Section 2 : Situation sur le marché du travail des immigrants ayant fait des études universitaires selon la région des études

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Grade universitaire obtenu au Canada
Grade universitaire obtenu à l'extérieur du Canada

Cette section présente la situation sur le marché du travail (les taux d'emploi en particulier) du quelque 1,2 million d'immigrants du groupe principal d'âge actif dont le plus haut niveau de scolarité est un grade universitaire selon le lieu d'obtention dudit grade.

Dans la première partie de la présente section, l'analyse s'attarde surtout à la situation sur le marché du travail des immigrants qui ont obtenu un grade universitaire canadien. Comme l'illustre le tableau 2.1, les immigrants très récents et récents qui ont fait des études au Canada représentaient une faible portion de l'ensemble des titulaires d'un grade de ces périodes d'établissement. Toutefois, les immigrants ayant fait des études au Canada ont été examinés à part, car la reconnaissance des attestations d'études canadiennes ne devrait pas jouer dans leur tentative d'obtenir un emploi. Après cette analyse, une présentation des expériences sur le marché du travail des immigrants qui ont obtenu leur plus haut grade dans une université étrangère, selon la région d'obtention du grade, est faite.

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Tableau 2.1
Région d'obtention des plus hautes études universitaires, selon la période d'établissement, immigrants âgés de 25 à 54 ans, 2007

Grade universitaire obtenu au Canada

Moins d'un immigrant très récent ou récent sur dix a reçu son grade universitaire au Canada; la majorité des immigrants de longue date ont reçu leur grade au Canada

En 2007, le tiers des immigrants du principal groupe d'âge actif (plus de 400 000 d'entre eux) titulaires d'un grade avaient obtenu leur plus haut grade au Canada. Puisqu'il faut du temps pour obtenir un grade, la probabilité pour un immigrant d'avoir obtenu son grade d'une université canadienne augmentait avec le temps écoulé depuis son arrivée. La proportion de titulaires d'un grade canadien était plus élevée chez les immigrants dont l'établissement remontait à de nombreuses années; 60 % des immigrants de longue date ayant des études universitaires avaient un grade d'une université canadienne, ce qui était le cas de 18 % des immigrants récents et de 9 % des immigrants très récents.

Les immigrants très récents ayant fait des études universitaires affichaient un taux d'emploi inférieur à celui des Canadiens ayant étudié à l'université; l'âge et le statut d'étudiant y étaient sans doute pour quelque chose

On estime à 28 000 le nombre d'immigrants très récents qui avaient obtenu leur plus haut grade universitaire au Canada. En 2007, malgré leurs études au Canada, leur taux d'emploi était nettement inférieur à celui de leurs concitoyens nés au Canada ayant fait des études universitaires (graphique 2.1). Cet écart pourrait tenir en partie au fait que les immigrants manquent généralement d'expérience de travail au Canada, leurs homologues canadiens titulaires d'un grade semblable étant susceptibles d'avoir davantage d'expérience qu'eux. Cette expérience relativement limitée se reflète en partie dans leur âge – ils ont en général cinq ans de moins que leurs pairs nés au Canada (33,2 ans comparativement à 38,6) – et aussi dans leur période d'établissement (c'est-à-dire depuis moins de cinq ans).

Le manque d'expérience de travail n'est pas la seule explication possible de l'écart entre le taux d'emploi des immigrants très récents et celui de leurs homologues nés au Canada ayant fait des études universitaires au Canada. Près du tiers (30,3 %) de ces immigrants très récents ayant un grade universitaire canadien fréquentaient à nouveau l'école en 2007 (tableau 2.2), ce qui représentait une proportion supérieure au quadruple de celle observée chez les personnes nées au Canada. La plupart de ces étudiants faisaient des études universitaires à temps plein, même s'ils possédaient déjà un grade d'une université canadienne. Durant leurs études, à peine la moitié de ces étudiants étaient actifs sur le marché du travail, si bien qu'ils avaient des taux d'activité et d'emploi globaux inférieurs à ceux des étudiants nés au Canada ayant fait des études universitaires.

