Confidentialité et protection des renseignements personnels

Nous savons que vos renseignements sont importants pour vous. Nous avons des normes élevées pour assurer la sécurité et la confidentialité de vos renseignements personnels.

Statistique Canada ne divulgue aucun renseignement permettant d’identifier un particulier, un ménage, une entreprise ou une exploitation agricole sans son consentement ou sans que la Loi sur la statistique l’y autorise. Avant leur diffusion, les résultats finaux des enquêtes sont passés au peigne fin pour qu’on ne puisse déduire aucune information des statistiques publiées.

La Loi sur la statistique renferme des dispositions très strictes qui protègent la confidentialité des renseignements recueillis contre tout accès non autorisé. Nous utilisons également des technologies de chiffrement puissantes et un réseau sécurisé afin de maintenir de strictes normes de protection de la vie privée, de sécurité et de confidentialité.

Les employés de Statistique Canada sont tenus de protéger les renseignements confidentiels et s’exposent à des peines sévères pour toute violation du secret professionnel. Seuls les employés qui doivent consulter les dossiers confidentiels dans le cadre de leurs fonctions sont autorisés à en prendre connaissance, sauf dans des situations précises et limitées.

Sur cette page

Divulgations autorisées

Statistique Canada peut diffuser vos renseignements personnels identifiables si vous lui donnez votre consentement écrit. De plus, le statisticien en chef peut autoriser la diffusion de certaines données concernant les entreprises et organismes sans consentement, mais uniquement dans des situations précises et limitées.

Accords sur la communication de renseignements

Pour réduire le dédoublement des efforts et simplifier le processus pour les répondants, Statistique Canada peut conclure des accords sur la communication de renseignements avec des ministères et organismes gouvernementaux ou des sociétés pour diffuser les renseignements recueillis dans le cadre des enquêtes. Statistique Canada a des accords avec plus de 100 organismes.

Si Statistique Canada a l’intention de divulguer les renseignements à d’autres, il doit en informer les répondants de l’enquête à la collecte de ces données. Si un répondant s’oppose à cette divulgation, nous ne partagerons pas son information.

Chaque organisme qui reçoit des données de Statistique Canada doit accepter de se conformer aux modalités précises liées à l’accès, à la confidentialité et à la sécurité des renseignements qu’il reçoit. Apprenez-en davantage sur les obligations et devoirs des organismes destinataires.

Données administratives

Les données administratives sont des renseignements recueillis par des organismes gouvernementaux ou par des entreprises privées pour leur propre utilisation. Par exemple, cela pourrait inclure des dossiers fiscaux, des dossiers médicaux et des opérations commerciales. En utilisant ces données existantes, nous pouvons réduire le nombre d’enquêtes que nous menons, ce qui signifie moins de travail pour les Canadiennes et Canadiens. Cela nous permet aussi d’économiser de l’argent, de travailler de façon plus efficace et d’améliorer la qualité et la rapidité de nos rapports statistiques. Ces données sont utilisées seulement pour créer des statistiques ou mener des recherches.

Couplage de microdonnées

Pour réduire le fardeau de réponse et améliorer la qualité et la cohérence des données, Statistique Canada pourrait combiner les renseignements recueillis dans le cadre d’une enquête avec ceux provenant d’autres enquêtes ou de sources administratives. Nous faisons aussi le couplage de différents fichiers administratifs. Les répondants sont avisés que leurs réponses pourraient être combinées à d’autres données d’enquête ou à des données administratives. Apprenez-en davantage sur le couplage de microdonnées.

Principes de la protection des renseignements personnels

Lors de la collecte de renseignements, Statistique Canada adhère à 10 principes de protection de la vie privée. Statistique Canada a élaboré l’évaluation des facteurs relatifs à la vie privée, un processus qui lui permet d’évaluer les risques que posent la collecte, l’utilisation ou la divulgation de renseignements personnels en matière de protection de la vie privée, de confidentialité et de sécurité ainsi que d’élaborer des mesures visant à réduire et à éliminer les risques décelés. Pour en savoir plus, consultez la Directive sur les évaluations des facteurs relatifs à la vie privée de Statistique Canada.

