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Chapitre B
Les ressources financières investies dans l’éducation

B1. Dépenses en éducation en pourcentage du PIB
B2. Répartition des dépenses en éducation

B1 Dépenses en éducation en pourcentage du produit intérieur brut (PIB)

Contexte

Cet indicateur permet de mesurer la proportion de la richesse nationale consacrée aux établissements d’enseignement en mettant les dépenses publiques et privées en relation avec le produit intérieur brut (PIB).

Les dépenses en éducation constituent un investissement qui contribue à promouvoir la croissance économique et à accroître la productivité. Elles favorisent aussi l’épanouissement personnel et le développement social tout en réduisant les inégalités sociales. L’affectation des ressources financières au titre des établissements d’enseignement est un choix collectif qui fait intervenir les pouvoirs publics, les entreprises, les élèves, les étudiants et leur famille. Elle dépend aussi, en partie, de la taille de la population d’âge scolaire et du taux de scolarisation, ainsi que de la richesse relative du pays.

Observations

Part du PIB affectée aux établissements d’enseignement

Ayant affecté 6,1 % de son PIB aux établissements d’enseignement en 2006, le Canada consacrait davantage que la moyenne estimée de 5,7 % de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) (en fonction des pays membres pour lesquels on disposait de données comparables) (tableau B.1.1). L’Islande et les États-Unis, entre autres, consacraient aux établissements d’enseignement une part plus importante de leur PIB (soit, respectivement, 7,8 % et 7,6 %), alors que les parts estimées consacrées par plusieurs autres pays de l’OCDE, dont la France (6,0 %), la Nouvelle-Zélande (5,9 %) et le Royaume-Uni (5,8 %) correspondaient à peu près à celles du Canada1.

Tableau B.1.1 Dépenses publiques et privées au titre des établissements d’enseignement en pourcentage du PIB, selon le niveau d'enseignement, Canada, provinces et territoires, 2006

L’effort financier consacré aux établissements d’enseignement variait également d’une province ou d’un territoire à l’autre (graphique B.1.1). En 2006, alors que l’Alberta investissait 4,3 % de son PIB dans les établissements d’enseignement, le Yukon et le Nunavut investissaient plus du double de cette proportion, soit, respectivement, 9,0 % et 13,1 %. La proportion du PIB provincial dépassait la moyenne canadienne à l’Île-du-Prince-Édouard (8,2 %) et en Nouvelle-Écosse (8,0 %), où elle était légèrement supérieure à la moyenne globale de l’OCDE, ainsi qu’à la part estimée investie par les États-Unis (7,6 %). Les estimations concernant plusieurs autres provinces—le Manitoba, le Nouveau-Brunswick, la Saskatchewan, le Québec et l’Ontario—étaient également supérieures à la moyenne canadienne de 6,1 %, alors que celle de la Colombie-Britannique y était presque égale (6,0 %). À Terre-Neuve-et-Labrador (4,6 %), comme en Alberta (4,3 %), la proportion du PIB affectée à l’éducation était inférieure à la moyenne nationale2.

Graphique B.1.1 Dépenses publiques et privées au titre des établissements d’enseignement en pourcentage du PIB, selon les niveaux d’enseignement, 2006

Enseignement primaire, secondaire et postsecondaire non tertiaire

Dans l’ensemble des pays de l’OCDE, plus de la moitié des dépenses consacrées aux établissements d’enseignement est investie dans l’enseignement primaire, secondaire et postsecondaire non tertiaire (tableau B.1.1), ce qui est normal puisque l’enseignement primaire et le premier cycle du secondaire sont obligatoires et que les effectifs du deuxième cycle du secondaire sont généralement élevés. Au Canada, 59 % (soit 3,6 % de 6,1 %) de la richesse nationale investie en éducation en 2006 étaient consacrés à ces niveaux d’enseignement, ce qui est légèrement inférieur à la moyenne de 63 % (soit 3,6 % de 5,7 %) pour l’ensemble des pays de l’OCDE3.

