Guide de déclaration – Enquête annuelle sur les immobilisations – Estimations provisoires de 2019 et prévisions de 2020

Programme intégré de la statistique des entreprises (PISE)

Ce guide est conçu pour vous aider à répondre à l'Enquête annuelle sur les immobilisations Estimations provisoires de 2019 et prévisions de 2020. Si vous avez besoin de renseignements supplémentaires, veuillez composer le numéro de la ligne d'aide de Statistique Canada ci-dessous.

Ligne d'aide : 1-877-604-7828

Table des matières

Renseignements sur la période de déclaration

Aux fins de la présente enquête, veuillez fournir les renseignements demandés pour votre exercice de 12 mois dont le dernier jour se situe entre le 1er avril 2018 et le 31 mars 2019. Voici des exemples d'exercices financiers communs qui se situent entre les dates visées :

  • 1 mai 2018 au 30 avril 2019
  • 1 juin 2018 au 31 mai 2019
  • 1 juillet 2018 au 30 juin 2019
  • 1 août 2018 au 31 juillet 2019
  • 1 septembre 2018 au 31 août 2019
  • 1 octobre 2018 au 30 septembre 2019
  • 1 novembre 2018 au 31 octobre 2019
  • 1 décembre 2018 au 30 novembre 2019
  • 1 janvier 2019 au 31 décembre 2019
  • 1 février 2019 au 31 janvier 2020
  • 1 mars 2019 au 28 février 2020
  • 1 avril 2019 au 31 mars 2020

Voici d'autres exemples d'exercices financiers qui se situent entre les dates visées :

  • 18 septembre 2018 au 15 septembre 2019 (p. ex., fin d'année flottante)
  • 1 juin 2019 au 31 décembre 2019 (p. ex., nouvelle entreprise

Montants et pourcentages

  • tous les montants déclarés doivent être arrondis au millier de dollars canadiens près (p. ex. 6 555 444,00 $ est arrondi à 6 555 $) ;
  • exclure la taxe de vent ;
  • la meilleure estimation possible est acceptable si vous n'avez pas de chiffres précis ;
  • si vous n'avez aucune dépense en immobilisations, veuillez inscrire « 0 ».

Définitions

Qu'est-ce qu'une dépense en immobilisation?

Les dépenses en immobilisations sont les dépenses brutes en immobilisations destinées aux activités de votre organisme ou destinées à être données en location. Les dépenses brutes sont des dépenses avant la déduction du produit des cessions et les crédits (les subventions d'investissement, les dons, l'aide gouvernementale et les crédits d'impôt à l'investissement).

Inclure :

  • le coût de tous les nouveaux bâtiments, des travaux d'ingénierie et du matériel et de l'outillage dont la vie utile dépasse normalement un an et qui sont comptabilisés à des comptes d'immobilisations;
  • les modifications, les acquisitions et les rénovations majeures;
  • les coûts en capital comme les études de faisabilité, les honoraires d'architectes, d'avocats, d'installations et d'ingénierie;
  • les subventions reçu et utilisé pour les dépenses en capital;
  • les frais d'intérêt capitalisés sur les emprunts ayant servi à financer des projets d'immobilisations;
  • les travaux réalisés par votre propre main-d'oeuvre;
  • les ajouts aux comptes d'immobilisations en cours.

Exclure :

  • les transferts des comptes d'immobilisations en cours (travaux en cours);
  • les actifs liés à l'acquisition d'entreprises;
  • les biens aménagés pour la vente et le matériel ou l'outillage acquis pour la vente (inventaire).

Comment traiter les baux

Inclure :

  • les immobilisations acquises comme locataire, soit en location-acquisition, soit par location-bail;
  • les immobilisations acquises pour location à autrui sous contrat de location-exploitation.

Caractéristiques de l'industrie

Déclarer la valeur des projets mis en place durant l'année. Inclure les dépenses brutes (inclure les subventions) en immobilisations servant à l'exploitation de votre organisme ou à être louées à bail ou autrement aux autres. Inclure tous les coûts en capital comme les études de faisabilité, les honoraires d'architectes, d'avocats, d'installations et d'ingénierie, ainsi que les travaux réalisés par votre propre main-d'œuvre. Inclure les additions aux travaux en cours.

Les immobilisations existantes qui ont été améliorées et les nouvelles immobilisations qui ont été ajoutées sont incluses dans les Immobilisations neuves, rénovation, réfection.

Achat d'immobilisations usagées Canadiennes

Définition : Une immobilisation usagée peut être décrite comme étant un édifice, une construction, une machine ou une pièce d'équipement qui a déjà servi à un autre organisme et que vous avez acquis au cours de la période visée par le présent questionnaire.

Explication : L'objectif de la présente enquête est de mesurer l'addition annuelle brute d'immobilisations neuves séparément de l'addition d'immobilisations usagées, pour l'ensemble de l'économie canadienne.

Ainsi, l'acquisition d'une immobilisation usagée canadienne doit être déclarée séparément parce qu'elle laisse le total national inchangé. Il s'agit simplement d'un transfert d'une organisation à une autre.

Les immobilisations usagées importées, par contre, doivent être incluses (colonne 1) en tant qu'immobilisations neuves parce qu'elles s'ajoutent au stock existant.

Travaux en cours

Les travaux en cours représentent les coûts accumulés depuis le début des projets d'immobilisations et qui sont destinés à être capitalisés à l'achèvement.

Terrains

Les dépenses en immobilisations pour les terrains doivent inclure tous les frais liés à l'achat des terrains qui ne sont pas amortis ou dépréciés.

Construction résidentielle

Déclarer la valeur des bâtiments résidentiels, y compris les dépenses pour la partie domiciliaire des emplacements de ville et des complexes à usages multiples. Veuillez tenir compte des exceptions suivantes :

  • les résidences n'ayant pas de salle de bain et de cuisine autonome p. ex. certaines résidences pour étudiants et pour personnes àgées)
  • la partie non domiciliaire des emplacements de ville et des complexes à usages multiples
  • les dépenses relatives aux services

Les exceptions doivent être incluses dans les immobilisations appropriées (c.-à -d. pour la construction non résidentielle).

Construction de bâtiments non résidentielle (à l'exclusion de l'achat des terrains et de la construction résidentielle)

La construction d'un bâtiment représente toute structure permanente dotée de murs et d'un toit offrant protection et abri vis-à-vis d'un environnement social et / ou physique pour les personnes et / ou les matériaux.

Par exemple, la construction représente les dépenses en hangars, usines, hôpitaux, hôtels, immeubles de bureaux, gares, écoles et centres commerciaux.

Déclarez le coût total engagé durant l'année pour la construction (à contrat ou par vos propres employés) que ce soit pour votre propre usage ou pour location à autrui.

Veuillez inclure également :

  • les frais de démolition de bâtiments, de raccordement aux services publics et de préparation de l'emplacement
  • les frais d'amélioration des propriétés louées à bail et des terrains
  • tous les frais de planification et de conception avant la construction, par exemple les honoraires d'ingénieurs et d'experts-conseils ainsi que les matériaux fournis aux entrepreneurs en construction pour l'installation
  • les installations des emplacements de ville comme les rues, les égouts, les magasins et les écoles.

Travaux d'ingénierie liés à la construction non résidentielle

La construction mécanique comprend le transport direct ou indirect de personnes, de machines, de matériaux, de gaz et / ou d'impulsions électriques. Cela inclut également les structures autonomes qui contiennent ou retiennent de tels objets, soit dans le cadre de ce transport, soit séparément et indépendamment.

En outre, les coûts associés à la modification significative de tout terrain lors de la préparation à une utilisation spécialisée de ce terrain seront pris en charge par la construction technique.

Déclarer le coût total engagé durant l'année pour les travaux d'ingénierie liés à la construction (à contrat ou par vos propres employés) que ce soit pour votre propre usage ou pour location à autrui. Veuillez inclure également :

  • les frais de démolition de bâtiments, de raccordement aux services publics et de préparation de l'emplacement
  • les frais d'amélioration des propriétés louées à bail et des terrains
  • tous les frais de planification et de conception avant la construction, par exemple les honoraires d'ingénieurs et d'experts-conseils ainsi que les matériaux fournis aux entrepreneurs en construction pour l'installation
  • les pipelines de pétrole ou de gaz naturel, y compris les tuyaux et les frais d'installation
  • les travaux de génie liés aux communications, y compris les structures de support pour la transmission, câbles et lignes, etc.
  • les travaux de génie liés aux centrales électriques, y compris les centrales éoliennes et panneaux solaires, centrales énergétiques nucléaire, réseau de distribution d'électricité, etc.

Matériel et outillage

Déclarer le coût total engagé durant l'année pour le matériel neuf, que ce soit pour votre usage ou pour la location (à bail ou autrement) à autrui. Tout outillage capitalisé doit également être inclus. Les paiements échelonnés versés avant la livraison doivent être déclarés dans l'année où ils sont effectués. Les recettes provenant de la vente de vos immobilisations ou la valeur de rebut ou de reprise ne doivent pas être déduites du total des dépenses en immobilisations. Veuillez déclarer les soldes dûs ou les retenues de garantie dans l'année que le coût est engagé.

Inclure :

  • les automobiles, les camions, le matériel professionnel et scientifique, le mobilier de bureau et de magasin et les appareils électroménagers
  • les ordinateurs (logiciels inclus), la radiotélévision, la télécommunication et autres équipements associés aux technologies de l'information et des communications
  • les moteurs, les génératrices, les transformateurs
  • les dépenses capitalisées d'outillage
  • les paiements partiels versés avant la livraison durant l'année où ces paiements sont effectués
  • les soldes dus ou les retenues doivent être déclarés durant l'année où les frais sont engagés
  • • frais d'amélioration des propriétés louées à bail.

Logiciels

Les dépenses en immobilisations liées aux logiciels devraient inclure tous les coûts associés à l'achat ou au développement de logiciels.

Inclure :

  • Logiciel préemballé
  • Services de conception et de développement de logiciels, travaux exécutés par l'entreprise à son propre compte
  • Services de conception et de développement de logiciels sur mesure

Recherche et développement

La R-D englobe les activités créatives et systématiques entreprises en vue d'accroître la somme des connaissances – y compris la connaissance de l'humanité, de la culture et de la société – et de concevoir de nouvelles applications à partir des connaissances disponibles.

Pour être considérée comme relevant de la R-D, une activité doit remplir cinq critères de base :

  1. Viser à obtenir des résultats nouveaux (critère de nouveauté)
  2. Reposer sur des notions et hypothèses originales et non évidentes (critère de créativité)
  3. Revêtir un caractère incertain quant au résultat final (critère d'incertitude)
  4. S'inscrire dans une planification et une budgétisation (critère de systématisation)
  5. Déboucher sur des résultats qu'il est possible de reproduire (critère de transférabilité et/ou de reproductibilité)

Il existe trois types de R-D : recherche fondamentale, recherche appliquée, développement expérimental. La recherche fondamentale consiste en des travaux de recherche expérimentaux ou théoriques entrepris en vue d'acquérir de nouvelles connaissances sur les fondements des phénomènes et des faits observables, sans envisager une application ou une utilisation particulière. La recherche appliquée consiste en des travaux de recherche originaux entrepris en vue d'acquérir de nouvelles connaissances et dirigés principalement vers un but ou un objectif pratique déterminé. Le développement expérimental consiste en des travaux systématiques – fondés sur les connaissances tirées de la recherche et l'expérience pratique et produisant de nouvelles connaissances techniques – visant à déboucher sur de nouveaux produits ou procédés ou à améliorer les produits ou procédés existants.

Programme intégré de la statistique des entreprises (PISE)

Ce guide est conçu pour vous aider à répondre à l'Enquête trimestrielle sur l'aviation civile. Si vous avez besoin de renseignements supplémentaires, veuillez composer le numéro de la ligne d'aide de Statistique Canada ci-dessous.

Ligne d'aide : 1-877-949-9492

Vos réponses sont confidentielles.

La loi interdit à Statistique Canada de divulguer toute information recueillie qui pourrait dévoiler l'identité d'une personne, d'une entreprise ou d'un organisme sans leur permission ou sans en être autorisé par la Loi sur la statistique.

Statistique Canada utilisera les données de cette enquête à des fins statistiques.

Table des matières

Renseignements sur l'entreprise ou l'organisation et la personne-ressource

Cette section contrôle ou demande les informations de bases identifiant l'entreprise ou l'organisation, tel que : la dénomination sociale, le nom commercial (s'il y a lieu), les coordonnées de la personne-ressource désignée, le statut opérationnel actuel, et la ou les activités principales.

Dénomination sociale

Nom d'une société tel que déterminé par l'acte constitutif qui la crée. La dénomination sociale est le nom légalement reconnu de l'entité, et donc le nom aux fins d'éventuelles poursuites et dettes de l'entreprise ou l'organisation. Dans le cas d'une société, c'est le nom juridique fixé par sa charte ou la loi par laquelle la société a été créée.

Les modifications apportées à la dénomination sociale doivent être effectuées uniquement dans le but de corriger une erreur d'orthographe ou de typographie.

Pour indiquer une dénomination sociale d'une autre entité juridique, vous devriez plutôt l'indiquer à la question 3 en sélectionnant « N'est pas opérationnelle en ce moment », puis en choisissant la raison appropriée et de fournir le nom de la dénomination sociale de cette autre entité ainsi que toute autre information demandée.

Nom commercial

Le nom commercial est le nom sous lequel l'entreprise ou l'organisation est communément connu et est différent de sa dénomination sociale.

Personne-ressource désignée

Vérifier ou indiquer les coordonnées de la personne-ressource désignée de l'entreprise ou l'organisation. La personne-ressource désignée est la personne qui devrait recevoir ce questionnaire, mais elle n'est pas nécessairement celle qui le remplit. Si cette dernière est différente de la personne-ressource désignée, les coordonnées de la personne complétant le questionnaire peuvent être indiquées plus tard dans le questionnaire.

Statut opérationnel actuel

Vérifier ou indiquer le statut opérationnel actuel de l'entreprise ou l'organisation identifiée au moyen de la dénomination sociale et du nom commercial dans la question 1. S'il est indiqué que le statut opérationnel de l'entreprise ou l'organisation est « N'est pas opérationnelle en ce moment » alors veuillez indiquer une raison applicable et fournissez les informations requises.

Activité principale

Cette question vérifie l'activité principale de cette entreprise ou organisation selon le Système de classification des industries en Amérique du Nord (SCIAN). Le Système de classification des industries de l'Amérique du Nord (SCIAN) est un système de classification des industries qui a été conçu par les organismes statistiques du Canada, du Mexique et des États-Unis. Créé avec comme toile de fond l'Accord de libre-échange nord-américain, le SCIAN vise à fournir des définitions communes de la structure industrielle des trois pays, ainsi qu'un cadre statistique commun pour faciliter l'analyse des trois économies. Le SCIAN est articulé autour des principes de l'offre ou de la production, afin de s'assurer que les données sur les industries qui sont classées en fonction du SCIAN se prêtent à l'analyse de questions liées à la production, comme le rendement industriel.

L'entité cible que le SCIAN vise sont des entreprises et d'autres organisations engagées dans la production de biens et de services. Ils comprennent des fermes, des entreprises constituées et non constituées en société et les entreprises publiques. Ils comprennent également les institutions et organismes engagés dans la production de services marchands et non marchands, ainsi que des organisations telles que les associations professionnelles, les syndicats, les organismes de bienfaisance ou sans but lucratif et les employés des ménages.

Le SCIAN associé devrait refléter seulement les activités menées par l'entreprise ou par l'unité d'organisation ciblée par ce questionnaire, tel qu'indiqué dans la section « Répondre à ce questionnaire », et qui peut être identifié par la dénomination sociale et le nom commercial spécifié. L'activité principale est l'activité qui définit le but principal ou la raison d'existence de l'entreprise ou l'organisation ciblée. Pour une entreprise ou organisation à but lucratif, il est normalement l'activité qui génère la majorité du chiffre d'affaires de l'entité.

La classification du SCIAN contient un nombre limité d'activité qui pourrait être applicable à cette entreprise ou organisation même si ce n'est pas exactement comment vous décririez l'activité principale de cette entreprise ou organisation.

Veuillez noter que toutes modifications apportées à l'activité principale par vos réponses à cette question pourraient ne pas nécessairement être reflétées avant l'envoi des questionnaires subséquents et, par conséquent, l'information transmise pourrait ne pas être à jour.

Si la description du SCIAN actuel associé à l'entreprise ou l'organisation est incorrecte, merci de fournir une brève description de l'activité principale et toute information additionnelle requise.

État des recettes et dépenses, Trimestriel État 21 (I, II)

1. Recettes, Dépenses et Revenu

Recettes d'exploitation

Services réguliers

Service de transport des passagers ou des marchandises, ou des deux, par aéronef offert par un transporteur aérien qui exploite le service aérien et qui, directement ou indirectement, vend, en totalité ou en partie, ses sièges ou son espace marchandises au public, selon un prix par siège, par unité de masse ou par volume de marchandises.

Services d'affrètement

Service de transport des passagers, ou des marchandises, ou des deux, par aéronef aux termes d'un contrat par lequel une personne, autre que le transporteur aérien qui exploite le service aérien, ou son représentant, réserve un ensemble de sièges ou une partie de l'espace marchandises d'un aéronef pour son usage ou pour revente au public.
Inclure les services d'ambulancier aérien et le transport de passagers et de marchandises sur les lieux de l'héliportage de billes de bois.

Exclure les activités de lutte contre l'incendie et d'héliportage de billes de bois, ainsi que le transport de passagers et de marchandises sur les lieux d'un incendie. (Dans le document de Transports Canada intitulé « Établissement d'un service aérien commercial », TP 8880, vous trouverez une liste complète des activités pour les services spécialisés et par conséquent non sujets aux exigences de déclaration statistique comme les services d'affrètement. Ce document est accessible en ligne à TP 8880 - Établissement d'un service aérien commercial ou à TP 8880 - Établissement d'un service aérien commercial - PDF.)

Recettes des passagers

Il s'agit des recettes tirées du transport de passagers sur des services réguliers et d'affrètement. Inclure les recettes provenant de tous les suppléments (bagages, carburant, sélection de siège, et cetera) qui sont conservées par le transporteur aérien. Exclure les montants tels que les taxes, les droits de navigation, les frais de sécurité, et cetera qui sont perçus mais transférés à d'autres entités.

Recettes des marchandises

Il s'agit des recettes tirées du transport de marchandises sur des services réguliers et d'affrètement. Exclure les taxes telles que la taxe sur les produits et services (TPS), la taxe de vente harmonisée (TVH) ou la taxe de vente provinciale (TVP).

Toutes les autres recettes d'exploitation

Il s'agit des recettes provenant de toutes les autres sources. Inclure les activités de transport aérien non incluses dans les recettes de passagers ou les recettes de marchandises, les recettes provenant d'autres services aériens (comme l'entraînement au vol, le vol récréatif et les autres services spécialisés), les subventions et les recettes accessoires nettes liées au transport aérien, c'est-à-dire, les recettes moins les dépenses provenant des services accessoires autres que les services de vol effectués par le transporteur aérien incluant les ventes de carburant et d'huile pour les aéronefs; les frais d'entretien et les services de manœuvre des opérations sur l'aire de trafic, et cetera pour les autres transporteurs; les commissions (ou les recettes des ventes moins les remboursements des services effectués pour le transporteur aérien) reçues pour la vente de transport effectué par un autre transporteur; et les recettes provenant de la prestation d'aéronefs à d'autres transporteurs qui en assurent eux-mêmes l'exploitation.

Total des recettes d'exploitation

Somme des recettes de passagers, des recettes de marchandises et de toutes les autres recettes d'exploitation.

Dépenses d’exploitation

Dépenses de carburant à turbomoteurs

Inclure le carburant utilisé dans les avions à turbopropulseurs et les avions à réaction.

Inclure les dépenses de consommation de carburant à turbomoteurs pour toutes les opérations régulières et d'affrètement, sans égard au lieu de l'achat. Inclure les redevances de distribution de carburant, les droits et taxes non remboursables. Si le carburant a été fourni par un client, une valeur approximative peut être établie en fonction des taux du marché en vigueur. Les dépenses devraient être déclarées en dollars canadiens, sans égard au lieu d'achat.

Salaires, traitements et bénéfices des employés

Inclure les salaires, traitements et bénéfices (contributions de l'employeur au régime de retraite, les avantages médicaux, les assurances, et cetera et les dépenses occasionnées pour l'hébergement et les repas lors d'une escale, pour le personnel navigant technique et l'équipage de bord) pour tous les employés.

Toutes les autres dépenses d'exploitation

Inclure toutes les dépenses d'exploitation non déclarées dans les deux catégories de dépenses mentionnées ci-dessus.

Total des dépenses d'exploitation

Somme des trois articles de dépenses précédents.

Revenu

Revenu d'exploitation net (une perte devrait être indiquée par un nombre négatif)

Total des recettes d'exploitation moins le total des dépenses d'exploitation susmentionnés.

Revenu hors exploitation net (veuillez indiquer toute perte par un nombre négatif)

Inclure la provision au titre de l'impôt sur le revenu.

Inclure :

  • les revenus d'intérêts et d'escomptes provenant de toutes les sources, incluant les escomptes au comptant sur l'achat de matériel et de fournitures;
  • l'intérêt sur les impôts impayés et les dettes de toute nature, incluant les primes, les escomptes et les dépenses liées aux obligations à court terme, ainsi que l'amortissement des primes, des escomptes et des frais liés aux obligations à court et à long terme;
  • les gains en capital (ou les pertes) provenant du retrait du service de biens et de matériel d'exploitation, de matériel volant, de pièces consommables, de divers matériaux ou fournitures et autres actifs, lorsque les articles précités sont vendus ou retirés du service en vertu d'un plan général de remplacement et non lorsqu'il s'agit de ventes occasionnelles à un tiers;
  • les gains ou les pertes provenant des placements en valeurs mobilières;
  • les revenus (pertes) divers hors exploitation nets, qui désignent les recettes et les dépenses imputables aux activités de financement ou autres qui ne font pas partie intégrante des activités de transport aérien entreprises par le transporteur, ou ses services connexes. Ceux-ci peuvent inclure le revenu des dividendes, le remboursement au transporteur des revenus ou pertes provenant des compagnies affiliées, l'ajustement des devises étrangères et les éléments spéciaux, comme les dépenses de restructuration, qui ne se produisent pas sur une base régulière;
  • les provisions pour les impôts à payer sur le revenu net pour la période comptable et les rajustements des impôts sur le revenu pour les années précédentes, incluant les provisions pour les impôts sur le revenu reportés découlant des différences entre la comptabilisation du revenu et du revenu imposable qui surviennent lorsque le moment d'inclure des éléments de recettes et de dépenses dans la comptabilisation des résultats comptables et du revenu imposable ne coïncident pas.

Exclure les dépenses encourues par la réduction d'employés, qui devraient être incluses dans la catégorie toutes les autres dépenses d'exploitation.

Revenu net (une perte devrait être indiquée par un nombre négatif)

Revenu d'exploitation net plus le revenu hors exploitation net susmentionnés.

