées. En outre, le nombre et la nature des accusations portées par la police peuvent changer avant la tenue ou lors d'un procès. Les intervalles de temps entre les diverses étapes du processus judiciaire rendent également difficiles les comparaisons.

Incidences des lois - 2014

La modification de la législation et les changements apportés en conséquence au classement des infractions créent une discontinuité dans le dossier historique de certaines infractions criminelles. Lorsqu'on établit des comparaisons dans le temps, il faut tenir compte des changements législatifs concernant les voies de fait, l'agression sexuelle, le vol, le crime d'incendie, les méfaits, la prostitution et les crimes commis par les jeunes. Certains des changements les plus importants sont les suivants :

Agression sexuelle : projet de loi C-127 (1983)

Le projet de loi C-127 a permis de remplacer les articles au Code criminel relatifs au viol et à l'attentat à la pudeur par des articles de loi définissant trois différents niveaux d'agressions sexuelles selon la gravité. Ce projet de loi a assoupli les circonstances dans lesquelles les policiers pouvaient porter des accusations.

Loi sur les jeunes contrevenants (LJC) (1984)

Avec l'entrée en vigueur de la LJCen avril 1984, l'âge minimal auquel un adolescent pouvait être accusé en vertu de la LJC était fixé à 12 ans. Cependant, l'âge maximal variait jusqu'en avril 1985, lorsque l'âge maximal a été établi à 17 ans (jusqu'au 18e anniversaire) dans l'ensemble des provinces et territoires. La définition de jeune utilisée ici fait état des personnes âgées de 12 à 17 ans inclusivement. Cette définition correspond au groupe d'âge des personnes visées par la Loi sur les jeunes contrevenants (LJC).

Infractions au Code de la route: projet de loi C-18 (1985)

En décembre 1985, le projet de loi C18 a effectué des changements majeurs à l'égard des infractions de la circulation (toute la série 700). Il prévoit des peines plus sévères dans le cas de conduite dangereuse et avec facultés affaiblies. Ce projet a également facilité l'application des lois relatives à la conduite avec facultés affaiblies en autorisant la police à prélever des échantillons d'haleine et de sang dans certains cas. Par conséquent, les données antérieures à 1985 ne sont pas comparables et ne sont pas présentées.

Limites de la valeur des biens : projet de loi C-18 (1985) et projet de loi C-42 (1995)

En 1985, le projet de loi C-18 a modifié les limites de la valeur des biens, les faisant passer de moins de 200 $ et 200 $ et plus, à moins de 1 000 $ et 1 000 $ et plus. Ces mesures législatives s'appliquent à des infractions comme le vol, la possession de biens volés, le méfait et la fraude. En février 1995, le projet de loi C-42 a de nouveau révisé les limites de la valeur des biens, ces limites passant à moins de 5 000 $ et 5 000 $ et plus.

Mesures de rechange : projet de loi C-41 (1996)

La Loi C-41 a été proclamée le 3 septembre 1996. L'un des faits saillants de cette loi consistait en l'introduction de mesures de rechange pour adultes afin d'offrir des moyens de régler les disputes et les infractions mineures à l'extérieur des procédures officielles des tribunaux.

Armes à feu : projet de loi C-68 (1997)

La Loi C-68, proclamée le 1er janvier 1997, oblige tous les propriétaires d'une arme à feu à se munir d'un permis d'arme à feu au plus tard en janvier 2001. Ce permis remplace le Certificat d'enregistrement d'arme à feu qui est en usage depuis 1977. À compter du 1er octobre 1998, toutes les armes à feu devront être enregistrées dans les cinq années de leur acquisition et faire l'objet d'un Certificat d'enregistrement. Le projet de loi C-68 prévoit aussi des peines plus sévères à l'égard des personnes qui utilisent une arme à feu pour commettre un crime.

La Loi réglementant certaines drogues et autres substances : Projet de loi C-8 (1997)

Cette nouvelle législation est entrée en vigueur le 14 mai 1997. La Loi réglementant certaines drogues et autres substances (LRDS) a annulé et remplacé la Loi sur les stupéfiants et certaines parties de la Loi sur les aliments et les drogues en 1996. Certaines infractions reliées à la possession, au trafic et à l'importation de certaines drogues contrôlées et à usage restreint sont maintenant ajoutées dans la catégorie Autres drogues. Par conséquent, on doit faire preuve de prudence lorsque l'on compare les données récentes à celles de 1997.

Conduite dangereuse pour éviter la police : Projet de loi C-202 (2000)

Le projet de loi C-202 est entré en vigueur le 30 mars 2000. Cette législation modifie la section 249 du Code criminel et crée une nouvelle infraction pour conduite dangereuse d'un véhicule lorsqu'effectué avec l'intention d'éviter la police.

Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents : projet de loi C-7 (2003)

Les mesures extrajudiciaires favorisées par la Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents (LSJPA), sont entrées en vigueur en avril 2003. Ceci comprend la prise d'aucune autre mesure, les avertissements non officiels par la police, les renvois aux programmes communautaires, les mises en garde officielles par la police, les mises en garde par la Couronne, et les programmes de sanctions extrajudiciaires. Il est présumé que les mesures extrajudiciaires sont suffisantes pour tenir responsables les contrevenants non violents qui n'ont pas, par le passé, été reconnus coupables par les tribunaux.

Courses de rue : Projet de loi C-19 (2006)

La Loi C-19, proclamée le 14 décembre 2006, s'attaque au problème des courses de rue en apportant essentiellement quatre modifications au Code criminel. Il établit la définition d'une «course de rue», il crée cinq nouvelles infractions se rapportant aux courses de rue, pour trios de ces nouvelles infractions, il prévoit des peines maximales d'emprisonnement plus élevées que celles prévues actuellement pour la conduite dangereuse ou la négligence criminelle dans la conduite d'un véhicule à moteur, il introduit des ordonnances d'interdiction de conduire obligatoires, comportant une période minimale et une augmentation graduelle de la durée de l'interdiction de conduire en cas de récidive.

L'Enregistrement illégal de films: Projet de loi C-59 (2007)

La Loi C-59, proclamée le 22 juin 2007, s'attaque à l'enregistrement illégal de films dans les salles de cinéma. Pour ce faire, il crée deux infractions au Code criminel : l'enregistrement à des fins personnelles d'un film projeté dans un cinéma – punissable d'un emprisonnement maximal de deux ans; l'enregistrement à des fins commerciales d'un film projeté dans un cinéma – punissable d'un emprisonnement maximal de cinq ans.

La lutte contre les crimes violents : projet de loi C-2 (2008)

Le projet de loi C-2, qui a été sanctionné le 28 février 2008, a fait passer de 14 à 16 ans l'âge de consentement pour les infractions au Code criminel suivantes : contacts sexuels, incitation à des contacts sexuels, exploitation sexuelle, bestialité et exhibitionnisme devant un enfant de moins de 14 ans. En ce qui concerne les agressions sexuelles des niveaux 1, 2 et 3, l'âge des plaignants est passé à moins de 16 ans (auparavant 14 ans).

La conduite avec facultés affaiblies et le défaut de fournir un échantillon de sang comprennent maintenant la distinction entre l'alcool et les drogues (ou une combinaison de drogues). Le défaut ou le refus de fournir un échantillon d'haleine ou le défaut d'obtempérer ou le refus (drogues) sont maintenant passibles d'une peine maximale de 25 ans.

Les nouvelles infractions relatives aux armes à feu sont réparties entre les introductions par effraction pour voler une arme à feu et les vols qualifiés visant une arme à feu, qui sont passibles d'une peine maximale de 25 ans.

La lutte contre les crimes violents : Projet de loi C-2 (2009)

Le projet de loi C-2, qui a été sanctionné le 28 février 2008, la DUC a également créé un nouveau code pour l'exploitation sexuel d'une personne avec une incapacité. Aussi, deux nouvelles infractions relatives aux armes à feu étaient créées : le vol pour voler une arme à feu, et Introduction par effraction pour voler une arme à feu.

Loi pour modifier le Code Criminel (le crime organisé et la protection de participant du système judiciaire) Projet de loi C-14 (2009)

Le projet de loi C-14 est entré en vigueur le 2 octobre, 2009. Par conséquent, deux nouvelles infractions ont été crées : Agression avec une arme ou causant des lésions corporelles contre un policier, et violences avec voies de fait contre un policier.

En 2002, des changements législatifs ont été adoptés en vue d'inclure l'utilisation d'Internet pour commettre des infractions liées à la pornographie juvénile. Ainsi, la variation en pourcentage de cette infraction est calculée pour la période allant de 2003 à 2009.

Loi codifiant le vol d'identité : Project de loi S-4 (2010)

Le projet de loi S-4 est entré en vigueur le 8 janvier 2010. Par conséquent, deux nouvelles infractions ont été créées : Vol d'identité et Fraude d'identité.

Traite de personnes âgées de moins de dix-huit ans : Projet de loi C-268 (2010)

Le projet de loi C-268 est entré en vigueur le 29 juin 2010. Par conséquent, une nouvelle section du Code Criminel était créée; Section 279.011(1), qui serait codifiée au code du DUC existant de Traite des personnes.

Loi pour modifier le Code Criminel (attentat suicide à la bombe) : Projet de loi S-215 (2010)

Le projet de loi S-215 est entré en vigueur le 15 décembre 2010. Cette édiction modifie le Code Criminel pour clarifier que l'attentat suicide à la bombe est inclus dans la définition « d'activité terroriste ». Par conséquent, ils devraient être inclus dans ces infractions DUC : Participation à une activité d'un groupe terroriste, Facilitation d'une activité terroriste, et Se livrer ou charger une personne de se livrer à une activité terroriste.

Vol d'automobile et trafic de biens criminellement obtenus : Projet de loi S-9 (2011)

Le projet de loi S-9 est entré en vigueur le 29 avril 2011. Par conséquent, un nouveau code d'infraction pour le Vol de véhicule à moteur a été créé. Ceci a remplacé les infractions DUC de Vol d'un véhicule à moteur de plus de 5000 $ et Vol d'un véhicule à moteur de 5000 $ et moins.

Possession de biens volés est maintenant divisée en deux catégories; Possession de biens volés de plus de 5000 $ et Possession de biens volés de 5000 $ et moins.

Trois nouveaux codes d'infractions DUC étaient créés : Modification/destruction/enlèvement du numéro d'identification du véhicule (NIV), Trafic de biens volés de plus de 5000 $, et Trafic de biens volés de 5000 $ et moins.

Modification de la Loi réglementant certaines drogues et autres substances (LRDS) : Projet de loi C-475 (2011)

Le projet de loi C-475 est entré en vigueur le 26 juin 2011. Par conséquent, une nouvelle section de Code Criminel était créée; Section 7.1(1). Cette section serait codifiée à la nouvelle infraction DUC de Précurseur/équipement (méthamphétamine, ecstasy).

Loi sur la sécurité des rues et des communautés : Projet de loi C-10 (2012)

Le projet de loi C-10 est entré en vigueur le 9 août 2012. Par conséquent, deux nouvelles sections de Code Criminel étaient créées; Section 172.2(1) et Section 171.1(1). Section 1712.2(1) sera mise en correspondance avec le code d'infraction DUC existant de Leurre d'un enfant au moyen d'un ordinateur. Section 171.1(1) sera codifiée à la nouvelle infraction DUC de Rendre disponible du matériel sexuellement explicite à une enfant.

Un Acte pour modifier le Code criminel, la Loi sur la preuve au Canada et la Loi sur la protection de l'information: Projet de loi S-7 (2013)

Le 25 avril 2013, le gouvernement du Canada a introduit un nouveau projet de loi intitulé « Un acte pour modifier le Code criminel, la Loi sur la preuve au Canada et la Loi sur la protection de l'information » (Projet de loi S-7). Ce projet de loi est entré en vigueur le 15 juillet 2013.

Le projet de loi amène des changements au Code criminel relatif à l'hébergement des terroristes. Veuillez prendre note du graphique ci-dessous pour les infractions existantes, nouvelles, et expirées comme résultat de cette disposition législative.

Tableau 1
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Tableau 1. Les données sont présentées selon Section du Code criminel (titres de rangée) et Statut, Infraction DUC et Description(figurant comme en-tête de colonne).
Section du Code criminel Statut Infraction DUC Description
s 83.18 existante 3713 Participation à une activité d'un groupe terroriste
s 83.181 nouvelle 3721 Quitter le Canada pour participer à une activité d'un groupe terroriste
s 83.19 existante 3714 Facilitation d'une activité terroriste
s 83.191 nouvelle 3722 Quitter le Canada pour faciliter une activité terroriste
s 83.2 existante 3715 Se livrer ou de charger une personne de se livrer à une activité terroriste
s 83.201 nouvelle 3723 Quitter le Canada pour perpétrer une infraction au profit d'un groupe terroriste
s 83.202 nouvelle 3724 Quitter le Canada pour perpétrer une infraction constituant une activité terroriste
s 83.23 expiré 3716 Héberger ou de cacher un terroriste
s 83.23(1)(a) nouvelle-replace 3716 3725 Cacher une personne qui s'est livrée à une activité terroriste constituant une infraction de terrorisme avec une peine d'emprisonnement à perpétuité
s 83.23(1)(b) nouvelle-replace 3716 3726 cacher une personne qui s'est livrée à une activité terroriste constituant une infraction de terrorisme avec une peine autre que l'emprisonnement à perpétuité
s 83.23(2) nouvelle-replace 3716 3727 cacher une personne qui se livrera vraisemblablement à une activité terroriste

Méfaits à l'égard des monuments commémoratifs de guerre : Projet de loi C-217 (2014)

En vertu des articles 430(4.11a)), 430(4.11b)) et 430(4.2) du Code criminel, le Projet de loi C-217 a créé de nouvelles infractions criminelles de méfait à l'égard des monuments commémoratifs de guerre (2177) et de méfait à l'égard d'un bien culturel (2175). Ce projet de loi est en vigueur depuis le 19 juin 2014.

Recrutement - organisation criminelle : Projet de loi C-394 (2014)

Ce projet de loi, en vigueur depuis le 19 juin 2014, criminalise le recrutement de membres par une organisation criminelle en vertu de l'article 467.111 du Code criminel. Les affaires comportant cette infraction se verront attribuer le code d'infraction 3843.