En 2006, dans l’ensemble des provinces et des territoires, plus de la moitié de l’argent investit en éducation a été dirigé vers le secteur de l’enseignement primaire, secondaire et postsecondaire non tertiaire (tableau B.1.1, colonne 2 en pourcentage de la colonne 9). En Saskatchewan, la proportion correspondait à la moyenne canadienne de 59 %, alors que celles de l’Ontario (60,3%) et du Manitoba (67,1 %) la dépassait. Dans le cas des autres provinces, les calculs révèlent des proportions inférieures à la moyenne canadienne, allant de 51,2 % à l’Île-du-Prince-Édouard à 56,7 % en Colombie-Britannique. Soixante-dix pourcent ou plus des dépenses en éducation étaient consacrés à l’enseignement primaire, secondaire et postsecondaire non tertiaire au Nunavut (74,0 %) et au Yukon (72,2 %); dans les Territoires du Nord-Ouest, la proportion atteignait les deux tiers (66,2 %). Des proportions aussi élevées dans le Nord sont attendues compte tenu du fait que ces territoires comptent peu d’établissements d’enseignement tertiaire.

Part consacrée à l’enseignement tertiaire

En 2006, 42,6 % (soit 2,6 % de 6,1 %) de la part du PIB canadien investie en éducation ont été affectés au secteur tertiaire (tableau B.1.1, colonne 6 en pourcentage de la colonne 9). Parmi les pays de l’OCDE, le Canada, ainsi que les États-Unis (40.8 %), consacraient donc la plus forte proportion des dépenses en éducation à l’enseignement tertiaire.

À l’Île-du-Prince-Édouard, 48,8 % (soit 4,0 % de 8,2 %) de l’argent investit en éducation a été dirigé vers l’enseignement tertiaire (tableau B.1.1; graphique B.1.1). Les chiffres pour Terre-Neuve-et-Labrador (47,8 %), la Nouvelle-Écosse (46,3 %), le Québec (44,3 %) et l’Alberta (44,2 %) sont aussi supérieurs à la moyenne canadienne de 42,6 %. En Saskatchewan (40,9 %), en Colombie-Britannique (43,3 %) et au Nouveau-Brunswick (43,5 %), les dépenses dans le secteurs tertiaire correspondaient à peu près à la moyenne canadienne. En Ontario et au Manitoba, les proportions estimées pour 2006 s’établissaient respectivement à 39,7 % et 32,9 %. Comme les territoires comptent peu d’établissements d’enseignement tertiaire, les proportions investies dans le Nord étaient, comme prévu, nettement inférieures à la moyenne canadienne, soit d’un tiers ou moins.

Définitions, sources et méthodologie

Cet indicateur présente les dépenses (publiques et privées) à l’égard des établissements d’enseignement en pourcentage du produit intérieur brut (PIB), par niveau d’enseignement et pour tous les niveaux d’enseignement confondus.

Les dépenses au titre des établissements d’enseignement comprennent les dépenses à l’égard des établissements à vocation pédagogique et les dépenses à l’égard des organismes sans vocation pédagogique à proprement parler. On entend par établissements à vocation pédagogique les entités qui dispensent directement des cours dans un cadre collectif organisé ou qui offrent une forme d’enseignement à distance4. Quant aux organismes sans vocation pédagogique, il s’agit plutôt d’entités qui offrent des services de cabinet-conseil ou de nature administrative ou professionnelle aux établissements d’enseignement, sans se livrer directement à des activités d’enseignement.

Les données financières pour le Canada sont tirées de sept enquêtes de Statistique Canada5 et excluent les dépenses afférentes au service de la dette. Les données sur le PIB sont fournies par la Direction du Système de comptabilité nationale. Toutes les données pour le Canada, les provinces et les territoires se rapportent à l’exercice 2006. Les moyennes de l’OCDE (pour l’exercice 2007) proviennent de l’exercice UOE de collecte de données statistiques sur l’éducation, mené conjointement par trois organisations internationales (l’UNESCO, l’OCDE et Eurostat) et réalisé par l’OCDE en 2009.

