En 2022, parmi les 8 millions de Canadiens et Canadiennes de 15 ans et plus ayant une ou plusieurs incapacités, 3,8 millions de personnes (48 %) ont rencontré des obstacles liés à la communication et 1,4 million de personnes (17 %) ont rencontré des obstacles liés à l'utilisation d'Internet au cours des 12 mois ayant précédé l'Enquête canadienne sur l'incapacité (ECI). De plus, en 2024, 46 % des personnes ayant un problème de santé de longue durée ou une incapacité avaient éprouvé des difficultés au cours des trois mois précédents pendant l'utilisation d'appareils technologiques, tels qu'un téléphone intelligent ou un ordinateur portatif, en raison de leur état.
Dans le but d'éclairer la Loi canadienne sur l'accessibilité (LCA), Statistique Canada publie plusieurs produits qui s'appuient sur les données de l'ECI de 2022 et de la Série d'enquêtes sur l'accessibilité – Expériences liées à l'accessibilité et à la technologie de l'information et des communications (SEA-EATIC) de 2024. Ces produits portent sur les obstacles à l'accessibilité, définis par la LCA comme étant tout élément qui empêche les personnes ayant une incapacité de participer pleinement à la société. Ces produits touchent deux domaines prioritaires en ce qui a trait à la détermination, à la prévention et à l'élimination des obstacles : les technologies de l'information et des communications (TIC) et les communications, autres que les TIC.
Deux rapports, intitulés « Obstacles à l'accessibilité liés à la communication : résultats de l'Enquête canadienne sur l'incapacité de 2022 » et « Obstacles à l'accessibilité liés à l'utilisation d'Internet : résultats de l'Enquête canadienne sur l'incapacité de 2022 », ont été diffusés aujourd'hui. Ces rapports mettent l'accent sur la prévalence des obstacles à l'accessibilité liés à la communication et à l'utilisation d'Internet en fonction de diverses caractéristiques liées à l'incapacité et de caractéristiques sociodémographiques. De plus, il est maintenant possible de consulter une infographie et des tableaux de données qui présentent les résultats de la SEA-EATIC sur les expériences des personnes ayant une incapacité ou des problèmes de santé de longue durée en ce qui concerne les obstacles liés aux TIC.
Les obstacles en matière de communication les plus fréquemment cités concernent la communication en personne
En 2022, près de 1 personne ayant une incapacité sur 3 (29 %) a rencontré des obstacles lorsqu'elle communiquait en personne avec les membres de sa famille ou ses amis proches, et plus de 1 personne sur 4 a rencontré des obstacles lorsqu'elle communiquait en personne avec des professionnels de la santé (27 %) ou avec d'autres personnes, comme le public en général, les représentants d'un service à la clientèle ou les représentants du gouvernement (26 %).
Graphique 1 : Obstacles à l'accessibilité liés à la communication, personnes de 15 ans et plus ayant une incapacité, selon la situation, Canada, 2022
Description - Graphique 1
Tableau de données : Obstacles à l'accessibilité liés à la communication, personnes de 15 ans et plus ayant une incapacité, selon la situation, Canada, 2022
Note : Les personnes ont été considérées comme ayant rencontré un obstacle si elles y avaient été confrontées « parfois », « souvent » ou « toujours » au cours des 12 mois ayant précédé l'enquête.
Source : Enquête canadienne sur l'incapacité, 2022 (3251).
Plus de 1 personne ayant une incapacité sur 8 (13 %) au Canada a rencontré des obstacles lors de l'utilisation d'Internet pour accéder en ligne à des renseignements, des services ou des mécanismes de soutien gouvernementaux, et environ 1 personne sur 10 a rencontré des obstacles lors de la prise de rendez-vous, lors de l'obtention de services ou en effecutant des réservations en ligne (11 %) ou pendant l'utilisation de services bancaires ou le magasinage en ligne (9 %).