2. Nombre moyen d'employés

Il s'agit du nombre moyen de personnes employées au cours du trimestre. Inclure tous les employés (toutes catégories), temporaires ou permanents, figurant sur les états de paie du transporteur aérien au cours du trimestre de déclaration. Les employés à temps partiel doivent être comptés dans le total en proportion du temps travaillé par rapport aux employés à temps plein (par exemple, deux employés à temps partiel travaillant la moitié du temps sont équivalents à un employé à temps plein).

Services réguliers, Statistiques des recettes d'exploitation, Trimestriel État 10 (I, II)

1. Services réguliers - statistiques d'exploitation

Inclure les services à voilure fixe et d'hélicoptères.

Secteur d'exploitation

Indique les régions où les transporteurs offrent des services de transport. Il y a trois ventilations – les vols intérieurs, les vols transfrontaliers (Canada-États-Unis) et les autres vols internationaux.

Intérieur inclut les opérations d'un point à un autre à l'intérieur du Canada.

Transfrontalier (Canada-États-Unis) inclut les opérations entre des points au Canada et des points aux États-Unis (incluant l'Alaska, Hawaï et Porto Rico).

Autre international inclut toutes les autres opérations (incluant entre des points à l'extérieur du Canada).

Les données déclarées doivent inclure les services à voilure fixe et d'hélicoptères, où :

Voilure fixe

Signifie un aérodyne entraîné par un organe moteur, plus lourd que l'air, et dont la sustentation en vol est obtenue principalement par des réactions aérodynamiques sur des surfaces qui restent fixes. Aéronef dont les ailes sont fixées au fuselage de l'appareil et déployées en vol – c'est-à-dire à voilure non tournante.

Hélicoptère

Signifie un aérodyne à voilure tournante, plus lourd que l'air, et dont la sustentation en vol est obtenue principalement par la réaction de l'air sur un ou plusieurs rotors qui tournent, entraînés par un organe moteur, autour d'axes sensiblement verticaux. Un hélicoptère n'a pas de voilure fixe conventionnelle, ni d'hélice classique pour la poussée normale.

Services réguliers

Service de transport des passagers ou des marchandises, ou des deux, par aéronef offert par un transporteur aérien qui exploite le service aérien et qui, directement ou indirectement, vend, en totalité ou en partie, ses sièges ou son espace marchandises au public, selon un prix par siège, par unité de masse ou par volume de marchandises.

Passagers embarqués

S'entend de tous les passagers payantsNote de bas de page 1 qui montent à bord d'un aéronef et remettent un ou plusieurs coupons de vol ou autres documents valides en vue de leur transport selon l'itinéraire de vol indiqué sur les coupons ou autres documents en question.

Passagers-kilomètres

Représente le transport d'un passager payant à chaque étape de vol, multiplié par le nombre de kilomètres parcourus à cette étape. On obtient les passagers-kilomètres en calculant le nombre total de kilomètres parcourus par tous les passagers.

Prenons un exemple avec deux étapes de vol, où :

Étape de vol A à B
Nombre de passagers = 5
Distance entre les points (km) = 161
Passagers-kilomètres = 805

Étape de vol B à C
Nombre de passagers = 4
Distance entre les points (km) = 322
Passagers-kilomètres = 1 288

Le nombre total de passagers-kilomètres pour les vols allant de A à B et B à C s'élève à 2 093.

Coefficient de conversion

Pour convertir les milles marins (6 080 pieds) en kilomètres (km), il faut multiplier par 1,852.

Pour convertir les milles terrestres (5 280 pieds) en kilomètres (km), il faut multiplier par 1,609344.

Sièges-kilomètres disponibles

Représente le nombre de kilomètres parcourus par l'aéronef à chaque étape de vol, multiplié par le nombre de sièges disponibles à cette étape. On obtient ainsi la capacité totale disponible pour le transport de passagers. Les sièges qui ne sont pas disponibles dans les faits pour le transport de passagers devraient être exclus.

Heures de vol

Représente les heures cale à cale, c'est-à-dire, le nombre d'heures écoulées à partir du moment où l'aéronef commence à rouler sur l'aire de décollage jusqu'à l'arrêt complet de l'appareil arrivé à destination. Il faut indiquer le nombre total d'heures de vol à l'heure près.

Marchandises embarquées

Désigne tous les types de trafic autre que de passagers. Inclure le fret prioritaire, le fret, le courrier et l'excédent de bagages dont le transporteur tire un revenu. Les marchandises embarquées devraient être déclarées au kilogramme près.

Coefficient de conversion

Pour convertir les livres (lb) en kilogrammes (kg), il faut multiplier par 0,453592.

Tonnes-kilomètres de marchandises

Représente le transport d'une tonne métrique de marchandises à chaque étape de vol, multiplié par le nombre de kilomètres parcourus à cette étape. On obtient les tonnes-kilomètres de marchandises en additionnant le nombre de kilomètres parcourus par l'ensemble des tonnes métriques de marchandises.

Prenons un exemple avec deux étapes de vol, où :

Étape de vol A à B
Tonnes métriques de marchandises = 5
Distance entre les points (km) = 161
Tonnes-kilomètres de marchandises = 805

Étape de vol B à C
Tonnes métriques de marchandises = 4
Distance entre les points (km) = 322
Tonnes-kilomètres de marchandises = 1 288

Le nombre total de tonnes-kilomètres de marchandises pour les vols allant de A à B et B à C s'élève à 2 093.

Coefficient de conversion

Pour convertir les milles marins (6 080 pieds) en kilomètres (km), il faut multiplier par 1,852.

Pour convertir les milles terrestres (5 280 pieds) en kilomètres (km), il faut multiplier par 1,609344.

Tonnes-kilomètres disponibles

Représente le nombre de kilomètres parcourus par l'aéronef à chaque étape de vol, multiplié par la capacité pondérale utilisable de l'aéronef. On obtient ainsi la capacité de charge offerte pour les passagers et/ou les marchandises.

2. Services réguliers - recettes

Inclure les services à voilure fixe et d'hélicoptères.

Recettes de passagers

Il s'agit des recettes tirées du transport de passagers sur des services réguliers. Inclure les recettes provenant de tous les suppléments (bagages, carburant, sélection de siège, et cetera) qui sont conservées par le transporteur aérien. Exclure les montants tels que les taxes, les droits de navigation, les frais de sécurité, et cetera qui sont perçus mais transférés à d'autres entités. Les recettes totales de passagers devraient équivaloir aux recettes de passagers des services réguliers au premier écran.

Recettes de marchandises

Il s'agit des recettes tirées du transport de marchandises sur des services réguliers. Exclure les taxes telles que la taxe sur les produits et services (TPS), la taxe de vente harmonisée (TVH) ou la taxe de vente provinciale (TVP). Les recettes totales de marchandises devraient équivaloir aux recettes de marchandises des services réguliers au premier écran.

Services réguliers, Statistiques des recettes d'exploitation, Trimestriel État 10 (I, II)

1. Services réguliers - statistiques d'exploitation

Inclure les services à voilure fixe et d'hélicoptères.

Secteur d'exploitation

Indique les régions où les transporteurs offrent des services de transport. Il y a trois ventilations – les vols intérieurs, les vols transfrontaliers (Canada-États-Unis) et les autres vols internationaux.

Intérieur inclut les opérations d'un point à un autre à l'intérieur du Canada.

Transfrontalier (Canada-États-Unis) inclut les opérations entre des points au Canada et des points aux États-Unis (incluant l'Alaska, Hawaï et Porto Rico).

Autre international inclut toutes les autres opérations (incluant entre des points à l'extérieur du Canada).

Les données déclarées doivent inclure les services à voilure fixe et d'hélicoptères, où :

Voilure fixe

Signifie un aérodyne entraîné par un organe moteur, plus lourd que l'air, et dont la sustentation en vol est obtenue principalement par des réactions aérodynamiques sur des surfaces qui restent fixes. Aéronef dont les ailes sont fixées au fuselage de l'appareil et déployées en vol – c'est-à-dire à voilure non tournante.

Hélicoptère

Signifie un aérodyne à voilure tournante, plus lourd que l'air, et dont la sustentation en vol est obtenue principalement par la réaction de l'air sur un ou plusieurs rotors qui tournent, entraînés par un organe moteur, autour d'axes sensiblement verticaux. Un hélicoptère n'a pas de voilure fixe conventionnelle, ni d'hélice classique pour la poussée normale.

Services d'affrètement

Service de transport des passagers, ou des marchandises, ou des deux, par aéronef aux termes d'un contrat par lequel une personne, autre que le transporteur aérien qui exploite le service aérien, ou son représentant, réserve un ensemble de sièges ou une partie de l'espace marchandises d'un aéronef pour son usage ou pour revente au public.

Inclure les services d'ambulancier aérien et le transport de passagers et de marchandises sur les lieux de l'héliportage de billes de bois.

Exclure les activités de lutte contre l'incendie et d'héliportage de billes de bois, ainsi que le transport de passagers et de marchandises sur les lieux d'un incendie. (Dans le document de Transports Canada intitulé « Établissement d'un service aérien commercial », TP 8880, vous trouverez une liste complète des activités pour les services spécialisés et par conséquent non sujets aux exigences de déclaration statistique comme les services d'affrètement. Ce document est accessible en ligne à TP 8880 - Établissement d'un service aérien commercial ou à TP 8880 - Établissement d'un service aérien commercial - PDF.)

Passagers embarqués

S'entend de tous les passagers payantsNote de bas de page 1 qui montent à bord d'un aéronef et remettent un ou plusieurs coupons de vol ou autres documents valides en vue de leur transport selon l'itinéraire de vol indiqué sur les coupons ou autres documents en question.

Passagers-kilomètres

Représente le transport d'un passager payant à chaque étape de vol, multiplié par le nombre de kilomètres parcourus à cette étape. On obtient les passagers-kilomètres en calculant le nombre total de kilomètres parcourus par tous les passagers.

Prenons un exemple avec deux étapes de vol, où :

Étape de vol A à B
Nombre de passagers = 5
Distance entre les points (km) = 161
Passagers-kilomètres = 805

Étape de vol B à C
Nombre de passagers = 4
Distance entre les points (km) = 322
Passagers-kilomètres = 1 288

Le nombre total de passagers-kilomètres pour les vols allant de A à B et B à C s'élève à 2 093.

Coefficient de conversion

Pour convertir les milles marins (6 080 pieds) en kilomètres (km), il faut multiplier par 1,852.

Pour convertir les milles terrestres (5 280 pieds) en kilomètres (km), il faut multiplier par 1,609344.

Heures de vol

Représente les heures cale-à-cale, c'est-à-dire, le nombre d'heures écoulées à partir du moment où l'aéronef commence à rouler sur l'aire de décollage jusqu'à l'arrêt complet de l'appareil arrivé à destination. Il faut indiquer le nombre total d'heures de vol à l'heure près.

Marchandises embarquées

Désigne tous les types de trafic autre que de passagers. Inclure le fret prioritaire, le fret, le courrier et l'excédent de bagages dont le transporteur tire un revenu. Les marchandises embarquées devraient être déclarées au kilogramme près.

Coefficient de conversion

Pour convertir les livres (lb) en kilogrammes (kg), il faut multiplier par 0,453592.

Tonnes-kilomètres de marchandises

Représente le transport d'une tonne métrique de marchandises à chaque étape de vol, multiplié par le nombre de kilomètres parcourus à cette étape. On obtient les tonnes-kilomètres de marchandises en additionnant le nombre de kilomètres parcourus par l'ensemble des tonnes métriques de marchandises.

Prenons un exemple avec deux étapes de vol, où :

Étape de vol A à B
Tonnes métriques de marchandises = 5
Distance entre les points (km) = 161
Tonnes-kilomètres de marchandises = 805

Étape de vol B à C
Tonnes métriques de marchandises = 4
Distance entre les points (km) = 322
Tonnes-kilomètres de marchandises = 1 288

Le nombre total de tonnes-kilomètres de marchandises pour les vols allant de A à B et B à C s'élève à 2 093.

Coefficient de conversion

Pour convertir les milles marins (6 080 pieds) en kilomètres (km), il faut multiplier par 1,852.

Pour convertir les milles terrestres (5 280 pieds) en kilomètres (km), il faut multiplier par 1,609344.

2. Services d'affrètement - recettes

Inclure les services à voilure fixe et d'hélicoptères.

Recettes de passagers

Il s'agit des recettes tirées du transport de passagers sur des services d'affrètement. Inclure les recettes provenant de tous les suppléments (bagages, carburant, sélection de siège, et cetera) qui sont conservées par le transporteur aérien. Exclure les montants tels que les taxes, les droits de navigation, les frais de sécurité, et cetera qui sont perçus mais transférés à d'autres entités. Les recettes totales de passagers devraient équivaloir aux recettes de passagers des services d'affrètement au premier écran.

Recettes de marchandises

Il s'agit des recettes tirées du transport de marchandises sur des services d'affrètement. Exclure les taxes telles que la taxe sur les produits et services (TPS), la taxe de vente harmonisée (TVH) ou la taxe de vente provinciale (TVP). Les recettes totales de marchandises devraient équivaloir aux recettes de marchandises des services d'affrètement au premier écran.

Documentation – Réponse rapide sur Les compétences alimentaires (partie 2) – compétences mécaniques et conceptualisation alimentaire

Pour obtenir un exemplaire des documents suivants, veuillez communiquer avec les Services à la clientèle au (613-951-1746; télécopieur : 613-951-0792 ou hd-ds@statcan.gc.ca).

  • ESCC 2013 réponse rapide sur Compétences alimentaires - Partie 2 - Questionnaire
  • ESCC 2013 réponse rapide sur Compétences alimentaires - Partie 2 - Complément au guide de l’utilisateur
  • ESCC 2013 réponse rapide sur Compétences alimentaires - Partie 2 - Spécifications des variables dérivées (VD)
  • ESCC 2013 réponse rapide sur Compétences alimentaires - Partie 2 - Index des variables par sujet

Qualité des données, concepts et méthodologie : notes explicatives sur les paiements directs versés aux producteurs en vertu de programmes

Paiements accroissant les revenus

Les notes explicatives pour les programmes qui existaient avant 2007 se trouvent dans la publication Paiements directs versés aux producteurs (21-015-X), qui a cessé de paraître.

Agri-investissement (2008 à aujourd'hui)

Ce programme a été créé en vertu du cadre stratégique Cultivons l'avenir (2007-2013) et s'est poursuivi en vertu de Cultivons l'avenir 2 (2013-2018) et du Partenariat canadien pour l'agriculture (à compter du 1er avril 2018). Agri-investissement remplace une partie de la protection qui était offerte en vertu du Programme canadien de stabilisation du revenu agricole (PCSRA) et est similaire à l'ancien programme Compte de stabilisation du revenu net (CSRN).

Par l'entremise de contributions de la part du gouvernement et de producteurs, Agri-investissement fournit des liquidités pour aider les producteurs à gérer de petites baisses de revenu, ainsi qu'un soutien aux investissements dans le but d'atténuer les risques ou d'améliorer le revenu du marché. Les producteurs peuvent déposer jusqu'à 100 % de leurs ventes nettes admissibles, et les gouvernements font une contribution de contrepartie jusqu'à concurrence de 1 % de ce montant. La limite des contributions de contrepartie du gouvernement est fixée à 10 000 $ par compte Agri-investissement. Le programme Agri-investissement est administré par le gouvernement fédéral dans toutes les provinces, sauf au Québec.

Agri-Québec (2011 à aujourd'hui)

Agri-Québec est un programme d'autogestion des risques offert à toutes les exploitations agricoles et aquacoles du Québec. Le programme permet aux participants de déposer un montant dans un compte à leur nom, pour ensuite recevoir une contribution équivalente de la Financière agricole du Québec. Les participants peuvent ensuite retirer les fonds de leur compte, en fonction de leurs besoins opérationnels. L'Agri-Québec est géré par les gouvernements provincial et fédéral puisqu'il est comparable et complémentaire à l'Agri-investissement.

Agri-Québec Plus (2015 à aujourd'hui)

Le programme Agri‑Québec Plus offre de l'aide financière additionnelle aux entreprises admissibles, c'est‑à‑dire complémentaire à celle du programme Agri‑stabilité et correspondant à un niveau de couverture équivalant à 85 % plutôt que 70 % de la marge de référence. Le programme couvre les produits agricoles qui ne sont pas couverts ou associés au programme CSRA (Compte de stabilisation du revenu agricole) et qui ne sont pas assujettis à la gestion de l'offre. La participation au programme est liée au respect des exigences environnementales.

Agri-relance (2008 à aujourd'hui)

Le cadre Agri-relance fait partie d'un ensemble d'outils de gestion des risques de l'entreprise (GRE) offerts par les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux (FPT) en vertu du Partenariat canadien pour l'agriculture (qui remplace Cultivons l'avenir 2 à compter de 2018).

Agri-relance a été créé afin d'apporter rapidement une aide ciblée aux producteurs quand survient une catastrophe naturelle, en mettant l'accent sur les coûts exceptionnels qu'ils doivent supporter pour reprendre leurs activités après un tel événement. Les gouvernements fédéral et provinciaux déterminent conjointement s'il est nécessaire d'apporter une aide supplémentaire autre que celle prévue par les programmes actuellement en place, et quel type d'aide devrait être fourni. Les coûts des initiatives Agri-relance sont supportés selon un ratio de 60:40 par le gouvernement fédéral et les provinces ou territoires participants. L'aide est offerte en fonction d'une situation catastrophique spécifique, qui souvent n'est observée que dans une province ou une région. Parmi les programmes inclus dans Agri-relance, citons les initiatives de rétablissement mises en œuvre par le Canada et la Colombie-Britannique après les feux incontrôlés de 2017 et de 2018, et l'Initiative Canada-Québec d'aide aux entreprises agricoles affectées par les épisodes exceptionnels de grêle de 2017.

Agri-stabilité (2007 à aujourd'hui)

Ce programme a été créé en vertu du cadre stratégique Cultivons l'avenir (2007-2013) et s'est poursuivi en vertu de Cultivons l'avenir 2 (2013-2018) et du Partenariat canadien pour l'agriculture (à compter du 1er avril 2018). Il s'agit d'un programme axé sur les marges qui apporte un soutien financier aux producteurs lorsque leur marge diminue de façon importante. Agri-stabilité a remplacé une partie de la protection fournie dans le cadre du Programme canadien de stabilisation du revenu agricole (PCSRA). Dans le cadre du programme actuel, un paiement est versé lorsque la marge de production se retrouve en dessous de 70 % de la marge de référence historique du producteur.

Agri-stabilité est géré par le gouvernement fédéral au Manitoba, au Nouveau-Brunswick, en Nouvelle-Écosse, à Terre-Neuve-et-Labrador et au Yukon. En Colombie-Britannique, en Saskatchewan, en Alberta, en Ontario, au Québec et à l'Île-du-Prince-Édouard, il est administré par la province.

Aide aux éleveurs victimes de sécheresse (2007 à 2008)

Le Programme d'aide aux éleveurs victimes de sécheresse a été mis en oeuvre en 2007 afin d'aider les propriétaires de bétail du nord de la Colombie-Britannique qui se sont retrouvés dans une situation économique difficile en 2006 par suite de la sécheresse. Les conditions de sécheresse de l'été de 2006 ont réduit les rendements du foin et du fourrage jusqu'à 50 %, et les producteurs ont été confrontés à des coûts plus élevés pour les aliments pour animaux, l'eau et d'autres dépenses.

Assurance-récolte (1981 à aujourd'hui)

L'Assurance-récolte (maintenant dénommée Agri-protection) est un programme à frais partagés fédéral-provincial-producteur qui permet de stabiliser le revenu des producteurs en réduisant au minimum les répercussions financières des pertes de production attribuables à des risques naturels. Agri-protection est un programme géré par les provinces auquel le gouvernement fédéral contribue en fournissant une partie des primes et des frais administratifs. Les primes pour la plupart des programmes d'assurance-récolte sont à coûts partagés : 40 % sont payées par les producteurs participants, 36 % par le gouvernement fédéral et 24 % par la province, alors que les coûts administratifs sont financés par les gouvernements, 60 % par le gouvernement fédéral et 40 % par la province.

Chaque province met au point et gère ses propres régimes d'Agri-protection afin de répondre aux besoins de ses producteurs. Les régimes d'Agri-protection contribuent à couvrir les pertes de production ainsi que la perte de qualité d'un produit; des régimes fondés et non fondés sur le rendement sont offerts. Les régimes d'Agri-protection portent sur les cultures traditionnelles comme le blé, le maïs, l'avoine, et l'orge ainsi que sur les cultures horticoles comme la laitue, la fraise, la carotte et l'aubergine. Certaines provinces offrent aussi une protection couvrant la mortalité d'abeilles et la production du sirop d'étable. Les provinces essaient constamment d'améliorer leurs programmes en modifiant les régimes existants et en mettant en œuvre de nouveaux régimes en vue de satisfaire les exigences évolutives de l'industrie.

Compte de stabilisation du revenu agricole (CSRA) (2000 à 2002)

L'objet du programme Compte de stabilisation du revenu agricole (CSRA) était d'offrir aux entreprises agricoles au Québec un outil de gestion des risques fondé sur le revenu brut de l'exploitation. À cet effet, le programme permettait la constitution de deux fonds individuels, soit pour les contributions des participants et de La Financière agricole du Québec, et prévoyait des dispositions pour le retrait de liquidités afin de compenser les baisses de revenus agricoles. Le CSRA était un programme élaboré et administré par La Financière agricole du Québec.

À la suite de l'instauration du Programme canadien de stabilisation du revenu agricole, La Financière agricole du Québec a mis fin à ce programme avec l'année de participation 2002.  Conséquemment, les participants ont eu cinq ans pour effectuer les retraits de leur compte à raison d'un minimum annuel de 20 % de la contribution gouvernementale établie au 1er février 2005.

Compte de stabilisation du revenu net (CSRN) (1991 à 2009)

Le compte de stabilisation du revenu net (CSRN) a été établi en 1991 aux termes de la Loi sur la protection du revenu agricole.

Le but du CSRN était d'encourager les producteurs à épargner une partie de leur revenu afin de l'utiliser lorsque leur situation financière était moins bonne. Les producteurs pouvaient déposer chaque année jusqu'à 3 % de leurs « ventes nettes admissibles » (VNA) dans leur compte CSRN et ainsi recevoir une contribution de contrepartie du gouvernement. Le gouvernement fédéral et plusieurs provinces ont offert des contributions de contrepartie améliorées au-delà du montant de base de 3 % pour certains produits. Tous les dépôts procuraient un intérêt supplémentaire de 3 % en plus des taux ordinaires offerts par l'établissement financier qui détenait le compte.

La plupart des produits agricoles primaires étaient compris dans le calcul des « ventes nettes admissibles » (ventes de produits admissibles moins achats de produits admissibles), la principale exception étant les produits faisant partie d'un programme de gestion d'approvisionnement (comme les produits laitiers, la volaille et les œufs).