Loi sur la protection des collectivités et des personnes victimes d'exploitation : Projet de loi C-36 (2014)

Ce projet de loi, en vigueur depuis le 6 décembre, a créé un certain nombre d'infractions au Code criminel entourant l'industrie du sexe :

1) Nouvelle infraction 3140

  1. 213(1.1) – communiquer, dans le but d'offrir ou de rendre des services sexuels, dans un endroit public ou situé à la vue du public qui est une garderie, un terrain d'école ou un terrain de jeu ou qui est situé à côté d'une garderie ou de l'un ou l'autre de ces terrains. (Déclaration sommaire de culpabilité – ne dépassant pas six mois)
  2. Liée à l'infraction 3130 (213(1)a-c)) – arrêter un véhicule à moteur, gêner la circulation (6 mois)

2) Nouvelle infraction 3141

  1. 213(1)ab) – arrêter un véhicule à moteur, gêner la circulation (6 mois)
  2. Liée à l'infraction 3130 (213(1)a-c)) –- arrêter un véhicule à moteur, gêner la circulation (6 mois)

3) Nouvelle infraction 3145

  1. 286.1(1) – communiquer avec quiconque en vue d'obtenir des services sexuels (max. 5 ans)
  2. Liée à l'infraction 3125 (212(4)) – communiquer pour les services sexuels d'une personne <18 ans (max. 5 ans)

4) Nouvelle infraction 3146

  1. 286.1(2) - communiquer avec quiconque en vue d'obtenir les services sexuels d'une personne <18 ans (max. 10 ans)
  2. Liée à l'infraction 3125 (212(4)) – communiquer pour les services sexuels d'une personne <18 ans (max. 5 ans)

5) Nouvelle infraction 3150

  1. 286.2(1) – avantage matériel provenant de la prestation de services sexuels (vivre des produits de la prostitution) (max. 10 ans)
  2. Liée à l'infraction 3115 (212(2)) – vivre des produits de la prostitution d'une personne <18 ans (max. 14 ans)

6) Nouvelle infraction 3151

  1. 286.2(2) – avantage matériel provenant de la prestation de services sexuels (vivre des produits de la prostitution) d'une personne <18 ans (max. 14 ans)
  2. Liée à l'infraction 3115 (212(2)) – vivre des produits de la prostitution d'une personne <18 ans (max. 14 ans)

7) Nouvelle infraction 3155

  1. 286.3(1) – proxénétisme (max. 14 ans)
  2. Liée à l'infraction 3120 (212(1)a-j)) – offrir/solliciter/entraîner, etc., aux fins de rapports sexuels illicites (vise également d'autres infractions au Code criminel) (max. 10 ans)

8) Nouvelle infraction 3156

  1. 286.3(2) – proxénétisme <18ans (max. 14 ans)
  2. Liée à l'infraction 3120 (212(1)a-j)) – offrir/solliciter/entraîner, etc., aux fins de rapports sexuels illicites (vise également d'autres infractions au Code criminel) (max. 10 ans)

9) Nouvelle infraction 3160

  1. 286.4 – publicité de services sexuels (max. 5 ans)

10) Nouvelles infractions 3165, 3166, 3167, 3168

  1. S170(ab) et S171(ab), sont diviser en quatre nouvelles infractions pour remplacer 3120 (170(ab), 171(ab), 212.1(a-j)), qui es expiré
    1. 3165 – nouvelle infraction (170(a)) — parent/tuteur, amène <16 (max. 10 ans)
    2. 3166 – nouvelle infraction (170(b)) — parent/tuteur, amène 16-17 (max. 5 ans)
    3. 3167 – nouvelle infraction (171(a)) — occupant, permettre <16 (max. 5 ans)
    4. 3168 – nouvelle infraction (171(b)) — occupant, permettre 16-17 (max. 2 ans)

Comparaison des données du Programme DUC avec celles des tribunaux et des services correctionnels

Il est difficile de comparer les données déclarées par les services de police avec celles qui proviennent d'autres secteurs du système de justice pénale (tribunaux et services correctionnels). Aucune unité de dénombrement (c'est-à-dire les affaires, les infractions, les accusations, les causes ou les personnes) n'est définie de la même façon dans les principales composantes du système judiciaire. Comme on l'a noté, les accusations effectivement portées peuvent être différentes de l'infraction la plus grave en fonction de laquelle les affaires sont déclarées. En outre, le nombre et la nature des accusations portées par la police peuvent changer avant la tenue ou lors d'un procès. Les intervalles de temps entre les diverses étapes du processus judiciaire rendent également difficiles les comparaisons.

Éléments d'information et structure de codage des infractions pour le Programme de déclaration uniforme de la criminalité

Le Programme de déclaration uniforme de la criminalité (DUC) a pour objet de mesurer la fréquence des crimes dans la société canadienne et leurs caractéristiques. Voici les éléments d'information qui sont saisis dans le cadre de cette enquête ainsi que les codes d'infraction qui sont utilisés dans la collecte des données.

Éléments d'information

Accusations portées ou recommandées

Âge approximatif

Arme ayant causé les blessures

Arme la plus dangereuse sur les lieux de l'affaire

Biens volés

Caractéristique spéciale de l'enquête

Code soundex – DUC 2.1

Code soundex – DUC 2.2

Code du déclarant

Compte des fraudes et des véhicules à moteur – DUC 2.1

Compte des fraudes et des véhicules à moteur – DUC 2.2

Crime motivé par la haine

Crime organisé et gangs de rue

Cybercriminalité

Date de naissance

Date de la mise en accusation, de la recommandation de mise en accusation ou du traitement par d'autres moyens

Date de classement

Date du rapport

Date et heure de l'affaire (de et à [date et heure])

État de classement de l'affaire

Genre de fraude

Genre de mise à jour

Genre de véhicule

Gravité des blessures

Information sur les géocodes

Infraction la plus importante contre la victime (ICV)

Infraction la plus importante et autres infractions (IPI)

Lieu de l'affaire

Nature de la relation de l'ASI avec la victime

Numéro dactyloscopique des empreintes digitales (SED)

Numéro du dossier de l'affaire

Objet — véhicule

Origine autochtone

Sexe

Statut de l'agent de la paix ou du fonctionnaire public

Statut de l'ASI (Accuser/Suspect – Inculper)

Tentative d'infraction ou infraction consommée

Véhicule à moteur volé et retrouvé

Vol à l'étalage

Structure de codage des infractions pour le Programme de déclaration uniforme de la criminalité

Crimes contre la personne

Infractions entraînant la mort

  • Meurtre, 1er degré
  • Meurtre, 2e degré
  • Homicide involontaire coupable
  • Infanticide
  • Négligence criminelle entraînant la mort
  • Autres infractions connexes entraînant la mort

Tentative de commettre un crime capital

  • Tentative de meurtre
  • Complot en vue de commettre un meurtre

Infractions sexuelles

  • Agression sexuelle grave
  • Agression sexuelle armée
  • Agression sexuelle
  • Autres infractions sexuelles (abrogé le 2008-03-31)
  • Contacts sexuels (en vigueur le 2008-04-01)
  • Incitation à des contacts sexuels (en vigueur le 2008-04-01)
  • Exploitation sexuelle (en vigueur le 2008-04-01)
  • Exploitation sexuelle d'une personne handicapée (en vigueur le 2008-05-01)
  • Inceste (en vigueur le 2008-04-01)
  • Corruption d'enfants (en vigueur le 2008-04-01)
  • Rendre disponible du matériel sexuellement explicite à une enfant (en vigueur le 2012-08-09)
  • Père, mère ou tuteur qui sert d'entremetteur
  • Maître de maison qui permet des actes sexuels interdits
  • Leurre d'un enfant au moyen d'un ordinateur (en vigueur le 2008-04-01)
  • Relations sexuelles anales (en vigueur le 2008-04-01)
  • Bestialité : commettre/forcer/inciter une personne (en vigueur le 2008-04-01)
  • Voyeurisme (en vigueur le 2008-04-01)
  • Distribution nonconsensuelle d'images intimes (en vigueur le 2015-03-09)

Voies de fait

  • Voies de fait graves (niveau 3)
  • Voies de fait armées ou entraînant des lésions corporelles (niveau 2)
  • Voies de fait de niveau 1
  • Infliction illégale de lésions corporelles
  • Décharge d'une arme à feu intentionnellement
  • Usage arme à feu (ou imitation) – perpétrer infraction (en vigueur le 2008-04-01)
  • Braquer une arme à feu (en vigueur le 2008-04-01)
  • Voies de fait contre un agent de la paix ou un fonctionnaire public
  • Voies de fait de niveau 2 contre un agent de la paix (en vigueur le 2009-10-02)
  • Voies de fait de niveau 3 d'un agent de la paix (en vigueur le 2009-10-02)
  • Négligence criminelle entraînant des lésions corporelles
  • Trappes susceptibles de causer ou causant des lésions corporelles (en vigueur le 2008-04-01)
  • Autres voies de fait

Infractions entraînant la perte de la liberté

  • Enlèvement / séquestration (abrogé le 2010-01-08)
  • Enlèvement (en vigueur le 2010-01-08)
  • Séquestration (en vigueur le 2010-01-08)
  • Prise d'otage
  • Traite de personnes (en vigueur le 2005-11-01)
  • Enlèvement d'une personne de moins de 14 ans, autre que par parent/tuteur
  • Enlèvement d'une personne de moins de 16 ans
  • Passage d'enfants à l'étranger (en vigueur le 1998-01-01)
  • Enlèvement d'une personne de moins de 14 ans en contravention d'une ordonnance de garde
  • Enlèvement d'une personne de moins de 14 ans par parent/tuteur

Infractions marchandisation des activités sexuelles

  • Obtention de services sexuels moyennant rétribution (en vigueur le 2014-12-06)
  • Obtention de services sexuels moyennant rétribution— personne âgée de moins de dix-huit ans (en vigueur le 2014-12-06)
  • Recevoir gain matériel provenant de la prestation de services sexuels (en vigueur le 2014-12-06)
  • Recevoir gain matériel provenant de la prestation de services sexuels d'une personne âgée de moins de dix-huit ans (en vigueur le 2014-12-06)
  • Proxénétisme (en vigueur le 2014-12-06)
  • Proxénétisme - personne âgée de moins de dix-huit ans (en vigueur le 2014-12-06)
  • Publicité de services sexuels (en vigueur le 2014-12-06)

Autres infractions contre la personne ou de menace de violence

  • Vol qualifié
  • Vol qualifié d'une arme à feu (en vigueur le 2008-05-01)
  • Extorsion
  • Intimidation d'une personne associée au système judiciaire ou d'un journaliste (en vigueur le 2008-04-01)
  • Intimidation d'une personne autre qu'une personne associée au système judiciaire (en vigueur le 2008-04-01)
  • Harcèlement criminel (en vigueur le 1994-01-01)
  • Appels téléphoniques indécents/harassants (en vigueur le 2008-04-01)
  • Proférer des menaces envers une personne (en vigueur le 1998-01-01)
  • Explosifs causant la mort ou des lésions corporelles (en vigueur le
    1998-01-01)
  • Crime d'incendie — insouciance à l'égard de la vie (en vigueur le 1999-05-01)
  • Autres infractions contre la personne

Crimes contre la propriété

  • Crime d'incendie
  • Introduction par effraction
  • Introduction par effraction pour voler une arme à feu (en vigueur le 2008-05-01)
  • Introduction par effraction dans un véhicule à moteur (arme à feu) (en vigueur le 2008-05-01)
  • Vol de plus de 5 000 $
  • Vol de véhicule à moteur de plus de 5 000 $ (en vigueur le 2004-01-01) (abrogé le 2011-04-28)
  • Vol de plus de 5 000 $ dans un véhicule à moteur (en vigueur le 2004-01-01)
  • Vol à l'étalage de plus de 5,000 $ (en vigueur le 2008-04-01)
  • Vol d'un véhicule à moteur (en vigueur le 2011-04-29)
  • Vol de 5 000 $ ou moins
  • Vol de véhicule à moteur de 5 000 $ ou moins (en vigueur le 2004-01-01) (abrogé le 2011-04-28)
  • Vol de 5 000 $ ou moins dans un véhicule à moteur (en vigueur le 2004-01-01)
  • Vol à l'étalage de 5,000$ ou moins (en vigueur le 2008-04-01)
  • Possession de biens volés (abrogé le 2011-04-28)
  • Trafic de biens volés de plus de $5 000 (en vigueur le 2011-04-29)
  • Possession de biens volés de plus de $5 000 (en vigueur le 2011-04-29)
  • Trafic de biens volés de $5 000 ou moins (en vigueur le 2011-04-29)
  • Possession de biens volés de $5 000 ou moins (en vigueur le 2011-04-29)
  • Fraude
  • Vol d'identité (en vigueur le 2010-01-08)
  • Fraude d'identité (en vigueur le 2010-01-08)
  • Méfait général
  • Méfait de plus de 5 000 $ (abrogé le 2008-03-31)
  • Méfait de 5 000 $ ou moins (abrogé le 2008-03-31)
  • Méfait : bien culturel (en vigueur le 2014-06-19)
  • Méfait à l'égard d'une propriété religieuse motivé par la haine (en vigueur le 2008-04-01)
  • Méfait : monuments commémoratifs de guerre (en vigueur le 2014-06-19)
  • Modification/destruction/enlèvement du numéro d'identification du véhicule (NIV) (en vigueur le 2011-04-29)

Autres infractions au Code criminel

Prostitution

  • Maison de débauche (abrogé le 2014-12-05)
  • Vivre des produits de la prostitution d'une personne de moins de 18 ans (en vigueur le 1998-01-01)(abrogé le 2014-12-05)
  • Proxénétisme (abrogé le 2014-12-05)
  • Obtient/Communique avec une personne de moins de 18 ans pour des services sexuels (en vigueur le 1998-01-01) (abrogé le 2014-12-05)
  • Autres actes de prostitution (abrogé le 2014-12-05)
  • Communication dans le but de rendre des services sexuels moyennant rétribution (en vigueur le 2014-12-06)
  • Interférence à la circulation dans le but d'offrir, de rendre ou d'obtenir des services sexuels moyennant rétribution (en vigueur le 2014-12-06)

Maisons de desordre, jeux et paris

  • Maison de paris
  • Maison de jeux
  • Autres délits relatifs aux jeux et aux paris
  • Maison de débauche (en vigueur le 2014-12-06)

Armes offensives

  • Explosifs
  • Arme prohibée (abrogé le 1998-12-01)
  • Arme à autorisation restreinte (abrogé 1998-12-01)
  • Transfert d'armes à feu ou de numéro de série (abrogé le 1998-12-01)
  • Autres armes offensives (abrogé le 1998-12-01)
  • Usage d'une arme ou d'une fausse arme à feu pendant de la perpétration d'un crime (abrogé le 2008-03-31)
  • Trafic d'armes (en vigueur le 1998-12-01)
  • Possession d'armes contraire à une ordonnance (en vigueur le 1998-12-01)
  • Possession d'armes (en vigueur le 1998-12-01)
  • Exportation ou importation non autorisée d'armes (en vigueur le 1998-12-01)
  • Braquer une arme à feu (abrogé le 2008-03-31)
  • Documentation et administration relatives aux armes à feu (en vigueur le 1998-12-01)
  • Entreposage non sécuritaire d'armes à feu (en vigueur le 1998-12-01)