Graphique 2 : Obstacles à l'accessibilité liés à l'utilisation d'Internet, personnes de 15 ans et plus ayant une incapacité, selon la situation, Canada, 2022
Description - Graphique 2
Tableau de données : Obstacles à l'accessibilité liés à l'utilisation d'Internet, personnes de 15 ans et plus ayant une incapacité, selon la situation, Canada, 2022
Note : Les personnes ont été considérées comme ayant rencontré un obstacle si elles y avaient été confrontées « parfois », « souvent » ou « toujours » au cours des 12 mois ayant précédé l'enquête.
Source : Enquête canadienne sur l'incapacité, 2022 (3251).
Les difficultés à télécharger ou à installer des programmes ou des applications sont les obstacles les plus fréquemment rencontrés pendant l'utilisation d'un téléphone cellulaire
En 2024, près de 3 personnes ayant une incapacité ou un problème de santé de longue durée sur 10 (29 %) ont déclaré avoir rencontré des obstacles pendant l'utilisation de leur téléphone cellulaire au cours des trois mois précédents. Les types de difficultés les plus courants étaient liés au téléchargement ou à l'installation de programmes ou d'applications (12 %), à l'utilisation d'un écran tactile (11 %) et à la manipulation des commandes, telles que les boutons ou les cadrans (10 %).
Au total, 1 personne ayant une incapacité ou un problème de santé de longue durée sur 4 rencontre un obstacle lorsqu'elle effectue des activités de communication en ligne
Au total, 1 personne ayant une incapacité ou un problème de santé de longue durée sur 4 (25 %) a rencontré un obstacle lorsqu'elle effectuait des activités de communication en ligne en 2024. Les trois difficultés les plus couramment rencontrées lors de l'utilisation d'outils liés à la communication étaient un manque d'options de réglage (10 %), la difficulté à accéder aux services de soutien (10 %) et les limites de temps pour accomplir une action (9 %).
Les obstacles à l'accessibilité sont plus fréquemment rencontrés par les personnes ayant une incapacité très sévère et plusieurs types d'incapacité
En 2022, la prévalence des obstacles liés à la communication et à l'utilisation d'Internet augmentait en fonction de la sévérité de l'incapacité et du nombre de types d'incapacité.
Près des deux tiers (65 %) des personnes ayant une incapacité très sévère ont rencontré des obstacles liés à la communication, tandis que le tiers (33 %) des personnes ayant une incapacité légère ont rencontré ce type d'obstacles. De même, 64 % des personnes ayant quatre types d'incapacité ou plus ont rencontré des obstacles liés à la communication, comparativement à 32 % de celles ayant un seul type d'incapacité.
Les obstacles liés à l'utilisation d'Internet ont été rencontrés par 28 % des personnes ayant une incapacité très sévère, comparativement à 9 % de celles ayant une incapacité légère. Près de la moitié (47 %) des personnes ayant quatre types d'incapacité ou plus ont rencontré des obstacles liés à l'utilisation d'Internet, tandis que de tels obstacles ont été rencontrés par 8 % de celles ayant un seul type d'incapacité.
Les personnes ayant des besoins insatisfaits en matière de soutien aux personnes ayant une incapacité ou en matière d'aide pour les activités quotidiennes sont plus susceptibles de rencontrer des obstacles
À l'instar des obstacles à l'accessibilité liés aux espaces publics et aux comportements, aux fausses idées ou aux suppositions, les obstacles liés à la communication et à l'utilisation d'Internet étaient plus courants chez les personnes qui avaient des besoins insatisfaits en matière de soutien aux personnes ayant une incapacité, tels que les aides et appareils fonctionnels personnels, les médicaments ainsi que les thérapies et services de santé. En 2022, les obstacles liés à la communication ont été rencontrés par 57 % des personnes ayant des besoins insatisfaits en matière de soutien aux personnes ayant une incapacité et par 35 % de celles dont les besoins en matière de soutien étaient satisfaits. Les obstacles liés à l'utilisation d'Internet ont été rencontrés par 22 % des personnes ayant des besoins insatisfaits en matière de soutien aux personnes ayant une incapacité et par 10 % de celles dont les besoins en matière de soutien aux personnes ayant une incapacité étaient satisfaits.