Par contre, tant les immigrants récents que de longue date titulaires d'un grade universitaire affichaient en 2007 des taux d'emploi semblables à celui de leurs homologues nés au Canada (graphique 2.1). L'âge de ces immigrants était en général beaucoup plus proche de celui de leurs homologues nés au Canada (35,4 pour les immigrants récents, 39,2 pour les immigrants de longue date et 38,6 pour les personnes nées au Canada), ce qui, avec le temps écoulé depuis leur établissement, leur a probablement procuré des outils et de l'expérience de travail au Canada et a ainsi accru leurs chances d'obtenir un emploi.

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Graphique 2.1
Taux d'emploi des personnes ayant un grade universitaire canadien, selon la période d'établissement, immigrants âgés de 25 à 54 ans, 2007

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Tableau 2.2
Proportion d'étudiants et taux de participation des étudiants dans la population active pour les immigrants détenant un grade universitaire obtenu au Canada, population âgée de 25 à 54 ans, 2007

Grade universitaire obtenu à l'extérieur du Canada

Bien qu'un certain nombre d'immigrants hautement scolarisés aient un grade d'une université canadienne, la plupart n'en ont pas, surtout ceux qui sont arrivés dans les 10 dernières années (tableau 2.1). Dans la présente section, nous examinons la situation sur le marché du travail des immigrants titulaires d'un grade obtenu à l'étranger.

Plus de la moitié des immigrants très récents et des immigrants récents ont reçu leur grade universitaire en Asie

Les immigrants très récents et les immigrants récents ont reçu leur grade universitaire dans des régions semblables, que nous examinons dans la présente section. Comme il fallait s'y attendre, compte tenu du grand nombre d'immigrants que le Canada accueille en provenance de l'Asie, y compris du Moyen-Orient, plus de la moitié des immigrants très récents et des immigrants récents qui ont fait des études universitaires et reçu leur éducation à l'extérieur du pays avaient obtenu leurs attestations scolaires d'un établissement d'enseignement d'Asie ou du Moyen-Orient (graphique 2.2). Les grades d'universités européennes étaient ensuite les plus répandus parmi les immigrants ayant fait leurs études à l'extérieur du Canada. Les titulaires d'un grade universitaire d'un établissement des États-Unis représentaient une proportion relativement mince (5 %). On notera toutefois avec intérêt qu'à peine le tiers des immigrants titulaires d'un grade d'une université américaine étaient nés aux États-Unis. Les trois quarts des titulaires d'un grade européen étaient nés en Europe, tandis que les neuf dixièmes de ceux qui avaient obtenu leur grade d'un établissement d'Asie, d'Amérique latine ou d'Afrique étaient nés dans la même région.

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Graphique 2.2
Proportion pour chaque région d'études universitaires (excluant le Canada), immigrants très récents et récents, âgés de 25 à 54 ans, 2007

Les immigrants très récents ayant obtenu un grade d'une université américaine ou européenne affichaient le taux d'emploi le plus élevé, quoique moins élevé que celui de leurs homologues nés au Canada, parmi les titulaires d'un grade obtenu à l'étranger

La présente section traite surtout des immigrants très récents (c'est-à-dire qui avaient été admis moins de cinq années auparavant) ayant fait leurs études universitaires à l'étranger. Comme l'illustre le graphique 2.3, les immigrants très récents titulaires d'un grade universitaire obtenu à l'étranger avaient tous des taux d'emploi inférieurs à ceux de leurs homologues nés au Canada ayant fait des études semblables. Contrairement à la situation qui prévaut chez les immigrants titulaires d'un grade canadien, il n'y a qu'une petite différence d'âge entre les immigrants très récents et leurs pairs nés au Canada titulaires d'un grade obtenu à l'étranger (36,9 ans comparativement à 38,6). Par conséquent, toute expérience comparativement limitée sur le marché canadien du travail n'est vraisemblablement pas attribuable à des différences d'âge, mais plutôt à la durée de leur présence au Canada.