Nota : L’indicateur correspondant de l’OCDE est B2, Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l’éducation?.

B2 Répartition des dépenses en éducation

Contexte

Cet indicateur présente les dépenses au titre des services et des ressources en éducation ainsi que la proportion des budgets attribuée aux dépenses de fonctionnement et aux dépenses en capital. Il présente également la ventilation des dépenses de fonctionnement (rémunération des enseignants, rémunération du personnel non enseignant et autres dépenses).

La répartition des dépenses peut être influencée par un certain nombre de facteurs, dont la rémunération des enseignants, la générosité des régimes de retraite, l’importance du personnel non enseignant et les différents besoins en matière d’infrastructure. L’enveloppe budgétaire peut avoir une incidence sur la qualité des services, l’état du matériel et la capacité du système d’éducation de s’adapter à l’évolution des effectifs. Les décisions budgétaires et structurelles prises à l’échelle du système ont des répercussions jusque dans les salles de classe : elles influencent la nature de l’enseignement et les conditions dans lesquelles il est dispensé.

Observations

Dépenses de fonctionnement

En 2006 (année des plus récentes données disponibles), la proportion des dépenses en éducation affectée aux dépenses de fonctionnement était relativement élevée au Canada : 92 % au niveau de l’enseignement primaire, secondaire et postsecondaire non tertiaire, et 94 % au niveau de l’enseignement tertiaire (tableau B.2.1; graphiques B.2.1.1 et B.2.1.2). Ces chiffres sont relativement semblables aux proportions moyennes enregistrées par les pays membres de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), soit, respectivement, 92 % et 91 %6,7. Les dépenses de fonctionnement concernent les ressources utilisées chaque année par les établissements scolaires dans le cadre de leurs activités.

Tableau B.2.1 Répartition des dépenses totales et de fonctionnement des établissements d’enseignement, de sources publique et privée, selon le niveau d’enseignement, Canada, provinces et territoires, 2006

Graphique B.2.1.1 Répartition des dépenses totales des établissements d’enseignement pour l’enseignement primaire, secondaire et post-secondaire non tertiaire, 2006

Au niveau de l’enseignement primaire, secondaire et postsecondaire non tertiaire, la part attribuée aux dépenses de fonctionnement était inférieure à la moyenne canadienne de 92 % en Ontario (90 %), dans les Territoires du Nord-Ouest (90 %), au Nunavut (90 %) et au Yukon (85 %). En ce qui concerne l’enseignement tertiaire, la part consacrée aux dépenses de fonctionnement était inférieure à la moyenne nationale de 94 % en Colombie-Britannique (91 %), en Saskatchewan (90 %), en Alberta (89 %) et à l’Île-du-Prince-Édouard (84 %) (tableau B.2.1; graphiques B.2.1.1 et B.2.1.2).

Graphique B.2.1.2 Répartition des dépenses totales des établissements d’enseignement pour l’enseignement tertiaire, 2006

Selon les données récentes de l’OCDE, la part relative des dépenses de fonctionnement variait considérablement d’un pays à l’autre : de 84 % au Luxembourg à 98 % au Portugal, en Autriche, au Chili et au Mexique au niveau de l’enseignement primaire, secondaire et postsecondaire non tertiaire, et de 80 % en Espagne à 95 % et plus en Belgique, en Finlande, au Danemark, en Suède, au Chili, au Mexique, et au Royaume-Uni au niveau de l’enseignement tertiaire.