De plus, les personnes ayant des besoins insatisfaits en matière d'aide pour les activités quotidiennes étaient plus susceptibles de rencontrer des obstacles liés à la communication (63 %) que celles dont les besoins étaient satisfaits (26 %), et elles étaient plus susceptibles de rencontrer des obstacles liés à l'utilisation d'Internet (39 %) que celles dont les besoins étaient satisfaits (12 %).
Les personnes 2ELGBTQ+ et celles ayant un revenu plus faible sont plus susceptibles de rencontrer des obstacles liés à la communication et à l'utilisation d'Internet
En 2022, plus de 3 personnes 2ELGBTQ+ ayant une incapacité sur 5 (61 %) ont rencontré des obstacles liés à la communication, et 1 personne 2ELGBTQ+ ayant une incapacité sur 5 (20 %) a rencontré des obstacles liés à l'utilisation d'Internet. Parmi les personnes non 2ELGBTQ+ ayant une incapacité, la prévalence de ces obstacles était plus faible : 45 % ont rencontré des obstacles liés à la communication et 17 % ont rencontré des obstacles liés à l'utilisation d'Internet. Une analyse antérieure qui portait sur les personnes 2ELGBTQ+ ayant une incapacité au Canada a révélé que les personnes 2ELGBTQ+ de tous les groupes d'âge rencontraient des obstacles liés à la communication plus fréquemment, tandis que les personnes 2ELGBTQ+ de certains groupes d'âge rencontraient des obstacles liés à l'utilisation d'Internet plus fréquemment et celles de d'autres groupes d'âge les rencontraient à une fréquence comparable.
En outre, les personnes ayant un revenu plus faible ont rencontré des obstacles plus fréquemment que celles ayant un revenu plus élevé. Plus de la moitié (53 %) des personnes ayant une incapacité du quintile de revenu le plus bas ont rencontré des obstacles liés à la communication, comparativement à 43 % des personnes ayant une incapacité du quintile de revenu le plus élevé. De même, les obstacles liés à l'utilisation d'Internet étaient plus fréquemment rencontrés par les personnes ayant une incapacité du quintile de revenu le plus bas (20 %) que par celles du quintile de revenu le plus élevé (14 %).
Les jeunes rencontrent des obstacles à l'accessibilité dans des proportions différentes que les personnes des groupes d'âge plus avancésParmi les personnes ayant une incapacité au Canada, les obstacles à l'accessibilité liés à la communication ont été rencontrés plus fréquemment par les jeunes de 15 à 24 ans (54 %) que par les personnes de 25 à 44 ans (49 %), de 45 à 64 ans (43 %) et de 65 ans et plus (50 %) en 2022.
Graphique 3 : Personnes ayant une incapacité qui ont rencontré des obstacles à l'accessibilité liés à la communication, selon le groupe d'âge, 2022
Description - Graphique 3
Tableau de données : Personnes ayant une incapacité qui ont rencontré des obstacles à l'accessibilité liés à la communication, selon le groupe d'âge, 2022
1. Valeur significativement différente de l'estimation pour la catégorie de référence (p < 0,05).
Source : Enquête canadienne sur l'incapacité, 2022 (3251)
En revanche, les jeunes de 15 à 24 ans étaient moins susceptibles de rencontrer des obstacles liés à l'utilisation d'Internet (15 %) que les personnes de 45 à 64 ans (18 %), mais rencontraient des obstacles liés à l'utilisation d'Internet aussi souvent que les personnes de 25 à 44 ans et de 65 ans et plus.
Graphique 4 : Personnes ayant une incapacité qui ont rencontré des obstacles à l'accessibilité liés à l'utilisation d'Internet, selon le groupe d'âge, 2022
Description - Graphique 4
Tableau de données : Personnes ayant une incapacité qui ont rencontré des obstacles à l'accessibilité liés à l'utilisation d'Internet, selon le groupe d'âge, 2022
1. Valeur significativement différente de l'estimation pour la catégorie de référence (p < 0,05).
Source : Enquête canadienne sur l'incapacité, 2022 (3251).
