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Une variation significative s'observe dans la littérature en ce qui concerne la définition de la deuxième génération et de la troisième génération et les générations subséquentes. La deuxième génération peut comprendre les enfants nés d'un ou de deux parents immigrants. Habituellement, les résultats sur le marché du travail sont supérieurs dans le cas des enfants dont les deux parents plutôt qu'un seul sont des immigrants. Le groupe témoin de troisième génération peut comprendre tous les enfants de parents nés au pays, c'est-à-dire aux États-Unis ou au Canada, ou seulement ceux dont l'un des parents ou les deux sont de race blanche. Il n'y a pas de norme dans la littérature et les auteurs fournissent des définitions lorsque nécessaire.
Les caractéristiques du profil d'assimilation, y compris les résultats à la baisse (assimilation faible), sont souvent mesurées dans cette littérature par une gamme de variables des résultats liées à la criminalité, à la scolarité, etc. (Portes, Fernandez-Kelly et Haller, 2009).
Le concept de « capital ethnique » se rapporte aux caractéristiques du groupe ethnique auquel appartiennent un immigrant et ses enfants. Les effets sur les résultats vont au delà de ceux de l'individu ou de la famille. Certains groupes ethniques fournissent un milieu qui accroît les possibilités qui s'offrent aux membres et, partant, les chances de succès dans les études et sur le marché du travail. Cela peut tenir, entre autres, à l'existence de réseaux, à des modèles de rôle positifs et à l'influence positive des pairs. D'autres groupes n'ont pas de tels avantages. Empiriquement, le « capital social » est souvent mesuré par le niveau de scolarité moyen et le revenu familial moyen du groupe ethnique auquel l'individu appartient.
Dans la seule étude portant également sur les résultats en matière d'emploi et de chômage, les auteurs se sont appuyés sur les données du Recensement de la population de 2001 et ont conclu que les taux d'emploi durant la semaine de référence du recensement étaient plus élevés chez les immigrants de la deuxième génération que chez ceux de la première génération ou de la troisième génération et des générations subséquentes et que les taux de chômage étaient à peu près les mêmes pour les immigrants de la deuxième génération et ceux de la troisième génération et des générations subséquentes (Aydemir, Chen et Corak, 2005).
Comprennent les professions dans les domaines suivants : sciences naturelles et appliquées et domaines connexes; santé; sciences sociales; enseignement; services gouvernementaux; arts; culture; loisirs; et sport.
Y compris toutes les personnes de 20 à 64 ans dans la population active, ayant ou n'ayant pas de gains. Autrement dit, Aydemir et Sweetman incluent les chômeurs ayant des gains nuls en leur attribuant des gains annuels d'un dollar.
Dont les deux parents sont des immigrants.
Y compris les personnes qui ne sont pas membres d'une minorité visible (Blancs) et les personnes qui sont membres d'une minorité visible.
Lorsqu'on utilise plusieurs variables de contrôle telles que la taille de la collectivité, la région, l'âge, l'expérience, l'industrie, la syndicalisation et la taille de l'entreprise sans tenir compte du niveau de scolarité.
Cela comprend la génération 1.5 (dont les membres avaient 12 ans ou moins au moment de leur immigration au Canada) et les Canadiens de deuxième génération et de troisième génération ainsi que des générations subséquentes (Bonikowska et Hou, 2011).
Plus précisément, l'expérience possible sur le marché du travail, les années d'études, le titre de compétence le plus élevé, la situation d'emploi à temps partiel ou à temps plein, l'état matrimonial, la langue, le lieu de résidence, la ville ou la province et des renseignements détaillés sur la profession et l'industrie.
Bien qu'ils soient négatifs, ces écarts sont considérablement plus petits que ceux déclarés par Aydemir et Sweetman (2007). Toutefois, une partie de la différence peut s'expliquer par le fait que l'étude de Skuterud ne tient compte d'aucune variation du rendement des études entre générations et comprend un beaucoup plus grand nombre de variables de contrôle détaillées.
Aydemir et Sweetman calculent des estimations pour divers types d'Américains de deuxième génération et de troisième génération ainsi que des générations subséquentes. Voir les tableaux 11 à 13 dans leur étude.
P. ex., Boyd, 2002; Aydemir et Sweetman, 2007; et Hum et Simpson, 2007.
Âgés de 25 à 54 ans et qui sont arrivés au cours des cinq années précédentes.
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