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L’énergie est essentielle pour presque tous les aspects de la société canadienne. Les ménages canadiens consomment de l’énergie pour chauffer, climatiser et éclairer leurs maisons, chauffer l’eau et faire fonctionner les électroménagers, par exemple les cuisinières, les réfrigérateurs et d’autres appareils, comme les téléviseurs et les ordinateurs. La quantité d’énergie consommée dans un logement est fonction de nombreux facteurs, notamment les conditions climatiques, le prix des combustibles, la taille du ménage, ainsi que l’âge, le type de construction et la taille du logement.

Les émissions de polluants atmosphériques et de gaz à effet de serre sont des sous-produits de la production et de la consommation d’énergie et ont un impact sur l’environnement. Les ménages peuvent choisir de réduire leur empreinte écologique en diminuant leur consommation d’énergie, ce qui peut aussi réduire leurs factures d’énergie.

Il existe plusieurs moyens que peuvent prendre les ménages pour réduire leur consommation d’énergie. L’utilisation de thermostats programmables, d’ampoules fluorescentes compactes (AFC) et de séchoirs à linge peut contribuer à réduire la quantité d’énergie que consomme le ménage. Par ailleurs, des changements matériels au logement, par exemple l’installation de systèmes de chauffage et de climatisation plus efficaces, l’amélioration de l’isolation du logement et le calfeutrage des fenêtres, sont d’autres façons de réduire la consommation d’énergie.

Systèmes et combustibles de chauffage

Les fournaises étaient le principal type de système de chauffage utilisé par les ménages canadiens en 2011 (57 %), suivies par les plinthes électriques (27 %) et les chaudières (5 %) (graphique 1).

Le type principal de système de chauffage utilisé par les ménages fluctuait en fonction de la province (tableau 1). Alors que les fournaises étaient principalement utilisées en Ontario et dans les provinces des Prairies, les plinthes électriques étaient utilisées par un plus fort pourcentage de ménages au Québec (66 %), à Terre-Neuve-et-Labrador (56 %) et au Nouveau-Brunswick (48 %). Les chaudières étaient utilisées plus fréquemment pour chauffer les maisons à l’Île-du-Prince-Édouard (42 %).

Le type de combustible de chauffage utilisé dépend du type de système de chauffage utilisé. En 2011, 50 % des maisons canadiennes étaient chauffées au gaz naturel, suivi par l’électricité (39 %) (tableau 2). L’utilisation du gaz naturel pour chauffer les maisons prédominait en Ontario, dans les provinces des Prairies et en Colombie-Britannique, tandis que les ménages du Québec, Terre-Neuve-et-Labrador et Nouveau-Brunswick utilisaient principalement l’électricité. Les ménages des provinces de l'Île-du-Prince-Édouard et de la Nouvelle-Écosse chauffaient leur logement principalement au mazout léger.

Unités d’énergie

L’énergie est mesurée en unités appelées joules (J). Étant donné qu’un joule représente une quantité relativement petite d’énergie, la consommation d’énergie est souvent décrite en gigajoules (1 x 109 J ou 1 000 000 000 J), soit GJ, et en térajoules (1 x 1012 J ou 1 000 000 000 000 J), soit TJ. Afin de mettre les choses en perspective : 

  1. 4 184 joules sont nécessaires pour augmenter d’un degré Celsius la température d’un litre d’eau.
  2. Les bombonnes de propane qui alimentent la plupart des barbecues au propane contiennent environ 9 kg de propane, soit environ 0,45 GJ d’énergie.
  3. 1 GJ correspond à l’énergie d’un peu plus de 2 bombonnes de propane comme celles utilisées pour la plupart des barbecues au gaz.
  4. Le contenu d’un réservoir d’essence de 30 litres représente environ 1 gigajoule.
  5. 1 TJ correspond à un peu plus de 2 200 bombonnes de propane.