Lorsqu'on tient compte d'autres facteurs, les personnes ayant des incapacités très sévères étaient trois fois plus susceptibles de rencontrer des obstacles liés à la communication et à l'utilisation d'Internet que celles ayant des incapacités légères en 2022.
De même, les personnes ayant une incapacité qui avaient des besoins insatisfaits en matière de soutien aux personnes ayant une incapacité ou en matière d'aide pour les activités quotidiennes étaient deux fois plus susceptibles de rencontrer des obstacles liés à la communication et à l'utilisation d'Internet après avoir tenu compte d'autres facteurs.
Les personnes ayant une incapacité liée à l'ouïe, au développement et à la santé mentale sont deux fois plus susceptibles de rencontrer des obstacles liés à la communication
En 2022, parmi les personnes de 15 ans et plus ayant une incapacité, la probabilité de rencontrer des obstacles liés à la communication était plus de deux fois plus élevée chez les personnes ayant une incapacité auditive que chez celles n'en ayant pas, lorsqu'on tient compte d'autres facteurs. De même, les personnes ayant une incapacité liée au développement étaient plus de deux fois plus susceptibles de rencontrer des obstacles liés à la communication que celles n'en ayant pas, et celles ayant une incapacité liée à la santé mentale étaient deux fois plus susceptibles de rencontrer des obstacles liés à la communication que celles n'en ayant pas.
Lorsqu'on tient compte d'autres facteurs, les incapacités liées à la dextérité, à l'apprentissage et à la mémoire étaient également associées à des probabilités plus élevées de rencontrer des obstacles liés à la communication, comparativement aux personnes ne présentant pas ces types d'incapacité. En revanche, le fait d'avoir une incapacité liée à la douleur était associé à une probabilité plus faible de rencontrer des obstacles liés à la communication.
Les incapacités liées à la vision, à l'ouïe, à la dextérité, à l'apprentissage, au développement, à la santé mentale et à la mémoire étaient associées à des probabilités plus élevées de rencontrer des obstacles liés à l'utilisation d'Internet, comparativement aux personnes ne présentant pas ces types d'incapacité.
Les jeunes et les personnes 2ELGBTQ+ ayant une incapacité sont plus susceptibles de rencontrer des obstacles à l'accessibilité liés à la communication
En 2022, la probabilité de rencontrer des obstacles à l'accessibilité liés à la communication était plus élevée chez les jeunes que chez les personnes des groupes d'âge plus avancés lorsqu'on tenait compte d'autres facteurs. En revanche, la probabilité de rencontrer des obstacles liés à l'utilisation d'Internet n'était pas significativement différente chez les jeunes et chez les personnes des groupes d'âge plus avancés lorsqu'on tenait compte d'autres facteurs.
Par ailleurs, les personnes 2ELGBTQ+ ayant une incapacité étaient plus susceptibles de rencontrer des obstacles liés à la communication et à l'utilisation d'Internet, ce qui est conforme aux résultats de l'analyse descriptive.
Note aux lecteurs
L'échantillon de l'Enquête canadienne sur l'incapacité (ECI) est sélectionné à partir des répondants du Recensement de la population, ce qui en fait une enquête postcensitaire. Pour obtenir plus de renseignements sur la méthodologie utilisée, consultez la publication Enquêtes et programmes statistiques – Enquête canadienne sur l'incapacité.
Le gouvernement du Canada a adopté le sigle 2ELGBTQI+ pour désigner les personnes bispirituelles, lesbiennes, gaies, bisexuelles, transgenres, queers et intersexes ainsi que celles qui emploient d'autres termes relatifs à la diversité sexuelle ou de genre. Statistique Canada utilise le sigle 2ELGBTQ+ à des fins d'analyse des données, car les renseignements sur les personnes intersexes ne sont pas encore recueillis. Le terme « non 2ELGBTQ+ » est utilisé pour désigner les personnes qui sont à la fois cisgenres (personnes dont le genre déclaré correspond à leur sexe déclaré à la naissance) et hétérosexuelles. Pour en savoir plus, consultez la page Améliorer les données sur les populations 2ELGBTQ+ et le Plan d'action fédéral 2ELGBTQI+ 2022. Dans le cadre de l'ECI, on demande aux répondants d'indiquer leur sexe à la naissance, leur genre (masculin, féminin ou autre) et leur orientation sexuelle (hétérosexuel, lesbienne ou gai, bisexuel ou autre). Dans le cadre de cette analyse, tous les répondants non cisgenres et non hétérosexuels ont été classés dans la population 2ELGBTQ+.