Autres infractions au Code criminel

  • Omission de se conformer à une ordonnance
  • Contrefaçon de monnaie
  • Troubler la paix
  • Évasion d'une garde légale
  • Actions indécentes
  • Pornographie juvénile
  • Production de, ou distribution de pornographie juvénile
  • Voyeurisme (abrogé le 2008-03-31)
  • Corruption des mœurs
  • Leurre d'un enfant au moyen d'un ordinateur (abrogé le 2008-03-31)
  • Nuire à un fonctionnaire public ou à un agent de la paix
  • Détenu qui est en liberté illégalement
  • Intrusion de nuit
  • Omission de comparaître
  • Manquement aux conditions de la probation
  • Appels téléphoniques indécents/harassants (abrogé le 2008-03-31)
  • Proférer des menaces – biens, animaux (en vigueur le 2008-04-01)
  • Préconiser, fomenter un génocide (en vigueur le 2008-04-01)
  • Incitation publique à la haine (en vigueur le 2008-04-01)
  • Enregistrement non-autorisé d'un film / fins de vente, location, distribution commerciale (en vigueur le 2007-06-22)
  • Infractions contre l'ordre public (partie II du CC.)
  • Biens ou services aux fins du terrorisme (en vigueur le 2002-01-01)
  • Blodecages biens, communication, vérification (en vigueur 2002-01-01)
  • Participation à une activité d'un groupe terroriste (en vigueur le 2002-01-01)
  • Facilitation d'une activité terroriste (en vigueur le 2002-01-01)
  • Se livrer ou charger une personne de se livrer à une activité terroriste (en vigueur le 2002-01-01)
  • Héberger ou cacher un terroriste (en vigueur le 2002-01-01)(abrogé le 2013-07-14)
  • Incitation à craindre des activités terroristes (en vigueur 2005-01-01)
  • Préconiser ou fomenter la perpétration d'infractions de terrorisme terroriste (en vigueur le 2015-07-18)
  • Armes à feu et autres armes offensives (partie III du CC)
  • Quitter le Canada : participation à une activité d'un groupe terroriste (en vigueur le 2013-07-15)
  • Quitter le Canada : facilitation d'une activité terroriste (en vigueur le 2013-07-15)
  • Quitter le Canada : perpétration d'une infraction au profit d'un groupe terroriste (en vigueur le 2013-07-15)
  • Quitter le Canada : perpétration d'une infraction constituant une activité terroriste (en vigueur le 2013-07-15)
  • Cacher une personne qui s'est livrée à une activité terroriste constituant une infraction de terrorisme la rendant passible de l'emprisonnement à perpétuité (en vigueur le 2013-07-15)
  • Cacher une personne qui s'est livrée à une activité terroriste constituant une infraction de terrorisme la rendant passible de toute autre peine (en vigueur le 2013-07-15)
  • Cacher une personne qui se livrera vraisemblablement à une activité terroriste (en vigueur le 2013-07-15)
  • Infractions contre l'application de la loi et l'administration de la justice (partie IV du CC)
  • Infractions sexuelles, actes contraires aux bonnes mœurs et inconduite (partie V du CC)
  • Atteinte à la vie privée (partie VI du CC)
  • Maison de débauche, jeux et paris (partie VII du CC) (abrogé le 2008-03-31)
  • Infractions contre la personne et la réputation (partie VIII du CC)
  • Infractions contre les droits de propriété (partie IX du CC)
  • Opérations frauduleuses en matière de contrats et de commerce (partie X du CC)
  • Intimidation d'une personne du système de justice (abrogé le 2008-03
  • Actes volontaires et prohibés concernant certains biens (partie XI du CC)
  • Infractions relatives à la monnaie (partie XII du CC)
  • Produits de la criminalité (partie XII.2 du CC) (en vigueur le 1998-01-01)
  • Tentatives, complots, complices (partie XIII du CC)
  • Charger une personne de commettre une infraction au profit d'une organisation criminelle (en vigueur le 2002-01-01)
  • Commission d'une infraction au profit d'une organisation criminelle (en vigueur le 2002-01-01)
  • Participation aux activités d'une organisation criminelle (en vigueur le 2002-01-01)
  • Recrutement de membres par une organisation criminelle (en vigueur le 2014-09-06)
  • Toute autre infraction au Code criminel (inclut la partie XII.1 du CC)

Loi réglementant certaines drogues et autres substances (en vigueur le 01-06-1997)

Possession

  • Héroïne
  • Cocaïne
  • Autres infractions à la Loi réglementant certaines drogues et autres substances
  • Cannabis
  • Méthamphétamines en cristaux (crystal meth) (en vigueur le 2008-04-01)
  • Méthylènedioxyamphétamine (ecstasy) (en vigueur le 2008-04-01)

Trafic

  • Héroïne
  • Cocaïne
  • Autres infractions à la Loi réglementant certaines drogues et autres substances
  • Cannabis
  • Méthamphétamines en cristaux (crystal meth) (en vigueur le 2008-04-01)
  • Méthylènedioxyamphétamine (ecstasy) (en vigueur le 2008-04-01)

Importation et exportation

  • Héroïne
  • Cocaïne
  • Autres infractions à la Loi réglementant certaines drogues et autres substances
  • Cannabis
  • Méthamphétamines en cristaux (crystal meth) (en vigueur le 2008-04-01)
  • Méthylènedioxyamphétamine (ecstasy) (en vigueur le 2008-04-01)

Production ou culture

  • Héroïne (en vigueur le 2008-04-01)
  • Cocaïne (en vigueur le 2008-04-01)
  • Autres infractions à la Loi réglementant certaines drogues et autres substances (en vigueur le 2008-04-01)
  • Cannabis
  • Méthamphétamines en cristaux (crystal meth) (en vigueur le 2008-04-01)
  • Méthylènedioxyamphétamine (ecstasy) (en vigueur le 2008-04-01)

Précurseur/équipement (méthamphétamine, ecstasy) (en vigueur le 2011-06-26)

Produits de la criminalité (LRDS) (abrogé le 2002-02-01)

Infractions à d'autres lois fédérales

Loi sur la faillite et l'insolvabilité

Loi de l'impôt sur le revenu

Loi sur la marine marchande du Canada

Loi canadienne sur la santé

Loi sur les douanes

Loi sur la concurrence

Loi sur l'accise

Loi sur les jeunes contrevenants (abrogé le 2003-03-31)

Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents (en vigueur le 2003-03-31)

Loi sur l'immigration et la protection des réfugiés

Traite des personnes (en vigueur le 2011-04-29)

Introduction de clandestins moins de 10 personnes (en vigueur le 2011-04-29)

Introduction de clandestins 10 personnes ou plus (en vigueur le 2011-04-29)

Loi sur les armes à feu (en vigueur le 1998-12-01)

Loi sur la défense nationale (en vigueur le 2002-01-01)

Autres lois fédérales

Infractions aux règlements de la circulation

Conduite dangereuse

  • Entraînant la mort
  • Entraînant des lésions corporelles
  • Conduite d'un véhicule à moteur, d'un bateau ou d'un aéronef

Fuite devant un agent de la paix (en vigueur le 2000-03-30)

  • Entraînant la mort
  • Entraînant des lésions corporelles
  • Fuite devant un agent de la paix

Conduite avec facultés affaiblies et infractions connexes

  • Entraînant la mort (alcool)
  • Entraînant la mort (drogues)
  • Entraînant des lésions corporelles (alcool)
  • Entraînant des lésions corporelles (drogues)
  • Conduite d'un véhicule à moteur, d'un bateau ou d'un aéronef ou lorsque l'alcoolémie dépasse 80 mg (alcool)
  • Conduite d'un véhicule à moteur, d'un bateau ou d'un aéronef ou lorsque l'alcoolémie dépasse 80 mg (drogues)
  • Défaut de fournir un échantillon d'haleine (alcool)
  • Défaut de fournir un échantillon d'haleine (drogues)
  • Défaut de fournir un échantillon de sang (alcool)
  • Défaut de fournir un échantillon de sang (drogues)

Autres délits de la route prévus au Code criminel

  • Défaut de s'arrêter ou de demeurer sur les lieux (non spécifier) (abrogé le 2011-04-28)
  • Défaut de s'arrêter causant la mort (en vigueur le 2011-04-29)
  • Défaut de s'arrêter causant des lésions corporelles (en vigueur le 2011-04-29)
  • Défaut de s'arrêter ou de demeurer sur les lieux (en vigueur le 2011-04-29)
  • Conduite pendant une interdiction de conduire
  • Autres infractions au Code criminel

Course de rue

  • Causer la mort par négligence criminelle pendant une course de rue (en vigueur le 2006-12-14)
  • Causer des lésions corporelles par négligence criminelle pendant une course de rue (en vigueur le 2006-12-14)
  • Conduite dangereuse causant la mort pendant une course de rue (en vigueur le 2006-12-14)
  • Conduite dangereuse causant des lésions corporelles pendant une course de rue (en vigueur le 2006-12-14)
  • Conduite dangereuse d'un véhicule à moteur pendant une course de rue (en vigueur le 2006-12-14)

Pour obtenir plus de renseignements, communiquez avec les Services d'information à la clientèle au 613-951-9023 ou composez sans frais le 1-800-387-2231, Centre canadien de la statistique juridique.

Éléments d'information et structure de codage des infractions pour le Programme de déclaration uniforme de la criminalité

Le Programme de déclaration uniforme de la criminalité (DUC) a pour objet de mesurer la fréquence des crimes dans la société canadienne et leurs caractéristiques. Voici les éléments d'information qui sont saisis dans le cadre de cette enquête ainsi que les codes d'infraction qui sont utilisés dans la collecte des données.

Éléments d'information

Accusations portées ou recommandées

Âge approximatif

Arme ayant causé les blessures

Arme la plus dangereuse sur les lieux de l'affaire

Biens volés

Caractéristique spéciale de l'enquête

Code soundex – DUC 2.1

Code soundex – DUC 2.2

Code du déclarant

Compte des fraudes et des véhicules à moteur – DUC 2.1

Compte des fraudes et des véhicules à moteur – DUC 2.2

Crime motivé par la haine

Crime organisé et gangs de rue

Cybercriminalité

Date de naissance

Date de la mise en accusation, de la recommandation de mise en accusation ou du traitement par d'autres moyens

Date de classement

Date du rapport

Date et heure de l'affaire (de et à [date et heure])

État de classement de l'affaire

Genre de fraude

Genre de mise à jour

Genre de véhicule

Gravité des blessures

Information sur les géocodes

Infraction la plus importante contre la victime (ICV)

Infraction la plus importante et autres infractions (IPI)

Lieu de l'affaire

Nature de la relation de l'ASI avec la victime

Numéro dactyloscopique des empreintes digitales (SED)

Numéro du dossier de l'affaire

Objet — véhicule

Origine autochtone

Sexe

Statut de l'agent de la paix ou du fonctionnaire public

Statut de l'ASI (Accuser/Suspect – Inculper)

Tentative d'infraction ou infraction consommée

Véhicule à moteur volé et retrouvé

Vol à l'étalage

Structure de codage des infractions pour le Programme de déclaration uniforme de la criminalité

Crimes contre la personne

Infractions entraînant la mort

  • Meurtre, 1er degré
  • Meurtre, 2e degré
  • Homicide involontaire coupable
  • Infanticide
  • Négligence criminelle entraînant la mort
  • Autres infractions connexes entraînant la mort

Tentative de commettre un crime capital

  • Tentative de meurtre
  • Complot en vue de commettre un meurtre

Infractions sexuelles

  • Agression sexuelle grave
  • Agression sexuelle armée
  • Agression sexuelle
  • Autres infractions sexuelles (abrogé le 2008-03-31)
  • Contacts sexuels (en vigueur le 2008-04-01)
  • Incitation à des contacts sexuels (en vigueur le 2008-04-01)
  • Exploitation sexuelle (en vigueur le 2008-04-01)
  • Exploitation sexuelle d'une personne handicapée (en vigueur le 2008-05-01)
  • Inceste (en vigueur le 2008-04-01)
  • Corruption d'enfants (en vigueur le 2008-04-01)
  • Rendre disponible du matériel sexuellement explicite à une enfant (en vigueur le 2012-08-09)
  • Leurre d'un enfant au moyen d'un ordinateur (en vigueur le 2008-04-01)
  • Relations sexuelles anales (en vigueur le 2008-04-01)
  • Bestialité : commettre/forcer/inciter une personne (en vigueur le 2008-04-01)
  • Voyeurisme (en vigueur le 2008-04-01)

Voies de fait

  • Voies de fait graves (niveau 3)
  • Voies de fait armées ou entraînant des lésions corporelles (niveau 2)
  • Voies de fait de niveau 1
  • Infliction illégale de lésions corporelles
  • Décharge d'une arme à feu intentionnellement
  • Usage arme à feu (ou imitation) – perpétrer infraction (en vigueur le 2008-04-01)
  • Braquer une arme à feu (en vigueur le 2008-04-01)
  • Voies de fait contre un agent de la paix ou un fonctionnaire public
  • Voies de fait de niveau 2 contre un agent de la paix (en vigueur le 2009-10-02)
  • Voies de fait de niveau 3 d'un agent de la paix (en vigueur le 2009-10-02)
  • Négligence criminelle entraînant des lésions corporelles
  • Trappes susceptibles de causer ou causant des lésions corporelles (en vigueur le 2008-04-01)
  • Autres voies de fait

Infractions entraînant la perte de la liberté

  • Enlèvement / séquestration (abrogé le 2010-01-08)
  • Enlèvement (en vigueur le 2010-01-08)
  • Séquestration (en vigueur le 2010-01-08)
  • Prise d'otage
  • Traite de personnes (en vigueur le 2005-11-01)
  • Enlèvement d'une personne de moins de 14 ans, autre que par parent/tuteur
  • Enlèvement d'une personne de moins de 16 ans
  • Passage d'enfants à l'étranger (en vigueur le 1998-01-01)
  • Enlèvement d'une personne de moins de 14 ans en contravention d'une ordonnance de garde
  • Enlèvement d'une personne de moins de 14 ans par parent/tuteur

Autres infractions contre la personne ou de menace de violence

  • Vol qualifié
  • Vol qualifié d'une arme à feu (en vigueur le 2008-05-01)
  • Extorsion
  • Intimidation d'une personne associée au système judiciaire ou d'un journaliste (en vigueur le 2008-04-01)
  • Intimidation d'une personne autre qu'une personne associée au système judiciaire (en vigueur le 2008-04-01)
  • Harcèlement criminel (en vigueur le 1994-01-01)
  • Appels téléphoniques indécents/harassants (en vigueur le 2008-04-01)
  • Proférer des menaces envers une personne (en vigueur le 1998-01-01)
  • Explosifs causant la mort ou des lésions corporelles (en vigueur le
    1998-01-01)
  • Crime d'incendie — insouciance à l'égard de la vie (en vigueur le 1999-05-01)
  • Autres infractions contre la personne

Crimes contre la propriété

  • Crime d'incendie
  • Introduction par effraction
  • Introduction par effraction pour voler une arme à feu (en vigueur le 2008-05-01)
  • Introduction par effraction dans un véhicule à moteur (arme à feu) (en vigueur le 2008-05-01)
  • Vol de plus de 5 000 $
  • Vol de véhicule à moteur de plus de 5 000 $ (en vigueur le 2004-01-01) (abrogé le 2011-04-28)
  • Vol de plus de 5 000 $ dans un véhicule à moteur (en vigueur le 2004-01-01)
  • Vol à l'étalage de plus de 5,000 $ (en vigueur le 2008-04-01)
  • Vol d'un véhicule à moteur (en vigueur le 2011-04-29)
  • Vol de 5 000 $ ou moins
  • Vol de véhicule à moteur de 5 000 $ ou moins (en vigueur le 2004-01-01) (abrogé le 2011-04-28)
  • Vol de 5 000 $ ou moins dans un véhicule à moteur (en vigueur le 2004-01-01)
  • Vol à l'étalage de 5,000$ ou moins (en vigueur le 2008-04-01)
  • Possession de biens volés (abrogé le 2011-04-28)
  • Trafic de biens volés de plus de $5 000 (en vigueur le 2011-04-29)
  • Possession de biens volés de plus de $5 000 (en vigueur le 2011-04-29)
  • Trafic de biens volés de $5 000 ou moins (en vigueur le 2011-04-29)
  • Possession de biens volés de $5 000 ou moins (en vigueur le 2011-04-29)
  • Fraude
  • Vol d'identité (en vigueur le 2010-01-08)
  • Fraude d'identité (en vigueur le 2010-01-08)
  • Méfait général
  • Méfait de plus de 5 000 $ (abrogé le 2008-03-31)
  • Méfait de 5 000 $ ou moins (abrogé le 2008-03-31)
  • Méfait : bien culturel (en vigueur le 2014-06-19)
  • Méfait à l'égard d'une propriété religieuse motivé par la haine (en vigueur le 2008-04-01)
  • Méfait : monuments commémoratifs de guerre (en vigueur le 2014-06-19)
  • Modification/destruction/enlèvement du numéro d'identification du véhicule (NIV) (en vigueur le 2011-04-29)