Le CSRN se composait de deux fonds. Le fonds No 1 renfermait les dépôts des producteurs, et le Fond No 2, les contributions de contrepartie du gouvernement ainsi que tout l'intérêt accumulé à l'égard des deux fonds. Les sommes prélevées par les producteurs à même le Fond No 2 étaient les seuls paiements inclus dans la série « Paiements directs versés aux producteurs en vertu de programmes ».

Dédommagement des pertes d'animaux (1981 à aujourd'hui)

Ce programme de dédommagement, qui relevait jadis de la Loi sur les maladies et la protection des animaux, est désormais administré par l'Agence canadienne d'inspection des aliments conformément aux exigences de la Loi sur la santé des animaux. Les producteurs de toutes les provinces sont dédommagés lorsque les autorités décrètent l'abattage d'animaux de ferme atteints de certaines maladies contagieuses. Le dédommagement inclut aussi les coûts applicables au transport, aux coûts reliés à la mise au rebut des restes et le dédommagement pour les animaux blessés pendant les tests.

Dédommagement pour les pertes de cultures (1981 à aujourd'hui)

Les programmes de Dédommagement pour les pertes de cultures sont généralement un élément des programmes provinciaux de dédommagement des dégâts causés par la faune, qui peuvent aussi comprendre des programmes distincts de dédommagement des dégâts causés par la sauvagine et des programmes applicables aux dégâts subis par le bétail. Ce programme de gros gibier réduit les pertes financières que représentent les dommages causés par la sauvagine aux cultures admissibles pour les producteurs de ces provinces, et peut comprendre un dédommagement pour les cultures et l'ensilage en fosses et en tubes contaminés par les excréments de la faune. Dans certaines provinces, les dommages subis par les producteurs de miel et les produits de l'abeille coupeuse de feuilles sont également compris.

Voir aussi Programme d'indemnisation pour les pertes de bétail causées par des prédateurs, Dégâts causés par la sauvagine et Programme d'indemnisation des dommages causés par la faune.

Dégâts causés par la sauvagine (1981 à aujourd'hui)

Les programmes d'indemnisation des dommages causés par la sauvagine sont conçus pour dédommager les producteurs pour les pertes de cultures causées par la sauvagine. Dans certaines provinces, une indemnisation est disponible pour nettoyer les céréales contaminées par les excrétats et pour gérer les mesures de prévention.

Voir aussi Dédommagement pour les pertes de cultures, Programme d'indemnisation pour les pertes de bétail causées par des prédateurs et Programme d'indemnisation des dommages causés par la faune.

Fonds de transition pour les porcs (2008)

Ce programme a été conçu afin d'aider les producteurs de porc de la Nouvelle-Écosse qui ont eu des difficultés financières en raison de l'affaiblissement des prix du marché en 2006-2007. Le programme était administré par le Pork Nova Scotia.

Fonds de transition pour les porcs de l'Île-du-Prince-Édouard (2008)

Ce programme avait été conçu pour réduire le nombre de porcs à l'aide d'un programme de rachat. Le programme fournissait des fonds aux producteurs pour les aider à se retirer de l'industrie porcine.

Fonds ontarien d'aide spéciale aux apiculteurs (2007 à 2008)

Le Fonds ontarien d'aide spéciale aux apiculteurs, mis en oeuvre en juin 2007, a versé un dédommagement direct aux apiculteurs qui avaient subi des pertes de ruches plus élevées que la normale au cours de l'hiver de 2006. L'aide a été conçue afin d'aider à ramener la population d'abeilles de l'Ontario à des niveaux proches de la normale et à ramener les activités commerciales des apiculteurs à la normale.

Indemnité de non-ensemencement en 2006 (2006 à 2007)

Ce programme a fourni une indemnité aux exploitants agricoles de la Saskatchewan qui ont  connu un excès d'humidité avant le 20 juin 2006 et qui n'ont pas pu ensemencer 95 % de la superficie habituellement ensemencée.

Initiative contre le Duponchelia en Ontario (2008)

Cette initiative avait pour objet de fournir un soutien financier aux producteurs horticoles de la région de Niagara en Ontario touchés par le Duponchelia, un organisme nuisible à déclaration obligatoire. Cette initiative comportait une part fédérale de 60 % de dédommagement financier afin d'aider ces producteurs à absorber les coûts de remplacement des plants et les dépenses extraordinaires engagées par suite des mesures de quarantaine imposées par l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA).

Initiative de l'industrie du bœuf de l'Île-du-Prince-Édouard (2007 à 2008)

Ce paiement unique pour 2008 a été conçu afin d'aider les producteurs de bovins de boucherie de l'Île-du-Prince-Édouard à s'adapter aux conditions actuelles du marché et à développer des troupeaux de meilleure qualité. Le programme a prêté une assistance immédiate aux producteurs pour les aider à atténuer les risques et a fourni aux producteurs des mesures incitatives visant la génétique et l'amélioration de la santé des troupeaux. Les paiements étaient fondés sur une combinaison des ventes nettes moyennes et des stocks de décembre 2007.

Initiative de transition du programme canadien de stabilisation du revenu agricole pour l'évaluation des stocks (ITES) (2006 à 2007)

L'ITES a été un programme fédéral ponctuel de 900 millions de dollars pour le secteur canadien de l'agriculture et de l'agroalimentaire. Pour établir le montant des paiements destinés aux producteurs, de nouveaux calculs étaient faits afin d'évaluer le changement de la valeur des stocks pour les années 2003, 2004 et 2005 du Programme canadien de stabilisation du revenu agricole (PCSRA).

Initiative de transition du programme canadien de stabilisation du revenu agricole pour l'évaluation des stocks en Ontario (2006 à aujourd'hui)

Le Paiement ontarien relatif à l'évaluation des stocks a été un apport ponctuel supplémentaire que la province de l'Ontario a versé aux participants du Programme canadien de stabilisation du revenu agricole (PCSRA) afin de les aider à faire la transition vers une nouvelle méthode d'évaluation de la valeur des stocks dans le cadre du PCSRA.

Paiement au titre des coûts de production (PCP) (2007 à 2010)

Ce programme a aidé les producteurs de produits non assujettis à la gestion de l'offre à combattre la hausse des coûts de production. Ce programme fédéral était basé sur les ventes nettes des producteurs de 2000 à 2004 (dans le cas de nouveaux producteurs, les paiements étaient basés sur la moyenne des ventes nettes de 2005-2006).

Paiement ontarien aux horticulteurs et aux éleveurs de bovins et de porcs (POHEBP) (2008)

Ce montant unique pour 2008, financé par la province de l'Ontario, a été créé pour venir en aide aux agriculteurs qui ont subi de multiples pressions financières en raison de la vigueur du dollar canadien et de la faiblesse des prix du marché. Les paiements destinés aux éleveurs de bovins et de porcs ont été équivalents à 12 % de leurs ventes historiques nettes admissibles, tandis que les paiements destinés aux horticulteurs ont été équivalents à 2 % de leurs ventes nettes admissibles.

Paiement ontarien des cultures horticoles comestibles (2006)

Ce programme ponctuel a protégé les producteurs de denrées horticoles comestibles de l'Ontario contre les pertes de production enregistrées en 2005.

Programme canadien de stabilisation du revenu agricole (PCSRA) (2004 à 2008)

Le PCSRA, qui a été mis à la disposition des producteurs à travers le pays, a permis d'aider ceux qui ont subi une perte de revenu en raison de la crise de l'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) ou d'autres facteurs. Le programme réunissait les éléments de stabilisation du revenu et de protection contre les catastrophes, aidant ainsi les producteurs à protéger leurs exploitations agricoles contre des baisses de revenu, faibles ou importantes.

Programme d'aide aux éleveurs de ruminants (Manitoba) (2008)

Ce montant unique pour 2008, financé conjointement par la province du Manitoba et le gouvernement fédéral, a permis aux éleveurs bovins de recevoir un paiement direct totalisant jusqu'à 3 % des ventes historiques nettes. Le paiement, administré par la Société des services agricoles du Manitoba (SSAM), a été offert à tous les éleveurs de ruminants et était proportionnel à la taille des exploitations d'élevage de bétail.

Programme d'aide aux producteurs agricoles touchés par les inondations dans la région des lacs Shoal (2011)

Le but de ce programme consistait à fournir de l'aide financière aux producteurs agricoles touchés par des inondations répétées dans la zone des lacs Shoal de la région Interlake du Manitoba.

  1. Les paiements, évalués sur une base à l'acre, ont été versés aux exploitants agricoles pour les indemniser de la perte de revenus liée à la production agricole interrompue à cause des superficies inondées en 2010 et 2011.
  2. De l'aide financière a été accordée aux exploitants agricoles pour les coûts liés au transport effectué entre le 1er avril 2011 et le 15 mars 2012 lorsqu'ils ont eu à transporter les aliments pour animaux jusqu'au bétail, ou vice versa, en raison de l'inondation.

Ce paiement a été administré par la Société des services agricoles du Manitoba (SSAM) avec l'assistance d'Agriculture, Alimentation et Initiatives rurales Manitoba.

Programme d'aide aux producteurs de bovins et de porcs de la Saskatchewan (2009)

Ce programme a aidé les producteurs à conserver leurs troupeaux d'animaux reproducteurs et de tenir compte des besoins immédiats relatifs au mouvement de l'encaisse.

Programme d'aide destiné aux producteurs agricoles de la vallée de la rivière Assiniboine touchés par les inondations (2007 à 2011)

Ce programme du gouvernement du Manitoba a fourni une aide financière aux producteurs agricoles de la vallée de la rivière Assiniboine, entre le barrage Shellmouth et Brandon, qui avaient subi des pertes de récoltes ou qui avaient été incapables de semer une culture en 2005 et 2006 en raison des inondations. Ce programme a également offert un soutien en 2011, à la suite des inondations en 2010.

Ces programmes ont été administrés par la Société des services agricoles du Manitoba (SSAM).

Programme d'aide du Manitoba en cas de décès d'animaux causés par le blizzard printanier (2011 à 2012)

Le programme d'aide du Manitoba en cas de décès d'animaux causés par le blizzard printanier (2011) a procuré de l'aide aux producteurs du Manitoba qui avaient éprouvé des pertes de bétail à la suite du blizzard qui avait frappé les 29 et 30 avril 2011. La compensation était offerte pour couvrir les décès d'animaux qui sont survenus entre le 29 avril et le 5 mai, 2011, en raison de la tempête. Ce programme était financé et administré par l'Agriculture, Alimentation et Initiatives rurales Manitoba.

Programme d'aide en cas de catastrophe causée par le nématode doré (2007 à 2009)

L'objectif du programme était d'aider les producteurs aux prises avec le nématode doré afin de couvrir les coûts de la mise au rebut des pommes de terre et d'offrir un paiement de soutien à l'hectare aux producteurs de pommes de terre et de cultures en serre et de pépinière afin qu'ils puissent couvrir les coûts extraordinaires non prévus en vertu des programmes actuels. Le programme a été financé par le gouvernement fédéral.

Programme d'aide financière aux apiculteurs (2014)

En raison des conditions difficiles de l'hiver 2014 en Ontario, et d'autres facteurs qui ont influé sur la santé des pollinisateurs, les colonies d'abeilles de l'Ontario ont présenté un taux de mortalité plus élevé que la normale. Afin d'aider à compenser ces pertes, le ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation de l'Ontario avait offert une aide financière unique de 105 $ par ruche aux apiculteurs ayant 10 ruches et plus qui avaient perdu plus de 40 % de leurs colonies d'abeilles entre le 1er janvier 2014 et le 31 octobre 2014.

Programme d'aide pour les inondations au lac Manitoba (2011 à aujourd'hui)

Ce programme a été conçu pour fournir une aide financière aux producteurs de cultures et aux éleveurs d'animaux touchés par les inondations du lac Manitoba en 2011. La partie A « Programme d'aide pour les pâturages inondés dans la région du lac Manitoba » et la partie B « Programme d'aide relative au transport et à la perte de récolte ou de fourrage dans la région du lac Manitoba » sont incluses. Ce programme est entièrement financé par le gouvernement provincial.

Programme d'aide pour les inondations en Montérégie (2011 à 2012)

Ce programme a offert de l'aide financière aux entreprises agricoles touchées par les inondations survenues au printemps 2011, dans la vallée du Richelieu. L'indemnisation a été offerte aux producteurs pour les pertes de revenu dues à l'inondation des terres agricoles et/ou des pertes dues aux superficies non ensemencées.

Programme d'ajustement du revenu suivant une transition (1996) (1993 à 1997 et 1999 à 2008)

En vertu du programme de revitalisation des fruits de verger, ce programme avait pour but de garantir aux exploitants de vergers de la Colombie-Britannique un revenu annuel à l'acre pendant les trois premières années à la suite de la replantation de nouvelles variétés de fruits à haute densité dans leur verger.

Programme d'amélioration de la marge (Nouvelle-Écosse) (2007 à 2008)

Le Programme d'amélioration de la marge (Nouvelle-Écosse), lancé en 2006, a été une initiative provinciale qui offrait un soutien du revenu supplémentaire aux producteurs de la Nouvelle-Écosse. En se basant sur les données du Programme canadien de stabilisation du revenu agricole (PCSRA) de 2003, les marges de référence des participants au PCSRA ont été augmentées de 10 %.

Programme d'approvisionnement en aliments du bétail et en fourrages de la Saskatchewan - 2011 (2011 à 2012)

Ce programme offrait une indemnisation aux producteurs qui devaient transporter des aliments pour animaux supplémentaires ou transporter leur bétail à un endroit alternatif pour l'alimentation et le pâturage dû aux pénuries causés par l'humidité excessive. De plus, une aide financière était offerte aux producteurs qui devaient réensemencer des terres de foin, de fourrage ou de pâturage endommagés par l'humidité excessive. Ce programme, financé par la province, a remplacé le Programme d'approvisionnement en aliments du bétail et en fourrages de la Saskatchewan - 2011 (2010-2011), qui était offert conjointement par les gouvernements provincial et fédéral sous l'Agri-relance.

Programme d'appui à la replantation des vergers de pommiers au Québec (2007 jusqu'à 2010)

Ce programme du MAPAQ (Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec) offrait, dans un premier volet, un appui à la replantation afin d'améliorer l'efficacité, la rentabilité ainsi que la compétitivité. Un deuxième volet visait à dédommager les pomiculteurs pour la perte des pommiers à la suite de la destruction par l'hiver (gel) des arbres en 1994.

Programme d'autogestion du risque (PAGR) (2005 à aujourd'hui)

Le PAGR est un programme provincial conçu pour aider les producteurs horticoles de l'Ontario à gérer les risques liés à l'opération de leur ferme. Dans le cadre du programme, plus de 150 types de cultures horticoles y sont admissibles y compris les fruits, les légumes, les champignons, les herbes et les épices, les noix, le miel et les produits d'érablière. Pour être admissibles, les producteurs doivent aussi adhérer à l'Agri-stabilité et rencontrer le montant minimum de ventes nettes admissibles (VNA). Les producteurs participants peuvent déposer jusqu'à 2 % de leur VNA dans un compte, pour ensuite recevoir du gouvernement provincial une contribution équivalente. Les paiements versés sous le PAGR sont considérés comme une avance sur la partie provinciale de l'Agri-stabilité pour l'année de programme correspondante. Puisque le PAGR est financé par la province, il n'en résulte aucun impact sur les paiements d'Agri-stabilité versés par la partie fédérale. Les montants versés sous l'assurance-récolte pour une culture assurée sous le PAGR seront déduits des versements du PAGR.

Programme de culture de couverture (PCC) (2006 à 2008)

Le PCC a été une initiative du gouvernement du Canada qui visait à aider financièrement les producteurs canadiens qui n'avaient pas pu ensemencer de cultures commerciales aux printemps 2005 et/ou 2006 en raison d'inondations.

Programme de démarrage de l'industrie du bœuf de la Nouvelle-Écosse (2008)

Ce paiement unique en 2008 a fourni un financement à l'industrie du bœuf de la Nouvelle-Écosse dans le but d'aider le secteur à atteindre une plus grande autonomie économique.

Programme de paiements pour les producteurs de céréales et d'oléagineux (PPPCO) (2006)

Le Programme de paiements pour les producteurs de céréales et d'oléagineux était un programme ponctuel pour les producteurs de céréales, d'oléagineux et de cultures spéciales afin de les aider à faire face aux perturbations économiques graves auxquelles ils étaient confrontés.

Programme de promotion et d'amélioration des vignobles (PPAV) (2015-2016)

Ce programme offre des fonds pour l'amélioration de vignobles admissibles afin de permettre aux producteurs en Ontario de produire des raisins de qualité et de pouvoir répondre à la demande croissante des fabricants de vins de l'Ontario et de s'adapter aux défis courants et émergents. Les paiements seront supervisés par Agricorp (une société d'État provinciale). Le Programme a été créé dans le cadre de la Stratégie de développement de l'industrie du vin et du raisin mise sur pied par le gouvernement de l'Ontario en vue de promouvoir le VQA Ontario (l'office des vins de l'Ontario) et d'appuyer l'amélioration de la production des vignobles. Seulement certains paiements aux producteurs autres qu'en capital sont compris dans les séries de données sur les paiements directs (enlèvement de vignes de raisins de cuve, préparation des terres, etc.).

Programme de réforme des porcs reproducteurs (2008)

Ce programme, financé par le gouvernement fédéral pour l'année 2008 et administré par le Conseil canadien du porc, a été conçu afin de restructurer l'industrie pour l'ajuster aux réalités du marché. L'objectif était de réduire la taille du troupeau reproducteur nationale de jusqu'à 10 % au-dessus des réductions annuelles normales. Les éleveurs ont été admissibles à un paiement par tête pour chaque animal abattu ainsi qu'à un remboursement des coûts à l'abattage et à la mise au rebut. Les éleveurs ont dû accepter de vider au moins une étable et de ne pas la réapprovisionner pour une période de trois ans.

Programme de retrait des bovins gras (2005 à 2006)

Ce programme s'inscrivait dans une stratégie nationale pour aider le secteur de l'élevage bovin du Canada à se repositionner afin d'assurer sa viabilité à long terme.

Programme de soutien additionnel général Canada-Ontario (2005 à 2007)

Ce programme spécial a fourni un soutien global au niveau de la ferme aux participants du Programme canadien de stabilisation du revenu agricole (PCSRA) en Ontario, ces derniers y étant automatiquement inscrits. Tous les produits admissibles au PCSRA étaient couverts par ce programme. Pour être admissibles, les participants devaient avoir subi un déclin dans leur marge de production telle que calculée par l'administration du PCSRA et être admissibles à la partie gouvernementale du paiement du PCSRA. Le ministère de l'Agriculture, de l'Alimentation et des Affaires rurales de l'Ontario a été responsable de l'administration de ce programme.

Programme de soutien au titre des coûts de l'Ontario (2007 à 2010)

Ce programme était une contribution de contrepartie provinciale équivalant à 40 % du Programme de paiement au titre des coûts de production fédéral. Ce programme consistait en un versement direct aux producteurs vu l'augmentation des coûts de production par rapport aux quelques années précédentes. Les paiements du Programme de soutien au titre des coûts de l'Ontario étaient versés une fois les détails des versements au titre du programme fédéral communiqués.

Programme d'indemnisation des dommages causés par la faune

Colombie-Britannique (2002 à aujourd'hui) – Le Programme d'indemnisation des dommages causés par la faune de la Colombie-Britannique fait partie d'une initiative de partenariat pour l'environnement agricole qui inclue les programmes suivants : le programme d'indemnisation pour les dommages aux champs de cultures fourragères causés par la sauvagine à Delta, le programme d'indemnisation pour les pertes causées par la sauvagine et le programme d'indemnisation relatif aux bovins et projet pilote pour l'agriculture et la faune de East Kootenay. Ces programmes ont pour but d'indemniser les producteurs pour les pertes infligées aux cultures et au bétail par la faune sauvage.

Nouveau-Brunswick (2014 à aujourd'hui) – Ce programme à coûts partagés fournit un dédommagement aux producteurs qui ont subi des pertes de bétail ou de cultures causées par la faune sauvage. Une indemnisation est offerte pour des cultures et des animaux d'élevage déterminés pour des dommages causés par la faune sauvage admissible. Le paiement maximal par producteur est de 50 000 $ par année. La Commission de l'assurance agricole du Nouveau-Brunswick (CAANB) administre le programme. Les demandeurs ne sont pas tenus d'être assurés afin d'obtenir une compensation.

Nouvelle-Écosse (2008 à aujourd'hui) - Ce programme à coûts partagés, annoncé en 2008, contribuera à réduire certains des risques auxquels ont été exposés les agriculteurs de la Nouvelle-Écosse par suite des dégâts causés par la faune aux produits agricoles admissibles, y compris la prédation du bétail par la faune sauvage et les dommages faits aux cultures. Les demandeurs ne sont pas tenus d'avoir une assurance-récolte.

Ontario (2008 à aujourd'hui) - Le Programme ontarien d'indemnisation des dommages causés par la faune procure de l'aide financière aux demandeurs admissibles, dont le bétail et la volaille ont été blessés ou tués par des loups, des coyotes, des ours et d'autres espèces d'animaux sauvages énumérées dans les lignes directrices du programme, ou dont les colonies d'abeilles, les ruches et l'équipement apicole ont été endommagés par des ours, des ratons laveurs, des cerfs ou des moufettes. Financé par le gouvernement provincial jusqu'à l'exercice 2008-2009, le programme s'inscrit dans le cadre de l'initiative fédérale-provinciale territoriale Cultivons l'avenir depuis l'exercice 2009-2010, qui a marqué le début du partage des coûts du programme entre le gouvernement du Canada et le gouvernement de l'Ontario.

Voir aussi Dédommagement pour les pertes de cultures, Programme d'indemnisation pour les pertes de bétail causées par des prédateurs et Dégâts causés par la sauvagine.

Programme d'indemnisation pour les pertes de bétail causées par des prédateurs

Manitoba (1999 à aujourd'hui) – Ce programme indemnise les producteurs de bétail du Manitoba pour les pertes résultant de blessures ou de la mort d'animaux admissibles causée par des prédateurs naturels comme l'ours noir, le couguar, le loup ou le coyote. L'indemnisation est égale à 100 % de la valeur estimée de l'animal, s'il est établi que la perte est due à la prédation, et à 50 % s'il est probable que la perte soit due à la prédation. En ce qui a trait au bétail blessé, l'indemnité correspond au moins élevé des deux montants suivants : le coût du traitement vétérinaire ou la valeur de l'animal. Le gouvernement du Manitoba verse 60 % des paiements de programme et le gouvernement du Canada, 40 %. Le gouvernement du Canada assume 50 % des frais d'administration et le gouvernement du Manitoba, l'autre moitié.

Saskatchewan (2010 à aujourd'hui) – En vertu du Programme d'indemnisation des dégâts causés par la faune, un programme d'indemnisation en Saskatchewan dédommage les producteurs pour le bétail tué ou blessé par des prédateurs. La première tranche de 80 % du financement du programme est à coûts partagés entre les gouvernements fédéral et provincial. Le gouvernement provincial verse le reste du montant. Le programme est administré par la Saskatchewan Crop Insurance Corporation. D'autres volets du Programme d'indemnisation des dommages causés par la faune s'appliquent aux dommages causés par la sauvagine et aux pertes de cultures (dont il est fait rapport séparément).