Le taux d'emploi des immigrants très récents titulaires d'un grade universitaire obtenu aux États-Unis ou en Europe était parmi les plus élevés de toutes les régions d'études à l'étranger (graphique 2.3). Même s'ils avaient des taux d'emploi égaux à ceux des immigrants très récents qui avaient obtenu leur grade universitaire au Canada, ces taux étaient significativement inférieurs à ceux des personnes nées au Canada (tableau 2.2).

La plupart des autres immigrants ayant un grade obtenu à l'étranger avaient davantage de difficulté à obtenir un emploi. En 2007, les immigrants très récents titulaires d'un grade universitaire d'Amérique latine ou d'Afrique et, dans une moindre mesure, ceux possédant un grade obtenu en Asie affichaient des taux d'emploi nettement inférieurs à ceux qui avaient obtenu le leur au Canada ou aux États-Unis.

Le statut de réfugié des immigrants très récents ayant fait des études universitaires à l'étranger de certaines régions pourrait jouer un rôle dans l'obtention d'un emploi

Il est possible que le statut de réfugié joue un rôle dans la capacité d'un titulaire de grade obtenu à l'étranger de trouver un emploi. Les réfugiés n'ont souvent pas le temps de réunir leurs documents d'études officiels et il peut être difficile pour n'importe qui de communiquer avec leur établissement d'enseignement, ce qui leur rend difficile de confirmer leurs attestations d'études auprès d'employeurs potentiels ou d'associations professionnelles1. L'Enquête longitudinale auprès des immigrants du Canada a permis de constater qu'à court terme, les réfugiés immigrants très récents (sans égard aux niveaux de scolarité) avaient, parmi toutes les catégories d'immigrants, les taux d'activité les plus bas et étaient plus susceptibles d'être inscrits à des programmes d'éducation complémentaire2.

Bien que 3,6 % de l'ensemble des immigrants très récents titulaires d'un grade universitaire fussent des réfugiés, la proportion des réfugiés était nettement plus élevée chez les immigrants latino-américains ayant fait des études universitaires (15,4 %), surtout chez ceux d'Amérique du Sud (21,6 %). L'immense majorité de ces réfugiés latino-américains à scolarité élevée étaient originaires de la Colombie (source : Citoyenneté et Immigration Canada, totalisation spéciale). Les réfugiés représentaient une proportion supérieure à la moyenne (9,5 %) des immigrants très récents ayant fait des études universitaires venus d'Afrique, leur nombre étant divisé en parts quasi égales entre les réfugiés de l'Est, de l'Ouest, du Nord et du Centre de l'Afrique. Il est donc possible que les difficultés éprouvées par les immigrants très récents originaires d'Amérique latine ou d'Afrique tiennent en partie à la très forte proportion de réfugiés ayant fait des études universitaires provenant de ces deux régions.

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Graphique 2.3
Taux d'emploi des diplômés universitaires, selon la région d'obtention des plus hautes études, immigrants très récents âgés de 25 à 54 ans, 2007

Un grand nombre d'immigrants titulaires d'un grade universitaire obtenu à l'étranger sont retournés aux études depuis leur établissement au Canada

Les études complémentaires étaient plus répandues chez les immigrants très récents ayant un grade universitaire, même s'ils avaient obtenu celui-ci au Canada (tableau 2.3). Ces immigrants les plus nouveaux étaient trois fois plus susceptibles de fréquenter l'école en 2007 que ne l'étaient leurs pairs nés au Canada. Ils acquéraient également différents types de compétences; 25 % d'entre eux étaient inscrits à d'« autres » études (y compris à de la formation linguistique et à des programmes d'agrément ou de recyclage professionnel) et 25 % étudiaient au cégep (collège d'enseignement général et professionnel) ou au collège (source : Enquête sur la population active). La plupart de ces étudiants n'étaient pas actifs sur le marché du travail en 2007 (c'est-à-dire qu'ils ne travaillaient pas ou ne cherchaient pas d'emploi), tandis que les diplômés universitaires nés au Canada qui étaient aux études avaient un taux d'activité élevé.