Autres infractions au Code criminel

Prostitution

  • Maison de débauche (abrogé le 2013-12-20)
  • Vivre des produits de la prostitution d'une personne de moins de 18 ans (en vigueur le 1998-01-01)(abrogé le 2013-12-20)
  • Proxénétisme (abrogé le 2013-12-20)
  • Obtient/Communique avec une personne de moins de 18 ans pour des services sexuels (en vigueur le 1998-01-01) (abrogé le 2013-12-20)
  • Autres actes de prostitution (abrogé le 2013-12-20)
  • Communication dans le but de rendre des services sexuels moyennant rétribution (en vigueur le 2014-12-06)
  • Interférence à la circulation dans le but d'offrir, de rendre ou d'obtenir des services sexuels moyennant rétribution (en vigueur le 2014-12-06)
  • Obtention de services sexuels moyennant rétribution (en vigueur le 2014-12-06)
  • Obtention de services sexuels moyennant rétribution— personne âgée de moins de dix-huit ans (en vigueur le 2014-12-06)
  • Recevoir gain matériel provenant de la prestation de services sexuels (en vigueur le 2014-12-06)
  • Recevoir gain matériel provenant de la prestation de services sexuels d'une personne âgée de moins de dix-huit ans (en vigueur le 2014-12-06)
  • Proxénétisme (en vigueur le 2014-12-06)
  • Proxénétisme - personne âgée de moins de dix-huit ans (en vigueur le 2014-12-06)
  • Publicité de services sexuels (en vigueur le 2014-12-06)
  • Parent ou tuteur amène son enfant ou pupille à commettre des actes sexuelles interdits : enfant ou pupille est âgé de moins de 16 ans (en vigueur le 2014-12-06)
  • Parent ou tuteur amène son enfant ou pupille à commettre des actes sexuelles interdits : enfant ou pupille est âgé de 16 ans ou plus mais de moins de 18 ans (en vigueur le 2014-12-06)
  • Occupant permet des actes sexuels interdits : personne âgé de moins de 16 ans (en vigueur le 2014-12-06)
  • Occupant permet des actes sexuels interdits : personne âgé de 16 ans ou plus mais de moins de 18 ans (en vigueur le 2014-12-06)

Jeux et paris

  • Maison de paris
  • Maison de jeux
  • Autres délits relatifs aux jeux et aux paris

Armes offensives

  • Explosifs
  • Arme prohibée (abrogé le 1998-12-01)
  • Arme à autorisation restreinte (abrogé 1998-12-01)
  • Transfert d'armes à feu ou de numéro de série (abrogé le 1998-12-01)
  • Autres armes offensives (abrogé le 1998-12-01)
  • Usage d'une arme ou d'une fausse arme à feu pendant de la perpétration d'un crime (abrogé le 2008-03-31)
  • Trafic d'armes (en vigueur le 1998-12-01)
  • Possession d'armes contraire à une ordonnance (en vigueur le 1998-12-01)
  • Possession d'armes (en vigueur le 1998-12-01)
  • Exportation ou importation non autorisée d'armes (en vigueur le 1998-12-01)
  • Braquer une arme à feu (abrogé le 2008-03-31)
  • Documentation et administration relatives aux armes à feu (en vigueur le 1998-12-01)
  • Entreposage non sécuritaire d'armes à feu (en vigueur le 1998-12-01)

Autres infractions au Code criminel

  • Omission de se conformer à une ordonnance
  • Contrefaçon de monnaie
  • Troubler la paix
  • Évasion d'une garde légale
  • Actions indécentes
  • Production ou distribution de pornographie juvénile (en vigueur le 1998-01-01)
  • Voyeurisme (abrogé le 2008-03-31)
  • Corruption des mœurs
  • Leurre d'un enfant au moyen d'un ordinateur (abrogé le 2008-03-31)
  • Nuire à un fonctionnaire public ou à un agent de la paix
  • Détenu qui est en liberté illégalement
  • Intrusion de nuit
  • Omission de comparaître
  • Manquement aux conditions de la probation
  • Appels téléphoniques indécents/harassants (abrogé le 2008-03-31)
  • Proférer des menaces – biens, animaux (en vigueur le 2008-04-01)
  • Préconiser, fomenter un génocide (en vigueur le 2008-04-01)
  • Incitation publique à la haine (en vigueur le 2008-04-01)
  • Enregistrement non-autorisé d'un film / fins de vente, location, distribution commerciale (en vigueur le 2007-06-22)
  • Infractions contre l'ordre public (partie II du CC.)
  • Biens ou services aux fins du terrorisme (en vigueur le 2002-01-01)
  • Blo decages biens, communication, vérification (en vigueur 2002-01-01)
  • Participation à une activité d'un groupe terroriste (en vigueur le 2002-01-01)
  • Facilitation d'une activité terroriste (en vigueur le 2002-01-01)
  • Se livrer ou charger une personne de se livrer à une activité terroriste (en vigueur le 2002-01-01)
  • Héberger ou cacher un terroriste (en vigueur le 2002-01-01)(abrogé le 2013-07-14)
  • Incitation à craindre des activités terroristes (en vigueur 2005-01-01)
  • Armes à feu et autres armes offensives (partie III du CC)
  • Quitter le Canada : participation à une activité d'un groupe terroriste (en vigueur le 2013-07-15)
  • Quitter le Canada : facilitation d'une activité terroriste (en vigueur le 2013-07-15)
  • Quitter le Canada : perpétration d'une infraction au profit d'un groupe terroriste (en vigueur le 2013-07-15)
  • Quitter le Canada : perpétration d'une infraction constituant une activité terroriste (en vigueur le 2013-07-15)
  • Cacher une personne qui s'est livrée à une activité terroriste constituant une infraction de terrorisme la rendant passible de l'emprisonnement à perpétuité (en vigueur le 2013-07-15)
  • Cacher une personne qui s'est livrée à une activité terroriste constituant une infraction de terrorisme la rendant passible de toute autre peine (en vigueur le 2013-07-15)
  • Cacher une personne qui se livrera vraisemblablement à une activité terroriste (en vigueur le 2013-07-15)
  • Infractions contre l'application de la loi et l'administration de la justice (partie IV du CC)
  • Infractions sexuelles, actes contraires aux bonnes mœurs et inconduite (partie V du CC)
  • Atteinte à la vie privée (partie VI du CC)
  • Maison de débauche, jeux et paris (partie VII du CC) (abrogé le 2008-03-31)
  • Infractions contre la personne et la réputation (partie VIII du CC)
  • Infractions contre les droits de propriété (partie IX du CC)
  • Opérations frauduleuses en matière de contrats et de commerce (partie X du CC)
  • Intimidation d'une personne du système de justice (abrogé le 2008-03
  • Actes volontaires et prohibés concernant certains biens (partie XI du CC)
  • Infractions relatives à la monnaie (partie XII du CC)
  • Produits de la criminalité (partie XII.2 du CC) (en vigueur le 1998-01-01)
  • Tentatives, complots, complices (partie XIII du CC)
  • Charger une personne de commettre une infraction au profit d'une organisation criminelle (en vigueur le 2002-01-01)
  • Commission d'une infraction au profit d'une organisation criminelle (en vigueur le 2002-01-01)
  • Participation aux activités d'une organisation criminelle (en vigueur le 2002-01-01)
  • Recrutement de membres par une organisation criminelle (en vigueur le 2014-09-06)
  • Toute autre infraction au Code criminel (inclut la partie XII.1 du CC)

Loi réglementant certaines drogues et autres substances (en vigueur le 01-06-1997)

Possession

  • Héroïne
  • Cocaïne
  • Autres infractions à la Loi réglementant certaines drogues et autres substances
  • Cannabis
  • Méthamphétamines en cristaux (crystal meth) (en vigueur le 2008-04-01)
  • Méthylènedioxyamphétamine (ecstasy) (en vigueur le 2008-04-01)

Trafic

  • Héroïne
  • Cocaïne
  • Autres infractions à la Loi réglementant certaines drogues et autres substances
  • Cannabis
  • Méthamphétamines en cristaux (crystal meth) (en vigueur le 2008-04-01)
  • Méthylènedioxyamphétamine (ecstasy) (en vigueur le 2008-04-01)

Importation et exportation

  • Héroïne
  • Cocaïne
  • Autres infractions à la Loi réglementant certaines drogues et autres substances
  • Cannabis
  • Méthamphétamines en cristaux (crystal meth) (en vigueur le 2008-04-01)
  • Méthylènedioxyamphétamine (ecstasy) (en vigueur le 2008-04-01)

Production ou culture

  • Héroïne (en vigueur le 2008-04-01)
  • Cocaïne (en vigueur le 2008-04-01)
  • Autres infractions à la Loi réglementant certaines drogues et autres substances (en vigueur le 2008-04-01)
  • Cannabis
  • Méthamphétamines en cristaux (crystal meth) (en vigueur le 2008-04-01)
  • Méthylènedioxyamphétamine (ecstasy) (en vigueur le 2008-04-01)

Précurseur/équipement (méthamphétamine, ecstasy) (en vigueur le 2011-06-26)

Produits de la criminalité (LRDS) (abrogé le 2002-02-01)

Infractions à d'autres lois fédérales

Loi sur la faillite et l'insolvabilité

Loi de l'impôt sur le revenu

Loi sur la marine marchande du Canada

Loi canadienne sur la santé

Loi sur les douanes

Loi sur la concurrence

Loi sur l'accise

Loi sur les jeunes contrevenants (abrogé le 2003-03-31)

Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents (en vigueur le 2003-03-31)

Loi sur l'immigration et la protection des réfugiés

Traite des personnes (en vigueur le 2011-04-29)

Introduction de clandestins moins de 10 personnes (en vigueur le 2011-04-29)

Introduction de clandestins 10 personnes ou plus (en vigueur le 2011-04-29)

Loi sur les armes à feu (en vigueur le 1998-12-01)

Loi sur la défense nationale (en vigueur le 2002-01-01)

Autres lois fédérales

Infractions aux règlements de la circulation

Conduite dangereuse

  • Entraînant la mort
  • Entraînant des lésions corporelles
  • Conduite d'un véhicule à moteur, d'un bateau ou d'un aéronef

Fuite devant un agent de la paix (en vigueur le 2000-03-30)

  • Entraînant la mort
  • Entraînant des lésions corporelles
  • Fuite devant un agent de la paix

Conduite avec facultés affaiblies et infractions connexes

  • Entraînant la mort (alcool)
  • Entraînant la mort (drogues)
  • Entraînant des lésions corporelles (alcool)
  • Entraînant des lésions corporelles (drogues)
  • Conduite d'un véhicule à moteur, d'un bateau ou d'un aéronef ou lorsque l'alcoolémie dépasse 80 mg (alcool)
  • Conduite d'un véhicule à moteur, d'un bateau ou d'un aéronef ou lorsque l'alcoolémie dépasse 80 mg (drogues)
  • Défaut de fournir un échantillon d'haleine (alcool)
  • Défaut de fournir un échantillon d'haleine (drogues)
  • Défaut de fournir un échantillon de sang (alcool)
  • Défaut de fournir un échantillon de sang (drogues)

Autres délits de la route prévus au Code criminel

  • Défaut de s'arrêter ou de demeurer sur les lieux (non spécifier) (abrogé le 2011-04-28)
  • Défaut de s'arrêter causant la mort (en vigueur le 2011-04-29)
  • Défaut de s'arrêter causant des lésions corporelles (en vigueur le 2011-04-29)
  • Défaut de s'arrêter ou de demeurer sur les lieux (en vigueur le 2011-04-29)
  • Conduite pendant une interdiction de conduire
  • Autres infractions au Code criminel

Course de rue

  • Causer la mort par négligence criminelle pendant une course de rue (en vigueur le 2006-12-14)
  • Causer des lésions corporelles par négligence criminelle pendant une course de rue (en vigueur le 2006-12-14)
  • Conduite dangereuse causant la mort pendant une course de rue (en vigueur le 2006-12-14)
  • Conduite dangereuse causant des lésions corporelles pendant une course de rue (en vigueur le 2006-12-14)
  • Conduite dangereuse d'un véhicule à moteur pendant une course de rue (en vigueur le 2006-12-14)

Pour obtenir plus de renseignements, communiquez avec les Services d'information à la clientèle au 613-951-9023 ou composez sans frais le 1-800-387-2231, Centre canadien de la statistique juridique.

Méthode employée pour les régions métropolitaines de recensement

Note

Source : Statistique Canada, Division de la démographie et Centre canadien de la statistique juridique


Aux fins de la déclaration des données sur la criminalité et sur le personnel des services de police, les populations des régions métropolitaines de  recensement (RMR) de Statistique Canada ont été ajustées pour qu'elles correspondent aux frontières des services de police. Il arrive souvent que les frontières des services de police ne concordent pas entièrement avec les limites des RMR, en particulier dans les détachements ruraux. Afin d'assurer la plus grande concordance possible entre les deux, les directives suivantes sont utilisées :

  • Si plus de la moitié de la population d'un détachement de trouve dans les limites d'une RMR, alors tous les crimes déclarés par ce détachement sont inclus et la partie de la population à l'extérieur de la RMR est ajoutée à la population officielle de la RMR.
  • Par contre, si moins de la moitié de la population desservie par un détachement se trouve dans les limites d'une RMR, alors tous les crimes déclarés par le détachement sont exclus et la partie de la population qui se trouve à l'intérieur des limites de la RMR est soustraite de la population officielle de la RMR.

RMR d’Abbotsford-Mission

  • La région suivante à l’intérieur de la RMR a été exclue : Upper Sumas 6 (5909877).

RMR Barrie

  • La région suivante à l’extérieur de la RMR a été incluse : Bradford West Gwillimbury (3543014).
  • La région suivante à l’intérieur de la RMR a été exclue : Springwater (3543009).

RMR Brantford

  • La région suivante à l’extérieur de la RMR a été incluse : Six Nations (Part) 40 (3528037).

RMR de Calgary

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses : Acme (4805044), Linden (4805046), Waiparous (4815030), Stoney 142, 143, 144 (4815802), Ghost Lake (4815027), 2 % de Kananaskis (4815013) 28 % de Bighorn No. 8 (4815015), 28 % de Kneehill County (4805041), 62 % de Weatland County (4805012), 2 % de Mountain View County (4806028), Standard (4805021) et Rockyford (4805022).

RMR d’Edmonton

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses: 98 % de Thorhild County No. 7 (4813036), 51 % de Lac Ste. Anne County (4813001), Val Quentin (4813005), West Cove (4813006), Yellowstone (4813007), Ross Haven (4813008), Castle Island (4813009), Sunset Point (4813011), Alberta Beach (4813012), Onoway (4813014), 8 % de Wetaskiwin County No.10 (4811001), Argentina Beach (4811003), Silver Beach (4811009), Sandy Beach (4813016) et Sunrise Beach (4813017).
  • Les régions suivantes à l’intérieure de la RMR ont été exclues: 2 % de Leduc County (4811012), 11 % de Parkland County (4811034), Seba Beach (4811038), Betula Beach (4811039), Bruderheim (4810066) et 5 % de Sturgeon County (4811059).

RMR du Grand Sudbury

  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues : Wahnapitei 11 (3553040) et Whitefish Lake 6 (3552051)

RMR Guelph

  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues : Puslinch (3523001) et Guelph/Eramosa (3523009).

RMR de Halifax

  • La région suivante à l’intérieur de la RMR a été exclue : Shubenacadie 13 (1209029).

RMR de Hamilton

  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues : 65 % de Burlington (3524002) et Grimsby (3526065).
  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses : 35 % d’Oakville (3524001), 35 % de Milton (3524009) et 35 % de Halton Hills (3524015).

RMR Kelowna

  • La région suivante à l’intérieur de la RMR a été exclue : 64 % de Central Okanagan J (5935020)
  • Les régions suivantes à l’extérieure de la RMR ont été incluses : 5 % de Kootenay Boundary E (5905054) et 2 % d’Okanagan-Similkameen F (5907051).