Voir aussi Dédommagement pour les pertes de cultures, Dégâts causés par la sauvagine et Programme d'indemnisation des dommages causés par la faune.

Programme d'indemnisation relatif au canal de dérivation Portage (2014 à aujourd'hui)

Ce programme vise à fournir de l'aide financière aux producteurs agricoles du Manitoba touchés par les inondations de 2014 causées par l'utilisation du canal de dérivation Portage. Ce programme a été entièrement financé par le gouvernement du Manitoba et est administré par la Manitoba Agricultural Services Corporation (MASC).

Programme ontarien de soutien visant les produits horticoles comestibles (2018-2019)

Ce programme offre un soutien financier aux petits et moyens exploitants du secteur des produits horticoles comestibles pour les aider à s'ajuster à un environnement des petites entreprises changeant. Il est financé par le gouvernement de l'Ontario et les paiements sont calculés en fonction des ventes nettes de produits horticoles comestibles. Les participants au Programme d'autogestion des risques sont automatiquement inscrits.

Programmes financés par le secteur privé

Assurance privée contre la grêle (de 1981 à aujourd'hui)

L'assurance privée contre la grêle est achetée par les producteurs agricoles en vue de se protéger eux-mêmes contre les pertes de récoltes dues à la grêle. L'assurance contre la grêle est financée par le secteur privé au moyen de primes payées par les producteurs. Selon les différents fournisseurs d'assurance, les producteurs ont l'option d'élargir la couverture de cette assurance pour couvrir les pertes liées au feu.

Autres programmes privés (2011 à aujourd'hui)

Paiement versé par Heinz (2013)
En raison de la fermeture de son usine de transformation en Ontario en 2013, la société Heinz a versé un paiement unique de bonne volonté pour indemniser les agriculteurs qui, en vertu d'un contrat, devaient fournir des tomates destinées à la transformation en 2013. Le paiement avait pour but d'aider à atténuer les coûts que les agriculteurs auraient pu avoir à défrayer pour préparer la récolte de 2013.
Remboursement des prélèvements de porcs et de bovins de l'Alberta (2011 à aujourd'hui)
En mai 2011, l'Alberta Pork annonça qu'ils rembourseront 85 cents pour chaque dollar de prélèvements recouverts des producteurs au cours de l'année fiscale 2010-2011 pour assister les producteurs faisant face aux augmentations des coûts d'alimentation pour animaux et aux petites marges de profit.
Les lois sur les redevances en Alberta ont également changé en 2011. Des redevances pour les producteurs de porc, de bœuf, d'agneau et de pommes de terre étaient obligatoires jusqu'à ce qu'une modification à la loi donne le droit à ces producteurs de demander un remboursement des redevances payées. Depuis ce temps, les estimations des redevances de porc et de bœuf remboursées ont été calculées.

Programme pour la greffe et la replantation de fruits de vergers (2008 à 2011, 2012 à aujourd'hui)

En 2008, le Programme d'ajustement du revenu suivant une transition a pris fin, et le Programme pour la greffe et la replantation de fruits de vergers a vu le jour. En juillet 2007, les gouvernements fédéral et provincial ont annoncé conjointement un investissement de 8 millions de dollars pour aider les industries du raisin et des fruits de verger de la Colombie-Britannique à s'adapter à l'évolution des marchés. Le coût était partagé (60 % étant assumé par le gouvernement fédéral et 40 %, par le gouvernement provincial), et le programme a duré trois ans. En 2012, le gouvernement provincial a investi une somme supplémentaire de 2 millions de dollars pour la replantation de vergers de fruits afin de développer les marchés intérieurs grâce à des produits de haute qualité en ciblant la plantation de variétés supérieures. Le programme, qui comporte également le greffage et l'écussonnage, a pris fin en 2014. Le programme de 2015 correspond à la première année d'un engagement sur sept ans de 8,4 millions de dollars annoncés en novembre 2014 en Colombie-Britannique. Il s'agit d'un programme agricole de la Colombie-Britannique dont l'administration est partagée avec l'association des fruiticulteurs de la province (British Colombia Fruit Growers Association) en vertu d'un contrat jusqu'en 2016.

Programme relatif aux animaux de réforme (2003 à 2006)

Ce programme visait à aider les agriculteurs à couvrir les coûts supplémentaires pour l'alimentation des animaux excédentaires pendant la fermeture de la frontière américaine aux animaux canadiens de plus de 30 mois, afin de prévenir l'abattage à la ferme et d'encourager le mouvement des animaux adultes vers les marchés intérieurs de façon méthodique.

Programmes d'assurance du bétail (1991 à aujourd'hui)

Les Programmes d'assurance du bétail incluent plusieurs programmes d'assurance du bétail administrés par les provinces. Ces programmes comprennent :

L'Assurance contre la mortalité des abeilles durant la période d'hivernage (2012 à aujourd'hui) assure les apiculteurs manitobains contre les pertes hivernales incontrôlables, notamment les dommages liés à la température, aux maladies, ainsi qu'aux organismes nuisibles. Depuis 2014, les données pour ce programme sont comprises dans l'assurance-récolte.

L'Assurance du bétail à l'Île-du-Prince-Édouard (2009 à aujourd'hui) offre deux types de garantie : une indemnisation aux producteurs de bovins pour la mort d'un animal attribuable à une maladie, ainsi qu'une indemnisation aux producteurs laitiers dont les niveaux de production baissent en dessous d'un certain seuil préétabli, causant une perte de revenu.

L'Assurance du bétail à Terre-Neuve-et-Labrador (1991 à aujourd'hui) fournit une assurance visant à dédommager les producteurs pour la mort de moutons, de chèvres, de bovins laitiers ou de bovins de boucherie, ou les blessures qui leur sont causées par des chiens ou d'autres prédateurs.

L'Assurance du bétail laitier (1991 à aujourd'hui) a été mise en œuvre pour aider les producteurs de la Nouvelle-Écosse lorsqu'ils ont perdu un certain nombre de bovins en raison d'épidémies. Le programme continue d'exister dans les situations entraînant une perte importante de la production et, par conséquent, une perte de revenu.

L'Assurance pour la volaille (2008 à aujourd'hui) offre une indemnisation aux producteurs de la Nouvelle-Écosse pour la perte de volailles (qui comprend les poulets à griller, les poulets et les poulettes d'élevage, les poulettes pondeuses, les pondeuses commerciales, et les pondeuses intégrées) en raison de la maladie laryngotrachéite infectieuse (LTI).

Le Programme d'assurance des prix des bovins (2009 à aujourd'hui) a été conçu pour fournir aux producteurs de bovins de l'Alberta un outil efficace de gestion du risque lié au prix qui tient compte de leur part de risque. Depuis 2014, ce programme est maintenant appelé le Programme d'assurance des prix du bétail dans l'Ouest.

Le Programme d'assurance des prix des porcs (2011 à aujourd'hui) a été conçu pour offrir aux producteurs albertains une protection contre les baisses inattendues des prix des porcs de l'Alberta, et ce sur une période définie. Depuis 2014, ce programme est maintenant appelé le Programme d'assurance des prix du bétail dans l'Ouest.

Le Programme d'assurance des prix du bétail dans l'Ouest (PAPBO) (2014 à aujourd'hui) permet aux éleveurs d'acheter une protection des prix des bovins et des porcs sous forme de police d'assurance. Il offre une protection contre les baisses de prix inattendues sur une période déterminée, et est accessible pour les producteurs de la Colombie-Britannique, de l'Alberta, de la Saskatchewan et du Manitoba.

Les coûts d'administration sont pris en charge par les gouvernements fédéral et provinciaux dans le cadre de l'initiative Cultivons l'avenir 2. Les primes seront financées intégralement par les producteurs, mais tout déficit après quatre ans sera couvert par le gouvernement fédéral. Le programme applicable dans quatre provinces sera géré par l'Alberta Agriculture Financial Services Corporation, qui gérait les programmes d'assurance des prix des bovins et des porcs déjà établis en Alberta. Les entités responsables de l'assurance-récolte au Manitoba et en Saskatchewan géreront le PAPBO dans ces provinces. En Colombie-Britannique, la direction de la gestion des risques de l'entreprise du ministère de l'Agriculture gère le programme dans cette province.

Notes supplémentaires sur les programmes d'assurance du bétail

Les cotisations des producteurs pour l'Assurance du bétail de l'Île-du-Prince-Édouard et l'Assurance du bétail laitier en Nouvelle-Écosse (depuis 2006) sont subventionnées en partie par les gouvernements provincial et fédéral.

Les cotisations ne sont pas subventionnées pour le Programme d'assurance des prix des bovins, le Programme d'assurance des prix des porcs, l'Assurance du bétail à Terre-Neuve-et-Labrador, le Programme d'Assurance pour la volaille en Nouvelle-Écosse ou pour le Programme d'assurance des prix du bétail dans l'Ouest. Par contre, les coûts d'administration des programmes sont financés par les gouvernements provinciaux et/ou par des Corporations de la Couronne.

Avant 2005, l'Assurance du bétail laitier en Nouvelle-Écosse et l'Assurance du bétail à Terre-Neuve-et-Labrador étaient déclarées dans le cadre de programmes financés par le secteur privé.

Programmes provinciaux de stabilisation (1981 à aujourd'hui)

En vertu des Programmes provinciaux de stabilisation, des paiements sont versés pour stabiliser les revenus des producteurs affectés par de petites marges de profit, ou par des prix réduits, pour certains produits. Les Programmes provinciaux de stabilisation sont subventionnés en partie par le gouvernement provincial, soit directement en subventionnant les cotisations des producteurs, ou indirectement, en assumant soit une partie, ou l'ensemble, des coûts d'administration du programme. Ces programmes sont optionnels, et les producteurs doivent payer des cotisations afin d'y participer.

Assurance stabilisation des revenus agricoles (ASRA) (1981 à aujourd'hui)

L'Assurance stabilisation des revenus agricoles (ASRA) permet de garantir aux entreprises agricoles du Québec un revenu annuel net positif. Les producteurs adhérant au programme reçoivent une indemnisation lorsque le prix moyen de vente d'un produit agricole est inférieur au revenu stabilisé. Ce dernier étant basé sur le coût de production moyen des entreprises du secteur en question. L'ASRA est complémentaire au programme de l'Agri-stabilité, mais la participation à ce programme n'est pas obligatoire. Les paiements offerts sous l'ASRA diminuent par rapport aux montants versés par l'Agri-stabilité. Les cotisations pour l'ASRA sont subventionnées en partie par le gouvernement provincial, qui paie deux tiers du coût des cotisations, alors que les producteurs n'en paient que le tiers.

Programme de gestion des risques (PGR) de l'Ontario (2007 à aujourd'hui)

Le PGR de l'Ontario est un programme provincial qui compense les producteurs ontariens pour des pertes de revenu causées par les fluctuations des prix du marché, et l'augmentation des coûts de production. Les produits admissibles comprennent une variété de céréales et oléagineuses ainsi que certains animaux d'élevage, incluant les bovins, les veaux, les porcs et les moutons. Le programme offre aussi une indemnisation pour les acres non ensemencées, et ce sous certaines conditions. Afin d'adhérer à ce programme, les producteurs doivent aussi participer à l'Agri-Stabilité ainsi qu'à l'assurance-récolte (pour les céréales et oléagineuses). Les paiements versés sous le PGR sont considérés comme une avance sur la partie provinciale de l'Agri-stabilité pour l'année de programme correspondante. Puisque le PGR est financé par la province, il n'en résulte aucun impact sur les paiements versés sous la partie fédérale. Les cotisations pour l'ASRA sont subventionnées en partie par le gouvernement provincial, qui paie 40 % du coût des cotisations, alors que les producteurs en paient 60 %.

Programmes relatifs à la diarrhée épidémique porcine (DEP)

Île-du-Prince-Édouard (2014) – Le programme DEP de l'Île-du-Prince-Édouard a fourni une aide financière aux producteurs de porcs pour accroître les mesures sanitaires et de dépistage afin d'aider à lutter contre la diarrhée épidémique porcine. Il s'agissait d'un programme dont les frais étaient partagés entre les gouvernements fédéral provincial dans le cadre de Cultivons l'avenir 2. Le programme était administré par l'office de commercialisation du porc de l'Île-du-Prince-Édouard.

Québec (2015 à aujourd'hui) – Programme de fonds d'urgence relatif à la Diarrhée épidémique porcine (DEP) et au Delta coronavirus porcin (DCVP) au Québec. Ce programme vise à aider les entreprises touchées, jusqu'à concurrence de 20 000 $ par site de production, à couvrir certaines dépenses supplémentaires requises pour contrer cette maladie et l'empêcher de se propager. Le programme est financé par La Financière agricole et administré par l'Équipe québécoise de santé porcine (EQSP). Le fonds est assorti d'une enveloppe budgétaire maximale de 400 000 $.

Syndrome de dépérissement post sevrage (SFP) (2008 à 2010)

Ce programme du MAPAQ a offert une aide financière aux exploitations de porcs d'engraissement du Québec touchées par le Syndrome de dépérissement post sevrage (SFP).

Programme intégré de la statistique des entreprises (PISE)

Guide de déclaration

Ce guide est conçu pour vous aider à remplir le questionnaire de l'Enquête annuelle sur les dépenses en immobilisations et réparations : réelles de 2018.

Vos réponses sont confidentielles.

La loi interdit à Statistique Canada de divulguer toute information recueillie qui pourrait dévoiler l'identité d'une personne, d'une entreprise ou d'un organisme sans leur permission ou sans en être autorisé par la Loi sur la statistique.

Statistique Canada utilisera les données de cette enquête à des fins statistiques

Table des matières

Renseignements sur la période de déclaration
Définitions
Caractéristiques de l'industrie

Renseignements sur la période de déclaration

Aux fins de la présente enquête, veuillez fournir les renseignements demandés pour votre exercice de 12 mois dont le dernier jour se situe entre le 1er avril 2018 et le 31 mars 2019.

Voici des exemples d'exercices financiers communs qui se situent entre les dates visées :

  • 1 mai 2017 au 30 avril 2018
  • 1 juin 2017 au 31 mai 2018
  • 1 juillet 2017 au 30 juin 2018
  • 1 août 2017 au 31 juillet 2018
  • 1 septembre 2017 au 31 août 2018
  • 1 octobre 2017 au 30 septembre 2018
  • 1 novembre 2017 au 31 octobre 2018
  • 1 décembre 2017 au 30 novembre 2018
  • 1 janvier 2018 au 31 décembre 2018
  • 1 février 2018 au 31 janvier 2019
  • 1 mars 2018 au 28 février 2019
  • 1 avril 2018 au 31 mars 2019

Voici d'autres exemples d'exercices financiers qui se situent entre les dates visées :

  • 18 septembre 2017 au 15 septembre 2018 (p. ex., fin d'année flottante)
  • 1 juin 2018 au 31 décembre 2018 (p. ex., nouvelle entreprise)

Montants

  • tous les montants déclarés doivent être arrondis au millier de dollars canadiens près (p. ex. 6 555 444,00 $ est arrondi à 6 555 $);
  • exclure la taxe de vente;
  • la meilleure estimation possible est acceptable si vous n'avez pas de chiffres précis ;
  • si vous n'avez aucune dépense en immobilisations, veuillez inscrire « 0 ».

Définitions

Qu'est-ce qu'une dépense en immobilisation ?

Les dépenses en immobilisations sont les dépenses brutes en immobilisations destinées aux activités de votre organisme ou destinées à être données en location. Les dépenses brutes sont des dépenses avant la déduction du produit des cessions et les crédits (les subventions d'investissement, les dons, l'aide gouvernementale et les crédits d'impôt à l'investissement).

Les actifs fixes sont également appelés des immobilisations ou des immobilisations corporelles. Il s'agit d'éléments ayant une vie utile de plus d'un an et qui ne sont pas achetés pour la revente, mais plutôt pour leur utilisation dans la production de biens et de services de l'entité. Les immeubles, les véhicules, les améliorations locatives, l'ameublement et les accessoires, le matériel et les logiciels en sont des exemples.

Inclure :

  • le coût de tous les nouveaux bâtiments, des structures d'ingénierie et du matériel et de l'outillage dont la vie utile dépasse normalement un an et qui sont comptabilisés à des comptes d'immobilisations;
  • les modifications, les acquisitions et les rénovations majeures;
  • les coûts en capital comme les études de faisabilité, les honoraires d'architectes, d'avocats, d'installations et d'ingénierie;
  • les subventions utilisées pour financer les dépenses en capital
  • les frais d'intérêt capitalisés sur les emprunts ayant servi à financer des projets d'immobilisations;
  • les travaux réalisés par votre propre main-d'œuvre;
  • Ajouts aux comptes d'immobilisations en cours (travaux en cours).

Comment traiter les baux

Inclure :

  • les immobilisations acquises comme locataire, soit en location-acquisition, soit par location-bail;
  • les immobilisations acquises pour location à autrui sous contrat de location-exploitation.

Exclure :

  • acquisitions d'entreprises
  • transferts et radiations
  • les immobilisations acquises pour location à autrui, soit en location-acquisition, soit par location-bail.

Contrats de location-exploitation

Le donneur à bail assume les risques de la propriété du bien et conserve un important intérêt économique « résiduel » sur ce bien. Le preneur à bail a la jouissance temporaire de ce dernier pour moins que sa durée utile contre des paiements périodiques. Au terme de la période de location, il a la possibilité d'acheter le bien à sa juste valeur marchande.

Contrats de location acquisition ou de crédit-bail

Ces contrats se ressemblent en ce que le donneur à bail se trouve en réalité à financer l'« achat » du bien loué par le preneur à bail et conserve un droit de sûreté sur ce bien. Le preneur à bail conserve ce dernier pendant presque toute sa durée utile.

Caractéristiques de l'industrie

Immobilisations neuves : Indiquez les dépenses en immobilisations neuves, y compris la partie des travaux en cours pour l'année courante. Inclure les importations d'immobilisations usagées, puisqu'elles représentent des biens nouvellement acquis pour l'économie canadienne.

Achat d'immobilisations usagées canadiennes : Notre enquête vise à mesurer séparément les acquisitions d'immobilisations neuves et d'immobilisations usagées dans l'ensemble de l'économie canadienne. L'acquisition d'immobilisations usagées n'augmente pas le stock total d'immobilisations, mais ne fait que les transférer au sein de l'économie canadienne.

Rénovation, réfection, remise à neuf ou en état, restauration : Indiquez les dépenses pour l'amélioration, la rénovation, la réfection, la remise à neuf, la remise en état, ou la restauration.

Durée de vie utile prévue des actifs : Indiquez la durée de vie prévue de l'actif en années. Si vous avez acheté des actifs similaires avec des durées de vie utiles attendues différentes, veuillez combiner les données et fournir une moyenne pondérée pour le nombre d'années ou la durée de vie utile attendue de l'actif avec la plus grande valeur.

Terrains : Les dépenses en immobilisations pour des terrains doivent inclure tous les coûts liés à l'achat de terrains qui ne sont pas amortis. Les améliorations apportées aux terrains sont à déclarer sous «Construction non résidentielle».

Construction résidentielle : Dépenses en immobilisations engagées pendant la période de déclaration pour des constructions résidentielles (à contrat ou par vos propres employés).

  • Inclure la partie résidentielle des ensembles polyvalents et des lotissements urbains.
  • Exclure les bâtiments qui ont des logements sans salle de bains ni cuisine autonome ou à usage exclusif (p. ex., certaines résidences pour étudiants ou personnes âgées), ni les dépenses liées aux services.

Construction non résidentielle : Dépenses en immobilisations engagées pendant la période de déclaration pour des bâtiments non résidentiels et des travaux d'ingénierie (à contrat ou par vos propres employés), qu'ils soient destinés à votre propre usage ou à la location. Les structures de construction doivent être classées dans un actif en fonction de son utilisation principale, à moins qu'il s'agisse d'une structure polyvalente dans laquelle nous souhaiterions que vous sépariez les composants. Le coût de toute machinerie et de tout équipement faisant partie intégrante ou intégrée de la structure (ascenseurs, équipement de chauffage, systèmes de gicleurs, systèmes de contrôle de l'environnement, systèmes d'interphone, etc.) doit être déclaré comme faisant partie de cette structure ainsi que l'aménagement paysager et les terrains de stationnement qui s'y rattachent.

Inclure :

  • les usines de fabrication, les entrepôts, les immeubles de bureaux, les centres commerciaux, etc. ;
  • les routes, les ponts, les égouts, les lignes de transport d'électricité, les câbles souterrains, etc. ;
  • le coût de démolition de bâtiments ainsi que de viabilisation et d'aménagement de terrains ;
  • les améliorations locatives et foncières ;
  • les acquisitions aux travaux en cours ;
  • des aménagements urbains comme les rues, les égouts, les magasins et les écoles ;
  • les bâtiments qui ont des logements sans salle de bains ni cuisine autonomes ou à usage exclusif (p. ex., certaines résidences pour étudiants ou personnes âgées), et les dépenses liées aux services ;
  • tous les coûts de planification et de conception avant la construction : honoraires d'ingénieurs et d'experts-conseils, coût de tous les matériaux fournis aux entrepreneurs en construction à des fins d'installation, etc.

Matériel et outillage

Dépenses en immobilisations engagées pendant la période de déclaration pour le matériel et l'outillage, que ceux-ci soient destinés à votre propre usage ou à la location. Les machines et les équipements sont généralement logés dans des structures et peuvent être enlevés ou remplacés sans altérer de manière significative la structure.

Inclure :

  • les automobiles, les camions, le matériel professionnel et technique, le mobilier de bureau et de magasin et les appareils électroménagers ;
  • les ordinateurs, la radiotélévision, la télécommunication et autres équipements associés aux technologies de l'information et des communications ;
  • les moteurs, les génératrices, les transformateurs ;
  • les dépenses capitalisées d'outillage ;
  • les ajouts aux travaux en cours ;
  • les paiements partiels effectués avant la livraison, dans l'année où ces paiements sont effectués ;
  • les soldes dus ou les retenues doivent être déclarés dans l'année où les frais sont engagés.

Dépenses non capitalisées de réparation et d'entretien

Sont visés ici la réparation et l'entretien de biens par opposition à l'acquisition ou à la rénovation d'immobilisations.

Les dépenses non capitalisées de réparation et d'entretien sont constituées par la partie des frais courants qui sont portés en diminution des revenus de l'année où ils ont été engagés et qui sont consentis afin de maintenir le stock des immobilisations ou leur capacité productive tout au long de la durée d'utilisation prévue.

L'entretien et les réparations permettent de maintenir la productivité des actifs fixes jusqu'à la fin de leur période de service sans temps d'arrêt indus (fonction préventive). Ils ont aussi pour but de remettre une partie quelconque des immobilisations en bon état de marche après une défaillance ou une réduction de l'efficacité, ou de prolonger sensiblement la durée d'utilisation ou la productivité des biens.