Information recueillie en vertu de la Loi sur les déclarations des personnes morales

En plus de son mandat principal, Statistique Canada est également responsable de l’application de la Loi sur les déclarations des personnes morales, qui a été adoptée dans le but de surveiller l’étendue du contrôle étranger des sociétés canadiennes. L’information recueillie en vertu de la Loi sur les déclarations des personnes morales constitue le seul cas où Statistique Canada est autorisé à divulguer certains renseignements non financiers concernant des sociétés particulières.

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Les données administratives : Pourquoi elles sont importantes pour vous

Les données administratives : Pourquoi elles sont importantes pour vous (PDF, 844.02 Ko)

Les données administratives : Pourquoi elles sont importantes pour vous
Description - Les données administratives : Pourquoi elles sont importantes pour vous

Statistique canada obtient des données administratives d’organismes gouvernementaux et du secteur privé. ces données sont essentielles à la production de statistiques officielles et exactes sur :

  • Les finances : Aident à déterminer l’indice des prix à la consommation, qui a une incidence sur les canadiens en ce qui a trait aux pensions, aux salaires, aux indexations des contrats et aux pensions alimentaires.
  • Le logement : Donnent de l’information sur la façon dont on peut améliorer les programmes de logement pour offrir aux canadiens des logements à prix plus abordable.
  • La santé et le bien-être : Aident à déterminer les risques pour la sécurité, connus et émergents, et permettent de réduire le nombre de décès évitables au canada.
  • L’infrastructure : Complètent les données d’enquête pour déterminer si les collectivités canadiennes ont besoin de plus d’écoles, de garderies, de transport en commun, etc.

C’est la loi. On vous le garantit.

  • Confidentialité : On assure la protection de votre vie privée et de vos renseignements personnels.
  • Qualité : Les données sont d’une plus grande exactitude et nous donnent un aperçu plus complet de notre société et de notre économie.
  • Sécurité : Statistique canada garde vos renseignements confidentiels en sécurité.

Statistique Canada : Éclairer grâce aux données, pour bâtir un Canada meilleur.

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La santé mentale des jeunes : Trucs pour garder l’équilibre

Êtes-vous capable de profiter de la vie? Avez-vous envie d’essayer de nouvelles choses, de prendre des risques? Vous sentez-vous outillé pour faire face aux moments difficiles? Si vous avez répondu oui à ces questions, vous allez plutôt bien. Si vous avez répondu non, voici quelques trucs à mettre en application dès maintenant pour vous ressourcer et prendre soin de votre santé mentale.

Dépolluez vos pensées

Êtes-vous du genre à vous dire que vous êtes nul, pas à la hauteur ou que vous ne méritez pas d’être aimé? Pour arrêter ce flot de pensées négatives, cessez de vous comparer et de vous approprier les jugements des autres envers vous. Dressez plutôt une liste de vos qualités et cultivez-les. Félicitez-vous pour vos efforts, vos forces et vos succès, et adoptez cette attitude envers votre entourage. Une petite tape dans le dos de temps à autre, ça fait du bien.

Adoptez de saines habitudes de vie

Vous manquez d’énergie? Pourquoi ne pas commencer par mieux manger. Allez-y avec la règle du 80/20 : 80 % de fruits et légumes pour 20 % de protéines. Pour donner du pep à votre assiette, pensez aux épices et aux fines herbes!

L’exercice contribue également à vous maintenir en bonne santé physique et mentale. Seulement 1 personne de 18 à 34 ans sur 5 atteint les 150 minutes d’activité physique recommandées chaque semaine1? Qu’à cela ne tienne : faites partie des gens actifs, votre corps et votre esprit vous remercieront!

En société, fermez votre appareil

Vous en avez assez de parler à quelqu’un qui texte et ne vous écoute pas? Pourquoi ne pas devenir un exemple à suivre? Ne consultez pas votre téléphone ou votre tablette en présence des autres à moins d’avoir à organiser quelque chose. Si c’est le cas, excusez-vous pour quelques minutes et redonnez votre entière attention à vos interlocuteurs.