RMR de Kingston

  • La région suivante à l’intérieur de la RMR a été exclue : Frontenac Islands (3510005).

RMR de Kitchener – Cambridge – Waterloo

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses : Wellesley (3530027) et Wilmot (3530020).

RMR de London

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses : Newbury (3539002), Southwest Middlesex (3539005), Chippewas of the Thames First Nation 42 (3539017), Munsee-Delaware Nation 1 (3539018), Oneida 41 (3539021), North Middlesex (3539041) et Lucan Biddulph (3539060).
  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues : Southwold (3534024) et Central Elgin (3534020).

RMR Moncton

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses : 64% de Havelock (1305028), Hopewell (1306001), Riverside-Albert (1306003), Harvey (1306004), Alma (1306006), Alma (1306007), Salisbury (1307024) Petitcodiac (1307029), Westmorland (1307001), Port Elgin (1307002), Botsford (1307004) et Sackville (1307008).
  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues : Saint-Paul (1308008) et 1% de Moncton (1307019).

RMR de Montréal

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses: Rivière-Beaudette (2471005), Saint-Télesphore (2471015), Saint-Polycarpe (2471020), Les Coteaux (2471033), Saint-Clet (2471045), Pointe-Fortune (2471140), Rigaud (2471133), Très-Saint-Rédempteur, (2471125), Sainte-Marthe, (2471110), Sainte-Justine-de-Newton, (2471115), Saint-Jean-Baptiste (2457033), Calixa-Lavallée (2459030) et Contrecoeur (2459035).
  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues : Lavaltrie (2452007), Gore (2476025), L’Épiphanie (2460035) et L’Épiphanie (2460040).  

RMR d’Oshawa

  • N’est pas présentement utilisé en vue que les données sera basé sur des estimés de la Police Régional de Durham.
  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses : 65 % de Pickering (3518001), 65 % d’Ajax (3518005), 65 % de Scugog (3518020), 65 % de Mississaugas of Scugog Island (3518022), 65 % d’Uxbridge (3518029) et 65 % de Brock (3518039).
  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues : 35 % de Whitby (3518009), 35 % d’Oshawa (3518013) et 35 % de Clarington (3518017).

RMR d’Ottawa–Gatineau (partie de l’Ontario)

  • Concordance parfaite.

RMR d’Ottawa–Gatineau (partie du Québec)

  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues : Denholm (2483005), Mayo (2480065), Val-des-Bois (2480140) et Bowman (2480145).

RMR Peterborough

  • La région suivante à l’intérieur de la RMR a été exclue : Curve Lake First Nation 35 (3515019).

RMR de Québec

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses : Sainte-Anne-de-Beaupré (2421030), Beaupré (2421025), Saint-Joachim (2421020), Saint-Tite-des-Caps (2421005), Saint-Ferréol-les-Neiges(2421010), Saint-Louis-de-Gonzague-du-Cap_Tourmente (2421015), Lac-Croche (2422902), Sault-au-Cochon (2421902) et Lac-Jacques-Cartier (2421904).
  • Les régions suivantes de la RMR ont été exclues : Saint-Lambert-de-Lauzon (2426070), Beaumont (2419105) Saint-Henri (2419068) et Neuville (2434007).

RMR de Regina

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses : Findlater (4706062), Bethune (4706061), Dufferin No.190, (4706059), Silton (4706077), Kannata Valley (4706075), Craven (4706078), 50 % de South Qu'Appelle No. 157 (4706034) et Lajord No. 128 (4706011).
  • La région suivante à l’intérieur de la RMR a été exclue : 5 % de Pense No. 160 (4706021).

RMR de Saguenay

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été inclues: Petit-Saguenay (2494205), L’Anse-Saint-Jean (2494210), Rivière-Éternité (2494215), Ferland-et-Boilleau (2494220), Bégin (2494250), Saint-Ambroise (2494255), Lalemant (2494926), Lac-Ministuk (2494928) et Mont-Valin (2494930).

RMR de Saint John

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses: Norton (1305016), Norton (1305018) et Clarendon (1302014).
  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues: 50% de Saint Martins (1301001), 50% de Musquash (1301016) et Lepreau (1302008).

RMR de Saskatoon

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses: Ruddell (4716003), Maymont (4716004), Mayfield No. 406 (4716005), Great Bend No. 405 (4716008), Radisson (4716009), Borden (4716011), Rosedale No. 283 (4711031), Hanley (4711032), Lost River No. 313 (4711059), Kenaston (4711036), McCraney No. 282 (4711034), Bladworth (4711038), Viscount (4711092), Plunkett (4711094), Viscount No. 341 (4711091), 25 % de Bayne No. 371 (4715011), Grant No. 372 (4715014), Prud’Homme (4715016), Vonda (4715017), Aberdeen No. 373 (4715018), Aberdeen (4715019) et Montrose No. 315 (4712026).

RMR de Sherbrooke

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses: Sainte-Catherine-de-Hatley (2445060) et Austin (2445085).
  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues: North Hatley (2445050), Hatley  (2445055), Ascot Corner (2441055), Saint-Denis-de-Brompton (2442025), Stoke (2442005), Waterville (2444080), Compton (2444071), Waterville (2444080) et Val-Joli (2442095).

RMR de St. Catharines-Niagara

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses: Grimsby (3526065) et West Lincoln (3526021).

RMR de St. John’s

  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues: Bay Bulls (1001557) et Witless Bay (1001559).

RMR de Thunder Bay

  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues: Gillies (3558012), O’Connor (3558016), Conmee (3558019) et Fort William 52 (3558003).

RMR de Toronto

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses: 65% de Burlington (3524002), 29% de Whitby (3518009), 29% d’Oshawa (3518013), 29% de Clarington (3518017), 29% de Scugog (3518020), 29% de Mississaugas of Scugog Island (3518022), 29% de Brock (3518039), Adjala Tosorontio (3543003) et 78% d’Essa (3543021).
  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues: 35% d’Oakville (3524001), 35% de Milton (3524009), 35% de Halton Hills (3524015), 71% de Pickering (3518001), 71% d’Ajax (3518005), 71% d’Uxbridge (3518029) et Bradford West Gwillimbury (3543014).

RMR de Trois-Rivières

  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues: Wôlinak (2438802), Yamachiche (2451020), Champlain (2437220), Saint-Luc-de-Vincennes (2437225) et Saint-Maurice (2437230).
  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses: Deschaillons-sur-Saint-Laurent (2438070), Saint-Pierre-les-Becquets (2438065), Sainte-Cécile-de-Lévrard (2438060), Parisville (2438055), Fortierville (2438047), Sainte-Sophie-de-Lévrard (2438040), Sainte-Françoise (2438035), Manseau (2438028), Sainte-Marie-de-Blandford (2438015), Lemieux (2438020) et Saint-Sylvère (2438005).

RMR de Vancouver

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses: 64 % de Squamish-Lillooet D (5931021) et Cheakamus 11 (5931801).

RMR de Victoria

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses: Capital H (Part 2) (5917056), Gordon River 2 (5917815) et 2 % de Capital G (5917029).

RMR de Windsor

  • Concordance parfaite.

RMR de Winnipeg

  • La région suivante de la RMR a été exclue: 64% de Rosser (4614015), 53% de St. Clements (4613056) et Brokenhead 4 (4613062).
  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses: Cartier (4610043), Brokenhead (4612054), Beausejour (4612056), De Salaberry (4602032), St-Pierre-Jolys (4602037), 22% de Hanover (4602041) et Niverville (4602046).

Méthode employée pour les régions métropolitaines de recensement

Note

Source : Statistique Canada, Division de la démographie et Centre canadien de la statistique juridique


Aux fins de la déclaration des données sur la criminalité et sur le personnel des services de police, les populations des régions métropolitaines de  recensement (RMR) de Statistique Canada ont été ajustées pour qu'elles correspondent aux frontières des services de police. Il arrive souvent que les frontières des services de police ne concordent pas entièrement avec les limites des RMR, en particulier dans les détachements ruraux. Afin d'assurer la plus grande concordance possible entre les deux, les directives suivantes sont utilisées :

  • Si plus de la moitié de la population d'un détachement de trouve dans les limites d'une RMR, alors tous les crimes déclarés par ce détachement sont inclus et la partie de la population à l'extérieur de la RMR est ajoutée à la population officielle de la RMR.

  • Par contre, si moins de la moitié de la population desservie par un détachement se trouve dans les limites d'une RMR, alors tous les crimes déclarés par le détachement sont exclus et la partie de la population qui se trouve à l'intérieur des limites de la RMR est soustraite de la population officielle de la RMR.

RMR d’Abbotsford-Mission

  • La région suivante à l’intérieur de la RMR a été exclue : Upper Sumas 6 (5909877).

RMR Barrie

  • La région suivante à l’extérieur de la RMR a été incluse : Bradford West Gwillimbury (3543014).
  • La région suivante à l’intérieur de la RMR a été exclue : Springwater (3543009).

RMR Brantford

  • La région suivante à l’extérieur de la RMR a été incluse : Six Nations (Part) 40 (3528037).

RMR de Calgary

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses : Acme (4805044), Linden (4805046), Waiparous (4815030), Stoney 142, 143, 144 (4815802), Ghost Lake (4815027), 2 % de Kananaskis (4815013) 28 % de Bighorn No. 8 (4815015), 28 % de Kneehill County (4805041), 62 % de Weatland County (4805012), 2 % de Mountain View County (4806028), Standard (4805021) et Rockyford (4805022).

RMR d’Edmonton

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses: 98 % de Thorhild County No. 7 (4813036), 51 % de Lac Ste. Anne County (4813001), Val Quentin (4813005), West Cove (4813006), Yellowstone (4813007), Ross Haven (4813008), Castle Island (4813009), Sunset Point (4813011), Alberta Beach (4813012), Onoway (4813014), 8 % de Wetaskiwin County No.10 (4811001), Argentina Beach (4811003), Silver Beach (4811009), Sandy Beach (4813016) et Sunrise Beach (4813017).
  • Les régions suivantes à l’intérieure de la RMR ont été exclues: 2 % de Leduc County (4811012), 11 % de Parkland County (4811034), Seba Beach (4811038), Betula Beach (4811039), Bruderheim (4810066) et 5 % de Sturgeon County (4811059).

RMR du Grand Sudbury

  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues : Wahnapitei 11 (3553040) et Whitefish Lake 6 (3552051)

RMR Guelph

  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues : Puslinch (3523001) et Guelph/Eramosa (3523009).

RMR de Halifax

  • La région suivante à l’intérieur de la RMR a été exclue : Shubenacadie 13 (1209029).

RMR de Hamilton

  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues : 65 % de Burlington (3524002) et Grimsby (3526065).
  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses : 35 % d’Oakville (3524001), 35 % de Milton (3524009) et 35 % de Halton Hills (3524015).

RMR Kelowna

  • La région suivante à l’intérieur de la RMR a été exclue : 64 % de Central Okanagan J (5935020)
  • Les régions suivantes à l’extérieure de la RMR ont été incluses : 5 % de Kootenay Boundary E (5905054) et 2 % d’Okanagan-Similkameen F (5907051).

RMR de Kingston

  • La région suivante à l’intérieur de la RMR a été exclue : Frontenac Islands (3510005).

RMR de Kitchener

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses : Wellesley (3530027) et Wilmot (3530020).

RMR de London

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses : Newbury (3539002), Southwest Middlesex (3539005), Chippewas of the Thames First Nation 42 (3539017), Munsee-Delaware Nation 1 (3539018), Oneida 41 (3539021), North Middlesex (3539041) et Lucan Biddulph (3539060).
  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues : Southwold (3534024) et Central Elgin (3534020).

RMR Moncton

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses : 64% de Havelock (1305028), Hopewell (1306001), Riverside-Albert (1306003), Harvey (1306004), Alma (1306006), Alma (1306007), Salisbury (1307024) Petitcodiac (1307029), Westmorland (1307001), Port Elgin (1307002), Botsford (1307004) et Sackville (1307008).
  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues : Saint-Paul (1308008) et 1% de Moncton (1307019).

RMR de Montréal

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses: Rivière-Beaudette (2471005), Saint-Télesphore (2471015), Saint-Polycarpe (2471020), Les Coteaux (2471033), Saint-Clet (2471045), Pointe-Fortune (2471140), Rigaud (2471133), Très-Saint-Rédempteur, (2471125), Sainte-Marthe, (2471110), Sainte-Justine-de-Newton, (2471115), Saint-Jean-Baptiste (2457033), Calixa-Lavallée (2459030) et Contrecoeur (2459035).
  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues : Lavaltrie (2452007), Gore (2476025), L’Épiphanie (2460035) et L’Épiphanie (2460040).  

RMR d’Oshawa

  • N’est pas présentement utilisé en vue que les données sera basé sur des estimés de la Police Régional de Durham.
  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses : 64 % de Pickering (3518001), 64 % d’Ajax (3518005), 64 % de Scugog (3518020), 64 % de Mississaugas of Scugog Island (3518022), 64 % d’Uxbridge (3518029) et 64 % de Brock (3518039).
  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues : 36 % de Whitby (3518009), 36 % d’Oshawa (3518013) et 36 % de Clarington (3518017).

RMR d’Ottawa–Gatineau (partie de l’Ontario)

  • Concordance parfaite.

RMR d’Ottawa–Gatineau (partie du Québec)

  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues : Denholm (2483005), Mayo (2480065), Val-des-Bois (2480140) et Bowman (2480145).

RMR Peterborough

  • La région suivante à l’intérieur de la RMR a été exclue : Curve Lake First Nation 35 (3515019).

RMR de Québec

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses : Sainte-Anne-de-Beaupré (2421030), Beaupré (2421025), Saint-Joachim (2421020), Saint-Tite-des-Caps (2421005), Saint-Ferréol-les-Neiges(2421010), Saint-Louis-de-Gonzague-du-Cap_Tourmente (2421015), Lac-Croche (2422902), Sault-au-Cochon (2421902) et Lac-Jacques-Cartier (2421904).
  • Les régions suivantes de la RMR ont été exclues : Saint-Lambert-de-Lauzon (2426070), Beaumont (2419105) Saint-Henri (2419068) et Neuville (2434007).

RMR de Regina

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses : Findlater (4706062), Bethune (4706061), Dufferin No.190, (4706059), Silton (4706077), Kannata Valley (4706075), Craven (4706078), 50 % de South Qu'Appelle No. 157 (4706034) et Lajord No. 128 (4706011).
  • La région suivante à l’intérieur de la RMR a été exclue : 5 % de Pense No. 160 (4706021).

RMR de Saguenay

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été inclues: Petit-Saguenay (2494205), L’Anse-Saint-Jean (2494210), Rivière-Éternité (2494215), Ferland-et-Boilleau (2494220), Bégin (2494250), Saint-Ambroise (2494255), Lalemant (2494926), Lac-Ministuk (2494928) et Mont-Valin (2494930).

RMR de Saint John

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses: Norton (1305016), Norton (1305018) et Clarendon (1302014).
  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues: 50% de Saint Martins (1301001), 50% de Musquash (1301016) et Lepreau (1302008).

RMR de Saskatoon

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses: Ruddell (4716003), Maymont (4716004), Mayfield No. 406 (4716005), Great Bend No. 405 (4716008), Radisson (4716009), Borden (4716011), Rosedale No. 283 (4711031), Hanley (4711032), Lost River No. 313 (4711059), Kenaston (4711036), McCraney No. 282 (4711034), Bladworth (4711038), Viscount (4711092), Plunkett (4711094), Viscount No. 341 (4711091), 25 % de Bayne No. 371 (4715011), Grant No. 372 (4715014), Prud’Homme (4715016), Vonda (4715017), Aberdeen No. 373 (4715018), Aberdeen (4715019) et Montrose No. 315 (4712026).