Un score global de sévérité a été créé aux fins de l'ECI, et il a été calculé pour chaque personne en fonction du nombre de types d'incapacité qu'une personne présente, du niveau de difficulté à accomplir certaines tâches et de la fréquence de la limitation des activités. Afin de simplifier le concept de sévérité, quatre classes ont été créées : légère, modérée, sévère et très sévère. Les classes « légère » et « modérée » ont été regroupées sous l'appellation « moins sévère », tandis que les classes « sévère » et « très sévère » ont été regroupées sous l'appellation « plus sévère ». Il est toutefois important de comprendre que le nom attribué à chaque classe a pour seul but de faciliter l'utilisation du score de sévérité et il ne constitue pas une forme d'étiquette ou de jugement du niveau d'incapacité de la personne.
Dans le cadre de l'ECI, des renseignements ont été recueillis sur 27 types d'obstacles à l'accessibilité, touchant quelques domaines prioritaires de la Loi canadienne sur l'accessibilité, soit l'environnement bâti, les communications ainsi que les technologies de l'information et des communications. Ces obstacles ne constituent pas une liste exhaustive des obstacles à l'accessibilité. On a demandé aux répondants s'ils avaient rencontré des obstacles en raison de leur état en utilisant les catégories de réponses « ne s'applique pas », « jamais », « parfois », « souvent » et « toujours ». Les répondants qui ont indiqué rencontrer des obstacles « parfois », « souvent » ou « toujours » ont été classés comme ayant rencontré un obstacle au moins parfois. Pour obtenir plus de renseignements sur les obstacles à l'accessibilité abordés dans le cadre de l'enquête, consultez le questionnaire de l'ECI de 2022.
Les données de la Série d'enquêtes sur l'accessibilité – Expériences liées à l'accessibilité et à la technologie de l'information et des communications (SEA-EATIC) ont été recueillies du 15 octobre au 17 novembre 2024. Les participants à la SEA-EATIC ont été identifiés comme ayant une incapacité au moyen de leur participation à l'ECI de 2022, et certains participants ont continué d'être considérés comme ayant une incapacité en 2024 de la même manière qu'en 2022. Dans le cas de la SEA-EATIC, on a demandé aux répondants d'indiquer s'ils avaient de la difficulté à voir; à entendre; à marcher, à utiliser des escaliers, à se servir de leurs mains ou de leurs doigts ou à faire d'autres activités physiques; à apprendre; à retenir de l'information ou à se concentrer; des difficultés d'ordre émotionnel, psychologique ou de santé mentale; ou une autre forme de difficulté ou de problème de santé de longue durée. Seuls les problèmes de santé qui ont duré ou qui pourraient durer six mois ou plus ont été inclus.
La SEA est une enquête transversale par échantillon. Elle est fondée sur un panel probabiliste composé de personnes qui ont accepté de participer à d'autres études lorsqu'elles ont répondu à l'ECI de 2022. Au moyen de cette méthodologie, le taux de réponse cumulatif est faible, ce qui augmente le risque de biais. Pour obtenir plus de renseignements sur la méthodologie, consultez les Enquêtes et programmes statistiques – Série d'enquêtes sur l'accessibilité.
Toutes les différences indiquées dans la présente publication sont statistiquement significatives (p < 0,05). Les estimations qui figurent dans le présent communiqué comprennent les cas de non-réponse. L'inclusion ou l'exclusion de ces cas dépend de l'objectif de l'analyse. Les futurs produits pourraient adopter des approches différentes.
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