Vous êtes réunis pour un party? Profitez-en pleinement et n’ayez pas peur de parler de tout et de rien ou de proposer des jeux. Qui sait où vous mèneront vos amitiés et vos fous rires!

Donnez de votre temps

Vous êtes interpellé par des injustices en ce monde? Quelle pourrait être votre humble contribution pour faire changer les choses? Comme 69 % des jeunes de 15 à 24 ans, devenez membres d’un groupe, d’une organisation ou d’une association2. Impliquez-vous dans une cause ou trouvez quelque chose à faire pour votre quartier, vos amis, votre entourage ou même un étranger. Agir pour améliorer le monde fait le plus grand bien, car vous faites partie de la solution! De surcroît, si vous unissez votre force à celle des autres, vous ferez carrément des miracles!

Reposez-vous

Vous êtes fatigué? La vie moderne gruge souvent de précieuses minutes de sommeil. La lumière bleue des écrans que vous regardez empêche la production de mélatonine, qui vous indique qu’il est temps de vous mettre au lit. Certains appareils offrent le réglage sans lumière bleue. Le mieux à faire est cependant d’abandonner l’idée de regarder ces écrans une heure avant le coucher.

Relevez le défi et vous verrez une différence!

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La santé mentale des jeunes : Se comprendre pour mieux réussir

La santé mentale des jeunes : Se comprendre pour mieux réussir

Si vous faites partie des milléniaux, vous baignez depuis votre plus tendre enfance dans la technologie de l'information et votre réalité est bien différente de celle de vos parents au même âge. Vous passez beaucoup de temps sur les appareils mobiles, Internet et les médias sociaux et vous vous questionnez peut-être sur leurs effets sur votre santé et la place qu'ils devraient occuper dans votre vie.

S'adapter dans un monde en changement

Le recours accru à la technologie pose en effet de nouveaux défis. La dépendance aux jeux vidéo ou aux médias sociaux est un problème grandissant, tout comme l'intimidation qui prend maintenant plusieurs formes. Chez les jeunes de 15 à 34 ans, 15 % disent avoir subi de la cyberintimidation ou du cyberharcèlement au cours des cinq dernières années1.

Parallèlement, les jeunes doivent s'adapter à de nombreuses situations comme le divorce de leurs parents, les familles monoparentales ou recomposées et l'éloignement en raison des études. Ils évoluent dans un environnement très compétitif et peuvent s'imposer une pression de performance quant aux études ou aux attentes de leurs parents ou de leur employeur. Lorsque s'ajoutent les ennuis financiers, les changements climatiques, les conflits politiques, le complexe de l'image parfaite, il n'est pas étonnant que certains jeunes éprouvent des difficultés d'adaptation.

Quand les problèmes apparaissent

Dans un tel contexte, de sérieux problèmes de santé mentale peuvent survenir, allant des troubles de l'humeur aux problèmes de consommation, en passant par la dépression et les pensées suicidaires. Environ 50 % des jeunes qui ont été aux prises avec un trouble de l'humeur ont aussi eu des pensées suicidaires au cours de leur vie2. C'est donc dire que si rien n'est fait, les problèmes peuvent se succéder.

L'importance de demander de l'aide

Malgré une certaine ouverture vis-à-vis des problèmes de santé mentale, en parler demeure difficile. À preuve, moins de la moitié des jeunes souffrant de dépression ou de pensées suicidaires ont cherché de l'aide professionnelle3.

Pourtant, si vous vous êtes reconnu ou avez reconnu des proches, plusieurs personnes sont là pour vous écouter et vous aider à y voir plus clair. Ne restez pas isolés avec vos problèmes! Parlez-en à des personnes de confiance, à des professionnels de la santé, à des organismes de prévention du suicide. Acceptez l'aide qui vous est offerte et prenez le temps de vous refaire une santé!

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La santé mentale des jeunes : Trucs pour garder l'équilibre

Vivre en appartement, combien ça coûte?