RMR de Sherbrooke

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses: Sainte-Catherine-de-Hatley (2445060) et Austin (2445085).
  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues: North Hatley (2445050), Hatley  (2445055), Ascot Corner (2441055), Saint-Denis-de-Brompton (2442025), Stoke (2442005), Waterville (2444080), Compton (2444071), Waterville (2444080) et Val-Joli (2442095).

RMR de St. Catharines-Niagara

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses: Grimsby (3526065) et West Lincoln (3526021).

RMR de St. John’s

  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues: Bay Bulls (1001557) et Witless Bay (1001559).

RMR de Thunder Bay

  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues: Gillies (3558012), O’Connor (3558016), Conmee (3558019) et Fort William 52 (3558003).

RMR de Toronto

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses: 30 % de Whitby (3518009), 30 % d’Oshawa (3518013), 30 % de Clarington (3518017), 30 % de Scugog (3518020), 30 % de Mississaugas of Scugog Island (3518022), 30 % de Brock (3518039), Adjala Tosorontio (3543003), 78 % d’Essa (3543021) et 65 % de Burlington (3524002).
  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues: 70 % de Pickering (3518001), 70 % d’Ajax (3518005), 70 % d’Uxbridge (3518029), Bradford West Gwillimbury (3543014), 35 % d’Oakville (3524001), 35 % de Milton (3524009) et 35 % de Halton Hills (3524015).

RMR de Trois-Rivières

  • Les régions suivantes à l’intérieur de la RMR ont été exclues: Wôlinak (2438802), Yamachiche (2451020), Champlain (2437220), Saint-Luc-de-Vincennes (2437225) et Saint-Maurice (2437230).
  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses: Deschaillons-sur-Saint-Laurent (2438070), Saint-Pierre-les-Becquets (2438065), Sainte-Cécile-de-Lévrard (2438060), Parisville (2438055), Fortierville (2438047), Sainte-Sophie-de-Lévrard (2438040), Sainte-Françoise (2438035), Manseau (2438028), Sainte-Marie-de-Blandford (2438015), Lemieux (2438020) et Saint-Sylvère (2438005).

RMR de Vancouver

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses: 64 % de Squamish-Lillooet D (5931021) et Cheakamus 11 (5931801).

RMR de Victoria

  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses: Capital H (Part 2) (5917056), Gordon River 2 (5917815) et 2 % de Capital G (5917029).

RMR de Windsor

  • Concordance parfaite.

RMR de Winnipeg

  • La région suivante de la RMR a été exclue: 66% de Rosser (4614015), 90% de St. Clements (4613056) et Brokenhead 4 (4613062).
  • Les régions suivantes à l’extérieur de la RMR ont été incluses: Cartier (4610043), Brokenhead (4612054), De Salaberry (4602032), St-Pierre-Jolys (4602037), 26% de Hanover (4602041) et Niverville (4602046).

Programme des services policiers
Centre canadien de la statistique juridique (CCSJ)
Statistique Canada

Tableau 1: Effectif réel au 15 mai 2011, par catégorie et sexe

Directives générales :

  1. Ce tableau porte sur le nombre réel d’employés permanents à plein temps et à temps partiel (agents de police et employés civils) dont le nom figure sur la liste du personnel au 15 mai. NE COMPREND PAS les employés contractuels ou occasionnels qui ne sont pas employés de façon permanente. (Voir les notes additionnelles pour les agents de police en congé de longue durée et leurs remplaçants.)
  2. Convertir les employés permanents à temps partiel en équivalents temps plein. Par exemple, quatre travailleurs permanents à temps partiel travaillant chacun dix heures par semaine seraient considérés comme un employé à plein temps.
  3. Veiller à ce que les sous-totaux soient inscrits pour Agent de police - Total et Agents spéciaux et employés civils - Total. Les chiffres de ces deux lignes soient additionnés afin de donner le Effectif - Total.
  4. Tous les employés contractuels sont exclus du dénombrement du personnel. Cependant, les coûts associés à ces employés devraient être inclus dans les dépenses de fonctionnement.

Tableau 1: Effectif réel au 15 mai, par catégorie et sexe

Agents de police :

Comprend les agents de police actifs ayant été assermentés qui sont payés à même le budget annuel du service du police. Ne comprend pas le personnel policier en congé pour une longue période (études, invalidité, détachement) qui ne sont pas payés à même le budget annuel du service de police.

Comprend les agents de police payés par des agences externes par l’entremise d’ententes contre recouvrement intégral ou partiel des coûts (p. ex. les contrats de police des aéroports).

Veuillez inclure les agents de police qui remplacent (ou qui occupant un poste pour remplacer) les agents de police en congé de longue durée, et qui sont payés à même le budget annuel du service du police.

Officiers supérieurs
Cette catégorie comprend le personnel ayant obtenu le statut d'agent supérieur, normalement le grade de lieutenant ou un grade supérieur. Il s'agit, par exemple, des chefs, des chefs adjoints, des superintendants d’état-major, des superintendants, des inspecteurs d'état-major, de inspecteurs, des lieutenants et autres grades équivalents.

Sous-officiers
Cette catégorie comprend le personnel dont le grade se situe entre celui d'agent et de lieutenant, par exemple, les sergents d'état-major, les sergents, les sergents détectives, les caporaux ainsi que tous les grades équivalents.

Agents
Toutes les catégories d'agents, à l'exception des agents spéciaux, font partie de cette catégorie. Les agents spéciaux sont inclus sous la rubrique Agents spéciaux et employés civils car ils ne sont pas des agents de police assermentés.

Agents de police - Total
Indiquer le nombre total d'agents de police de chaque sexe ainsi que le nombre total d'agents de tout le corps policier. Ce grand total représente les effectifs policiers actuels du service au 15 mai.

Agents spéciaux et employés civils

Comprend tous les agents spéciaux et employés civils permanents à temps plein et à temps partiel dont le traitement est versé à même le budget du corps policier. Ne comprend pas les agents spéciaux et employés civils auxquels la municipalité pourvoit sans frais (ou qui sont payés par la municipalité).

Agents spéciaux autochtones
Les agents spéciaux autochtones sont des membres du personnel qui ont des pouvoirs limités en matière d’application de la loi.  Ils assurent certains services policiers au sein des collectivités autochtones et servent d’agent de liaison entre les agents de police assermentés et les membres de la collectivité. Bon nombre d’agents spéciaux autochtones ont participé au Programme des gendarmes spéciaux autochtones parrainé par la GRC.

Agents / gardes de sécurité
Agents spéciaux préposés à la sécurité des tribunaux, et autres gardiens qui veillent à la sécurité des détenus ou à la sécurité dans les tribunaux.

Agents d’application des règlements municipaux / de contrôle du stationnement
Cette catégorie comprend les agents spéciaux (officiers) chargés de l'application des règlements municipaux, par exemple, les préposés au stationnement. NE comprend PAS les agents payés par la municipalité.

Cadets / stagiaires
Tous les membres du personnel rémunéré qui participent à des programmes de formation en vue de devenir des agents de police assermentés. Cette catégorie ne comprend pas les policiers assermentés participant à des programmes de formation en cours d'emploi.

Communications / répartiteurs
Cette catégorie comprend tous les employés civils préposés à la répartition, à l'acheminement des appels téléphoniques, à l'estimation de l'urgence des appels et à la réception des plaintes. Ces responsabilités peuvent être assignées à des individus distincts dans des corps plus importants, alors qu'une seule personne peut assumer toutes ces tâches dans un corps plus petit.

Gestionnaires / professionnels
Cette catégorie comprend les employés civils occupant les postes suivants : gestionnaires, administrateurs, analystes des systèmes/analystes en informatique, scientifiques et autre personnel civil qualifié.

Personnel de bureau
Cette catégorie comprend tous les employés civils qui assument des fonctions de soutien, de bureau, de secrétariat ou de réception.

Brigadiers scolaires
Membres du personnel rémunéré chargés de la sécurité des enfants aux intersections. Comme les brigadiers scolaires ont tendance à travailler à temps partiel (p.ex., de 3 à 4 heures par jour et pour environ les trois quarts de l'année), veuillez convertir le nombre de brigadiers scolaires en équivalents à temps plein en prenant en compte le nombre d'heures travaillées par jour et le nombre de mois travaillés par année. Pour l'exemple susmentionné, ont pourrait utiliser la formule suivante : Le nombre réel de brigadiers scolaires x 0,5 x 0,75 = équivalents à temps plein.

Autre (préciser)
Cette catégorie comprend tous les autres agents spéciaux ou employés civils non inclus dans les catégories susmentionnées, notamment, les ouvriers, les mécaniciens, les préposés à l'entretien des immeubles.

Agents spéciaux et employés civils - Total
Nombre total d’agents spéciaux et d’employés civils de chaque sexe ainsi que le nombre total de tous les agents spéciaux et les employés civils du corps (sommes des lignes 5 à 13). Ce grand total représente les effectifs agents spéciaux et employés civils actuels totaux pour le corps au 15 mai.

Effectif - Total
Total de tout le personnel selon le sexe et grand total de tout le personnel.

Tableau 2: Effectif autorisé et Autres effectifs au 15 mai 2011

Effectif autorisé

Effectif policer autorisé

Indiquer le nombre d'agents de police assermentés que le service de police est autorisé à employer pendant la présente année civile ou le présent exercice. Ce nombre est distinct du nombre réel d'agents de police employés au 15 mai (Tableau 1).

Autres effectifs

Auxiliaires / réserves de police

Un membre auxiliaire ou un membre de réserve est un adjoint ou un intervenant qui travaille bénévolement, sous la supervision d’un membre régulier d’un service de police, et dont la participation à des activités d’exécution de la loi est limitée en vertu des conditions de sa nomination. En règle générale, le personnel de réserve ne peut participer directement à des activités d’exécution.

Agents de police occasionnels / temporaires

Indiquer ici tous les agents de police occasionnels (non permanents) rémunérés pleinement habilités à appliquer la loi. Comme ces personnes ne représentent pas des postes ou des années-personnes autorisés, elles sont exclues du dénombrement de l’effectif policier. Cette catégorie comprend les employés qui, parce qu’ils occupent des emplois occasionnels ou temporaires, ne sont peut-être pas admissibles à certains avantages comme des congés de maladie ou des vacances. Ces travailleurs sont généralement inscrits sur une liste de disponibilité et peuvent être appelés au besoin pour remplacer des agents de police permanents Les agents de police permanents à temps partiel qui ont un horaire régulier devraient être exclus de ce dénombrement, et inclus dans le dénombrement de l’effectif (Tableau 1).

Civils occasionnels / temporaires
Indiquer ici tous les employés civils occasionnels (non permanents) rémunérés. Comme ces personnes ne représentent pas des postes ou des années-personnes autorisés, elles sont exclues du dénombrement du personnel civil. Cette catégorie comprend les employés qui, parce qu’ils occupent des emplois occasionnels ou temporaires, ne sont peut-être pas admissibles à certains avantages comme des congés de maladie ou des vacances. Ces travailleurs sont généralement inscrits sur une liste de disponibilité et peuvent être appelés au besoin pour remplacer des employés civils permanents. Les employés permanents à temps partiel qui ont un horaire régulier devraient être exclus de ce dénombrement, et inclus dans le dénombrement de l’effectif (Tableau 1).

Tableau 3
Ce tableau a été éliminé.

Tableau 4 - Fin d’exercice dépenses de fonctionnement

Directives générales :

  1. Cocher la case appropriée sur la formule d'enquête pour indiquer si les dépenses de fonctionnement s'appliquent à une année civile (du 1er janvier au 31 décembre) ou à un exercice (du 1er avril au 31 mars).
  2. Indiquer les montants réels en les arrondissant au dollar le plus près.
  3. On entend par dépenses les dépenses brutes. Ne pas y inclure les recettes ni les recouvrements.
  4. Ne pas y inclure les dépenses d’investissements, les sources externes de financement ou le recouvrement des coûts en dollars.
  5. À l'exception des avantages sociaux, ne déclarer que les coûts assumés par le budget de la police, et non ceux assumés par des agences externes par l’entremise d’ententes contre recouvrement des coûts.
  6. À noter que la composante «avantages sociaux» fait l'objet d'une rubrique distincte à des fins de comparabilité. S'assurer que ces dépenses sont exclues des traitements et salaires afin d'éviter un double compte. Pour les avantages sociaux, inclure le montant qui est payé à même le budget du service de police, ainsi que le montant payé par d'autres sources publiques (s'il y a lieu p.ex., dans le cas des services de police autochtones).
  7. Les coûts liés à l'achat ou à la location de véhicules doivent maintenant être inclus sous la rubrique «Autres dépenses de fonctionnement», seulement s'ils sont inclus dans les dépenses de fonctionnement du service de police.
  8. La deuxième partie du tableau 4 comprend quatre postes : Achat de véhicules, Location de véhicules, Services informatiques, Locaux et Services de téléphone d’urgence « 911». Ces postes ont été classés sous des rubriques distinctes à des fins de comparabilité. Indiquer par un «X» dans la (les) colonne(s) appropriée(s) le budget dans lequel ils se trouvent.

Tableau 4: Fin d’exercice dépenses de fonctionnement
Indiquer les derniers chiffres sur les dépenses pour l'exercice 2010‑2011 ou l'année civile 2010, pour chacune des catégories suivantes, et arrondis au dollar le plus près. Nota: Ne pas y inclure les sources externes de financement ou le recouvrement des coûts en dollars.

Traitements et salaires
Il faut déclarer dans cette case tous les traitements et salaires, notamment les heures supplémentaires, les primes de quart, les paies de vacances, les primes de long service, les primes d'éloignement et les bourses.

Avantages sociaux
Il faut considérer comme avantages sociaux tous les paiements versés aux employés et qui ne sont ni des traitements ni des salaires. Voici des exemples d'avantages sociaux : la contribution de l'employeur : au Régime de pensions du Canada (RPC), à l'assurance-chômage (A‑C), au régime de pension de retraite ou à d'autres pensions, aux régimes d'assurance-maladie, aux régimes de soins dentaires, aux régimes d'assurance-vie collective, aux indemnités pour accidents de travail/incapacité, aux prestations de décès, aux prestations de maternité/de paternité/ d’adoption, aux indemnités de cessation d'emploi, aux indemnités vestimentaires, aux indemnités de transport, à des indemnités diverses (contribution de l'employeur à d'autres régimes, tels que soins de la vue).
Payés à même budget du service de police
Inclure le montant total des avantages sociaux payés à même le budget du service de police.
Payés par d’autres sources publiques
Inclure le montant total des avantages sociaux payés par une autre source publique.

Autres dépenses de fonctionnement
Toutes les dépenses autres que les dépenses d'investissements, à l'exclusion des traitements, des salaires et des avantages sociaux, sont incluses ici.
Des postes comme les suivants : matériaux, fournitures, ameublement, services publics, achats de matériel accessoire, achats de véhicules, location de véhicule, entretien des véhicules, essence, huile, location à bail, location d'immeubles et d'équipement, transport et communications, services professionnels, contrats.

Dépenses de fonctionnement – Total
La somme des traitements et des salaires, des avantages et des autres dépenses de fonctionnement.

Cocher la (les) catégories appropriée (s) (Pour chacune des catégories suivantes : Budget de fonctionnement du service de police, Budget d’immobilisations du service de police, Autre sources publiques) pour indiquer le budget dans lequel les postes suivants se trouvent.  Il se peut que certains des postes figurant ci‑dessous soient payés à même plus d'un budget. Vous pouvez cocher plus d’une réponse. 