Rémunération du personnel

Les dépenses de fonctionnement sont réparties en trois grandes catégories : la rémunération des enseignants, la rémunération du personnel non enseignant et les autres dépenses de fonctionnement (matériel et fournitures pédagogiques, entretien et nettoyage des locaux, cantine et location d’installations scolaires). En 2006, au niveau de l’enseignement primaire, secondaire et postsecondaire non tertiaire, la rémunération du personnel (78 %)—surtout celle des enseignants (62 %)—constituait le poste le plus important des dépenses de fonctionnement au Canada, de même que dans tous les autres pays de l’OCDE (tableau B.2.1; graphique B.2.2.1). Au niveau de l’enseignement tertiaire au Canada, 63 % des dépenses de fonctionnement étaient consacrées à la rémunération de l’ensemble du personnel et 37 %, à la rémunération des enseignants (graphique B.2.2.2).

Graphique B.2.2.1 Répartition des dépenses de fonctionnement des établissements d’enseignement primaires, secondaires et post-secondaires non tertiaires, 2006

Graphique B.2.2.2 Répartition des dépenses de fonctionnement des établissements d’enseignement tertiaires, 2006

À l’instar de la situation observée au Canada, la proportion des dépenses de fonctionnement affectée à la rémunération du personnel du secteur de l’éducation était plus importante au niveau de l’enseignement primaire, secondaire et postsecondaire non tertiaire qu’à celui de l’enseignement tertiaire dans l’ensemble des provinces et des territoires, à l’exception du Yukon (tableau B.2.1; graphiques B.2.2.1 et B.2.2.2). Au niveau primaire, secondaire et postsecondaire non tertiaire, la proportion variait entre 61 % dans les Territoires du Nord-Ouest et 84 % au Nunavut, alors qu’au niveau tertiaire, les chiffres s’échelonnaient de 55 % dans les Territoires du Nord-Ouest à 72 % au Yukon.

Dépenses en capital

En 2006, au Canada, 6,5 % des dépenses en éducation au titre de l’enseignement tertiaire étaient affectées aux dépenses en capital; la moyenne était de 9,3 % pour les pays de l’OCDE. Pour l’enseignement primaire, secondaire et postsecondaire non tertiaire, la proportion correspondante pour le Canada et les pays de l’OCDE était de 7,6 % (tableau B.2.1; graphiques B.2.1.1 et B.2.1.2). Les dépenses en capital portent sur les biens dont la durée de vie est supérieure à un an et comprennent les dépenses consacrées à la construction de locaux, à leur rénovation et aux réparations importantes.

Sauf à l’Île-du-Prince-Édouard, en Saskatchewan, en Alberta et en Colombie-Britannique, la proportion des dépenses en capital était généralement plus importante au niveau de l’enseignement primaire, secondaire et postsecondaire non tertiaire qu’à celui de l’enseignement tertiaire.

Définitions, sources et méthodologie

Cet indicateur montre la proportion des budgets qui est attribuée aux dépenses de fonctionnement et aux dépenses en capital à différents niveaux de scolarité. Les dépenses sont fondées sur la comptabilité d’exercice et la comptabilité de caisse (ou par fonds), selon les sources de données utilisées par les provinces et les territoires. L’indicateur montre également la proportion des dépenses de fonctionnement affectée à la rémunération des enseignants et du personnel non enseignant, ainsi que les autres dépenses de fonctionnement.

La distinction entre les dépenses de fonctionnement et les dépenses en capital est celle qui est en usage en comptabilité nationale. Les dépenses de fonctionnement concernent les ressources utilisées chaque année par les établissements scolaires dans le cadre de leurs activités. Les dépenses en capital portent sur les biens dont la durée de vie est supérieure à un an et comprennent les dépenses consacrées à l’acquisition de nouveaux équipements ou au remplacement des équipements existants ainsi qu’à la construction de locaux ou à leur rénovation. Ni les dépenses de fonctionnement ni les dépenses en capital ne tiennent compte des dépenses afférentes au service de la dette.