Comme tant d’autres jeunes, vous étiez sûrement fébriles à l’idée de célébrer votre majorité et d’être enfin libre d’aller où vous voulez, quand vous voulez.

En tant que jeune adulte, vous rêvez peut-être d’acquérir l’indépendance nécessaire pour quitter le nid familial. Mais avez-vous tous les outils pour voler de vos propres ailes? Tandis que vous étudiez en vue de vous intégrer à un milieu de travail compétitif, vous devez aussi gagner de l’argent pour payer vos études et réaliser vos projets. Combien ça coûte tout ça?

Vivre en appartement

Beaucoup de jeunes devront quitter la maison pour aller étudier dans une autre ville. Si c’est votre cas, voici à quoi vous attendre. Au Canada, en 2016, il en coûtait en moyenne 1 002 $ par mois pour un appartement, incluant les frais de loyer, d’électricité, de chauffage, d’eau et autres services. À Montréal, ce montant s’élevait en moyenne à 842 $ par moisNote de bas de page 1. À cela s’ajoutent les frais d’accès Internet et de téléphonie — indispensables aux étudiants — les frais d’assurances, de transport, de scolarité et de matériel scolaire, sans compter l’alimentation. Dans cette dernière catégorie, si vous êtes comme la plupart des ménages canadiens dont le soutien principal a moins de 30 ans, prévoyez environ 7 484 $ par annéeNote de bas de page 2. Lorsqu’on additionne tout ça, il reste peu d’argent pour les loisirs, n’est-ce pas?

Vivre en communauté

Si vous avez la chance de bénéficier de régimes enregistrés d’épargne-études ou de prêts et bourses, vous partez déjà avec une longueur d’avance. Sinon, vous avez probablement un travail à temps partiel ou un emploi d’été pour subvenir à vos besoins. Malgré tout, si vous devez — ou souhaitez — quitter la maison, le choix logique est souvent de partager votre logement avec des colocataires pour amoindrir les coûts. En plus de vous faire épargner, vous réduirez votre empreinte écologique et contribuerez à sauver la planète!

Rester chez vos parents ou retourner vivre avec eux

Vous avez dû emprunter pour vos études? Vous pourriez avoir accumulé une dette moyenne de 14 900 $ à la fin du collégial, de 26 300 $ à la fin du baccalauréat ou encore de 41 100 $ à la fin du doctoratNote de bas de page 3.

Les frais de scolarité et de logement augmentant plus rapidement que le taux d’inflation, partager le même foyer que vos parents plus longtemps ou retourner y vivre pour un temps devient une option intéressante pour réduire vos dépenses et faire des économies. C’était le cas de 63 % des jeunes adultes de 20 à 24 ans en 2016, en hausse par rapport à 58 % en 2001Note de bas de page 4.

Ma communauté - Infographies

Histoire de famille : les couples vivant chacun chez soi

Date de diffusion : 20 février 2019

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Cette infographie présente les résultats de l'Enquête sociale générale sur les familles de 2017. Plus spécifiquement, les personnes âgées de 25 à 64 ans et qui ont dit être en couple avec une personne habitant dans un autre domicile.

Histoire de famille : Sous le même toit avec mes parents!

Date de diffusion : 15 février 2019

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Cette infographie illustre une comparaison entre les données de deux années de l'ESG soit 1995 et 2017. De plus, on y montre la corésidence selon le sexe, différents groupes d'âge ainsi que d'autres variables socio-démographiques.

Les jeunes qui ne travaillent pas, ne suivent pas d'études ni de formation : Que faisaient-ils?

Date de diffusion : 13 février 2019

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Cette infographie observe l'activité principale au cours des 12 derniers mois des jeunes âgés de 15 à 29 ans qui étaient NEET en septembre 2018. L'analyse est fondée sur des questions ajoutées pour un mois seulement à l'Enquête sur la population active en septembre 2018. À ce moment, 11,3 % des jeunes Canadiens âgés de 15 à 29 ans étaient NEET.

Incapacités liées à la santé mentale au Canada, 2017

Date de diffusion : 30 janvier 2019

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Incapacités liées à la santé mentale au Canada tirées de l'Enquête canadienne sur l'incapacité de 2017.