Les dépenses en entretien des bâtiments et des autres structures peuvent comprendre le soin courant des biens comme les services de conciergerie, l'enlèvement de la neige ou l'épandage de sel ou de sable par le personnel de l'entreprise ou par d'autres personnes engagées par elle. Elles peuvent comprendre les vidanges d'huile et le graissage des véhicules et outillage.

Inclure :

  • la valeur brute des dépenses non capitalisées de réparation et d'entretien de bâtiments non résidentiels, d'autres constructions ou de matériel et d'outillage ;
  • la valeur des réparations effectuées par votre propre main-d'œuvre, ainsi que des paiements destinés à des réparateurs de l'extérieur ;
  • les services d'entretien de bâtiments : services de concierge, d'enlèvement de la neige, d'application d'abrasifs, etc. ;
  • l'entretien du matériel : changements d'huile et lubrification de véhicules ou d'autres machines, etc.

Exploration pétrolière et gazière et minérale : Ces dépenses incluent les frais d'acquisition et de conservation de droits miniers, le coût des études géologiques, géophysiques et sismiques, le coût des forages d'exploration et les autres coûts engagés pendant la période de déclaration dans le but de déterminer s'il existe des réserves minérales, de pétrole ou de gaz et si elles peuvent être exploitées commercialement. Veuillez déclarer les dépenses brutes, avant déduction des subventions d'encouragement. Veuillez exclure l'acquisition de terrains et d'entreprises. Les dépenses en immobilisations liées à l'exploration pétrolière, gazière et minérale ne devraient comprendre que les dépenses engagées au cours d'activités d'exploration. Exclure les dépenses liées à l'extraction, au traitement ou au transport de pétrole, de gaz et de minéraux.

Répartition des dépenses effectuées - coûts internes

Les coûts internes de construction ou de développement : (tels que le matériel et la main-d'œuvre) qui sont capitalisés dans le coût des actifs (tels que l'installation par ses propres employés ou le montage d'actifs fixes, le personnel de systèmes et de développement de logiciels).

Inclure tous les matériaux et fournitures fournis gratuitement aux entrepreneurs et tous les honoraires d'architectes, d'ingénieurs et de consultants et services.

Salaires et traitements : Indiquer la valeur totale des salaires et traitements versés à vos employés. Les salaires et traitements correspondent aux gains bruts avant les retenues, comme l'impôt sur le revenu; ils incluent les primes d'encouragement et les payes de vacances, mais excluent les avantages sociaux.

Matériaux et fournitures : Déclarez le coût total des matériaux et fournitures utilisés par vos employés et de ceux fournis gratuitement aux entrepreneurs relativement aux dépenses déclarées.

Autres dépenses : Les autres frais correspondent, par exemple, aux primes d'assurance, aux frais engagés pour l'électricité et le téléphone ainsi qu'aux honoraires d'architectes, d'avocats et d'ingénieurs qui s'appliquent, le cas échéant, aux dépenses déclarées.

Source de financement

Les sources de financement des dépenses en capital comprennent les subventions, les dons, le crédit et le capital de risque provenant de sources externes, ainsi que le financement interne.

Aliénation et vente d'immobilisations

Prix de vente

Indiquez la valeur totale de la vente des immobilisations que vous avez aliénées ou vendues, même si vous les avez données en échange d'un crédit pour l'acquisition ou l'achat d'immobilisations neuves. Lorsqu'un terrain et des bâtiments sont vendus ensemble, indiquez séparément le prix de vente du terrain, et ce, avec les autres ventes de terrains.

Valeur comptable brute

Cette valeur doit représenter le total des dépenses en immobilisations pour un bien, au moment de la construction ou de l'achat initial ou depuis ce temps, y compris toutes les dépenses en immobilisations subséquentes pour la modernisation, l'expansion, etc. Il ne faut pas soustraire les subventions reçues.

Âge

Indiquez l'âge des biens au moment de leur aliénation.
Si vous avez aliéné ou vendu des immobilisations semblables dont l'âge utile diffère, indiquez ces opérations séparément ou combinez les données et fournissez une moyenne pondérée de l'âge de ces immobilisations.

l'Enquête annuelle sur les dépenses en immobilisations et réparations : réelles de 2018
Catégorie Code
Construction non résidentielle  
Descriptions et codes de groupes d'immobilisations
Les postes et catégories d'immobilisations énumérés ci-dessous sont des ensembles d'actifs fixes qui ont généralement des fonctions semblables qui peuvent s'appliquer à plusieurs branches d'activité.
 
Toute construction doit être classée dans la catégorie qui correspond à son utilisation principale, à moins qu'il ne s'agisse d'une construction à usages multiples; dans ce cas, il faut en séparer les éléments. Le matériel et l'outillage qui font partie intégrante d'une construction (ascenseurs, matériel de chauffage, systèmes automatiques d'extinction, systèmes de climatisation, systèmes d'intercommunication, etc.) ainsi que l'aménagement paysager et les terrains de stationnement qui s'y rattachent doivent être déclarés dans le coût de la construction.  
Bâtiments industriels  
Usines de fabrication 6221121
Dépôts industriels et immeubles de service 6221131
Bâtiments et structures agricoles 6221111
Autres sites et bâtiments industriels - précisez : 6221141
Bâtiments commerciaux  
Laboratoires et centres de recherche et de développement industriels 6222311
Entrepôts 6222321
Stations-service 6222331
Immeubles de bureaux 6222111
Hôtels et motels 6222351
Restaurants 6222341
Centres d'achats, centres commerciaux, mail et magasins 6222211
Théâtres et salles de spectacle 6222361
Installations récréatives intérieures 6222363
Autres logements collectifs 6222372
Résidences d'étudiants 6222371
Aéroports et autres gares de voyageurs 6222380
Édifices de communications 6222391
Installations sportives avec capacité d'accueil de spectateurs 6222362
Autres bâtiments commerciales, non classées ailleurs - précisez : 6222392
Bâtiments institutionnels  
Écoles, collèges, universités et autres bâtiments d'enseignement 6223111
Centres religieux et lieux commémoratifs 6223311
Hôpitaux 6223211
Maisons de soins infirmiers et résidences pour personnes âgées 6223222
Autres bâtiments de soins médicaux, non classées ailleurs 6223221
Garderies et centres de jour 6223341
Bibliothèques 6223351
Lieux historiques 6223331
Installations de sécurité publique 6223361
Musées 6223321
Autres propriétés institutionnelles, non classées ailleurs-précisez: 6223371
Travaux de génie maritime  
Ports de mer et ports de commerce 6231311
Canaux et voies navigables 6231331
Ports de plaisance 6231321
Autres infrastructures de génie maritime - précisez : 6231341
Travaux de génie liés aux transports  
Parcs de stationnement et garages 6231211
Autoroutes, routes et rues 6231111
Pistes d'atterrissage et de décollage (inclure l'éclairage) 6231231
Lignes de chemins de fer) 6231221
Ponts 6231121
Tunnels 6231131
Autres infrastructures de transport terrestre, non classées ailleurs – précisez : 6231241
Travaux de génie liés aux services d'eau  
Usines de filtration de l'eau 6235111
Infrastructures d'approvisionnement en eau 6235121
Travaux de génie liés aux égouts  
Usines d'épuration des eaux d'égout 6235211
Infrastructures de collecte et d'évacuation des eaux d'égout 6235221
Travaux de génie liés à l'énergie électrique  
Centrales au gaz naturel, au charbon et au pétrole 6233111
Centrales nucléaires 6233112
Centrales hydroélectriques 6233113
Autres centrales de production d'électricité (éoliennes, solaires, biomasse) 6233114
Réseaux de transport d'électricité 6233121
Réseau de distribution d'électricité 6233131
Travaux de génie liés aux réseaux de communication  
Câbles et lignes (sauf à fibres optiques) pour la transmission des télécommunications 6234111
Câbles à fibres optiques pour la transmission des télécommunications 6234112
Structures de support pour la transmission des télécommunications - tours, poteaux conduits 6234113
Autres réseaux de communication - précisez : 6234114
Travaux de génie liée aux installations de pétrole et de gaz  
Raffineries de pétrole 6232121
Usines de traitement de gaz naturel 6232122
Pipelines (sauf les conduites d'eau) 6232211
Forage de développement pétrolier et gazier 6711111
Installations liées à la production de pétrole et de gaz 6232111
Techniques de récupération assistée du pétrole et du gaz 6711113
Services de mise en valeur et d'entretien des champs pétroliers et gaziers 6711112
Réseaux de distribution de gaz et autres infrastructures liées à la production de pétrole et de gaz 6232311
Travaux de génie liés aux installations minières  
Bâtiments miniers situés à la surface (sauf pour enrichissement) 6236112
Bâtiments miniers pour enrichissement des minerais 6236111
Structures minières (sauf les bâtiments) 6236113
Systèmes pour disposer des résidus et bassins de décantation 6236114
Aménagement de sites miniers 6711211
Autres travaux de génie  
Infrastructures de dépollution et de contrôle de la pollution 6236261
Installations récréatives de plein air 6236251
Installations d'élimination des déchets 6236231
Réseaux d'irrigation 6236241
Assainissement ou restauration d'un site 7823131
Terres récupérées 6236211
Infrastructure de protection contre les inondations 6236221
Autres ouvrages de génie, non classés ailleurs - précisez : 6236262
Matériel et outillage  
Descriptions et codes de groupes d'immobilisations
Les postes et catégories d'immobilisations énumérées ci-dessous sont des ensembles d'actifs fixes qui ont généralement des fonctions semblables qui peuvent s'appliquer à plusieurs branches d'activité.
 
Le matériel et l'outillage se trouvent généralement dans un bâtiment, mais peuvent être enlevés ou remplacés sans modifier la structure du bâtiment de façon significative.  
Camions de poids moyen et de gros tonnage, autobus et autres véhicules automobiles  
Camions de poids moyen et de gros tonnage 4121100
Autobus 4121211
Remorques de marchandises et utilitaires 4121300
Véhicules à usage spécial 4121221
Camions et tracteurs de manutention 3454211
Autres véhicules automobile 4123100
Voitures automobiles et camions légers  
Voitures automobiles, camions légers, fourgonnettes et véhicules utilitaires sports (VUS) 4110000
Autres matériels de transport  
Locomotives, matériel ferroviaire roulant et de transport en commun rapide 4411200
Aéronefs civils 4211112
Navires, barges et plateformes non militaires 4411112
Bateaux de plaisance et motomarines 4421100
Autres matériels de transport - précisez : 4421259
Matériel de transformation  
Matériel de traitement de l'eau 3453311
Filtres et crépines pour liquides et systèmes hydrauliques 3454342
Machines à empaqueter et à emballer et embouteilleuses 3454331
Machines et matériel pour le broyage, le tamisage, le traitement et l'enrichissement des minéraux 3321151
Machines-outils pour le travail des métaux 3411100
Moules, matrices spéciales et modèles d'usage industriel 3455110
Autres machines propres à une industrie de fabrication, non classées ailleurs - précisez : 3431100
Ordinateurs et matériel de bureau  
Ordinateurs et appareils périphériques 3611100
Matériel optique et de projection, photocopieurs et machines de bureau (sauf les ordinateurs et périphériques) 3421110
Ameublement de bureau 3911400
Matériel de télécommunications, câblodistribution et diffusion  
Matériel de radiodiffusion et de télédiffusion, de studio, d'alarme et de signalisation 3621200
Instruments de navigation et de guidage 3621300
Matériel téléphonique et de transmission de données 3621100
Téléviseurs et autre matériel audio et vidéo 3622100
Autres matériels de communications - précisez : 3621419
Machines et matériel pour le commerce et les industries de services  
Matériel commercial pour cuire et réchauffer les aliments 3421121
Machines et matériel pour le commerce et les industries de services, non classés ailleurs 3421130
Autre matériel et outillage industriel  
Conteneurs en métal épais (y compris intermodal) 3454100
Outils à main et outils à commande mécaniques (sauf le matériel de soudage et brasage) 3454320
Machines et matériel d'exploitation forestière 3321111
Machines et matériel pour le forage de roches 3321141
Autres machines et matériel pour l'exploitation minière et le travail en carrière, non classés ailleurs 3321142
Machines et matériel de production pour les champs pétrolifères et gazéifères 3321160
Machines et matériel pour la construction 3321170
Systèmes d'alimentation en vapeur, de réacteur nucléaire 3453113
Matériel de soudage et brasage 3454311
Fournaises et fours industriels, et matériel électrique de chauffage industriel 3454341
Autre matériel de manutention, convoyeurs et ascenseurs 3454249
Matériel médical, scientifique et instrument technique  
Matériel médical et de laboratoire (sauf les instruments scientifiques) 3631300
Instruments scientifiques et techniques (sauf le matériel électromédical et d'irradiation) 3631260
Autres instruments de mesure, de commande et scientifiques (sauf le matériel électromédical et d'irradiation) 3631269
Fournitures médicales, dentaires et de protection personnelle 4751100
Autre matériel et outillage  
Ameublement institutionnel et autre meubles, non classés ailleurs (y compris les cadres de meubles) 3911600
Moteurs (sauf les moteurs à essence et diesel pour les véhicules automobiles, et les moteurs d'aéronefs) et équipement mécanique de transmission de puissance 3451000
Pompes et compresseurs 3453200
Appareils de chauffage et de refroidissement (sauf les réfrigérateurs et les congélateurs domestiques) 3441100
Transformateurs de puissance et de distribution 3812211
Autres transformateurs 3812220
Aéronefs militaires 4211111
Navires militaires 4411111
Véhicules militaires blindés 4421231
Panneaux d'affichage 4751211
Bâtiments mobiles d'usage non résidentiel 4711321
Déchets et rebuts de fer et d'acier (Aliénation d'immobilisation seulement) 1561111
Déchets et rebuts d'aluminium et d'alliages d'aluminium (Aliénation d'immobilisation seulement) 1561211
Déchets et rebuts d'autres métaux non ferreux (Aliénation d'immobilisation seulement) 1561220
Moteurs et génératrices électriques 3631100
Appareillage de connexion, de commutation, de relais et de commandes d'usage industriel 3812300
Turbines, turbogénérateurs et groupes générateurs de turbine 3452111
Chaudières, réservoirs métalliques, soupapes et joints industriels 3453159
Machines et matériel pour l'agriculture, l'entretien de pelouse et le jardinage 3311100
Instruments de mesure de l'électricité 3631230
Ventilateurs, souffleurs d'air et purificateurs d'air industriels et commerciaux 3441200
Appareils électroménagers 3820000
Véhicules aériens sans pilote (drones) 4211113
Cloisons, rayonnages, casiers et autres accessoires d'ameublement 3911500
Batteries et piles 4752300
Articles de sport et d'athlétisme 4753100
Autre matériel ou outillage - précisez : 9999999

Définition des termes techniques pour l'Enquête sur la gestion des fermes (EGF)

L'alimentation ou le pâturage hivernal dans les champs

L'alimentation ou le pâturage hivernal dans les champs est le fait de garder le bétail dans le champ (terres en culture ou en pâturage) pendant l'hiver, où il se nourrit de foin ou broute des résidus de culture, au lieu d'être confiné dans les enclos plus près des étables. Au cours de l'hiver, les bovins, les moutons et les autres animaux sont habituellement déplacés dans différents endroits destinés à l'alimentation afin que leur fumier puisse être réparti sur une plus grande superficie et que les éléments fertilisants, particulièrement l'azote, soient utilisés plus efficacement pour les pâturages et les autres cultures l'année suivante. Aussi appelé pâturage en andain et pâturage sur balles.

Colmatage ou restauration de zones humides

Creuser la couche végétale afin de restaurer une zone humide. Enlèvement du drainage par canalisations ou colmatage des tranchées ou structures similaires servant au drainage. Éviter l'ensemencement ou le passage de l'équipement.

Commerce de détail

Vente à des magasins locaux ou à des chaines qui revendent les produits aux consommateurs (inclure les boulangeries locales, les bouchers, les cafés, les magasins de souvenirs, les épiceries indépendantes et les grandes chaines d'épiceries).

Commerce de gros

Vente en vrac ou en grandes quantités à des tiers qui distribuent ensuite les produits aux commerces de détails.

Les cours d'eau

Des canaux qui contiennent de l'eau vive pour toute l'année ou au moins une partie, généralement au printemps. Cela inclut les fossés de drainage, les cours d'eau engazonnés, les ruisseaux, les criques et les rivières.

La culture sans labour du sol ou semis direct

L'absence de labour avant la plantation. L'ensemencement et l'épandage d'engrais sont effectués avec des instruments provoquant une faible perturbation du sol. Plus de 60 % des résidus de la culture précédente demeurent sur le sol après la plantation. C'est ce qu'on appelle souvent l'ensemencement direct à perturbation faible sans travail du sol préalable. Pour les terres en jachère, le contrôle des mauvaises herbes se fait par l'application exclusive d'herbicides (par exemple, la jachère chimique).

Les cultures associées

La plantation d'au moins deux cultures à proximité l'une de l'autre afin d'en tirer des avantages, comme la lutte antiparasitaire, un rendement plus élevé, etc.

Les cultures fourragères

Les cultures fourragères n'ont pas besoin d'être semées tous les ans. Les cultures fourragères sont cultivées principalement comme nourriture (foin ou sillage), mais pourraient aussi être utilisées pour les semences ou occasionnellement comme pâturage.

Les cultures-abris

Une culture qui est utilisée pour aider à l'établissement d'une culture fourragère. Le culture-abris s'établit rapidement, offrant la protection de la compétition avec des mauvaises herbes ou d'autres plantes indésirables, pendant que la culture fourragère est en train de s'établir.

Les déchets organiques

Comprennent les résidus de culture, les déchets de triage des fruits et des légumes, et les résidus de la taille des branches, des tiges ou des vignes.

Un dépoussiéreur électrique

Un appareil de filtration pouvant retirer de l'air ou des gaz d'échappement, les particules fines comme la poussière ou le fumé en appliquant une charge électro-statique de haut voltage.

Distance de retrait/séparation

Distance entre la rive habituelle de la terre humide saisonnière ou permanente, jusqu'aux champs où ont eu lieu des applications de fumier, engrais ou pesticides.

Échangeur d'air

Un appareil pouvant échanger l'air intérieur avec celui de l'extérieur frais. La chaleur est généralement transférée entre l'air sortant et l'air entrant afin de réduire l'énergie nécessaire pour maintenir la température intérieure du bâtiment.

En liberté

Poules qui ont accès à toute la superficie du poulailler. Certains de ces poulaillers sont dotés de volières à plusieurs niveaux.

En libre parcours

Poules qui ont accès à toute la superficie du poulailler et qui ont un accès à l'extérieur lorsque les conditions météorologiques le permettent.

Étalonnage

Le procédé qui consiste à s'assurer que l'équipement utilisé pour appliquer les pesticides, les engrais commerciaux, le fumier, les semences ou autres intrants de cultures soit utilisé au taux voulu par unité de surface.

Un exploitant à forfait

Un exploitant à forfait effectue des travaux agricoles sur le terrain du propriétaire pour un tarif ou un prix fixe. Les exploitants à forfait utilisent leur propre équipement, mais le propriétaire paie pour les semences, les produits chimiques et les autres intrants requis pour le travail.

Exploitation de naissances

Exploitation spécialisée dans la reproduction de bovins et l'élevage des veaux qui sont vendus comme veaux d'engraissement.

Exploitation de semi-finition

Exploitation orientée vers des fins personnelles. L'exploitant fait l'élevage des bouvillons et des génisses et les fait généralement abattre pour ses propres besoins ou pour l'écoulement au niveau local. Les vaches à un stade avancé sont parfois vendues à un parc d'engraissement.

La finition

Consiste à donner à un animal des rations très concentrées ou à forte teneur énergétique dans un parc d'engraissement jusqu'à ce qu'il soit prêt à être commercialisé pour l'abattage. Cette catégorie peut également être utilisée pour la finition à l'herbe de bovins destinés à un marché de spécialité.

Fourrages

Matériel végétal; principalement des feuilles et des tiges, y compris des fleurs et des têtes s'il y a lieu. Les fourrages peuvent être stockés sous diverses formes, tels que le foin, l'ensilage, le fourrage vert, et d'autres formes traitées (p. ex. cubes, granulés).

Fumier (liquide ou semi-solide)

Mélange de fumier liquide ou de boue et de déchets d'élevage solides (avec ou sans litière) qui peut être pompé mais qui nécessite normalement une agitation avant le pompage.

Fumier (solide)

Mélange solide de déjections animales, d'excréments et d'urine, (contenant habituellement de la litière) qui est assez sec pour former un amas.

Les grandes cultures

Les grandes cultures sont semées tous les ans. Elles sont cultivées pour le grain, le grain fourrager (foin, sillage ou fourrage vert), pour les semences ou pour le pâturage.

Les intrants

Tous les pesticides, y compris les herbicides, les insecticides, les fongicides, les biopesticides, et les autres types de pesticides. Inclure les intrants provenant des graines traitées ou appliqués à l'aide d'un pulvérisateur, d'un applicateur granulaire ou d'une autre méthode d'application.

Les légumes, les fruits, les baies ou les noix

Excluent les fines herbes, les cultures en serre, la floriculture, les arbres de Noël, l'acériculture, les champignons, le ginseng et les autres grandes cultures.

Litière

Paille, sciure de bois, paillis d'écorce, rognures, copeaux de bois ou autres matériaux recouvrant le sol des enclos pour absorber les excréments dans une étable ou un poulailler.

Litière accumulée

Couche épaisse qui est formée par les excréments du bétail (bovins) et qui s'accumule avec le temps dans les aires d'affouragement. Peut recouvrir les litières.

Lutte antiparasitare

Fait référence aux pratiques de gestion pour lutter contre les mauvaises herbes, les insectes, les maladies ou d'autres types d'organismes nuisibles.

Un mélange commun

Un mélange de deux ou plusieurs produits fertilisants préparés par un vendeur d'engrais pour un certain nombre de clients.

Un mélange personnalisé

Un mélange unique préparé pour un client spécifique.

Un plan agroenvironnemental officiel

Une évaluation générale écrite des aspects ou des problèmes environnementaux liés à cette exploitation. Il peut inclure des processus de planification individuelle et/ou de groupe.

Race pure

Un veau provenant de parents qui sont de la même race.

Races croisées

Un veau provenant de parents qui sont chacun de race pure, mais différente.

Races mélangées

Un veau provenant de trois types de races ou plus.

Rampes d'accès

Des structures placées stratégiquement afin d'aider à minimiser l'impact du bétail lorsque celui-ci accède directement les eaux de surface pour s'abreuver.

Ration

L'allocation alimentaire quotidienne pour un animal individuel, préparée à partir de divers types ou sources d'aliments. Ces types d'aliments peuvent être fournis séparément ou mélangés ensemble.

Récoltes mises en andains

Bandes de foin ou de grain coupé par un outil et laissé sur la terre pour être pâturée.

Résidus annuels des cultures

La portion aérienne des cultures qui demeurent après la récolte, incluant la paille, les balles de céréales et la chaume. Cela n'inclut pas la croissance après la récolte de cultures vivaces ou la germination naturelle de graines éparpillées.