Le fait d'examiner séparément la situation sur le marché du travail des immigrants très récents qui ont fait des études universitaires et qui sont aux études de celle des non-étudiants nous permet de mieux comprendre ces différences. Les immigrants allant à l'école avaient beaucoup moins de chances de participer au marché du travail que les étudiants nés au Canada. En 2007, l'écart entre le taux d'activité des immigrants très récents ayant fait des études universitaires qui n'étaient pas des étudiants et celui des diplômés universitaires nés au Canada était de 12 points de pourcentage (annexe B); par rapport à ceux qui étudiaient, l'écart était de 28 points de pourcentage. Le plus petit écart s'observe entre les non-étudiants de sexe masculin qui ont immigré et ceux qui sont nés au Canada et le plus grand, entre les immigrantes et les femmes nées au Canada (étudiantes comme non-étudiantes).

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Tableau 2.3
Proportion d'étudiants et taux de participation des étudiants dans la population active selon la région d'études universitaires, immigrants très récents ayant un grade universitaire, population âgée de 25 à 54 ans, 2007

Le taux d'activité des immigrantes très récentes ayant fait des études universitaires était nettement inférieur à celui des femmes nées au Canada

En 2007, les femmes représentaient près de la moitié (48,6 %) de l'ensemble des immigrants très récents ayant étudié à l'université. Mais ces femmes très instruites étaient beaucoup moins susceptibles de participer à la population active que ne l'étaient leurs homologues de sexe masculin (tableau 2.4). En comparaison, les femmes nées au Canada de 25 à 54 ans qui avaient étudié à l'université affichaient un taux d'activité de 80,8 %, en comparaison avec 86,8 % pour les hommes nés au Canada.

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Tableau 2.4
Taux de participation de la population née au Canada et des immigrants très récents qui ont fait des études universitaires, selon la région d'obtention des plus hautes études universitaires et le sexe, population canadienne âgée de 25 à 54 ans, 2007

Quel que soit l'endroit où les immigrantes très récentes ayant étudié à l'université ont reçu leur grade, leur taux d'activité était beaucoup plus bas que celui des femmes nées au Canada (tableau 2.4). Lorsqu'on tient compte du statut d'étudiant, ces écarts persistent même s'ils s'amenuisent (annexe B).

En 2007, les immigrantes très récentes ayant étudié en Asie représentaient 27 % de tous les immigrants très récents ayant fait des études universitaires et présentaient un taux d'activité nettement inférieur à celui des femmes nées au Canada ayant étudié à l'université (tableau 2.4). Parmi les premières, seules les femmes titulaires d'un grade universitaire venues d'Asie du Sud-Est avaient des taux d'activité semblables à celui des femmes nées au Canada.

Les immigrants récents qui avaient fait des études universitaires en Europe, aux États-Unis ou en Asie du Sud-Est avaient des taux d'emploi comparables à ceux des Canadiens nés au pays

La présente section explore les taux d'emploi des immigrants récents (c'est-à-dire qui étaient venus s'établir de cinq à dix ans auparavant) ayant un grade d'une université étrangère. Dans l'ensemble, les taux d'emploi des immigrants récents titulaires d'un grade d'une université étrangère étaient plus proches de ceux des personnes nées au Canada, en particulier ceux ayant obtenu leur grade aux États-Unis ou en Europe. En 2007, les quelques 56 000 immigrants récents titulaires d'un grade obtenu en Europe et les quelque 12 000 ayant obtenu le leur d'une université américaine affichaient des taux d'emploi semblables à ceux des personnes nées au Canada (graphique 2.4).

