Publications

    Mettre l'accent sur les Canadiens : résultats de l'Enquête sociale générale

    Identité canadienne, 2013

    Faits saillants

    Warning Consulter la version la plus récente.

    Information archivée dans le Web

    L’information dont il est indiqué qu’elle est archivée est fournie à des fins de référence, de recherche ou de tenue de documents. Elle n’est pas assujettie aux normes Web du gouvernement du Canada et elle n’a pas été modifiée ou mise à jour depuis son archivage. Pour obtenir cette information dans un autre format, veuillez communiquer avec nous.

    [Article intégral en HTML] [Article intégral en PDF]

    Symboles nationaux

    • En 2013, les Canadiens étaient plus susceptibles de croire que la Charte canadienne des droits et libertés (93 %) et le drapeau canadien (91 %) jouaient un rôle important dans l’identité nationale. Venaient ensuite l’hymne national (88 %), la Gendarmerie royale du Canada (87 %) et le hockey (77 %).
    • Les résidents de Terre-Neuve-et-Labrador étaient parmi les plus susceptibles de déclarer que les symboles nationaux étaient des composantes très importantes de l’identité canadienne, les résidents du Québec étant les moins susceptibles d’y croire.
    • Une forte croyance dans l’importance du drapeau canadien et de l’hymne national augmentait de façon constante selon le groupe d’âge, alors que l’appréciation de la plupart des symboles nationaux, à l’exception du hockey, était plus élevée chez les femmes.
    • Pour chaque symbole national, les immigrants étaient plus susceptibles que les non-immigrants de croire qu’ils occupaient une place très importante dans l’identité nationale. Cette constatation était particulièrement observable dans le cas de l’hymne national (75 % par rapport à 61 %). L’appréciation des symboles nationaux était aussi plus élevée chez les minorités visibles, ce qui reflète le chevauchement entre les immigrants et les minorités visibles.

    Valeurs partagées

    • La majorité des répondants estimaient que les Canadiens partageaient des valeurs communes; cependant, cette croyance était le plus souvent liée à la valeur des droits de la personne (92 %), et moins souvent à la culture autochtone (68 %) et à la dualité linguistique (73 %).
    • La ferme conviction que les Canadiens partageaient certaines valeurs était la plus courante en Ontario, où la population était généralement plus susceptible de croire que les Canadiens partageaient dans une grande mesure un ensemble de valeurs communes. Une forte croyance en des valeurs communes était également plus courante chez les jeunes, les hommes, les immigrants et les minorités visibles.
    • Les personnes ayant un niveau de scolarité et un revenu plus élevés étaient plus susceptibles de croire fermement que les droits de la personne, le respect de la loi et l’égalité des sexes étaient des valeurs partagées collectivement par les Canadiens. Cependant, elles étaient moins susceptibles de croire fermement que les Canadiens valorisaient la dualité linguistique et la culture autochtone.

    Fierté

    • Près de 9 répondants sur 10 (87 %) étaient fiers d’être Canadiens, et plus de la moitié (61 %) ont déclaré en être très fiers. Les niveaux de fierté étaient plus élevés pour ce qui est de l’histoire du Canada (70 %), des Forces canadiennes (64 %), du système de santé (64 %) et de la Constitution canadienne (63 %). Le niveau de fierté était le plus faible en ce qui concerne l’influence politique du Canada dans le monde (46 %).
    • À l’extérieur du Québec, la fierté d’être Canadien allait de 91 % en Colombie-Britannique à 94 % à l’Île-du-Prince-Édouard. Au Québec, 70 % des répondants ont indiqué être fiers ou très fiers d’être Canadiens. Les résidents du Québec étaient aussi toujours moins susceptibles d’exprimer un sentiment de fierté envers certaines réalisations canadiennes.
    • La fierté d’être Canadien était plus marquée chez les aînés et les femmes, bien qu’elle ne se reflète pas nécessairement dans les exemples précis de la vie au Canada, comme le système de santé.
    • Les immigrants de première et de deuxième générations étaient les plus susceptibles de déclarer être fiers d’être Canadiens et d’exprimer un sentiment de fierté envers les réalisations canadiennes.
    Date de modification :