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Les données de l’EGA indiquent que :
- Environ 75 % des exploitations agricoles ayant des zones adjacentes à des étendues d’eau naturelles signalent qu’au moins une partie de ces zones sont couvertes de végétation, généralement permanente.
- Près de 60 % des exploitations agricoles avec bétail au pâturage signalent que leur bétail n’a pas accès aux étendues d’eau de surface. Un peu plus de 90 % précise qu’elles nourrissent le bétail à 100 mètres ou plus de toute étendue d’eau de surface pendant les mois d’hiver.
- Parmi les exploitations agricoles ayant adopté des mesures de conservation des terres humides naturelles, les clôtures et la rotation du pâturage s’avèrent les mesures les plus courantes, appliquées dans 45,5 % et 41,7 % des cas respectivement.
- La majorité des fermes laitières ayant un système d’entreposage du lisier déversent leurs eaux usées de laiterie dans ce système (66,1 % des fermes). Plus la taille des fermes est importante, plus la proportion utilisant le système d’entreposage du lisier pour éliminer leurs eaux usées de laiterie augmente.
- Les asperseurs et les canons d’irrigation constituent les systèmes d’irrigation les plus répandus; les producteurs maraîchers et fruitiers sont les plus grands utilisateurs de systèmes de goutte-à-goutte.
- Environ 36 % des agriculteurs font analyser la qualité de leur eau potable au moins une fois tous les 2 ans. Ce sont les agriculteurs ontariens qui procèdent à ces analyses le plus fréquemment, tout comme les producteurs canadiens de volailles et d’œufs.
- Dans 31 % des exploitations agricoles canadiennes, on a totalement ou partiellement mis en œuvre des meilleures pratiques de gestion (MPG) reliées à l’eau. La majorité des autres exploitations agricoles ont affirmé ne pas connaître ces pratiques ou croire qu’elles ne s’appliquent pas à leurs activités.