Les quelque 18 000 immigrants récents qui avaient reçu leur grade universitaire en Asie du Sud-Est (surtout dans les Philippines) avaient également des taux d'emploi comparables à ceux des personnes nées au Canada (annexe B). Il est à noter que le système d'éducation des Philippines est étroitement apparenté au système nord-américain, tandis que ceux des autres pays d'Asie du Sud-Est sont influencés par le système anglais, français ou néerlandais3. Aux Philippines, qui plus est, l'enseignement est dispensé dans une combinaison d'anglais et de tagal, les deux langues officielles de ce pays. Il pourrait être intéressant d'étudier plus à fond les expériences sur le marché du travail des immigrants qui ont fréquenté des universités de pays possédant des structures d'éducation semblables à celles de l'Amérique du Nord.

Toutefois, les immigrants récents titulaires d'un grade n'avaient pas tous des taux d'emploi comparables d'un pays d'études à l'autre. Les immigrants récents qui avaient fait leurs études universitaires en Asie, en Amérique latine et en Afrique avaient en 2007 des taux d'emploi inférieurs à ceux des personnes nées au Canada (graphique 2.4).

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Graphique 2.4
Taux d'emploi des diplômés universitaires, selon la région d'obtention des plus hautes études, immigrants récents âgés de 25 à 54 ans, 2007

Des écarts de taux d'emploi persistent chez certains immigrants de longue date ayant fait des études universitaires à l'étranger

Cette dernière section de l'analyse à l'échelle canadienne étudie la situation sur le marché du travail des immigrants de longue date (c'est-à-dire ceux dont l'établissement remonte à plus de 10 ans). Si ce groupe d'immigrants ayant étudié à l'université était le plus nombreux et affichait en 2007 un taux d'emploi semblable à celui des personnes nées au Canada, l'examen des données selon la région des études a tout de même révélé des écarts entre les taux d'emploi.

Comme nous le mentionnions précédemment, plus de la moitié des immigrants de longue date qui ont des études universitaires (60,4 %) ont reçu leur plus haut grade au Canada et leur taux d'emploi était comparable à celui des personnes nées au Canada. La plupart des immigrants de longue date titulaires d'un grade universitaire obtenu à l'étranger avaient toutefois un taux d'emploi encore inférieur à celui des immigrants possédant un grade acquis au Canada. Faisaient entre autres et notablement exception à cette règle les immigrants de longue date qui avaient étudié en Europe ou en Asie du Sud-Est (annexe B). Les quelque 26 000 immigrants qui possédaient un grade obtenu d'une université américaine et qui n'étaient pour la plupart pas nés aux États-Unis avaient un taux d'emploi inférieur à celui des personnes nées au Canada (graphique 2.5). En 2007, les quelque 11 000 immigrants de longue date titulaires d'un grade d'une université d'Amérique latine formaient le groupe au taux d'emploi le plus bas.

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Graphique 2.5
Taux d'emploi des diplômés universitaires, selon la région d'obtention des plus hautes études, immigrants de longue date âgés de 25 à 54 ans, 2007


Notes

  1. Phillips, Rosalie. 2000. Report: Seminar on Recognition of Refugee Qualifications (PDF). Présenté par l'International Credential Evaluation Service (ICES) au siège social du Conseil de l'Europe, 15-16 novembre 1999. (consulté le 3 mars 2008).
  2. Statistique Canada et Citoyenneté et Immigration Canada. 2005. Enquête longitudinale auprès des immigrants du Canada – S'établir dans un nouveau pays : un portrait des premières expériences. No 89-614-XWF au catalogue de Statistique Canada.
  3. Southeast Asian Ministers of Education Organization (SEAMEO), « Philippine Education System ». (consulté le 21 mai 2008).