Consommation d’énergie

La quantité d’énergie consommée à la maison est fonction d’un nombre de facteurs qui peuvent changer avec le temps et d’une région à l’autre. Par exemple, les différences dans le climat auront une incidence sur la quantité d’énergie requise pour chauffer et climatiser les maisons. C’est pourquoi il faut faire preuve de prudence dans les comparaisons d’une année à l’autre et d’une région à l’autre.

En 2011, les ménages canadiens ont consommé 1 425 185 TJ d’énergie à la maison 1 , une augmentation de 56 230 TJ ou de 4 % par rapport à 2007 2  (tableau 3-1). Les plus fortes augmentations de l’utilisation totale d’énergie ont eu lieu en Ontario et en Alberta, où la consommation d’énergie a haussé de 26 622 TJ (5 %) et de 18 173 TJ (11 %) respectivement.

À l’instar de 2007, le gaz naturel (45 %) et l’électricité (38 %) étaient les sources d’énergie les plus utilisées par les ménages en 2011.

Alors que la consommation d’énergie totale des ménages canadiens a augmenté de 2007 à 2011, la quantité d’énergie utilisée par chaque ménage est demeurée relativement la même. En 2011, les ménages canadiens ont utilisé en moyenne 105 GJ d’énergie par ménage (tableau 3-2), comparativement à 106 GJ en 2007. Au cours de cette période, le nombre de ménages au Canada a haussé de 5 %.

À l’échelon provincial, les ménages à l’Île-du-Prince-Édouard ont enregistré la plus importante hausse de la consommation d’énergie, utilisant en moyenne 19 GJ de plus par ménage en 2011 par rapport à 2007; soit une augmentation de 15 %. L’Île-du-Prince-Édouard (142 GJ) et l’Alberta (130 GJ) ont affiché les consommations moyennes d’énergie les plus élevées par ménage en 2011.

Électricité

Les ménages utilisent l’électricité pour le chauffage, l’éclairage et l’alimentation des électroménagers et des appareils électroniques. Trente-huit pourcent de l’énergie totale utilisée par les ménages canadiens était sous forme d’électricité. Au total, 547 096 TJ d’électricité ont été consommés dans les maisons en 2011, ce qui représente une hausse de 5 % par rapport à 2007. Toutefois, le taux moyen est demeuré le même; 40 GJ d’électricité ont été utilisés par ménage à la fois en 2011 et en 2007.

Les ménages en Alberta ont augmenté de 11 226 TJ leur consommation d’électricité en 2011 comparativement à 2007, soit une augmentation de 33 %; cela équivaut à une hausse de 5 GJ par ménage.

L’électricité était la principale source d’énergie utilisée au Québec, au Nouveau-Brunswick et à Terre-Neuve-et-Labrador. La consommation moyenne d’électricité par ménage était la plus élevée au Québec (60 GJ), suivi de près par Terre-Neuve-et-Labrador (58 GJ).

Gaz naturel

Le gaz naturel peut servir au chauffage de la maison et de l’eau, mais aussi à l’alimentation en énergie de gros électroménagers, comme les cuisinières, les sécheuses et les barbecues. Le gaz naturel était la principale source d’énergie à la maison, comptant pour 45 % de la consommation totale d’énergie des ménages. Les ménages canadiens ont utilisé au total 639 203 TJ de gaz naturel dans leurs maisons en 2011, soit une augmentation de 9 % par rapport à 2007. Les ménages utilisant le gaz naturel en ont consommé en moyenne 92 GJ par ménage.

Le gaz naturel était la principale source d’énergie des ménages en Alberta (72 %), en Saskatchewan (68 %), en Ontario (62 %) et en Colombie-Britannique (54 %).

Autres combustibles

Le bois est souvent utilisé comme source de chauffage d’appoint. En 2011, 6 % des ménages canadiens ont utilisé le bois et les granulés de bois comme principale source de chauffage de la maison (tableau 2). Les ménages utilisant cette source d’énergie en ont consommé en moyenne 88 GJ par ménage en 2011, ce qui représente une réduction par rapport à 101 GJ par ménage en 2007.