Les jeunes Canadiens : pleins d'espoir, résilients et travaillants

Date de diffusion : 19 décembre 2018

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Tant à l'école qu'au travail, les jeunes du Canada sont pleins d'espoir face à l'avenir, mais sont au courant des obstacles à surmonter. Cette infographie utilise les données de l'enquête Les Canadiens au travail et à la maison de 2016 pour saisir certaines des façons dont les jeunes perçoivent l'école et le travail et s'y retrouvent. Malgré les défis réels auxquels sont confrontés les jeunes Canadiens, ils s'avèrent résilients, pleins d'espoir et conscients des occasions qui s'offrent à eux.

Comment les Canadiens ont dépensé leur argent en 2016

Date de diffusion : 13 décembre 2017

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Cette infographie, qui se fonde sur les données de l'Enquête sur les dépenses des ménages de 2016, donne un aperçu de la façon dont les ménages canadiens ont dépensé leur argent.

Le cyberharcèlement au Canada

Date de diffusion : 4 décembre 2017

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Basée sur les données de l'Enquête sociale générale sur la sécurité des Canadiens, cette infographie examine les cas de cyberharcèlement au Canada par région, âge, sexe et état matrimonial.

Canadiens ayant un emploi, Recensement de la population de 2016

Date de diffusion : 29 novembre 2017

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L'infographie, qui est fondée sur les données du Recensement de 2016, présente les professions pour lesquelles les âges médians sont les moins et les plus élevés ainsi que la proportion des femmes dans diverses professions.

Portrait de la scolarité au Canada, Recensement de la population de 2016

Date de diffusion : 29 novembre 2017

Portrait de la scolarité au Canada, Recensement de la population de 2016

Fondée sur les données du Recensement de 2016, l'infographie suivante dresse un portrait de la scolarité au Canada, y compris le niveau de scolarité de la population en âge de travailler ainsi que des faits saillants sur les peuples autochtones et sur le lieu où les nouveaux arrivants au Canada obtiennent leur diplôme. Cette infographie fournit aussi un aperçu des domaines d'études et des gains des Canadiens selon divers niveaux de scolarité.

Troubles de santé mentale et satisfaction à l'égard de la vie au Canada

Date de diffusion : 6 octobre 2017

Troubles de santé mentale et satisfaction à l'égard de la vie au Canada

À l'aide des données de l'Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes, 2016, cette infographie examine la manière dont les Canadiens perçoivent leur santé mentale, en mettant l'accent sur la satisfaction à l'égard de la vie et les exigences quotidiennes de la vie.

L’arrivée sur le marché du travail : Quelques trucs pour réussir votre entrevue d’embauche

Ça y est, vos études sont terminées! Votre diplôme en main, vous vous préparez à cogner aux portes pour trouver un emploi qui répondra à vos attentes et vous permettra de gagner votre vie.

Si vous possédez un diplôme d’études collégiales ou un baccalauréat, vos chances de décrocher un emploi lié à votre domaine d’études sont élevées (autour de 80 %)Note de bas de page 1. Voici tout de même quelques trucs pour vous aider à y parvenir.

1. Rédigez bien votre C.V.

Pour dénicher un emploi, il faut d’abord être invité à passer une entrevue. Et pour cela, il faut que votre C.V. ressorte du lot. Assurez-vous de bien lire les critères d’embauche (études, compétences et qualités recherchées) et de démontrer que vous répondez à chacun d’eux dans votre C.V. Certains employeurs exigent également que le C.V. soit accompagné d’une lettre de présentation. Ne l’oubliez pas ou votre candidature pourrait être rejetée!

2. Arrivez bien préparé

Renseignez-vous sur l’entreprise, le secteur d’activité, la concurrence. Questionnez-vous sur vos motivations à travailler pour cette entreprise et sur ce que votre expertise et vos idées peuvent lui apporter. Rien de tel pour augmenter la confiance en soi et pour se sentir prêt à répondre aux questions. De plus, cela démontre à votre futur employeur que vous avez un réel intérêt pour le poste convoité et que vous avez à cœur le succès de l’entreprise.

