Les petites collectivités se tournent vers l'immigration

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Plusieurs petites collectivités ont recours à l'immigration pour stimuler leur économie. Bon nombre d'entre elles affichent déjà une forte présence d'immigrants en raison des possibilités d'emploi qu'elles offrent. Toutefois, la plupart des immigrants choisissent de vivre dans les grands centres, notamment à Toronto, à Vancouver et à Montréal, plutôt que dans les petites villes ou les régions à faible densité de population.

En 2006, presque 312 600 immigrants (indépendamment du moment de leur arrivée au Canada) résidaient à l'extérieur de régions permettant le navettage avec des villes avoisinantes. Ils représentaient un peu plus de 5 % de la population totale dans ces régions. La proportion d'immigrants dans les petites villes était légèrement plus forte, soit presque 8 %. Par contre, elle était d'environ 25 % dans les grandes villes.

La Colombie-Britannique et l'Ontario comptent une proportion plus élevée d'immigrants dans les régions éloignées. C'est aussi le cas de l'Alberta, grâce à son économie vigoureuse, et du Manitoba, grâce à un programme dynamique d'immigration. Toutefois, les petites collectivités du Québec ont proportionnellement moins d'immigrants.

Graphique 20.3 Population immigrante
Voir la source des données du graphique 20.3

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