Le mazout de chauffage a compté pour 62 773 TJ de la consommation d’énergie des ménages en 2011, soit une diminution de 14 000 TJ (18 %) par rapport à 2007. Cette diminution de l’utilisation du mazout de chauffage à titre de source d’énergie à la maison peut être liée au coût. En effet, les prix moyens du mazout de chauffage au Canada ont augmenté de plus de 30 % 3  au cours des cinq dernières années. Alors que moins de ménages ont utilisé le mazout de chauffage en 2011 comparativement à 2007, le taux de consommation moyen a augmenté de 3 GJ par ménage.

Le propane était utilisé comme principal combustible de chauffage par 1 % des ménages en 2011. Les ménages utilisant le propane pour chauffer leurs maisons en ont consommé en moyenne 20 GJ par ménage.

Énergies de remplacement

Les sources d’énergie de remplacement, comme l’énergie solaire et éolienne, étaient utilisées par 171 505 ménages (1,3 %) en 2011.

Consommation d’énergie, selon les caractéristiques du ménage et du logement

La quantité d’énergie consommée par un ménage est fonction de nombreux facteurs, dont le type et la taille du logement, la qualité et l’état de l’isolation, des fenêtres et des portes ainsi que le nombre d’occupants. Les ménages qui comptent de nombreux membres consomment peut-être davantage d’électricité pour le chauffage de l’eau (plus de douches et de bains), la cuisson (plus préparation alimentaire) et les appareils de divertissement au foyer (plus de téléviseurs et d’autres appareils électroniques).

En 2011, les ménages d’une personne ont consommé en moyenne 72 GJ d’énergie à la maison, comparativement à 149 GJ pour les ménages de cinq personnes ou plus (tableau 4-1). Cependant, la quantité d’énergie consommée par personne était plus faible dans les ménages comptant de nombreux membres que dans les ménages d’une personne. Une personne vivant seule a utilisé 40 GJ de plus en 2011 que celle dans un ménage de quatre personnes (graphique 2).

En moyenne, les logements plus petits utilisent moins d’énergie que les logements plus grands. Les logements dont la superficie chauffée 4  est inférieure à 55 m2 (600 pi2) ont utilisé en moyenne 52 GJ, comparativement à 161 GJ pour les logements ayant une superficie chauffée de 231 m2 (2 501 pi2) ou plus (tableau 4-2). Cependant, les logements plus petits ont consommé plus d’énergie par mètre carré que les logements plus grands : 1,09 GJ/m2 pour ceux occupant une superficie de moins de 55 m2, comparativement à 0,55 GJ/m2 pour les logements dont la superficie chauffée est de 231 m2 ou plus.

À l’instar des résultats de 2007, les personnes vivant en appartement ont consommé moins d’énergie que celles vivant dans un logement individuel non attenant : 40 GJ par ménage comparativement à 134 GJ par ménage (tableaux 4-3). Les ménages locataires de leur logement ont utilisé moins d’énergie que les ménages propriétaires de leur logement : 53 GJ par ménage comparativement à 123 GJ par ménage (tableau 4-4). La majorité des ménages locataires vivaient dans des appartements (64 %).

Les ménages vivant dans des logements plus récents utilisaient moins d’énergie par m2 de superficie chauffée que ceux occupant des logements plus vieux (tableaux 4-5). Les méthodes de construction modernes et les changements apportés aux codes du bâtiment, comme une meilleure isolation et des systèmes de chauffage et de climatisation plus efficaces, ont contribué à rendre les logements neufs plus éconergétiques.