3. Soignez votre apparence

Bien qu’on dise que l’habit ne fait pas le moine, une apparence soignée ouvre tout de même quelques portes. Cela dit, sachez vous adapter au milieu de travail visé. Rien ne sert, en effet, d’arriver en complet-cravate ou en tailleur à l’allure stricte si vous postulez pour un emploi dans le domaine du jeu vidéo. À l’inverse, si vous cherchez à vous faire embaucher dans une banque ou à la réception d’un grand hôtel, peut-être vaudrait-il mieux adopter un look plus classique.

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L’arrivée sur le marché du travail : En quelques chiffres

L'arrivée sur le marché du travail : En quelques chiffres

Enfin, l'école est finie! Vous vous préparez à vous joindre pour de bon au monde du travail. Certains s'en réjouissent, trop heureux de pouvoir enfin gagner leur vie et réaliser leurs projets. Pour d'autres, par contre, cela peut être source d'incertitude. Combien de temps ça va me prendre pour trouver un emploi? Vais-je réussir à me faire embaucher dans mon domaine? Si je poursuis mes études, aurai-je plus de chances d'y arriver?

Voilà beaucoup de questions qui se bousculent dans votre tête, et auxquelles nous allons tenter de répondre grâce à nos données d'enquête.

Taux de chômage en baisse

Le taux de chômage des jeunes Québécois de 25 à 29 ans est en baisse ces dernières années. En effet, il est passé de 9,0 % en 2014 à 8,2 % en 2015 et à 7,4 % en 2016Note de bas de page 1. Comme vous ne souhaitez sûrement pas vous retrouver au chômage après la fin de vos études, surtout au moment de commencer à rembourser vos prêts, voilà qui devrait vous réjouir.

Trois ans tout au plus pour dénicher un emploi

La majorité (90 % et plus) des diplômés des collèges et des universités qui décident de ne pas poursuivre leurs études trouvent un emploi dans les trois ans suivant l'obtention de leur diplôme. La différence se situe toutefois dans la rémunération. Le salaire annuel médian pour un emploi à temps plein varie entre 41 600 $ pour les diplômés du collégial et 75 000 $ pour ceux du doctoratNote de bas de page 2.

Repousser l'entrée sur le marché du travail

Si, malgré les statistiques, vous éprouvez toujours de la difficulté à vous faire embaucher, peut-être songerez-vous à retourner aux études dans l'espoir que cela vous aide à trouver du travail. Ça pourrait en valoir la peine! En 2014, chez les hommes et les femmes possédant un diplôme universitaire, le fait d'avoir complété un autre programme postsecondaire après l'obtention de leur diplôme était généralement associé à des taux d'emploi plus élevés, ainsi qu'à des salaires hebdomadaires plus élevésNote de bas de page 3.

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Faire un choix de carrière, pas facile : Qu’en disent les chiffres?

Vous êtes jeune et un peu désemparé devant la panoplie de choix qui s'offrent à vous? Vous vous demandez quelle formation suivre pour vous accomplir? Vous n'êtes pas seul.

Voici ce que les données de Statistique Canada nous révèlent sur vous:

Les études postsecondaires vous intéressent comme jamais

Vous avez 19 ans? Savez-vous que 24 % des jeunes de votre âge fréquentent un collège? Si vous avez 21 ans, vous pourriez être parmi les 5 % de jeunes qui prennent part à un programme de formation d'apprenti pour occuper un emploi où le travail manuel est à l'honneur ou, encore, parmi les 36 % qui poursuivent des études universitaires pour satisfaire leur soif de connaissances dans les domaines qui les passionnentNote de bas de page 1.

Certains domaines vous attirent plus qu'avant

Bien des choses ont changé en 20 ans et le choix d'un domaine d'études n'y fait pas exception. À l'université, vous êtes moins nombreux et nombreuses à vous inscrire en sciences humaines et en éducation. Ce sont plutôt la santé, chez les femmes, et le génie et l'architecture, chez les hommes, qui ont davantage la cote aujourd'huiNote de bas de page 2.