Postes

Achats de véhicules
L’achat de véhicules automobiles.

Location de véhicules
La location de véhicules automobiles.

Services informatiques
Achats d'ordinateurs et de logiciels, services rendus par des entreprises privées pour maintenir les systèmes informatiques, régler des problèmes, et autres coûts d'entretien associés aux ordinateurs.

Locaux
Location d'immeubles, taxes foncières, hypothèque.

Services d’urgence « 911 »
Inclut les salaires et autres coûts pour le personnel responsable de répondre au service d’urgence « 911 » (appels d’arrivée initiaux) et d’acheminer les appels aux services de police, d’incendie et d’ambulance.

Nom et signature du déclarant
Doit être une personne en mesure de fournir les renseignements demandés sur la formule.

Numéro de téléphone
Veuillez indiquer le numéro de téléphone de la personne à contacter pour tout suivi éventuel.

Date
Date à laquelle la formule a été remplie.

Pour de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec le Programme des services policiers du Centre canadien de la statistique juridique au 613‑951‑9023 ou au 1‑800‑387‑2231

Tous les produits du CCSJ y compris la base de données électronique DUC qui remonte à 1977, sont disponibles à titre gratuit à tous les services policiers à partir d’un site Web fermé.

Pour plus de renseignements ou pour recevoir l'accès au site, veuillez communiquer avec le Service d'information à la clientèle, CCSJ au (613) 951‑9023, 1 800 387‑2231 ou ccjsccsj@statcan.gc.ca

L'Enquête canadienne sur l'incapacité (ECI) de 2012 et l'Enquête sur la participation et les limitations d'activités (EPLA) de 2006

L'Enquête canadienne sur l'incapacité (ECI) de 2012 comporte un ensemble de questions d'identification des incapacités qui étaient utilisées pour la première fois afin d'identifier les personnes avec incapacité au Canada. Certains utilisateurs de données chercheront peut-être à comparer la prévalence de l'incapacité entre les enquêtes, notamment par rapport à l'Enquête sur la participation et les limitations d'activités (EPLA) de 2006 qui a précédé l'ECI. Mais cette comparaison n'est pas possible pour plusieurs raisons.

Les concepts et les méthodes ayant servi à mesurer l'incapacité dans le cadre de l'ECI de 2012 diffèrent considérablement de ceux utilisés pour l'EPLA de 2006. Le principal changement touche la définition de l'incapacité : dans l'ECI, la définition repose sur un nouvel ensemble de « questions d'identification des incapacités » (QII). Ces questions de sélection reflètent une mise en application plus complète du modèle social de l'incapacité, une plus grande cohérence dans l'identification de l'incapacité selon chaque type, de même qu'une meilleure couverture de l'ensemble des types d'incapacité, en particulier les incapacités mentales/psychologiques et cognitives (apprentissage et mémoire)Note 1. Ces différences sont décrites de façon plus détaillée dans la suite du présent document.

En raison des différences majeures entre les concepts et les méthodes de l'EPLA de 2006 et de l'ECI de 2012, il n'est pas possible ni recommandé de comparer la prévalence de l'incapacité au fil du temps entre ces deux sources de données.

Nouvelle méthode d'identification des incapacités

Contrairement aux questions de sélection de l'EPLA qui reposaient sur une approche hybride (modèle social pour l'identification de certains types d'incapacité et modèle médical pour d'autres types), les questions d'identification des incapacités utilisées dans l'ECI (QII) ont été élaborées de manière à assurer une plus grande cohérence de l'identification des incapacités selon le type.

D'après leurs réponses aux questions du module QII, les répondants sont considérés comme ayant une incapacité uniquement si leurs activités quotidiennes sont limitéesNote 2 en raison d'un trouble ou d'une difficulté à accomplir certaines tâches. On trouvera de plus amples renseignements sur la définition de l'incapacité dans le cadre de l'ECI à la section 2.1 du document Enquête canadienne sur l'incapacité, 2012 : Guide des concepts et méthodes (no 89-654 au catalogue), qui paraîtra bientôt.

L'ECI (puisqu'elle utilise le module QII) permet aux répondants de déterminer s'ils font face à une limitation d'activités en raison de ces difficultés ou de ces troubles. Parfois, des personnes ayant déclaré avoir de la difficulté à accomplir certaines tâches ou avoir un trouble quelconque vont ensuite indiquer que cela ne nuit en rien à leurs activités quotidiennes. Ces personnes étaient considérées comme ayant une incapacité dans le cadre de l'EPLA, mais pas dans le cadre de l'ECI.

Ce changement aura l'incidence la plus marquée sur l'identification des personnes avec une incapacité sensorielle ou physique, puisque dans l'EPLA, l'identification de ces types d'incapacités reposait exclusivement sur l'existence d'un certain degré de difficulté. Cependant, pour les types d'incapacité autres que physiques, l'EPLA présente une plus grande concordance avec l'ECI parce qu'elle comportait elle aussi une exigence additionnelle portant sur les limitations d'activités.

D'autres changements apportés aux questions d'identification peuvent eux aussi avoir un impact sur les résultats. Par exemple, les questions relatives aux incapacités mentales/psychologiques ont été quelque peu modifiées: des exemples des troubles les plus courants (comme la dépression, l'anxiété et le trouble bipolaire) ont été ajoutés et les exemples de troubles moins courants et plus stigmatisés (comme la schizophrénie) ont été supprimés. La liste d'exemples dans les questions relatives aux troubles d'apprentissage et aux troubles de mémoire a aussi été modifiée.

Autre différence entre les deux enquêtes : les troubles de la communication étaient identifiés dans l'EPLA mais ne le sont pas dans l'ECI. Durant la série de tests qualitatifs successifs du module QII, aucune question n'a pu être trouvée afin d'identifier correctement les personnes avec troubles de la communication. La plupart des itérations d'une question servant à identifier les personnes de ce petit groupe (y compris la question utilisée dans l'EPLA) soulevaient des difficultés chez les personnes dont la première langue n'est ni le français ni l'anglais, ou encore des difficultés d'ordre culturel (comme le fait de ne pas comprendre certaines expressions appartenant au langage familier). De plus, l'émergence des médias sociaux comme moyen de communication semble avoir ajouté une nouvelle complexité au concept de communication pour la population canadienne.

Enfin, des changements ont été apportés au concept d'« agilité » utilisé dans l'EPLA. Dans le module QII, l'incapacité correspondante a été subdivisée en deux types (flexibilité et dextérité), les essais qualitatifs ayant démontré que les gens jugent que ces deux aspects sont très différents l'un de l'autre, et qu'ils ne sont pas associés aux mêmes troubles sous-jacents. On a jugé que cette subdivision constituait une amélioration en vue d'identifier différents types d'incapacités physiques; en outre, cela donne suite à des demandes formulées par les utilisateurs de données sur l'incapacité ainsi que par la comité consultatif technique pour les personnes avec incapacités d'Emploi et Développement social Canada (EDSC).

Autres changements touchant le contenu de l'ECI

De même qu'il n'est pas possible de comparer la prévalence de l'incapacité en général et celle de certains types d'incapacité en particulier, l'ECI ne peut pas non plus être comparée à l'EPLA pour ce qui est d'autres données relatives à son contenu. En effet, le contenu de l'ECI a été en grande partie simplifié et mis à jour. Une portion du contenu de l'EPLA a été supprimée en raison de contraintes opérationnelles; toutefois, on s'est efforcé, dans la mesure du possible, de supprimer le contenu s'étant révélé moins pertinent et moins utilisé.

Les questions de l'enquête ont également été mises à jour afin de mieux refléter la réalité d'aujourd'hui et de rectifier certains problèmes connus avec l'EPLA. Par exemple, la section portant sur les aides et appareils fonctionnels a fait l'objet de changements importants. Bon nombre des appareils mentionnés dans l'EPLA étaient considérés comme étant dépassés, compte tenu de l'utilisation qu'en font actuellement les personnes avec incapacité. De même, de nouveaux appareils ont été ajoutés pour rendre compte des progrès technologiques réalisés depuis la fin des années 1990, soit la période où ont été formulées les questions de l'EPLA sur les aides et appareils fonctionnels.

Des efforts ont également été faits afin de simplifier la méthode servant à interroger les répondants de l'ECI au sujet de l'aide requise et des besoins non satisfaits. Par exemple, les questions sur le besoin et l'utilisation d'accessoires (tels que des barres d'appui, etc.) installés dans le logement des personnes avec incapacité physique sont maintenant combinées aux questions sur d'autres aides et appareils associés au même type d'incapacité. Dans l'EPLA, on distinguait les questions sur les aides et appareils portables et portés par la personne elle-même, de celles ayant trait aux aides et appareils installés dans le logement. Cette distinction n'était pas naturelle pour de nombreuses personnes qui voulaient indiquer leur besoin pour des items tels que des barres d'appui, dans la première section relative aux aides et appareils fonctionnels (souvent déclarés dans la catégorie « autres »), puis qui en faisaient de nouveau état dans une section subséquente lorsqu'on leur posait précisément la question, pouvant donner lieu à un double compte.

En raison de ces changements apportés au libellé et à l'enchaînement des questions, il convient d'éviter les comparaisons entre les données de l'EPLA et celles de l'ECI.

Questions filtres de l'ENM

Bien que l'on considère que l'ECI et les questions d'identification des incapacités (QII) constituent un progrès important en vue de mieux mesurer l'incapacité au moyen du modèle social, il convient de mentionner que l'échantillon de l'ECI a été présélectionné à l'aide des mêmes questions filtres à l'Enquête nationale auprès des ménages (ENM) de 2011, que celles utilisées dans le questionnaire complet du Recensement de 2006 lors de l'EPLA. Des études de suivi ont montré que ces questions filtres ne permettent pas d'identifier adéquatement les personnes ayant une incapacité mentale/psychologique ou cognitive. Cela signifie que l'ECI présente encore quelques-unes des lacunes que l'on retrouvait dans l'EPLA en ce qui touche le sous-dénombrement de certains types d'incapacité. Néanmoins, parmi les personnes sélectionnées sur la base de l'ENM, la nouvelle méthode de sélection utilisée pour l'ECI contribuera à améliorer l'identification des personnes ayant une incapacité mentale/psychologique, une incapacité cognitive ou un « autre » type d'incapacité, car il est maintenant possible de mieux les identifier.

Changement relatif au délai suite à l'enquête de présélection

Comme mentionné précédemment, les bases de sondage de l'EPLA et de l'ECI ont été établies à partir des réponses au questionnaire complet du Recensement de 2006 et à l'ENM de 2011, respectivement. L'EPLA a été menée de six à neuf mois après le Recensement, tandis que l'ECI a été menée sur le terrain de 16 à 20 mois après l'ENM. En raison du délai plus long, non seulement a-t-il été plus difficile de faire le suivi des répondants sélectionnés qui avaient déménagé, mais cela a en outre fait augmenter la possibilité qu'un répondant ayant déclaré une limitation d'activité à l'ENM n'ait plus d'incapacité, qu'il ait été institutionnalisé ou qu'il soit décédé dans l'intervalle (se reporter à la prochaine section, intitulée « Autres changements d'ordre méthodologique »). Il se peut aussi que certains renseignements recueillis dans le cadre de l'ENM et annexés au fichier de l'ECI (par exemple, des données sur le revenu) aient changé au cours de la période séparant les deux enquêtes.

Autres changements d'ordre méthodologique

La base de sondage de l'ECI a été constituée à partir des réponses à l'ENM de 2011, tandis que celle de l'EPLA reposait sur les réponses au questionnaire complet du Recensement de 2006. Bien que tous les efforts aient été déployés par l'ENM afin de réduire les effets du taux de réponse plus faible, ce changement particulier a pu avoir une incidence sur les résultats de l'ECI. Pour consulter la version intégrale des délibérations sur la qualité des données de l'ENM, veuillez consulter le Guide de l'utilisateur de l'Enquête nationale auprès des ménages.

Une deuxième différence méthodologique entre l'ECI et l'EPLA découle d'un changement apporté à la stratégie de pondération dans le cadre de l'ECI pour contrebalancer le délai plus long entre la collecte de l'ENM et celle de l'ECI. Comme mentionné plus tôt, ce délai entraînait une augmentation de la probabilité de non-réponse à l'ECI en raison du décès ou de l'institutionnalisation de certains répondants. En raison de la possibilité que bon nombre de ces personnes soient des personnes avec incapacité, il était important de prendre des mesures afin de ne pas sous-estimer la prévalence de l'incapacité. Par conséquent, on a ajusté les poids applicables à la population ayant répondu NON aux questions filtres de l'ENM de manière à prendre en compte les décès et les institutionnalisations qui pourraient avoir eu lieu entre la collecte des données de l'ENM et celle des données de l'ECI. Cela a nécessité un calage des poids aux estimations de population ajustées pour le sous-dénombrement net, ce qui n'avait pas été fait dans le cas de l'EPLA de 2006.

Le document Enquête canadienne sur l'incapacité, 2012 : Guide des concepts et méthodes contient de plus amples renseignements sur la méthodologie utilisée dans l'ECI.

Résumé et recommandation

Tel que discuté précédemment, les principales différences entre l'EPLA et l'ECI peuvent être resumées ainsi:

  • La définition de l'incapacité utilisée pour l'ECI est différente de celle utilisée pour l'EPLA. L'ECI a adopté le nouvel ensemble de questions d'identification des incapacités (QII), qui est utilisé pour la première fois afin d'identifier les incapacités au Canada.
  • Les questions de sélection utilisées dans l'ECI concordent davantage avec un modèle social de l'incapacité que celles de l'EPLA; de plus, contrairement à ces dernières, les questions de sélection de l'ECI sont plus cohérentes pour identifier l'incapacité selon chaque type.
  • Le contenu du questionnaire a été simplifié et mis à jour afin de tenir compte des technologies actuelles et de corriger certaines lacunes dans la formulation des questions.
  • Le délai plus long entre l'ENM et l'ECI a fait augmenter la possibilité que des répondants sélectionnés n'aient plus d'incapacité, soient institutionnalisés ou soient décédé au cours de l'intervalle entre les deux enquêtes. Il a donc été nécessaire de recourir à une différente méthode de calage des poids, ce que l'on n'a pas fait dans le cas de l'EPLA de 2006.
  • Enfin, la base de sondage de l'ECI a été constituée à partir de l'ENM de 2011, plutôt que du Recensement de 2006. Ce changement peut avoir eu une incidence sur les résultats de l'ECI.

Il faut présumer que ces différents changements ont une incidence sur la comparabilité des données. Par conséquent, il n'est pas possible ni recommandé de faire des comparaisons entre les données de l'ECI et celles de l'EPLA.


Notes

  1. Cet énoncé est vrai en ce qui a trait au module QII lui-même; il existe toutefois certaines contraintes associées à l'administration de ce module dans le contexte de l'ECI de 2012, qui est une enquête postcensitaire. Se reporter à la section « Questions filtres de l'ENM ».
  2. La seule exception à cet égard concerne les troubles du développement, le répondant qui a reçu un tel diagnostic étant considéré comme ayant une incapacité.

Indicateurs de haut niveau – Enquête auprès des peuples autochtones de 2012

Introduction

Le présent document dresse la liste des thèmes et des indicateurs de haut niveau connexes faisant partie du contenu de l’Enquête auprès des peuples autochtones (EAPA) de 2012. Chaque thème est présenté en suivant l’ordre dans lequel il apparaît dans le questionnaire de l’enquête. Viennent ensuite les indicateurs de haut niveau associés au thème respectif.

