Conclusion

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En dépit du fait que les gais, les lesbiennes et les bisexuels ont affiché des taux de victimisation avec violence de deux à quatre fois supérieurs aux taux enregistrés par les hétérosexuels, leur degré de satisfaction face à leur sécurité personnelle et leurs niveaux de crainte à l'égard de la criminalité étaient semblables à ceux de leurs homologues hétérosexuels. Les perceptions du rendement de la police étaient moins favorables chez les gais, les lesbiennes et les bisexuels que chez les hétérosexuels, alors que les perceptions du travail effectué par les tribunaux et le système carcéral étaient très semblables, quelle que soit l'orientation sexuelle.

Une beaucoup plus grande proportion de gais, de lesbiennes et de bisexuels que d'hétérosexuels ont déclaré avoir fait l'objet de discrimination. Parmi les personnes ayant été victimes de discrimination, les gais et les lesbiennes constituaient le groupe qui était le plus susceptible de croire que les incidents étaient motivés par leur orientation sexuelle.