La semi-finition

Consiste à élever et à nourrir des génisses et des bouvillons à partir de leur sevrage jusqu'à ce qu'ils soient placés dans un parc d'engraissement où on leur donnera des rations de finition très concentrées. L'alimentation ou le broutage de semi-finition s'appuie davantage sur une combinaison de cultures fourragères (p. ex. la pâture ou le foin) et de grains pour augmenter le poids des veaux de plusieurs centaines de livres et pour renforcer leur système immunitaire contre les maladies avant de les introduire dans un parc d'engraissement de finition.

Système d'irrigation à distance ou hors site

Un système d'irrigation qui réduit l'impact du bétail sur les étendues d'eau de surface en pompant l'eau de la source vers un lieu d'abreuvement situé à une certain distance en haut de la source d'eau.

Les terres humides permanentes

Ressemblent aux terres humides saisonnières, sauf qu'elles sont inondées à l'année, exceptée en période de sécheresse intense. Cela inclut les lacs, les réservoirs et les étangs artificiels.

Les terres humides saisonnières

Contiennent normalement des niveaux d'eau élevés jusqu'au milieu de l'été ou au début de l'automne, et, la plupart des années, sont trop humides pour y planter une culture. Des exemples incluent les étangs, les bourbiers, les mares, les zones boisées humides, les marais et les marécages. Il ne faut pas tenir compte des terres humides permanentes.

Le travail de conservation du sol ou le travail réduit du sol

La perturbation du sol par le labour, la plantation et autres travaux au champ qui, ensemble, contribuent à conserver une partie considérable (de 30 à 60 %) des résidus de la culture précédente en surface. Cette méthode est également connue sous le nom de « travail minimal du sol » et peut inclure l'ensemencement direct à perturbation importante, le travail du sol avec paillis et le travail du sol vertical. Elle inclut également le travail du sol en zone ou en bandes, dans le cadre duquel le travail du sol est limité à des bandes étroites normalement associées à la rangée de semences. Pour les terres en jachère, le contrôle des mauvaises herbes se fait par le travail du sol et l'épandage d'herbicides.

Le travail du sol classique

La perturbation du sol par le labour, la plantation et autres travaux au champ qui, ensemble, contribuent à incorporer la majeure partie des résidus de la culture précédente dans le sol (moins de 30 % de ces résidus demeurent sur le sol après la plantation). Pour les terres en jachère, le contrôle des mauvaises herbes se fait principalement par le travail du sol.

Vente à la ferme

Vente directement au public aux fins de consommation (inclure les ventes directes à la ferme et dans les jardins maraîchers).

Une zone tampon

Une zone de végétation qui se trouve à côté d'une zone humide ou d'une voie navigable permanente, s'étendent du rivage jusqu'au bord d'un champ.

Guide de déclaration

Ce guide est conçu pour vous aider à répondre à l'Enquête annuelle de 2018 sur l'extraction de pétrole et de gaz. Si vous avez besoin de renseignements supplémentaires, veuillez composer le numéro de la ligne d'aide de Statistique Canada ci-dessous.

Ligne d'aide : 1-877-949-9492

Vos réponses sont confidentielles.

La loi interdit à Statistique Canada de divulguer toute information recueillie qui pourrait dévoiler l'identité d'une personne, d'une entreprise ou d'un organisme sans leur permission ou sans en être autorisé par la Loi sur la statistique.

Statistique Canada utilisera les données de cette enquête à des fins statistiques.

Table des matières

A – Directives sur la déclaration

Veuillez déclarer les renseignements pour la période de janvier à décembre 2018.

Veuillez remplir toutes les sections qui s'appliquent.

Si vous n'avez pas l'information demandée, veuillez indiquer votre meilleure estimation.

B – Définitions

Extraction de pétrole et de gaz (à l'exception des sables bitumineux), auparavant connu comme Extraction de pétrole et de gaz par des méthodes classiques, comprend les établissements dont l'activité principale est l'exploration et/ou la production pétrolière ou gazière à partir de puits dans lesquels les hydrocarbures seront amenés où pourront être produits à l'aide des techniques habituelles de pompage.

L'Extraction de sables bitumineux, auparavant connu comme le secteur non-conventionnel, englobe les activités réalisées dans les régions géographiques de Cold Lake, de Peace River et d'Athabasca. Cette classe comprend les établissements dont l'activité principale est la production de pétrole brut à partir de sables bitumineux ou de réservoirs contenant des hydrocarbures semi-solides inexploitables par des méthodes de production classiques.

Par forage in situ, on entend une forme d'extraction qui consiste à forer des puits, puis à injecter de la vapeur, de la combustion ou d'autres sources de chaleur dans le réservoir pour chauffer le bitume afin de le pomper jusqu'à la surface.

Par extraction minière, sont l'activité principale est la production de pétrole brut à partir de sables bitumineux ou de réservoirs contenant des hydrocarbures semi-solides, au moyen de techniques d'exploitation à ciel ouvert.

Par valorisation, on entend la conversion du bitume lourd en pétrole brut léger.

C – Revenus, dépenses, déductions et revenu net

Ventes : Veuillez déclarer l'ensemble des ventes ou la valeur de transfert des biens produits avant tout rajustement ou déduction pour transaction entre différents secteurs d'activité. Veuillez inclure les redevances et les taxes imposées au moment de la vente, à l'exclusion de la TPS.

Autres revenus de production : ventes des services reliées à l'industrie pétrolière et gazière tel que le traitement des gaz ou les frais d'opération des puits.

Autres revenus non-reliés à la production : Inclure tout revenu qui n'est pas déclaré ci-dessus tel que les gains ou les pertes sur les devises étrangères et les revenus de dividendes.

Redevances et paiements semblables : Les dépenses totales déclarées pour les redevances.

Dépenses d'exploitation : Veuillez inclure le coût des fournitures et des matériaux utilisés dans la production, le loyer des terres, les coûts de levage et toute autre dépense liée à la production. Veuillez exclure toute redevance et imputation comptable. Les frais généraux et les frais administratifs liés aux activités de production et engagés pendant l'exercice en cours doivent également être déclarés ici. Les dépenses totales d'exploitation déclarées doivent être égales à la somme des dépenses d'exploitation pour le secteur d'extraction de sables bitumineux (question33), plus la somme des dépenses d'exploitation pour le secteur d'extraction de pétrole et de gaz (à l'exception des sables bitumineux) (questions 35 à 38).

Salaires, traitements et avantages sociaux : Veuillez inclure le coût des salaires et traitements (incluant les bonis et les commissions ainsi que les contributions de l'employeur aux régimes de retraite et aux assurances médicales et emploi, etc.) versés à votre main-d'œuvre durant la période de déclaration.

Autres coûts d'exploitation : Veuillez inclure uniquement les coûts associés aux activités ne concernant pas la production et les autres postes de dépenses non déclarées ailleurs.

Frais d'intérêt : Veuillez inclure les intérêts payés sur les prêts bancaires, les obligations, etc.

Impôt fédéral : Veuillez inclure l'impôt fédéral relatif à l'exercice courant et présumé payable.

Impôt provincial : Veuillez inclure l'impôt provincial relatif à l'exercice courant et présumé payable. Le montant déclaré doit inclure la « Majoration d'impôt des sociétés de la Saskatchewan», le cas échéant.

Impôts reportés : Veuillez inclure les montants d'impôt dus qui sont reflétés comme une dépense dans l'état des résultats, mais qui ne sont pas payables dans la période de déclaration courante.

Dépenses d'exploration et de mise en valeur courantes : Veuillez inclure les dépenses d'exploration et de mise en valeur imputées aux activités courantes.

Dépenses de dépréciation et d'amortissement : La radiation systématique des dépenses de coût provenant d'actifs amortissables ayant été initialement capitalisés ou reportés. Les sommes radiées par rapport à ces mêmes actifs résultant de provisions d'insuffisance doivent être incluses dans cette catégorie. Toutefois, les réductions d'actif provenant de transactions inhabituelles et les gains ou les pertes sur les ventes d'actifs doivent être rapportés dans les catégories « Sommes radiées et amortissement des frais rapportés » et « Autres postes hors caisse », respectivement.

Épuisement : Veuillez inclure les frais d'épuisement courants relatifs aux coûts sujets à cette disposition. Les sommes radiées qui résultent de l'application du test de plafonnement doivent être rapportés sous les « Sommes radiées et amortissement des frais rapportés ». Les gains et les pertes sur la vente des propriétés doivent être rapportés sous les « Autres postes hors caisse ».

Sommes radiées et amortissement des frais rapportés : Des redressements peuvent être effectués dans le cas des postes autres que l'exploitation, que la société élimine habituellement des « Ressources d'autofinancement » déclarées.

Autres déductions et dépenses hors caisse : Veuillez inclure les postes hors caisse non signalés ailleurs, comme les pertes non réalisées sur des transactions en devise étrangère, la participation des actionnaires minoritaires aux gains de filiales consolidées et aux pertes de filiales non consolidées. Il faut déduire de ce poste les recettes non monétaires comme les gains non réalisés en devise étrangère, la participation des actionnaires minoritaires aux pertes des filiales consolidées et à la participation aux gains de filiales non consolidées.

Nombre d'employés : Veuillez inscrire le nombre d'employés liés aux coûts des salaires, traitements et avantages sociaux.

D – Bilan

Total des actifs : dont l'encaisse, les valeurs marchandes, les comptes débiteurs, les stocks, etc.

Immobilisations nettes : dont les terrains non détenus pour revente et les actifs amortissables tels que les immeubles, machinerie et équipement, etc.

Autres actifs : dont les actifs non déclarés comme courants ou immobilisations.

Passifs : dont la partie courante des dettes à long terme, les comptes créditeurs, les emprunts payables sur demande, etc.

Dette à long terme : dont toute dette ayant une maturité supérieure à un an.

Autres passifs : dont tout passif non déclaré comme courant ou à long terme.

Avoir propre : dont le capital-actions (ordinaire, privilégies), les bénéfices non répartis et tout autres avoirs.

E – Frais d'abandon et d'assainissement

Inclure tous les frais, tel que la suspension, l'abandon et l'assainissement des puits.

F – Dépenses en immobilisations consacrées au pétrole brut in situ, à l'extraction ou à la valorisation

Remarque : en ce qui concerne les partenariats et les activités ou les projets en coentreprise, veuillez déclarer les dépenses reflétant l'intérêt net de votre entreprise dans de telles activités ou projets relevant des sables bitumineux.

Coûts d'acquisition et de rétention de droits pétroliers :

  • In situ : les dépenses associées à l'acquisition de terrains et de concessions relativement aux droits pétroliers, aux frais et à la rétention.
  • Extraction : les dépenses associées à l'achat de terrains et de concessions.
    Note : veuillez inclure tous les frais associés à l'utilisation d'agents des terres.
  • Valorisation : Veuillez inclure les dépenses associées avec les usines de traitement.

Machines et matériel : Veuillez inclure les articles tels que les chaudières, les compresseurs, les moteurs, les pompes et tout autre article qui peut être qualifié d'équipement de fabrication ou d'extraction, par opposition aux installations fixes telles que des bâtiments.

Dépenses de forage et préalables à l'extraction : Les frais de forage comprennent les frais liés aux carottages et forages de délimitation. Veuillez inclure le coût du tubage et des autres matériaux et équipements laissés sur place, l'analyse des carottes, des diagraphies, la construction de routes et d'autres services directement connexes. Les coûts préalables à l'extraction comprennent le retrait des morts-terrains et d'autres frais engagés avant la production.

Frais généraux capitalisés d'exploitation : Veuillez déclarer le coût des frais capitalisés d'exploitation non alloué ci-dessus. Ces frais d'exploitation doivent exclure tous les montants déclarés sous Coût d'exploitation par compétence provinciale – secteur Extraction de pétrole et de gaz (à l'exception des sables bitumineux) et Dépenses en amont par compétence provinciale – secteur Extraction de pétrole et de gaz (à l'exception des sables bitumineux)

Dépenses en recherche et autres : Veuillez inclure les coûts des activités de recherche associées au pétrole ou au gaz naturel des sables bitumineux, notamment : les activités en laboratoire, les frais de consultation, les évaluations du rendement et les usines-pilotes (y compris tous les coûts d'exploitation capitalisés). D'autres coûts comprennent ceux des installations de drainage, des routes, des opérations de stockage, de l'équipement de lutte contre la pollution et des installations fixes, à l'exclusion des coûts de la machinerie et de l'équipement

G – Dépenses d'exploitation consacrées au pétrole brut in situ, à l'extraction ou à la valorisation

Terrain, puits ou usine : Veuillez inclure tous les frais directs d'exploitation et toute autre dépense directement liée à l'extraction, au traitement, à la valorisation et à la livraison du produit ainsi que les coûts liés à l'achat de carburant et d'électricité.

Taxes : Veuillez inclure toutes les taxes versées aux gouvernements fédéral, provinciaux et municipaux, à l'exclusion des redevances, des impôts sur le revenu et des taxes comprises dans le prix courant d'achat.

Coût d'achat de carburant et d'électricité : Veuillez inclure les coûts de l'achat de carburant et d'électricité pour tous les sites.

Circulation et évacuation d'eau : Veuillez inclure tous les coûts pertinents à la circulation et à l'évacuation de l'eau.

Frais généraux d'exploitation : Veuillez inclure toutes les autres dépenses générales et administratives liées aux activités de production du secteur en amont, y compris toutes les affectations de la société à ce secteur. (Ces frais généraux d'exploitation doivent exclure les frais généraux capitalisés d'exploitation déclarés comme frais généraux capitalisés d'exploitation, question 21).

H – Coût d'exploitation par compétence provinciale – secteur d'extraction de pétrole et de gaz (à l'exception des sables bitumineux)

Les frais d'exploitation comprennent toutes les dépenses directement engagées dans l'exploitation, comme les traitements et salaires, les matériaux et fournitures, le combustible et l'électricité, le coût de conditionnement des puits, les taxes municipales, les autres frais directs d'exploitation, l'entretien, la réparation et les services contractuels. Ils comprennent également le coût non capitalisé de l'achat de matières d'injection utilisées dans les projets de récupération assistée.

Activités associées aux terrains, aux puits et aux réseaux de collecte : Veuillez inclure les activités de récupération aux moyens de techniques primaires, secondaires et tertiaires et les installations de maintien de la pression, les réseaux de collecte, les autres installations sur les lieux des puits et le loyer des terres.

Usines de traitement du gaz naturel : Veuillez inclure le coût des usines de traitement sur place, de retraitement et de fractionnement, des projets de recyclage et le coût de l'achat de carburant et d'électricité.

Taxes : Veuillez inclure toutes les taxes versées aux gouvernements fédéral, provinciaux et municipaux, à l'exclusion des redevances, des impôts sur le revenu et des taxes comprises dans le prix courant d'achat.

Frais généraux d'exploitation : Veuillez inclure toutes les autres dépenses générales et administratives liées aux activités de production du secteur en amont, y compris toutes les affectations de la société à ce secteur. (Ces frais généraux d'exploitation doivent exclure les frais généraux déclarés comme dépenses consacrées à l'exportation en amont par compétence provinciale.)

I – Dépenses consacrées à l'exploration en amont par compétence provinciale – secteur d'extraction de pétrole et de gaz (à l'exception des sables bitumineux)

Coûts d'acquisition et de rétention des droits pétroliers et gaziers : Les coûts d'acquisition et les frais associés aux droits pétroliers et gaziers (y compris les compensations foncières, les frais juridiques et les frais de dépôt; à l'exclusion des ventes et des transferts entre sociétés).

Coûts des terrains et des concessions achetés auprès d'autres sociétés pétrolières : Les achats faits auprès de sociétés qui sont engagées surtout dans des activités pétrolières.

Remarque : Pour les questions 40 et 41, veuillez inclure tous les frais associés à l'utilisation d'agents des terres.

Dépenses géologiques et géophysiques : Veuillez inclure les activités telles que la prospection sismique exécutée par la société ou à forfait. Cela comprend les installations sur le terrain, les travaux de terrassement, les déplacements en avion, le sismographe, les sismo-sondages, le gravimètre, le magnétomètre, les carottages, le traitement photogéologique numérique, les rejeux d'enregistrement magnétique et les apports relatifs aux fonds de sondage ainsi que les études de l'impact sur l'environnement et d'autres dépenses pré-exploratoire semblables. Toutes les dépenses de prospection sismique ou géologique et géophysique (incluant les essais stratigraphiques) doivent être inscrites ici, que ces activités soient ou non considérées comme de l'exploration ou de la mise en valeur.

Forage d'exploration : Il s'agit généralement d'un puits foré à l'extérieur d'une région connue ou dans une région connue, mais à un horizon jusqu'ici non analysé, afin d'établir s'il existe des réserves de pétrole et de gaz plutôt que d'exploiter des réserves connues, découvertes durant des sondages antérieurs. Cela comprend le coût des puits secs, du tubage et des autres matériaux et équipements laissés sur place; les puits productifs, y compris les puits obturés; et, les puits encore en aménagement à la fin de l'exercice. Cela comprend aussi les coûts encourus pour combattre l'explosion d'un puits, ainsi que ceux liés à la perte de contrôle et au remplacement de l'équipement endommagé.

J – Dépenses consacrées au développement en amont par compétence provinciale – secteur d'extraction de pétrole et de gaz (à l'exception des sables bitumineux)

Forage de mise en valeur : Le forage dans une région où l'on sait qu'il y a un réservoir de pétrole ou de gaz jusqu'à la hauteur d'un horizon stratigraphique producteur aux fins d'extraction des réserves de pétrole ou de gaz. Y sont inclus les coûts des puits secs, y compris le tubage et les autres matériaux et équipements laissés sur place; les puits productifs, y compris les puits obturés; et les puits dont la mise en valeur n'est pas terminée à la fin de l'exercice. Cela comprend aussi les coûts encourus pour combattre l'explosion d'un puits, ainsi que ceux liés à la perte de contrôle et au remplacement de l'équipement endommagé. Exclure les coûts associés avec les puits de service.

Remarque : Aucune dépense de mise en valeur ne doit être déclarée à moins qu'un plan de mise en valeur soit approuvé.

Coût des achats de réserves prouvées : Les achats faits auprès de sociétés qui sont engagées surtout dans les activités pétrolières.

K – Dépenses consacrées à la production en amont par compétence provinciale – secteur d'extraction de pétrole et de gaz (à l'exception des sables bitumineux)

Projets de récupération assistée : Cela comprend seulement les frais engagés dans des installations incluses dans des projets tertiaires faisant appel à l'injection de vapeur, à l'injection de fluides miscibles, etc. Cela comprend les coûts de forage de l'équipement des puits d'injection et des puits de service, de même que les coûts capitalisés des liquides d'injection (fluides miscibles), mais exclut les coûts des liquides d'injection non-récupérables qui sont imputés à la période courante.

Usines de traitement du gaz naturel : Veuillez déclarer seulement les sommes capitalisées des usines notamment les ouvrages structuraux, l'équipement de mesure et de régulation et l'équipement connexe.

Installations de production : Veuillez inclure l'équipement corporel qui se rapporte aux puits et aux terrains, y compris le tubage, la colonne de production, les têtes de puits, les pompes, les conduites d'écoulement, les réseaux de collecte de pétrole et de gaz, les séparateurs, les purificateurs, les déshydrateurs et les batteries de citerne louées et centralisées. Cela comprend les pipelines de collecte, les batteries et les installations connexes avant la livraison aux terminaux des pipelines principaux, et les autres installations de production. Cela comprend aussi les coûts associés aux biens incorporels comme les études de pré-production et les dépenses que vous considérez comme étant préalables à la mise en valeur.

Installations autres que celles de production : Cela comprend les pièces pour automobiles, les avions, les installations de communication, le matériel de bureau et les divers équipements non déclarés ailleurs.

Foreuses et bateaux d'apprivoisement : Veuillez déclarer les dépenses y compris les paiements échelonnés pour l'acquisition de foreuses et de bateaux d'apprivoisement neufs, d'occasion et importés.

L – Dépenses consacrées aux frais généraux en amont par compétence provinciale – secteur d'extraction de pétrole et de gaz (à l'exception des sables bitumineux)

Déclarez tous les frais généraux capitalisés en amont dans les catégories énumérées, à l'exclusion de ceux déclarés comme Coût d'exploitation par compétence provinciale – secteur d'extraction de pétrole et de gaz (à l'exception des sables bitumineux).

Le présent guide a pour objet de vous aider à répondre au questionnaire de
l'Enquête annuelle de 2018 sur l'approvisionnement et l'écoulement de l'électricité

Assistance directe : 1-877-604-7828

Confidentialité

La loi interdit à Statistique Canada de divulguer toute information recueillie qui pourrait dévoiler l'identité d'une personne, d'une entreprise ou d'un organisme sans leur permission ou sans en être autorisé par la Loi sur la Statistique. Statistique Canada utilisera les données de cette enquête à des fins statistiques.

Table des matières

A – Renseignements sur la période de déclaration

Veuillez déclarer les données pour la période visée de janvier à décembre 2018.

Veuillez remplir toutes les sections qui s'appliquent.

Si vous n'avez pas l'information demandée, veuillez indiquer votre meilleure estimation.

Ce guide est conçu pour vous aider à répondre à l'Enquête annuelle de 2018 sur l'approvisionnement et l'écoulement de l'électricité. Si vous avez besoin de renseignements supplémentaires, veuillez appeler au 1-877-604-7828.

B – Méthode pour générer de l'électricité

Nucléaire : Électricité produite dans une centrale électrique dont les turbines sont actionnées par de la vapeur produite dans un réacteur par la chaleur provenant de la fission d'un combustible nucléaire.

Hydraulique : Énergie électrique produite dans une centrale dont les turbines sont actionnées par un courant d'eau.

Marémotrice : Énergie produite dans une centrale dont les turbines sont actionnées par l'effet de la marée.

Éolienne : Centrale électrique où la principale force motrice est une éolienne. L'énergie électrique est générée par la conversion de l'énergie éolienne en énergie mécanique.

Solaire : Électricité créée par l'utilisation d'une technologie photovoltaïque (PV) par conversion de l'énergie solaire en électricité solaire à partir de la lumière solaire OU électricité créée par l'utilisation d'une technologie héliothermique par laquelle la lumière solaire chauffe un liquide ou un gaz pour alimenter une turbine ou un moteur.

Onde : Production d'électricité à partir d'une source mécanique entraînée par le mouvement des vagues.

Géothermique : Électricité générée à partir de chaleur émanant de la croûte terrestre, habituellement sous forme d'eau chaude ou de vapeur.

Les « autres » sources d'énergie non combustibles : Y compris la chaleur résiduelle, la valeur et la vapeur achetée d'une autre entreprise.

C – Combustible

Charbon : Une substance rocheuse noire ou brun-noir facilement combustible dont la composition, y compris l'humidité inhérente, consiste à plus de 50 % de la masse et à plus de 70 % du volume de matière carbonée. Elle est formée par les résidus de plantes qui ont été comprimés, durcis, modifiés chimiquement et métamorphosés par la chaleur et la pression pendant une période géologique sans être exposés à l'air.

Gaz naturel : Mélange d'hydrocarbures, contenant principalement du méthane, en phase gazeuse ou en solution dans du pétrole brut provenant de gisements souterrains.