Il convient de souligner que seuls les indicateurs de haut niveau sont indiqués, et non pas chacune des questions de l’enquête. Dans certains cas, plusieurs questions sont utilisées pour un concept ou un indicateur en particulier. Lorsque plusieurs questions de l’enquête comportent une échelle calculée, le principal résultat (indicateur) pour cette échelle est mentionné dans la liste, et non chaque question individuelle dans l’échelle. Veuillez consulter le questionnaire de l’Enquête auprès des peuples autochtones de 2012 pour voir les questions.

Domaines d’estimation

Identité :
Premières Nations
Métis
Inuit
Géographie :
À l’échelle nationale
Ensemble des provinces et des territoires
Les quatre régions de l’Inuit Nunangat
*N’inclut pas les réserves indiennes ou les collectivités des Premières Nations du Nord.
Éducation :
Personnes aux études (de la 1re à la 6e année)
Personnes aux études (de la 7e à la 12e année)
Finissants du secondaire
Décrocheurs

Ces domaines permettront de suivre les différents cheminements scolaires des Autochtones.

Thèmes

  • Identification
  • Composition du ménage
  • Mobilité
  • Éducation
  • Langue autochtone
  • Activités sur le marché du travail
  • Activités traditionnelles
  • Revenu
  • Santé
  • Logement

Indicateurs de haut niveau par thème

Identité autochtone

Indicateurs :

  • Identité – Premières Nations, Inuit et Métis
  • Statut – Indien inscrit ou des traités en vertu de la Loi sur les Indiens du Canada
  • Demande ou inscription en tant qu’Indien inscrit en vertu du projet de loi C-31 ou C-3
  • Appartenance à une bande indienne

Sections sur la composition du ménage

Indicateurs :

  • Lien avec le répondant sélectionné
  • Statut de la mère ou du père du répondant sélectionné (biologique, en famille d’accueil)
  • Date de naissance du parent/tuteur
  • Sexe de la PMR
  • État matrimonial
  • État matrimonial du parent/tuteur
  • Nombre de membres du ménage
    • Moins de 18 ans
    • Plus jeunes que le répondant sélectionné
  • Membres de la famille vivant à cette adresse

Mobilité

Indicateurs :

  • A vécu dans la collectivité actuelle toute sa vie
  • Nombre d’années depuis l’installation dans la collectivité actuelle
  • Déjà vécu dans une réserve ou une collectivité des Premières Nations ou une collectivité inuite
  • Raisons du déménagement de la collectivité (réserve, collectivité des Premières Nations ou collectivité inuite seulement)
  • Raisons de l’installation dans la collectivité actuelle
  • Fréquence des déménagements
    • Au cours des cinq dernières années
    • Au cours des 12 derniers mois

Sections sur les études

  • Niveau de scolarité 1 âgé de <=18 ans
  • Niveau de scolarité 2 âgé de 19 à 44 ans
  • Personnes aux études – de la 1re à la 6e année
  • Personnes aux études – de la 7e à la 12e année
  • Décrocheurs et finissants de l’école secondaire
  • Répondants de >=45 ans

Indicateurs :
Nota : Certains indicateurs se répètent parce qu’ils sont associés à plus d’un groupe cible.
Indicateurs des niveaux de scolarité (1 et 2)

  • Inscription dans une école
  • Niveau de scolarité actuel
  • Fréquentation d’une école secondaire (ou l’équivalent)
  • Diplôme d’études secondaires (ou l’équivalent)
  • Lieu du programme d’équivalence des études secondaires
  • Plus haut niveau de scolarité (déterminé en fonction des renseignements fournis sur les études postsecondaires)

Indicateurs des personnes aux études (de la 1re à la 6e année)

  • Fréquentation d’un établissement préscolaire (y compris le Programme de développement de la petite enfance)
  • Fréquentation d’un établissement préscolaire s’adressant aux enfants autochtones (y compris le Programme de développement de la petite enfance)
  • Nombre d’écoles fréquentées
  • Raison d’avoir changé d’école
  • Mobilité pour fréquenter une école
  • École dans une collectivité des Premières Nations (dans une réserve)
  • Exposition aux langues autochtones
    • Enseignement d’une langue autochtone
    • Enseignement de matières dans une langue autochtone (autre que les cours de langue)
  • Rendement scolaire
  • Soutien – activités de tutorat
    • Raisons du soutien – des activités de tutorat
    • Fréquence du soutien – des activités de tutorat
    • Source du soutien – des activités de tutorat
  • Climat de l’école et soutien scolaire
    • Communication avec le parent/tuteur
    • Perceptions de l’environnement scolaire
    • Soutien de la culture autochtone
    • Participation de la famille à l’école
  • Soutien de l’apprentissage à la maison
    • Fréquence de l’aide aux devoirs
    • Fréquence de la lecture à l’élève
    • Fréquence de la lecture par l’élève
    • Accès à Internet
  • Absences/cours manqués/retards à l’école
    • Fréquence
    • Raisons
  • Attentes/aspirations des parents concernant les études
  • Planification et épargne des parents pour les études
  • Antécédents scolaires de la famille
    • Obtention du diplôme d’études secondaires par les frères et sœurs
    • Plus haut niveau de scolarité de la mère et du père

Indicateurs des personnes aux études (de la 7e à la 12e année)

  • Fréquentation d’un établissement préscolaire (y compris le Programme de développement de la petite enfance)
  • Fréquentation d’un établissement préscolaire s’adressant aux enfants autochtones (y compris le Programme de développement de la petite enfance)
  • Nombre d’écoles fréquentées
  • Raison d’avoir changé d’école
  • Mobilité pour fréquenter une école
  • École dans une collectivité des Premières Nations (dans une réserve)
  • Exposition aux langues autochtones
    • Enseignement d’une langue autochtone
    • Enseignement de matières dans une langue autochtone (autre que les cours de langue)
  • Rendement scolaire
  • Besoin de soutien social
    • Source de soutien
  • Soutien – activités de tutorat
    • Raisons du soutien – des activités de tutorat
    • Fréquence du soutien – des activités de tutorat
    • Source du soutien – des activités de tutorat
  • Climat de l’école et soutien scolaire
    • Communication avec le parent/tuteur
    • Perceptions de l’environnement scolaire
    • Soutien de la culture autochtone
    • Participation de la famille à l’école
  • Soutien de l’apprentissage à la maison
    • Fréquence de l’aide aux devoirs
    • Fréquence de la lecture à l’élève
    • Fréquence de la lecture par l’élève
    • Accès à Internet
  • Activités parascolaires
    • Sports ou activités physiques
      • Participation
      • Fréquence
      • Offertes à l’école, à l’extérieur de l’école ou les deux
    • Arts/théâtre/musique
      • Participation
      • Fréquence
      • Offertes à l’école, à l’extérieur de l’école ou les deux
    • Activités d’un club ou d’un groupe (sauf les activités sportives ou artistiques)
      • Participation
      • Fréquence
      • Offertes à l’école, à l’extérieur de l’école ou les deux
    • Activités des Premières Nations/Métis/Inuit
      • Participation
      • Fréquence
    • Temps passé avec des aînés
      • Fréquence
    • Bénévolat/travail non rémunéré
      • Fréquence
    • Travail dans la collectivité (gardiennage, travail dans un magasin, tutorat)
      • Fréquence
  • Absences/cours manqués/retards à l’école
    • Fréquence
    • Raisons
  • Attitudes et comportements des pairs (au secondaire)
  • Décrochage scolaire
    • Fréquence
    • Raisons
  • Attentes/aspirations concernant les études
  • Obstacles aux études
  • Planification et épargne pour les études
  • Antécédents scolaires de la famille
    • Obtention du diplôme d’études secondaires par les frères et sœurs
    • Plus haut niveau de scolarité de la mère et du père

Études secondaires (décrocheurs et finissants)

  • Nombre d’écoles fréquentées
    • Jusqu’à la 6e année inclusivement
    • À partir de la 7e année
  • Raison d’avoir changé d’école
  • École dans une collectivité des Premières Nations (dans une réserve)
  • Mobilité pour fréquenter une école
  • Exposition aux langues autochtones
    • Enseignement d’une langue autochtone
    • Enseignement de matières dans une langue autochtone (autre que les cours de langue)
  • Rendement scolaire
  • Soutien – activités de tutorat
    • Raisons du soutien – des activités de tutorat
    • Fréquence du soutien – des activités de tutorat
    • Source du soutien – des activités de tutorat
  • Climat de l’école et soutien scolaire
    • Communication avec le parent/tuteur
    • Perceptions de l’environnement scolaire
    • Soutien de la culture autochtone
    • Participation de la famille à l’école
  • Besoin de soutien social
    • Source de soutien
  • Soutien de l’apprentissage à la maison
    • Vivait avec sa famille pendant sa dernière année d’école primaire ou secondaire
    • Fréquence de l’aide aux devoirs
    • Fréquence de la lecture par l’élève
  • Activités parascolaires
    • Sports ou activités physiques
      • Participation
      • Fréquence
      • Offertes à l’école, à l’extérieur de l’école ou les deux
    • Arts/théâtre/musique
      • Participation
      • Fréquence
      • Offertes à l’école, à l’extérieur de l’école ou les deux
    • Activités d’un club ou d’un groupe (sauf les activités sportives ou artistiques)
      • Participation
      • Fréquence
      • Offertes à l’école, à l’extérieur de l’école ou les deux
    • Activités des Premières Nations/Métis/Inuit
      • Participation
      • Fréquence
    • Temps passé avec des aînés
      • Fréquence
    • Bénévolat/travail non rémunéré
      • Fréquence
    • Travail dans la collectivité (gardiennage, travail dans un magasin, tutorat)
      • Fréquence
  • Absences/cours manqués/retards à l’école
    • Fréquence
  • Attitudes et comportements des pairs (au secondaire)
  • Décrochage scolaire
    • Fréquence
    • Raisons
  • Raisons de retourner aux études
  • Âge au moment de l’obtention du diplôme d’études secondaires
  • Âge au moment des dernières études primaires ou secondaires
  • Études postsecondaires
    • Études en vue d’obtenir un certificat d’études postsecondaires
    • Type d’établissement d’enseignement
    • Fréquentation d’une l’école (postsecondaire)
    • Raisons d’avoir abandonné les études postsecondaires
    • Plus haut niveau d’études postsecondaires
    • Année de l’abandon/la fin des études
    • Certificat(s)/diplôme(s)/grade(s) obtenu(s)
    • Domaine d’études
    • Études à temps plein ou à temps partiel
    • Programme de préparation des étudiants
    • Déménagement pour poursuivre des études postsecondaires
    • Enseignement à distance
      • Accès
      • Participation
    • Soutien personnel
  • Financement des études postsecondaires
    • Prêt étudiant du gouvernement
      • Demande
      • Raisons de ne pas avoir présenté de demande
      • Bénéficiaire
    • Méthode de financement
    • Obstacles financiers aux études postsecondaires
  • Raisons de ne pas avoir poursuivi des études postsecondaires
  • Études futures
  • Antécédents scolaires de la famille
    • Obtention du diplôme d’études secondaires par les frères et les sœurs
    • Plus haut niveau de scolarité de la mère et du père

Études (répondants âgés de 45 ans et plus)

  • Plus haut niveau de scolarité (primaire ou secondaire)
  • Secondaire (et équivalence)
    • Fréquentation
    • Achèvement
  • Lieu du programme d’équivalence des études secondaires
  • Études postsecondaires
    • Études en vue d’obtenir un certificat d’études postsecondaires
    • Type d’établissement d’enseignement
    • Obtention d’un diplôme d’études postsecondaires
    • Fréquentation d’une l’école (postsecondaire)
    • Dernière année d’études postsecondaires
    • Raisons d’avoir abandonné les études postsecondaires
    • Domaine d’études
    • Études à temps plein ou à temps partiel
    • Raisons de ne pas avoir poursuivi des études postsecondaires
    • Objectif de s’inscrire à un programme d’études postsecondaires

Langue autochtone

Indicateurs :

  • Langue(s) autochtone(s) parlée(s)/comprise(s)
  • Langue autochtone principale
  • Autoévaluation de la capacité de parler et de comprendre une langue autochtone
  • Importance de parler et de comprendre une langue autochtone
  • Exposition à une langue autochtone
  • Première langue apprise dans l’enfance

Pensionnat

Indicateurs :

  • Fréquentation d’un pensionnat
  • Fréquentation d’un pensionnat par les membres de la famille

Activités sur le marché du travail

Indicateurs :

  • Taux de chômage, d’emploi et d’activité
  • Recherche d’un emploi
  • Raison(s) de l’absence du travail
  • Durée du chômage
  • Capable de travailler
  • Emploi
    • Raisons de ne pas avoir cherché de travail
    • Heures moyennes
    • Travail à temps plein ou à temps partiel, volontaire ou involontaire à temps partiel
    • Permanence d’emploi
    • Emplois multiples
    • Emploi précédent
    • Raisons de ne pas avoir déménagé pour trouver un emploi ailleurs
    • Recherche d’emploi
    • Obstacles
  • Catégorie de travailleur
  • Entreprise constituée en société ou non constituée en société
  • Employeur
  • Industrie
  • Profession
  • Principales activités de travail
  • Durée d’occupation de l’emploi
  • Mobilité de la main-d’œuvre

Activités traditionnelles

  • Confection de vêtements ou de chaussures
  • Confection d’œuvres d’art ou d’artisanat
  • Chasse, pêche ou piégeage
  • Cueillette de plantes sauvages

Indicateurs :

  • Participation à des activités traditionnelles
    • Fréquence de la participation
    • Raison de participer à des activités traditionnelles
  • Intérêt à participer
  • Obstacles à la participation

Revenu

Indicateurs :

  • Sources de revenu
  • Principale source de revenu personnel
  • Revenu personnel total – fourchette ou montant
  • Revenu d’emploi – fourchette ou montant

Sections sur la santé

  • Santé générale
  • Grossesse et accouchement
  • Taille et poids
  • Problèmes de santé chroniques
  • Blessures
  • Santé mentale
  • Tabagisme
  • Alcool
  • Consommation de drogue
  • Sécurité alimentaire
  • Soutien de la communauté

Indicateurs :

  • État de santé autodéclaré
  • Grossesse
    • Nombre de naissances
    • Âge au premier accouchement
  • Taille et poids
  • Accès à des professionnels de la santé
    • Consultation d’un médecin régulier
    • Obstacles à la consultation d’un médecin régulier
    • Consultation de différents professionnels de la santé (p. ex. dentiste, psychologue)
    • Obstacles à la consultation de différents professionnels de la santé
    • Type de soins nécessaires
  • Problèmes de santé chroniques – personnes âgées de moins de 12 ans
    • Limitations physiques (enfants ayant des problèmes de santé chroniques)
  • Problèmes de santé chroniques – personnes âgées de 12 ans et plus
  • Blessures
    • Fréquence
    • Type
    • Lieu où la blessure est survenue
    • Blessure(s) causée(s) par une chute
    • Cause
  • Santé mentale
    • État de santé mentale autodéclaré
    • Échelle de détresse
    • Idées suicidaires
    • Tentatives de suicide
  • Tabagisme
    • Fréquence
    • Âge
    • Exposition à la fumée secondaire à la maison
  • Fréquence de la consommation d’alcool
  • Fréquence de la consommation de cinq verres d’alcool et plus en une même occasion
  • Consommation de médicaments d’ordonnance
  • Consommation de drogues de la rue
  • Échelle de sécurité alimentaire
  • Soutien de la communauté

Logement

Indicateurs :

  • Logement occupé en propriété ou loué
  • Logement nécessitant des réparations
  • Surpeuplement
  • Nombre de pièces
  • Logement subventionné