Les femmes sont moins nombreuses qu'il y a 10 ans à étudier pour devenir coiffeuse, esthéticienne ou éducatrice de la petite enfance. Vous êtes par contre plus nombreuses à vous inscrire dans un programme qui vous permettra de travailler dans les services alimentaires et comme électricienneNote de bas de page 3.

Il vous arrive de changer d'idée en cours de route

Comme le dit le vieil adage : « Il n'y a que les fous qui ne changent pas d'idée ». Si vous songez à retourner aux études, à vous réorienter, c'est aussi le cas de près d'un diplômé universitaire sur quatreNote de bas de page 4. D'ailleurs, parmi les personnes qui ont récemment commencé une formation d'apprenti pour exercer un métier, 17 % avaient déjà un diplôme collégial et un peu plus de 5 %, un diplôme universitaireNote de bas de page 5.

Comme vous le voyez, les enquêtes de Statistique Canada permettent de suivre votre évolution pour en informer tous les Canadiens afin de les aider dans leurs propres choix de vie.

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Faire un choix de carrière, pas facile: Quelques conseils pour faire un choix éclairé

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« Qu'est-ce que je vais faire dans la vie? » Voilà la question existentielle que vous vous êtes sans doute posée à maintes reprises à partir du secondaire. Il fallait choisir les bonnes matières pour être accepté dans le programme voulu. Tous ces choix pouvaient définir votre carrière, et même le reste de votre vie! Le choix de carrière en est un qui pèse lourd, en effet, car il fera votre bonheur ou pas. Pour être heureux, il faut faire ce que vous aimez. Mais est-ce que ça va vous permettre de gagner votre vie? En plus de vous questionner sur vos valeurs et vos aspirations, voici quelques conseils pour vous aider à faire le bon choix.

Renseignez-vous sur le salaire

L'argent étant un mal nécessaire, il n'est pas étonnant que le choix de carrière tienne compte de ce facteur important. Quels sont les domaines qui rapportent le plus? Les sciences, les technologies, le génie et les mathématiques rapportent plus (23,9 % de plus pour les bacheliers et 11,5 % de plus pour les bachelières) que la santé, les arts, le commerce, les sciences humaines, l'éducation et les sciences sociales. Cela ne veut pas dire que ces domaines ne sont pas payants. Les soins infirmiers, par exemple, ont quand même la cote côté salaire chez les jeunes bacheliers, avec des gains annuels médians de 75 245 $ pour un emploi à temps pleinNote de bas de page 1.

Pensez aux débouchés sur le marché du travail

Même s'il faut naturellement privilégier quelque chose qu'on aime, penser aux débouchés peut s'avérer salutaire. Dans la société vieillissante actuelle, on constate évidemment une forte demande de compétences dans le domaine des soins de santé. Mais des débouchés existent également dans d'autres secteurs, notamment ceux des services professionnels, scientifiques et techniques; de la gestion de sociétés et d'entreprises; du commerce de gros; des services administratifs, de soutien, de gestion des déchets et d'assainissement; et de la finance et des assurancesNote de bas de page 2.

Questionnez-vous sur votre besoin d'équilibre

La flexibilité est un facteur à considérer pour ceux et celles qui recherchent l'équilibre entre le travail et la vie personnelle. Si c'est votre cas, voici quelques questions à vous poser : L'emploi que vous convoitez requiert-il de faire du travail par quart? Se prête-t-il ou non au télétravail? Êtes-vous prêt à faire des heures supplémentaires sur une base régulière ou sans préavis?

Renseignez-vous auprès des gens qui pratiquent le métier

Vous voulez être ergothérapeute, psychologue, journaliste, preneur de son, électricien ou pompier? Rien de tel que de discuter avec les gens qui pratiquent le métier ou la profession que vous convoitez pour vous faire une idée concrète de ce que seront vos journées. Certains milieux de travail tiennent des journées « portes ouvertes » pour les étudiants : voilà une excellente occasion à saisir pour en apprendre davantage.

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