Pétrole : Comprend le pétrole brut non raffiné d'origine naturelle et les produits pétroliers formés de pétrole brut raffiné et utilisés comme source de carburant (c.-à-d. le pétrole brut, le pétrole synthétique, les liquides de gaz naturel, le naphte, le kérosène, le carburéacteur, l'essence, le diésel et le mazout; exclut le coke de pétrole, le bitume et les autres produits pétroliers non précisés).

Les « autres » combustibles – thermiques : Comprend les combustibles comme le propane, l'Orimulsion, le coke de pétrole, le gaz de cokerie, l'éthanol et tout autre type de carburant combustible thermique non précisé dans le questionnaire. Veuillez préciser dans l'espace fourni à cet effet.

Bois (ou méthode « sèche ») : Bois et énergie tirée du bois utilisés comme combustibles; comprend le bois rond (vendu à la corde), la lignine, les résidus de la fabrication de meubles et de cadres de fenêtres, les copeaux, l'écorce, la sciure, les résidus forestiers, le charbon de bois et les déchets de pâte.

Lessive de pâte épuisée (liqueur noire) : Un sous-produit recyclé produit lors de la transformation du bois en pâte dans le processus de fabrication du papier. Il est principalement composé de lignine et d'autres composantes.

Gaz d'enfouissement : Émanation qui se dégage dans l'atmosphère à la suite de l'enfouissement de certains rebuts, composé principalement de méthane et dioxyde de carbone.

Déchets municipaux et autres résidus : Il peut s'agir de résidus produits durant la transformation d'un produit non alimentaire, comme le papier, le carton, le caoutchouc, le cuir, les textiles naturels, le bois, des pinceaux, des tontes de gazon, des déchets de cuisine et des boues d'épuration.

Les « autres » combustibles – Biomasse : Y compris les combustibles tels que les déchets alimentaires, les couches souillées et les biogaz – par exemple, le gaz produits par des digesteurs aquatiques animaux

D – Réceptions d'électricité en provenance des États-Unis

S'il y a lieu, veuillez déclarer la valeur en dollars canadiens (milliers de dollars) et la quantité d'électricité (MWh) que cet établissement a achetée/importée des États-Unis.

E – Réceptions d'électricité de l'intérieur du Canada

S'il y a lieu, indiquer la valeur en dollars (milliers de dollars) et la quantité d'électricité (MWh) achetée ou reçue d'autres provinces ou territoires (p. ex. autres fabricants, distributeurs).

F – Approvisionnement total

Il s'agit d'un sommaire de l'approvisionnement total d'électricité et les coûts totaux d'achats d'électricité des États-Unis ainsi que de fournisseurs domestiques. Le montant déclaré pour l'approvisionnement total doit être égal au montant déclaré de l'utilisation totale.

G – Livraisons d'électricité aux États-Unis

S'il y a lieu, veuillez déclarer la valeur en dollars canadiens (milliers de dollars) et la quantité d'électricité (MWh) que cet établissement a vendue/exportée aux États-Unis.

H – Livraisons d'électricité au Canada

S'il y a lieu, veuillez déclarer la valeur en dollars (milliers de dollars) et la quantité d'électricité (MWh) que cet établissement a vendue à d'autres entreprises domestiques, par province ou territoire.

I – Transmission, distribution et autres pertes

Inclure

  • pertes de transmission
  • ajustements
  • montants « non comptabilisés » qui peuvent varier en raison de la facturation cyclique

Exclure

  • Électricité produite pour l'entretien de la centrale électrique telle que mesurée à la barrière de la centrale.

Merci de votre collaboration.

  •  
  • I. Introduction
  • II. Directives
  • III. Définitions
  • IV. Suggestions
  • Annexe A : Liste des regroupements CPE pour FSS
  • I. Introduction

    A. Aperçu

    L'Enquête sur les frais de scolarité et de subsistance (FSS) recueille des données sur les étudiants à temps plein inscrits à des programmes menant à un grade dans les établissements postsecondaires publics canadiens. L'enquête a été mise sur pied pour fournir un aperçu des droits de scolarité, des frais supplémentaires obligatoires et des frais de subsistance que les étudiants peuvent s'attendre à payer pour une année universitaire.

    Les données de l'enquête FSS :

  • fournissent aux intervenants, au public et aux étudiants un guide annuel sur les frais de scolarité et la variation de ces frais de scolarité par rapport à l'année précédente;
  • contribuent à une meilleure compréhension des coûts pour l'obtention d'un grade;
  • facilitent l'élaboration de politiques dans le secteur de l'éducation;
  • sont utilisées pour le calcul de l'Indice des prix à la consommation;
  • facilitent les comparaisons interprovinciales;
  • facilitent les comparaisons entre les institutions.
  • B. Période de référence

    L'année universitaire 2019-2020.

    C. Population

    La population cible se compose de tous les établissements conférant des grades (universités et collèges) au Canada qui sont subventionnés par des fonds publics.

    Veuillez noter que cette enquête cible les institutions qui confèrent des grades pour l'année universitaire 2019-2020. Les institutions qui fournissent des parties de programmes menant à un grade universitaire conféré par une autre institution devraient être exclues. L'enquête se limite aux institutions dont les coûts opérationnels sont principalement subventionnés par les gouvernements provinciaux. Les institutions qui ne reçoivent aucune subvention du ministère de l'Éducation et celles recevant seulement des subventions du ministère de la Santé sont exclues de cette enquête.

    D. Domaines d'études

    Les domaines d'études présentés pour les programmes de 1er cycle et ceux des 2e et 3e cycles sont adaptés de la Classification des programmes d'enseignement (CPE) 2016, celle-ci constituant la norme en vigueur à Statistique Canada pour la classification des domaines d'études. La structure du CPE comprend plusieurs regroupements élaborés conjointement par Statistique Canada et le National Centre for Education Statistics (NCES) des États Unis. Elle est fondée sur les travaux effectués en vue de la création du Système de classification des produits de l'Amérique du NORD (SCPAN) par le Canada, les États-Unis et le Mexique.

    Regroupements FSS CPE des programmes du 1er cycle :

  • Éducation
  • Arts visuels et d'interprétation, et technologie des communications
  • Sciences humaines
  • Sciences sociales et de comportements, et études du droit
  • Droit
  • Commerce, gestion et administration publique
  • Sciences physiques et de la vie, et technologies
  • Mathématique, informatique et sciences de l'information
  • Génie
  • Architecture
  • Agriculture, ressources naturelles et conservation
  • Dentisterie
  • Médecine
  • Sciences infirmières
  • Pharmacie
  • Médecine vétérinaire
  • Optométrie
  • Santé autre, parcs, récréation et conditionnement physique
  • Services personnels, de protection et de transport
  • Autres
  • Regroupements FSS CPE des programmes des 2e et 3e cycles :

    Les programmes des 2e et 3e cycles incluent tous les regroupements des programmes du 1er cycle sauf Médecine et les ajouts de :

  • MBA pour cadres
  • Programme de MBA régulier
  • Veuillez vous référer à l'Annexe A : CPE

    Note : Les programmes de résidence en médecine, en médecine dentaire et en médecine vétérinaire offerts par les hôpitaux universitaires et des établissements similaires et menant à une attestation dans un domaine spécialisé sont exclus.

    E. Date d'échéance

    Prière de retourner le questionnaire dûment rempli avant le 7 juin 2019 et télécharger le fichier dans le site Internet sécuritaire (service de transfert électronique de fichiers).

    Si vous avez besoin plus d'information ou de l'aide pour compléter le questionnaire, veuillez communiquer avec Nora.McNichol@statcan.gc.ca ou Voula.Delis@statcan.gc.ca

    II. Directives

    Générales

    Les tableaux sur les frais de scolarité produits par Statistique Canada représentent une année universitaire des étudiants à temps plein avec une charge complète de cours dans les programmes menant à un grade, peu importe le nombre de crédits.

    Les frais de scolarité devraient être déclarés selon l'année universitaire (8 mois) ou selon le semestre (4 mois), peu importe le nombre de crédits, peu importe le nombre de crédits. S'il n'est pas possible de fournir des données sur les frais de scolarité pour un semestre ou une année universitaire, les frais de scolarité devraient être déclarés par crédit.

    Dans la mesure du possible, les frais définitifs doivent être déclarés. S'ils n'ont pas encore été établis, indiquez la meilleure estimation possible. Si tel est le cas, veuillez cochez la case indiquant que ce sont des frais estimés pour 2019-2020.

    Partie A : Droits de scolarité pour les étudiants à temps plein

    Déclaration des droits de scolarité :

  • Veuillez déclarer les droits de scolarité des étudiants à temps plein inscrits à des programmes menant à un grade. Déclarer les droits de scolarité pour les grades conférés par votre institution, c'est-à-dire pour les étudiants qui ont débuté et complété leur grade à votre institution. NE PAS inclure les grades d'associés, diplômes et les certificats.
  • Vérifier et corriger les données de l'année précédente (2018-2019) sur chaque page si nécessaire.
  • Nouveau, Optométrie (D.O.) a été ajouté au questionnaire et à l'annexe A du CPE FSS de ce document.
  • Droit page 2, 1er cycle Seulement les droits menant à un grade professionnel en droit (LL.B., J.D., B.C.L.) d'une 'Faculté de droit' doivent être déclarés sous ce regroupement.
  • Droit page 3, 2ième et 3ième cycles, seulement les droits menant à un grade professionnel en droit (post-LL.B./J.D.) d'une Faculté de droit doivent être déclarés sous ce regroupement.
  • Page 2 et page 3, les études du droit menant à un grade non-professionnel en droit doivent être déclarées sous le regroupement « Sciences sociales et de comportements, et études du droit ».
  • Seulement le programme Médecine (M.D.) devrait être déclaré sous le programme de médicine du premier cycle (page 2 du questionnaire). Veuillez vous référer à l'annexe A.
  • Mise à jour : Services personnels, de protection et de transport incluent les programmes suivant :
    • 43.0103 Administration de la justice pénale et de l'application des lois
    • 43.0104 Études de la justice pénale/sécurité
    • 43.0106 Science et technologie judiciaires
    • 43.0107 Justice pénale/sciences policières
  • Les frais supplémentaires obligatoires pour des matériaux ou de l'équipement doivent être déclarés à la page 4 (1er cycle) et à la page 5 (2e et 3e cycles).
  • Les NOUVEAUX programmes menant à un grade doivent être mentionnés dans la section des commentaires au bas de la page 2 (1er cycle) et de la page 3 (2e et 3e cycles).
  • Pour le Québec et la Nouvelle-Écosse, les droits inférieurs sont pour les étudiants canadiens dont l'adresse permanente est dans la province et les droits supérieurs représentent les droits pour les étudiants dont l'adresse permanente est hors-province.
  • Veuillez déclarer les frais utilisant le point seulement et non la virgule. Par exemple, 2415.45 $
  • Année universitaire (8 mois) : Lorsque la déclaration des droits de scolarité est pour une année universitaire (8 mois), veuillez déclarer le coût total du programme peu importe le nombre de crédits.
  • Semestre : Si vous déclarez par semestre, veuillez déclarer le coût total du semestre peu importe le nombre de crédits. Les droits de scolarité du semestre seront multipliés par deux pour calculer les droits de scolarité d'une année universitaire (8 mois)
  • Unité (crédit) : Veuillez seulement déclarer les frais de scolarité par crédit si vous ne pouvez pas les déclarer par semestre ou année universitaire peu importe le nombre de crédit. Nous adoptons comme hypothèse qu'il y a un minimum de 30 unités (crédits) dans une année universitaire lors du calcul des frais pour une année universitaire. Si vous déclarez par unité (crédit), les droits de scolarité seront multipliés par 30 unité (crédits).
  • Partie B : Frais supplémentaires obligatoires pour les étudiants canadiens à temps plein

    Déclaration des frais supplémentaires obligatoires

  • À la partie B du questionnaire, veuillez déclarer les frais supplémentaires obligatoires pour les étudiants canadiens à temps plein dans la première rangée du tableau lorsque ces frais ne varient pas selon le domaine d'études pour tous les étudiants à temps plein du premier cycle (page 4) et des deuxième et troisième cycles (page 5).
  • Note importante : Les frais « partiellement » obligatoires, tels que les assurances maladie et dentaire auxquels l'étudiant peut renoncer s'il prouve une autre couverture, ne doivent pas être inclus dans les frais obligatoires, mais doivent être indiqués dans la section des commentaires.

    Partie C : Frais de subsistance dans les résidences ou les logements

    À la partie C, veuillez déclarer seulement un total si vous ne pouvez pas séparer le prix de la chambre de celui du forfait repas pour les étudiants célibataires.

    III. Définitions

    Droits de scolarité

    Frais chargés à un étudiant à temps plein avec une charge complète de cours, peu importe le nombre de crédits.

    Frais supplémentaires obligatoires

    Les frais supplémentaires obligatoires de l'enquête FSS vise à recueillir les frais que tous les étudiants doivent payer malgré le domaine d'étude (regroupement FSS).

    Ces frais couvrent un ensemble de services qui varie d'une institution à l'autre, d'une année à l'autre et même d'une faculté à l'autre à l'intérieur de la même institution.

    Les frais supplémentaires obligatoires incluent les frais généraux (admission, inscription, examens, stages etc.), les frais technologiques, frais de services aux étudiants, contribution aux activités, droit d'auteurs, primes pour les plans d'assurances obligatoires, activités sportives et récréatives ainsi que d'autres frais variés (transcriptions, grades, laboratoires, uniformes, u-pass, etc..).

    Répartition des Frais Supplémentaires Obligatoires FSS

    Frais d'activités sportives

    Frais obligatoires couvrant les infrastructures et équipements sportifs, activités récréatives sur le campus (intra muraux, cours d'entraînement et de mise en forme, etc.)

    Frais de services de santé

    Frais obligatoires couvrant les opérations d'une clinique médicale sur le campus incluant les services de médecins et d'infirmières. Si les étudiants peuvent renoncer les services médicaux et dentaires avec une preuve de couverture d'assurance comparable, ces frais devraient être exclus de l'enquête.

    Rappel : Les frais "partiellement" obligatoires tel que l'assurance-maladie et dentaire que l'étudiant peut renoncer s'il prouve une autre couverture sont exclus.

    Frais d'association étudiante

    Frais obligatoires couvrant les dépenses d'opérations de l'association.

    Autres frais

    Si des frais supplémentaires sont indiqués dans "Autres veuillez préciser", veuillez fournir plus de détails sur le type de frais. Example, u-pass, transcriptions, frais laboratoires, frais technologiques, etc.

    IV. Suggestions

    Toute suggestion visant à améliorer la présente enquête serait grandement appréciée de Statistique Canada

    statcan.education-education.statcan@statcan.gc.ca

    Annexe A : Classification des programmes d'enseignement (CPE)