L’utilisation d’énergie à la maison augmentait avec le niveau de revenu et de scolarité. Les ménages ayant un revenu annuel de 150 000 $ et plus ont consommé en moyenne 141 GJ d’énergie en 2011, comparativement à 68 GJ d’énergie consommée par les ménages dont le revenu annuel était inférieur à 20 000 $ (tableau 4-6). L’utilisation totale d’énergie était la plus élevée dans les ménages comptant au moins un membre titulaire d’un diplôme universitaire (109 GJ) (tableau 4-7). Cependant, l’intensité énergétique était plus faible pour ces ménages (0,75 GJ par m2) que celle des ménages dont le niveau de scolarité le plus élevé était des études secondaires partielles mais sans diplôme d’études secondaires (0,84 GJ par m2) (tableau 4-7).

Éclairage des ménages

Les ménages canadiens utilisent une variété de types d’ampoules. Les ampoules à incandescence ont tendance à être moins coûteuses, mais sont aussi moins efficaces; près de 90 % de l’énergie utilisée se dissipe sous forme de chaleur 5 . Les ampoules fluorescentes et les ampoules fluorescentes compactes (AFC) sont plus efficaces, utilisant environ un quart de l’énergie de celle des ampoules à incandescence standards, et moins d'énergie est perdue sous forme de chaleur. Les ampoules halogènes sont un type hybride d’ampoule à incandescence, se situant entre les ampoules à incandescence standards et les ampoules fluorescentes pour ce qui est de l’efficacité énergétique.

Les ampoules à incandescence étaient le type d’ampoule le plus fréquemment utilisé par les ménages canadiens en 2011 (graphique 3); ce type d’ampoule a compté pour 41 % 6  du nombre total d’ampoules utilisées, suivi par les AFC (25 %), les ampoules halogènes (22 %) et les ampoules fluorescentes ordinaires (12 %).

En moyenne, 25 ampoules ont été utilisées par ménage en 2011 (tableau 5). Les ménages en Nouvelle-Écosse ont utilisé le moins d’ampoules, avec une moyenne de 22 ampoules par ménage, tandis que ceux en Alberta ont utilisé le plus grand nombre (28 ampoules par ménage).

Pratiques d’économie d’énergie et d’amélioration de l’efficacité énergétique

Les ménages peuvent prendre diverses mesures pour réduire leur consommation d’énergie à la maison. Les pratiques varient des rénovations majeures, comme l’installation de nouvelles fenêtres ou l’achat d’un système de chauffage plus efficace, aux changements mineurs, par exemple l’installation d’un thermostat programmable ou la mise hors tension des écrans d’ordinateur lorsqu’ils ne sont pas utilisés.

Pratiques d’économie d’énergie

L’Enquête sur les ménages et l’environnement et le Supplément sur l’utilisation de l’énergie de l’EME ont recueilli des données sur les pratiques d’économie d’énergie suivantes : 

  1. utiliser des thermostats programmables;
  2. utiliser des ampoules fluorescentes compactes (AFC);
  3. laver le linge à l’eau froide;
  4. éteindre les écrans d’ordinateur lorsqu’ils ne sont pas utilisés;
  5. éteindre la flamme pilote des foyers au gaz l’été;
  6. laisser la vaisselle sécher à l’air dans le lave-vaisselle;

En 2011, 82 % des ménages ont utilisé au moins une de ces pratiques pour conserver l’énergie (tableau 6). Les pratiques de conservation de l’énergie les plus largement utilisées étaient la lessive à l’eau froide et la mise hors tension des écrans d’ordinateur lorsqu’ils ne sont pas utilisés; 58 % des ménages employaient chaque pratique.

Les thermostats programmables étaient utilisés dans 47 % des ménages en 2011 (tableau 6), soit une hausse par rapport à 36 % en 2007. Des remises à l’achat de thermostats programmables étaient offertes dans le cadre de plusieurs programmes provinciaux et programmes de fournisseurs d’énergie.