Les données pour le Canada sont celles de l’exercice 2006 et les chiffres sont tirés de sept enquêtes de Statistique Canada : le Projet statistique sur l’enseignement primaire et secondaire; l’Enquête sur le système intégré d’information financière sur les commissions scolaires, l’Enquête sur les statistiques financières des écoles privées primaires et secondaires, l’Enquête sur l’information financière des universités et collèges, l’Enquête sur les dépenses du gouvernement fédéral au titre de l’éducation, Dépenses provinciales au titre de l’éducation dans les maisons de réhabilitation et de correction et Statistiques financières des collèges communautaires et des écoles de formation professionnelle. Les données sur les pays membres de l’OCDE et les moyennes de l’OCDE sont celles de l’exercice 2007; elles sont fondées sur la collecte de données sur les systèmes d’éducation menée conjointement par trois organisations internationales (l’UNESCO, l’OCDE et Eurostat) et réalisée par l’OCDE.

Nota : L’indicateur correspondant de l’OCDE est B6, À quelles catégories de services et de ressources les dépenses d’éducation sont-elles affectées?.

 


Notes

  1. Les données internationales présentées dans ce rapport reflètent les données publiées par l’OCDE au moment de la rédaction. Si des ajustements définitifs ont été faits, ils n’apparaissent pas ici. Pour plus de détails sur les plus récentes statistiques internationales, veuillez consulter Regards sur l’éducation 2010 : Les indicateurs de l’OCDE à partir du site web de l’OCDE : www.ocde.org.
  2. Dans le cas de l’Alberta, la proportion relativement faible du PIB consacrée à l’éducation n’est pas attribuable aux faibles montants affectés aux établissements d’enseignement, mais plutôt à la richesse relativement élevée de la province. Le PIB de l’Alberta par habitant correspond à plus de 1,5 fois celui de l’Ontario, mais les montants investis dans l’éducation dépendent davantage du nombre d’élèves et d’étudiants aux études que de la richesse relative de la province. Par habitant, les deux provinces investissent à peu près le même montant en éducation.
  3. Au Canada, la classification des dépenses par niveau d’enseignement diffère légèrement de celle qu’effectuent la plupart des autres pays : les dépenses en éducation pré-primaire sont intégrées aux dépenses consacrées aux niveaux primaire et secondaire, tandis que les dépenses de formation postsecondaire non tertiaire (essentiellement la formation technique et professionnelle) sont intégrées aux dépenses de l’enseignement tertiaire de type B. Toutefois, cette particularité ne devrait pas affecter la comparabilité, tant les dépenses aux niveaux primaire et secondaire dominent.
  4. Les entreprises commerciales et autres établissements qui offrent de courtes sessions de formation sur une base individuelle sont exclus.
  5. Projet statistique sur l’enseignement primaire et secondaire; Enquête sur le système intégré d’information financière sur les commissions scolaires; Enquête sur les statistiques financières des écoles privées primaires et secondaires; Enquête sur l’information financière des universités et collèges; Enquête sur les dépenses du gouvernement fédéral au titre de l’éducation; Dépenses provinciales au titre de l’éducation dans les maisons de réhabilitation et de correction; Statistiques financières des collèges communautaires et des écoles de formation professionnelle.
  6. Au Canada, toutefois, les dépenses au titre de l’enseignement postsecondaire non tertiaire sont agrégées avec celles de l’enseignement tertiaire de type 5B. Cette pratique ne devrait pourtant pas influencer sensiblement les ratios ni la comparabilité des données, compte tenu du poids relatif minime de ces dépenses.
  7. Les données internationales présentées dans ce rapport reflètent les données publiées par l’OCDE au moment de la rédaction. Si des ajustements définitifs ont été faits, ils n’apparaissent pas ici. Pour plus de détails sur les plus récentes statistiques internationales, veuillez consulter Regards sur l’éducation 2010 : Les indicateurs de l’OCDE à partir du site web de l’OCDE : www.ocde.org.