    CPE FSS

  • 01 - Éducation
    • 13. Éducation
      • 13.01 Éducation (général)
      • 13.02 Éducation bilingue, multilingue et multiculturelle
      • 13.03 Programme d'études et enseignement
      • 13.04 Éducation — Administration et supervision
      • 13.05 Conception de médias didactiques/pédagogiques
      • 13.06 Évaluation et recherche dans le domaine de l'éducation
      • 13.07 Éducation comparée et internationale
      • 13.09 Fondements sociaux et philosophiques de l'éducation
      • 13.10 Éducation spécialisée et enseignement spécial
      • 13.11 Services de counseling aux étudiants et services du personnel
      • 13.12 Formation et perfectionnement professionnel des enseignants, niveaux spécifiques et méthodes spécifiques
      • 13.13 Formation et perfectionnement professionnel des enseignants, matières spécifiques
      • 13.14 Enseignement de l'anglais ou du français comme langue seconde ou langue étrangère
      • 13.99 Éducation (autres)
  • 02 - Arts visuels et d'interprétation, et technologie des communications
    • 50. Arts visuels et arts d'interprétation
      • 50.01 Arts visuels, numériques et d'interprétation (général)
      • 50.02 Artisanat et arts populaires
      • 50.03 Danse
      • 50.04 Design et arts appliqués
        • 50.0401 Design et communications visuelles (général)
        • 50.0402 Art commercial et publicitaire
        • 50.0404 Design industriel et des produits
        • 50.0406 Photographie commerciale
        • 50.0407 Création de mode/design de mode
        • 50.0408 Design d'intérieur
        • 50.0409 Design graphique
        • 50.0410 Illustration
        • 50.0411 Conception de jeux et de médias interactifs
      • 50.05 Art dramatique/Arts de la scène/Théâtre
      • 50.06 Arts de la cinématographie, de la vidéographie et de la photographie
      • 50.07 Beaux-arts et arts plastiques
      • 50.09 Musique
      • 50.10 Gestion des arts, divertissements et médias
      • 50.99 Arts visuels et arts d'interprétation (autres)
    • 10. Technologie des communications/Technicien en communications et services de soutien technique connexes
      • 10.01 Technologie des communications/Technicien en communications
      • 10.02 Communications audiovisuelles — Technologue/Technicien
      • 10.03 Communications graphiques
      • 10.99 Technologie des communications/Technicien en communications et services de soutien technique connexes (autres)
  • 03 - Sciences humaines
    • 16. Linguistique, langues et littérature autochtones et étrangères
      • 16.01 Études linguistiques, études de linguistique comparée et études connexes
      • 16.02 Linguistique et langues et littératures africaines
      • 16.03 Linguistique et langues et littératures est-asiatiques
      • 16.04 Linguistique et langues et littératures slaves, baltes et albanaises
      • 16.05 Linguistique et langues et littératures germaniques
      • 16.06 Langue et littérature grecques modernes
      • 16.07 Linguistique et langues et littératures sud-asiatiques
      • 16.08 Linguistique et langues et littératures iraniennes
      • 16.09 Linguistique et langues et littératures romanes
      • 16.10 Linguistique et langues et littératures autochtones
      • 16.11 Linguistique et langues et littératures sémitiques, proche-orientales et moyen orientales
      • 16.12 Linguistique et langues et littératures classiques
      • 16.13 Linguistique et langues et littératures celtiques
      • 16.14 Linguistique et langues et littératures de l'Asie du Sud-Est et de l'Australasie/du Pacifique
      • 16.15 Linguistique et langues et littératures turques, ouraliques-altaïques, caucasiennes et centrasiatiques
      • 16.16 Langage gestuel
      • 16.17 Apprentissage des langues secondes
      • 16.99 Linguistique, langues et littératures autochtones et étrangères (autres)
    • 23. Langue et littérature / lettres anglaises
      • 23.01 Langue et littérature anglaises (général)
      • 23.13 Rhétorique et Composition/Rédaction en anglaise
      • 23.14 Littérature anglaise
      • 23.99 Langue et littérature/Lettres anglaises (autres)
    • 24. Arts libéraux et sciences, études générales et lettres et sciences humaines
      • 24.01 Arts libéraux et sciences, études générales et lettres et sciences humaines
    • 30. Études multidisciplinaires/interdisciplinaires
      • 30.13 Études médiévales et de la Renaissance
      • 30.21 Holocauste et études connexes
      • 30.22 Études classiques et anciennes
      • 30.29 Études maritimes
    • 38. Philosophie et études religieuses
      • 38.00 Philosophie et études religieuses (général)
      • 38.01 Philosophie, logique et éthique
      • 38.02 Religion/Études religieuses
      • 38.99 Philosophie et études religieuses (autres)
    • 39. Théologie et vocations religieuses
      • 39.02 Bible/Études bibliques
      • 39.03 Études missionnaires et missiologie
      • 39.04 Éducation religieuse
      • 39.05 Musique religieuse/sacrée
      • 39.06 Études théologiques et ecclésiastiques
      • 39.07 Counseling pastoral et cultes spécialisés
      • 39.99 Théologie et vocations religieuses (autres)
    • 54. Histoire
      • 54.01 Histoire
    • 55. Langue et littérature / lettres françaises
      • 55.01 Langue et littérature françaises (général)
      • 55.13 Rhétorique et Composition/Rédaction en français
      • 55.14 Littérature française
      • 55.99 Langue et littérature/Lettres françaises (autres)
  • 04 - Sciences sociales et de comportements, et études du droit
    • 05. Études régionales, ethniques, culturelles, des sexes et des groupes
      • 05.01 Études régionales
      • 05.02 Études ethniques, des minorités culturelles, des sexes et des groupes
      • 05.99 Études régionales, ethniques et culturelles, des sexes et des groupes (autres)
    • 09. Communications, journalisme et programmes connexes
      • 09.01 Étude de la communication et des médias
      • 09.04 Journalisme
      • 09.07 Radio, télévision et communication numérique
        • 09.0701 Radio et télévision
        • 09.0702 Communication numérique et multimédia
        • 09.0799 Radio, télévision et communication numérique (autres)
      • 09.09 Relations publiques, publicité et communication appliquée
        • 09.0900 Relations publiques, publicité et communication appliquée (général)
        • 09.0901 Communications organisationnelles (général)
        • 09.0902 Relations publiques/gestion de l'image
        • 09.0903 Publicité
        • 09.0904 Communication politique
        • 09.0905 Communication en santé
        • 09.0906 Communications dans le domaine des sports
        • 09.0907 Communications internationales et interculturelles
        • 09.0908 Communications scientifiques et techniques
        • 09.0999 Relations publiques, publicité et communication appliquée (autres)
      • 09.10 Édition
      • 09.99 Communications, journalisme et programmes connexes (autres)
    • 19. Sciences de la famille et de la consommation / sciences humaines
      • 19.00 Études de la famille et du travail
      • 19.01 Sciences de la famille et de la consommation/Sciences humaines (général)
      • 19.02 Sciences de la famille et de la consommation/Sciences humaines et services commerciaux
      • 19.04 Économie domestique et études connexes
      • 19.05 Alimentation, nutrition et services connexes
      • 19.06 Logement et environnements humains
      • 19.07 Études du développement humain et de la famille et services connexes
      • 19.09 Vêtements et textiles
      • 19.99 Sciences de la famille et de la consommation/Sciences humaines (autres)
    • 30. Études multidisciplinaires / interdisciplinaires
      • 30.05 Études de la paix et résolution de conflits
      • 30.10 Biopsychologie
      • 30.11 Gérontologie
      • 30.14 Muséologie / techniques de muséologie
      • 30.15 Science, technologie et société
      • 30.17 Sciences du comportement
      • 30.20 Études internationales / mondiales
      • 30.23 Études interculturelles / multiculturelles et de la diversité
      • 30.25 Sciences cognitives
      • 30.26 Études culturelles / théorie et analyse critique
      • 30.28 Résolution des différends
      • 30.31 Interaction homme-ordinateur
      • 30.33 Études en durabilité
    • 42. Psychologie
      • 42.01 Psychologie (général)
        • 42.0101 Psychologie (général)
      • 42.27 Recherche en psychologie et psychologie expérimentale
        • 42.2701 Psychologie cognitive et psycholinguistique
        • 42.2702 Psychologie comparée
        • 42.2703 Psychologie de l'enfant et du développement de l'enfant
        • 42.2704 Psychologie expérimentale
        • 42.2705 Psychologie de la personnalité
        • 42.2706 Psychologie physiologique/psychobiologie
        • 42.2707 Psychologie sociale
        • 42.2708 Psychométrie et psychologie quantitative
        • 42.2709 Psychopharmacologie
        • 42.2799 Recherche en psychologie et psychologie expérimentale (autres)
      • 42.28 Psychologie clinique, du counseling et appliquée
        • 42.2801 Psychologie clinique
        • 42.2802 Psychologie communautaire
        • 42.2803 Psychologie du counseling
        • 42.2804 Psychologie industrielle et organisationnelle
        • 42.2805 Psychologie scolaire
        • 42.2806 Psychologie de l'éducation
        • 42.2807 Psychologie clinique de l'enfant
        • 42.2808 Psychologie environnementale
        • 42.2809 Gérontopsychologie
        • 42.2810 Psychologie médicale/de la santé
        • 42.2811 Psychologie familiale
        • 42.2812 Psychologie judiciaire
        • 42.2813 Psychologie appliquée
        • 42.2814 Analyse appliquée du comportement
        • 42.2899 Psychologie clinique, du counseling et appliquée (autres)
      • 42.99 Psychologie (autres)
        • 42.9999 Psychologie (autres)
    • 45. Sciences sociales
      • 45.01 Sciences sociales (général)
      • 45.02 Anthropologie
      • 45.03 Archéologie
      • 45.04 Criminologie
      • 45.05 Démographie et études de la population
      • 45.06 Économie
      • 45.07 Géographie et cartographie (Géomatique, Système d'information géographique BA/BSc)
      • 45.09 Relations internationales et études de sécurité nationale
      • 45.10 Science politique et gouvernement
      • 45.11 Sociologie
      • 45.12 Études/Affaires urbaines
      • 45.13 Sociologie et anthropologie
      • 45.14 Sociologie rurale
      • 45.99 Sciences sociales (autres)
    • 22. Droit, professions connexes et études du droit
      • 22.00 Études générales du droit pour les non-juristes (premier cycle)
      • 22.03 Services de soutien juridique
      • 22.99 Droit, professions connexes et études du droit (autres)
  • 05 - Droit
    • 22. Droit, professions connexes et études du droit
      • 22.0101 Droit (LL.B, J.D., B.C.L.)
      • 22.0201 Recherche juridique avancée/études du droit avancées (général) (LL.M., M.C.L., M.L.I., M.S.L., LL.D., J.S.D./S.J.D.)
      • 22.0202 Programmes à l'intention des avocats étrangers (LL.M., M.C.L.)
      • 22.0203 Études du droit et de la jurisprudence des États-Unis (LL.M., M.C.J., LL.D., J.S.D./S.J.D.)
      • 22.0204 Études du droit et de la jurisprudence du Canada (LL.M., M.C.J., LL.D., J.S.D./S.J.D.)
      • 22.0205 Droit bancaire, droit des sociétés, droit financier et droit des valeurs mobilières (LL.M., LL.D., J.S.D./S.J.D.)
      • 22.0206 Droit comparé (LL.M., M.C.L., LL.D., J.S.D./S.J.D.)
      • 22.0207 Droit de l'énergie, de l'environnement et des ressources naturelles (LL.M., M.S., M.Sc., LL.D., J.S.D./S.J.D.)
      • 22.0208 Droit de la santé (LL.M., M.J., LL.D., J.S.D./S.J.D.)
      • 22.0209 Droit international et études du droit (LL.M., LL.D., J.S.D./S.J.D.)
      • 22.0210 Droit commercial et fiscal international (LL.M., LL.D., J.S.D./S.J.D.)
      • 22.0211 Droit fiscal/fiscalité (LL.M., LL.D., J.S.D./S.J.D.)
      • 22.0212 Droit de la propriété intellectuelle (LL.M., LL.D., J.S.D./S.J.D.)
      • 22.0299 Recherche juridique et études du droit avancées (post-LL.B./J.D.) (autres)
      • 22.9999 Droit, professions connexes et études du droit (autres)
  • 06 - Commerce, gestion et administration publique
    • 30. Études multidisciplinaires/interdisciplinaires
      • 30.16 Comptabilité et informatique
    • 44. Administration publique et professions en services sociaux
      • 44.00 Services humains (général)
      • 44.02 Organisation et défense communautaires
      • 44.04 Administration publique
      • 44.05 Analyse des politiques publiques
      • 44.07 Travail social
      • 44.99 Administration publique et professions en services sociaux (autres)
    • 52. Commerce, gestion, marketing et services de soutien connexes (en excluant les programmes MBA)
      • 52.01 Commerce (général)
      • 52.02 Administration/Gestion commerciale
      • 52.03 Comptabilité et services connexes
      • 52.04 Services de soutien administratifs
      • 52.05 Communications d'entreprise
      • 52.06 Économie d'entreprise
      • 52.07 Entrepreneuriat et exploitation de petites entreprises
      • 52.08 Finance et services de gestion financière
      • 52.09 Gestion touristique
      • 52.10 Gestion des ressources humaines et services en ressources humaines
      • 52.11 Commerce international
      • 52.12 Systèmes et services d'information de gestion
      • 52.13 Science de la gestion et méthodes quantitatives
      • 52.14 Marketing
      • 52.15 Immobilier
      • 52.16 Fiscalité
      • 52.17 Assurance
      • 52.18 Vente générale, marchandisage et activités de marketing connexes
      • 52.19 Vente spécialisée, marchandisage et marketing
      • 52.20 Gestion de construction
      • 52.21 Gestion des télécommunications
      • 52.99 Commerce, gestion, marketing et services de soutien connexes (autres)
  • 07 - Sciences physiques et de la vie, et technologies
    • 26. Sciences biologiques et biomédicales
      • 26.01 Biologie (général)
      • 26.02 Biochimie, biophysique et biologie moléculaire
      • 26.03 Botanique/Biologie végétale
      • 26.04 Biologie cellulaire et sciences anatomiques
      • 26.05 Sciences microbiologiques et immunologie
      • 26.07 Zoologie/Biologie animale
      • 26.08 Génétique
      • 26.09 Physiologie, pathologie et sciences connexes
      • 26.10 Pharmacologie et toxicologie
      • 26.11 Biomathématique, bioinformatique et biologie computationnelle
      • 26.12 Biotechnologie
      • 26.13 Écologie, évolution, systématique et biologie des populations
      • 26.14 Médecine moléculaire
      • 26.15 Neurobiologie et neurosciences
      • 26.99 Sciences biologiques et biomédicales (autres)
    • 30. Études multidisciplinaires/interdisciplinaires
      • 30.01 Sciences biologiques et sciences physiques
      • 30.18 Sciences naturelles
      • 30.19 Sciences de la nutrition
      • 30.27 Biologie humaine
      • 30.32 Sciences de la mer
    • 40. Sciences physiques
      • 40.01 Sciences physiques (général)
      • 40.02 Astronomie et astrophysique
      • 40.04 Sciences atmosphériques et météorologie
      • 40.05 Chimie
      • 40.06 Sciences géologiques et de la Terre/géosciences
      • 40.08 Physique
      • 40.10 Sciences des matériaux
      • 40.99 Sciences physiques (autres)
  • 08 - Mathématiques, informatique et sciences de l'information
    • 11. Informatique, sciences de l'information et services de soutien connexes
      • 11.01 Informatique, sciences de l'information et services de soutien connexes (général)
      • 11.02 Programmation informatique
      • 11.03 Traitement des données — Technologue/Technicien
      • 11.04 Sciences de l'information/Études sur l'information
      • 11.05 Analyse de systèmes informatiques/Analyste de systèmes informatiques
      • 11.06 Entrée des données/Applications micro-informatiques
      • 11.07 Informatique
      • 11.08 Applications liées aux logiciels et aux supports informatiques
      • 11.09 Réseautage de systèmes informatiques et télécommunications
      • 11.10 Technologie informatique/Technologie de l'information — Administration et gestion
      • 11.99 Informatique, sciences de l'information et services de soutien connexes (autres)
    • 25. Bibliothéconomie
      • 25.01 Bibliothéconomie et administration de bibliothèques
      • 25.03 Assistance dans les bibliothèques et les services d'archives
      • 25.99 Bibliothéconomie (autres)
    • 27. Mathématiques et statistique
      • 27.01 Mathématiques
      • 27.03 Mathématiques appliquées
      • 27.05 Statistique
      • 27.99 Mathématiques et statistique (autres)
    • 30. Études multidisciplinaires/interdisciplinaires
      • 30.06 Théorie et science des systèmes
      • 30.08 Mathématiques et informatique
      • 30.30 Science computationnelle
  • 09 - Génie
    • 14. Génie
      • 14.01 Génie (général)
      • 14.02 Génie aérospatial, génie aéronautique et génie astronautique/spatial
      • 14.03 Génie agricole
      • 14.04 Génie architectural
      • 14.05 Bio-ingénierie et génie biomédical
      • 14.06 Sciences et génie de la céramique
      • 14.07 Génie chimique
      • 14.08 Génie civil
      • 14.09 Génie informatique
      • 14.10 Génie électrique, génie électronique et génie des communications
      • 14.11 Génie de la mécanique appliquée
      • 14.12 Génie physique/physique appliquée
      • 14.13 Science de l'ingénierie
      • 14.14 Génie de l'environnement et de l'hygiène du milieu
      • 14.18 Génie des matériaux
      • 14.19 Génie mécanique
      • 14.20 Génie métallurgique
      • 14.21 Génie minier
      • 14.22 Architecture navale et génie maritime
      • 14.23 Génie nucléaire
      • 14.24 Génie océanique
      • 14.25 Génie pétrolier
      • 14.27 Génie des systèmes
      • 14.28 Sciences et génie des textiles
      • 14.32 Génie de la plasturgie/génie des polymères
      • 14.33 Génie de la construction
      • 14.34 Génie forestier
      • 14.35 Génie industriel
      • 14.36 Génie manufacturier
      • 14.37 Recherche opérationnelle
      • 14.38 Génie de l'arpentage (géomatique, géodésique)
      • 14.39 Génie géologique/géophysique
      • 14.40 Sciences du papier et génie papetier
      • 14.41 Génie électromécanique
      • 14.42 Mécatronique, robotique et génie de l’automatisation
      • 14.43 Génie biochimique
      • 14.44 Chimie appliquée
      • 14.45 Génie biologique/génie des biosystèmes
      • 14.99 Génie (autres)
    • 15. Techniques/technologies du génie et domaines liés au génie
      • 15.00 Techniques/technologie du génie (général)
      • 15.01 Génie architectural - technologue/technicien
      • 15.02 Génie civil - technologue/technicien
      • 15.03 Génie électrique et génie électronique - technologue/technicien
      • 15.04 Utilisation et entretien d'instruments et d'appareils électromécaniques - technologue/technicien
      • 15.05 Contrôle de l'environnement - technologue/technicien
      • 15.06 Production industrielle - technologue/technicien
      • 15.07 Contrôle de la qualité et sécurité - technologue/technicien
      • 15.08 Technologie et techniques liées au génie mécanique
      • 15.09 Exploitation minière et exploitation pétrolière - technologue/technicien
      • 15.10 Génie construction - technologue/technicien
      • 15.11 Technologies liées au génie
      • 15.12 Génie informatique - technologue/technicien
      • 15.13 Conception et dessin technique - technologue/technicien
      • 15.14 Génie nucléaire - technologue/technicien
      • 15.15 Domaines liés au génie
      • 15.16 Nanotechnologie
      • 15.99 Techniques/technologies du génie et domaines liés au génie (autres)
  • 10 - Architecture
    • 04. Architecture et services connexes
      • 04.02 Architecture (B.Arch., B.A.,  B.S., B.Sc., M.Arch., M.A., M.S., M.Sc., Ph.D.)
      • 04.03 Planification urbaine, communautaire et régionale
      • 04.04 Design de l'environnement/Architecture
      • 04.05 Architecture d'intérieur
      • 04.06 Architecture de paysage (B.S., B.Sc., B.Sc.A.P., B.A.P., M.S.A.P., M.Sc.A.P., M.A.P., Ph.D.)
      • 04.08 Histoire de l'architecture et critique architecturale
      • 04.09 Technologie de l'architecture/Technicien en architecture
        • 04.0902 Sciences/techniques architecturales et du bâtiment (B.Arch., B.A., B.S., B.Sc., M.Arch., M.A., M.S., M.Sc., Ph.D.)
      • 04.99 Architecture et services connexes (autres)
    • 30. Études multidisciplinaires
      • 30.1201 Préservation historique et conservation (général)
      • 30.1202 Analyse des politiques et gestion des ressources culturelles
  • 11 - Agriculture, ressources naturelles et conservation
    • 01. Agriculture, exploitation agricole et sciences connexes
      • 01.00 Agriculture (général)
      • 01.01 Gestion et affaires agricoles
      • 01.02 Mécanisation agricole
      • 01.03 Gestion et exploitation d'entreprise agricole
      • 01.04 Transformation des produits agricoles et des produits alimentaires
      • 01.05 Services pour les animaux domestiques et de la ferme
      • 01.06 Exploitation et gestion de services d'horticulture
      • 01.07 Agriculture internationale
      • 01.08 Services publics en matière d'agriculture
      • 01.09 Sciences animales
      • 01.10 Science et techniques alimentaires
      • 01.11 Phytologie
      • 01.12 Science des sols
      • 01.99 Agriculture, exploitation agricole et sciences connexes (autres)
    • 03. Ressources naturelles et conservation
      • 03.01 Conservation et recherche des ressources naturelles
        • 03.0103 Études de l'environnement
        • 03.0104 Sciences de l'environnement
      • 03.02 Gestion et politique des ressources naturelles
      • 03.03 Sciences halieutiques et gestion des pêches
      • 03.05 Sciences forestières
      • 03.06 Science et gestion de la faune sauvage, aquatique, et des terre en friche
      • 03.99 Ressources naturelles et conservation (autres)
  • 12 - Médecine
    • 51. Professions dans le domaine de la santé et programmes connexes
      • 51.12 Médecine (M.D.)
  • 13 - Santé autre, parcs, récréation et conditionnement physique
    • 31. Études des parcs, de la récréologie, des loisirs et du conditionnement physique
      • 31.01 Études des parcs, de la récréologie et des loisirs
      • 31.03 Gestion d'installations - parcs, récréologie et loisirs
        • 31.0302 Exploitation et entretien des terrains de golf
      • 31.05 Santé et éducation physique / Conditionnement physique
        • 31.0501 Santé et éducation physique/conditionnement physique (général)
        • 31.0505 Kinésiologie et science de l'exercice
      • 31.99 Études des parcs, de la récréologie, des loisirs et du conditionnement physique (autres)
    • 51. Professions dans le domaine de la santé et programmes connexes
      • 51.00 Services de santé/Services paramédicaux/Sciences de la santé (général)
      • 51.01 Chiropratique (D.C.)
      • 51.02 Troubles de la communication — sciences et services
        • 51.0201 Sciences et troubles de la communication (général)
        • 51.0202 Audiologie/audiologiste
        • 51.0203 Orthophonie/orthophoniste
        • 51.0204 Audiologie/audiologiste et orthophonie/orthophoniste
      • 51.07 Services d'administration/de gestion de la santé et médicale
      • 51.09 Services de diagnostic, d'intervention et de traitement connexes au domaine de la santé
      • 51.10 Sciences/recherche de laboratoire médical/clinique et professions connexes
      • 51.14 Scientifique médical (M.S., M.Sc., Ph.D.)
      • 51.15 Services en santé mentale et sociale et professions connexes
      • 51.19 Ostéopathie (D.O.)
      • 51.21 Podiatrie (D.P.M.)
      • 51.22 Santé publique
      • 51.23 Professions dans les domaines de la réadaptation et de la thérapeutique
      • 51.27 Illustration et informatique médicales
      • 51.31 Diététique et nutrition clinique
        • 51.3101 Diététique/diététiste (R.D.)
        • 51.3102 Nutrition clinique/nutritionniste
      • 51.32 Bioéthique/Éthique médicale
      • 51.33 Médecines alternatives et douces
      • 51.34 Services de soutien dans le domaine des médecines alternatives et douces
      • 51.35 Thérapies corporelles somatiques et services thérapeutiques connexes
      • 51.36 Thérapies par le mouvement et thérapies psychocorporelles
      • 51.37 Thérapies fondées sur l'énergie et la biologie
      • 51.99 Professions dans le domaine de la santé et sciences cliniques connexes (autres)
  • 14 - Services personnels, de protection et de transport
    • 43. Sécurité et services de protection
      • 43.0103 Administration de la justice pénale et de l'application des lois
      • 43.0104 Études de la justice pénale/sécurité
      • 43.0106 Science et technologie judiciaires
      • 43.0107 Justice pénale/sciences policières
      • 43.0111 Criminalistique et science criminelle
      • 43.0116 Expertise judiciaire en informatique et contreterrorisme
      • 43.0117 Enquêtes judiciaires financières et sur les fraudes
      • 43.0302 Gestion des crises/urgences/catastrophes
      • 43.0399 Services de sécurité et de protection, programmes spécialisés (autres)
    • 49. Transport de personnes et de matériel
      • 49.01 Transport aérien
      • 49.02 Transport terrestre
      • 49.03 Transport maritime
      • 49.99 Transport de personnes et de matériel (autres)
  • 15 - Autres
    • 30.99 Etudes multidisciplinaires/interdisciplinaires (autre)
  • 16 - Dentisterie
    • 51. Professions dans le domaine de la santé et programmes connexes
      • 51.04 Dentisterie (D.D.S., D.M.D.)
      • 51.05 Programme de cycle supérieur en dentisterie (Cert., M.S., M.Sc., Ph.D.)
  • 17 - Sciences infirmières
    • 51. Professions dans le domaine de la santé et programmes connexes
      • 51.3801 Sciences infirmières/infirmier autorisé (I.A., A.Sc.Inf., B.S.Inf., B.Sc.Inf., M.S.Inf., M.Sc.Inf.)
      • 51.3802 Sciences infirmières - administration (M.S.Inf., M.S., M.Sc.Inf., M.Sc., Ph.D.)
      • 51.3803 Sciences infirmières/infirmier - santé des adultes
      • 51.3804 Sciences infirmières - anesthésie
      • 51.3805 Sciences infirmières - soins de santé primaires et familiaux
      • 51.3806 Sciences infirmières - soins donnés aux mères, aux enfants et aux nouveaux-nés
      • 51.3807 Sciences infirmières - infirmier sage-femme
      • 51.3808 Sciences infirmières (M.S., M.Sc., Ph.D.)
      • 51.3809 Sciences infirmières - pédiatrie
      • 51.3810 Sciences infirmières - psychiatrie/santé mentale
      • 51.3811 Sciences infirmières - santé publique et santé communautaire
      • 51.3812 Sciences infirmières - salles d'opération et chirurgie
      • 51.3813 Infirmier clinicien spécialisé
      • 51.3814 Sciences infirmières - soins intensifs
      • 51.3815 Sciences infirmières - santé du travail et hygiène du milieu
      • 51.3816 Sciences infirmières - soins en salle d'urgence/centre de traumatologie
      • 51.3817 Enseignement en sciences infirmières
      • 51.3818 Pratique des soins infirmiers
      • 51.3819 Sciences infirmières - soins palliatifs
      • 51.3820 Infirmier clinicien chef
      • 51.3821 Sciences infirmières - gériatrie
      • 51.3822 Sciences infirmières - santé des femmes
      • 51.3823 Infirmier psychiatrique autorisé
      • 51.3899 Infirmiers autorisés, administration en sciences infirmières, recherches en sciences infirmières et soins infirmiers cliniques (autres)
  • 18 - Pharmacie
    • 51. Professions dans le domaine de la santé et programmes connexes
      • 51.2001 Pharmacie (Pharm.D., B.S., B.Sc., B.Pharm.)
      • 51.2002 Pharmacie - administration, politique et réglementation (M.S., M.Sc., Ph.D.)
      • 51.2003 Conception des produits pharmaceutiques et des médicaments (M.S., M.Sc., Ph.D.)
      • 51.2004 Chimie médicale et pharmaceutique (M.S., M.Sc., Ph.D.)
      • 51.2005 Chimie et pharmacognosie des produits naturels (M.S., M.Sc., Ph.D.)
      • 51.2006 Développement des médicaments à l'échelle clinique et industrielle (M.S., M.Sc., Ph.D.)
      • 51.2007 Pharmacoéconomique (M.S., M.Sc., Ph.D.)
      • 51.2008 Pharmacie clinique, hospitalière et de soins gérés (M.S., M.Sc., Ph.D.)
      • 51.2009 Pharmacie industrielle et physique et sciences des produits de beauté (M.S., M.Sc., Ph.D.)
      • 51.2010 Sciences pharmaceutiques
      • 51.2011 Marketing et gestion de produits pharmaceutiques
      • 51.2099 Pharmacie, sciences pharmaceutiques et administration (autres)
  • 19 - Médecine vétérinaire (D.M.V.)
    • 51. Professions dans le domaine de la santé et programmes connexes
      • 51.2401 Médecine vétérinaire (D.M.V.)
      • 51.2501 Sciences vétérinaires / sciences vétérinaires cliniques (général) (Cert., M.S., M.Sc.,PhD)
      • 51.2502 Anatomie vétérinaire (Cert., M.S., M.Sc., Ph.D.)
      • 51.2503 Physiologie vétérinaire (Cert., M.S., M.Sc., Ph.D.)
      • 51.2504 Microbiologie et immunobiologie vétérinaires (Cert., M.S., M.Sc., Ph.D.)
      • 51.2505 Pathologie et biopathologie vétérinaires (Cert., M.S., M.Sc., Ph.D.)
      • 51.2506 Toxicologie et pharmacologie vétérinaires (Cert., M.S., M.Sc., Ph.D.)
      • 51.2507 Médecine et chirurgie vétérinaires — gros animaux, animaux destinés à l’alimentation et chevaux (Cert., M.Sc., Ph.D.)
      • 51.2508 Médecine et chirurgie vétérinaires – petits animaux et animaux de compagnie (Cert., M.S., M.Sc., Ph.D.)
      • 51.2509 Médecine comparée et science des animaux de laboratoire (Cert., M.S., M.Sc., Ph.D.)
      • 51.2510 Médecine vétérinaire préventive, épidémiologie et santé publique (Cert., M.S., M.Sc., Ph.D.)
      • 51.2511 Médecine vétérinaire – maladies infectieuses (Cert., M.S., M.Sc., Ph.D.)
      • 51.2599 Sciences vétérinaires biomédicales et cliniques (Cert., M.S., M.Sc., Ph.D.) (autres)
  • 20 - MBA pour cadre (programmes de 2e et 3e cycles)
    • 52. Commerce, gestion, marketing et services de soutien connexes
      • (spécialement les programmes concentrés pour les cadres)
  • 21 - Programme de MBA régulier (programmes de 2e et 3e cycles)
    • 52. Commerce, gestion, marketing et services de soutien connexes
      • (spécialement les programmes MBA de 2e cycle du secteur régulier)
  • 22 - Optométrie (O.D.)
    • 51. Professions dans le domaine de la santé et programmes connexes
      • 51.17 Optométrie (O.D.)