L’utilisation de l’eau froide pour laver et rincer le linge est une façon de réduire considérablement la consommation d’énergie, car il faut de l’énergie pour chauffer l’eau pour la lessive à l’eau tiède ou à l’eau chaude. Plus de ménages ont utilisé de l’eau froide pour faire la lessive en 2011 par rapport à 2007 (58 % contre 47 %).

Le taux de participation était le plus élevé dans les ménages au Québec, où 73 % d’entre eux ont utilisé de l’eau froide pour laver leur linge. Les ménages dans les provinces de l’Atlantique sont plus susceptibles de faire la lessive à l’eau froide que ceux des provinces des Prairies : Terre-Neuve-et-Labrador (68 %), Île-du-Prince-Édouard (70 %), Nouvelle-Écosse (68 %) et Nouveau-Brunswick (64 %), comparativement au Manitoba (36 %), à la Saskatchewan (42 %) et à l’Alberta (41 %).

Pratiques d’économie d’énergie, selon les caractéristiques du ménage et du logement

Le recours à des pratiques d’économie d’énergie variait selon certaines caractéristiques du ménage et du logement. Par exemple, les ménages ayant des revenus plus élevés et vivant dans des logements individuels non attenants, dont la superficie chauffée était plus grande, avaient tendance à recourir plus souvent à des pratiques éconergétiques.

Au moins une pratique d’économie d’énergie était utilisée par 93 % des ménages ayant cinq membres ou plus, comparativement à 64 % des ménages d’une personne. Les propriétaires de leur logement étaient plus susceptibles d’employer une pratique éconergétique que les locataires. Toutefois, un pourcentage plus élevé de locataires que de propriétaires lavaient leur linge à l’eau froide (66 % contre 56 %) (tableau 7-4).

Électroménagers homologués Energy Star

Energy Star est un symbole reconnu à l’échelle internationale qui indique qu’un produit a fait l’objet d’essais et qu’il est réputé satisfaire ou dépasser des normes d’efficacité énergétique rigoureuses sans compromettre le rendement. L’achat d’électroménagers éconergétiques est un autre moyen que peuvent prendre les ménages pour réduire la quantité d’énergie qu’ils consomment à la maison. En 2011, 71 % des ménages au Canada utilisaient au moins un électroménager Energy Star (tableau 8). L’électroménager Energy Star le plus courant était le réfrigérateur principal, utilisé dans 50 % des ménages, suivi par la laveuse (48 % des ménages).

Pratiques d’amélioration de l’efficacité énergétique

Le Supplément sur l’utilisation de l’énergie de l’EME a recueilli des données sur le type d’améliorations apportées aux logements, y compris : 

  1. l’isolation;
  2. le chauffage, la ventilation et la climatisation;
  3. les portes, les fenêtres, le revêtement extérieur et le calfeutrage;
  4. les fondations;
  5. les structures et les surfaces du toit.

Entre 2008 et 2011, 37 % des ménages propriétaires de leur logement qui n’était pas situé dans un immeuble d’appartements ont apporté au moins une amélioration à leur logement afin d’accroître son efficacité énergétique (tableau 9), une baisse par rapport à 50 % entre 2003 et 2007. Cependant, pour les deux périodes, les pratiques d’amélioration de l’efficacité énergétique les plus répandues étaient les améliorations apportées au matériel de chauffage, de ventilation ou de climatisation et celles aux fenêtres, aux portes, au revêtement extérieur et au calfeutrage.

À l’échelon provincial, 45 % des ménages en Nouvelle-Écosse et au Manitoba ont terminé un projet d’amélioration de l’efficacité énergétique entre 2008 et 2011, suivis par 40 % des ménages en Ontario.

Les améliorations de l’efficacité énergétique étaient plus courantes dans les logements construits entre 1961 et 1977, soit 45 % des ménages qui ont apporté des améliorations à leur logement, tandis qu’il était moins probable que de telles améliorations soient apportées aux logements construits après 1996 (19 %) (tableau 10).

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