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Combustion de résidus de cour en 2009

La combustion de résidus de cour peut produire des matières particulaires et entraîner d'autres formes de pollution atmosphérique pouvant avoir des répercussions négatives sur la santé, en particulier les jours où la qualité de l'air laisse à désirer ²⁷ . En 2009, près des trois quarts des ménages canadiens (73 %) ne vivaient pas en appartement et avaient une cour ou un jardin. Parmi ces ménages, plus d'un sur dix (12 %) ont indiqué avoir brûlé des résidus de cour sur leur terrain, le Québec (18 %) et le Nouveau-Brunswick (17 %) étant les provinces où les proportions de ménages ayant indiqué l'avoir fait étaient les plus élevées. Les ménages dans les grands centres métropolitains ont indiqué moins fréquemment avoir brûlé des résidus de cour puisque cette activité est habituellement interdite dans ces grands centres.